The Number of the Beast

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18/20
Nom du groupe Iron Maiden (UK-1)
Nom de l'album The Number of the Beast
Type Album
Date de parution 29 Mars 1982
Enregistré à Battery Studios
Style MusicalNWOBHM
Membres possèdant cet album2275

Tracklist

Bonustrack 9: Japanese Release
1.
 Invaders
 03:22
2.
 Children of the Damned
 04:33
3.
 The Prisoner
 06:00
4.
 22 Acacia Avenue
 06:34
5.
 The Number of the Beast
 04:49
6.
 Run to the Hills
 03:50
7.
 Gangland
 03:47
8.
 Hallowed Be Thy Name
 07:10

Bonus
9.
 Total Eclipse
 04:25

Durée totale : 44:30



1995 Re-Issue on 2CD
1.
 Invaders
 03:22
2.
 Children of the Damned
 04:33
3.
 The Prisoner
 06:00
4.
 22 Acacia Avenue
 06:34
5.
 The Number of the Beast
 04:49
6.
 Run to the Hills
 03:50
7.
 Gangland
 03:47
8.
 Hallowed Be Thy Name
 07:10
9.
 Total Eclipse
 04:25
10.
 Remember Tomorrow (Live at Palasport, Padua, Italy, 29/10/1981)
 05:27

Durée totale : 49:57



1998 Re-Issue
1.
 Invaders
 03:22
2.
 Children of the Damned
 04:33
3.
 The Prisoner
 06:00
4.
 22 Acacia Avenue
 06:34
5.
 The Number of the Beast
 04:49
6.
 Run to the Hills
 03:50
7.
 Gangland
 03:47
8.
 Total Eclipse
 04:25
9.
 Hallowed Be Thy Name
 07:10
10.
 Run to the Hills (Video Clip)
 03:50
11.
 The Number of the Beast (Video Clip)
 04:49

Durée totale : 53:09

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Iron Maiden (UK-1)


Chronique @ MetalAngel

04 Novembre 2005
Deux années aprés la sortie de 'Iron Maiden', le groupe subit un mini-choc qui se révélera positif : Paul di'Anno est éjecté du groupe par Steve Harris à cause d'une consommation excessive de produits stupéfiants et d'alcool. Le combo ne pouvait plus continuer avec un vocaliste qui ne respectait pas ses EngagemEnts, ses fans, ses collégues et soi-même. Et le nom du remplaçant ne se fait pas attEndre : Bruce Dickinson, alors vocaliste du groupe concurrEnt Samson, INTégre la Vierge. Les fans sont surpris : certains ne trouvant plus d'attrait, le côté punk du groupe ayant disparu, les autres donnant une chance à ce nouveau-vEnu chevelu. Aprés une série de concerts de présEntation, le groupe Entre En studio pour Enregistrer ce qui deviEndra son album le plus racé, mais, égalemEnt, le plus controversé. En effet, le titre est évocateur : 'The Number of the Beast', le chiffre de la bête...Autant dire que les organisations conservatrices et religieuses à travers le monde ne se sont pas gênées pour accabler le groupe avec des accusations infondées sur leur influEnce de corruption de la jeunesse à travers des paroles sataniques ("666, The Number of the Beast/666, the one for you and me"), qui ne sont, En réalité, qu'ironiques, dénonçant de nombreuses dérives politiques et religieuses, tEntant de choquer pour éveiller les consciEnces. Nous sommes Encore En 1982, En pleine période conservatrice britannique, dominée par une Dame de Fer énergique et dure. La jeunesse ne supporte plus les réformes qui vont contre leurs INTérêts. Il ne faut, par conséquEnt, plus s'étonner que celle-ci cherche un moyEn de se démarquer de la masse sociétaire et une voie de révolte, que seuls les groupes de métal et de punk peuvEnt leur offrir. Iron Maiden sont jeunes et ils ne peuvEnt que comprEndre la détresse de leurs fans. 'The Number of the Beast' est un parfait défouloir pour les jeunes ; tous les élémEnts qui ont fixé le son MaidEn y sont présEnts : agressivité, mélodies subtiles, refrains grandioses, récits épiques, rythmiques Endiablées, harmonies de guitares et biEn d'autres petits détails caractéristiques. RiEn n'est laissé au hasard : la hargne des jeunes loups de la N.W.O.B.H.M., transmise par l'ex-hurleur à ses collégues, est toujours présEnte, mais, néanmoins, biEn mieux canalisée. Le résultat est efficace : des hits ("22, acacia avEnue", "The Number of the Beast", "Run to the Hills", "Hallowed Be Thy Name"), des morceaux un peu mésestimés, biEn que géniaux ("Invaders", "Children of the Damned", "The Prisoner", "Total Eclipse") et un mal-aimé (à raison ou à tort), "Gangland". Cet album est devEnu LE plus classique des classiques de Iron Maiden. Grâce à lui, MaidEn a changé de visage : les timides musiciEns sont devEnus de véritables bêtes de scéne, des musiciEns hors-pair, sûr d'eux et plus ambitieux que jamais! Le futur leur appartiEnt, personne ne les arrête. S'Ensuivit une tournée quasimEnt sold-out partout dans le monde, avec une tournée plus longue : 17 dates En France, par exemple (NdMA : le rêve!!). Tout un discours long et Ennuyeux pour dire que 'TNOTB' est un monumEnt du hard rock, INTouchable et sacré! Tout fan de métal qui se respecte se doit de posséder ce chef-d'oeuvre d'agressivité et d'invEntivité, qui éléve le métal à une gloire méritée...Tout simplemEnt magnifique et émouvant!!!

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Game_system - 31 Août 2019:

Ce que je vais dire ne vas pas beaucoup plaire, mais je vais comme même le dire. Pour moi Number of the Beast est certainement l'un des plus importants dans la carrière de Maiden parce qu'il est le premier à avoir introduit le légendaire Bruce Dickinson qui est, pour moi, le seul véritable chanteur de la formation anglaise (je n'ai jamais été fan ni de Bayley ni de Di'Anno). Cependant, à mes oreilles il est loin d'être le meilleur. Je trouve que Maiden a fait bien mieux en termes de composition dans les albums suivants. Number of the Beast est très bon, c'est certain, il comporte de grands classiques de la formation, mais je le trouve dans l'ensemble assez inégale. Défaut que je ne retrouve pas dans les successeurs.

Voilà ce que j'avais à dire sur cet album.

ELECTRICMAN - 03 Septembre 2022:

Un indispensable. Mais histoire de chipoter, l'ordre des titres ne me convient pas totalement. Ma tracklist revue est : number / run / prisoner / 22 / invaders / children / total (sur lequel j'ai shooté le début et modifié la fin) / gangland / hallowed et me semble plus efficiente ainsi en commençant par le title track.

Delmons - 16 Avril 2023:

LE disque qui m'a fait entrer dans le métal...Mon préféré avec Killers, Somewhere et Seventh son, car oui j'ai complètement adhéré à leur évolution vers un heavy plus progressif (jusqu'à No prayer, + quelques titres sur fear of the dark mais après j'ai lâché l'affaire)

angus107 - 03 Décembre 2023:

Le meileur album de Maiden ? Oui peut etre, car meme si je connais la discographie du groupe, je ne suis pas un super connaisseur pour juger.

Je peux juste dire qu'il est dans mon Top 3

18/20

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Chronique @ dark_omens

28 Août 2014

La Bible...

Les quelques rares fois où votre humble serviteur se sera égaré à palabrer fort de considérations n'ayant que peu de rapport avec l'œuvre chroniquée n'étant pas légion, qu'il lui soit permis, ici, maintenant, de déroger, une fois encore, quelque peu à cette règle en évoquant, bien modestement, l'ampleur d'un travail qui, enfin, aura porter ses fruits le menant au chiffre fatidique, pour nous autres adeptes de ce que les mécréants incultes incapables de s'adonner aux nuances nécessaires résument maladroitement sous le bannière générique de "Metal", de 666.

Voilà donc que déjà se profilait l'ombre de ma 666ième chronique ici. Diantre. Il fallait absolument marquer l'événement d'une pierre noire. Mais quel album pouvait-il mériter une telle offrande? Quel album sinon ce Number of the Beast d'Iron Maiden?

En septembre 1981, Paul Di'Anno, chanteur au timbre si écorché donnant cette saveur particulièrement âpre parfaitement en adéquation avec les aspirations Punk des premières œuvres de la formation, est renvoyé. Le groupe ne parvient, en effet, plus à gérer les excès du trublion. Des excès liés à des prises de substances illicites. Steve Harris a de grande ambition pour sa créature et le vocaliste incontrôlable est clairement un frein à ses desseins. Pour le remplacer le manager du groupe, Rod Smallwood, décide de recruter le jeune Bruce Dickinson qui accepte après avoir pourtant juré à ses complices de Samson ne pas être intéressé par la forme musicale bien trop rugueuse des deux opus des londoniens (Iron Maiden (1980) et Killers (1981)).

Le premier résultat de cette toute nouvelle collaboration s'appelle The Number of the Beast. Il sort en mars 1982 et est une remarquable démonstration de la conjugaison des talents de ces musiciens.

Mais The Number of the Beast n'est pas uniquement l'expression de cette union. Gardant encore quelques stigmates de l'énergie Punk de ces précurseurs, ce disque gagne aussi en maturité grâce à un propos plus maîtrisé et plus réfléchis. Une œuvre donc magnifiée par le travail de l'écriture et de la composition.

Concernant les chants de Bruce, sa voix plus lyrique, plus mélodique et plus polyvalente que celle de son prédécesseur, donne un surcroit de caractère à un ensemble déjà superbe fort des talents de CLive Burr qui, quant à lui, continuera ici de nous enchanter avec son jeu si particulier, de ceux de Steve Harris et de sa basse au martèlement atypique très présents, ou grâce, aussi, à ceux d'Adrian Smith et de Dave Murray.

Que dire de plus de ces 8 titres historiques qui renversèrent le monde? Quel défaut, même mineur, reprocher à une fresque aussi parfaite? Comment ne pas être conquis par un 22 Acacia Avenue remarquable poursuivant la saga entamée par Charlotte the Harlot (Iron Maiden (1980) )? Par un sublime The Prisonner rendant hommage à la série du même nom introduit par un court extrait d'un épisode de ce programme, avant que CLive ne nous fasse une démonstration? Par The Number of the Beast, que d'aucuns, imbéciles prompt à la polémique, virent comme un dévouement du quintette à l'égard du malin alors que ce titre inspiré par un rêve de Steve Harris, et tout comme d'autres en leur temps, ne trahissait, rien sinon l'expression d'un amour pour la culture en général et plus particulièrement horrifique (le clip de ce morceau, empli de créatures, dont certaines mythique de la Hammer Films Productions, en est d'ailleurs la plus criante preuve)? Comment, en effet, ne pas être conquis par ce morceau au préambule légendaire dont les mots dits sont extraits de l'Apocalypse selon St Jean (Livre des Révélations Chapitre XIII verset 18) avant que Bruce, et CLive, nous y délivre une prestation aussi exemplaire qu'irréprochable? Faut-il vraiment rajouter, et ce afin d'attester de la perfection de ce manifeste, quelques louanges sur les splendides Run to the Hills ou Hallowed Be Thy Name? Réellement?

Bien évidemment, une telle démonstration dithyrambique de la part de votre modeste obligé n'est pas exemptes de subjectivité et certains pourraient d'ailleurs, avec une certaine légitimité, rétorqué à ce témoignage élogieux que des morceaux telles qu'Invaders, Gangland ou même Children of the Damned sont moins charismatique. Avouons tout de même que nous serions alors dans un degré d'exigence extrême à l'encontre de ces Britanniques tant ces pistes demeurent très bonnes.

The Number of the Beast est une bible dont chacun des versets définis avec précision l'excellence d'un Heavy Metal inspiré et brillantissime. The Number of the Beast est l'oeuvre d'une vie pour ceux qui la bâtirent. Mais The Number of the Beast est aussi l'œuvre d'une vie pour ceux qui firent partis de ce peuple dès lors acquis à la cause de cette mouvance et de ce nouveau messie.

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Arthron - 28 Août 2014: Un album culte. Très bonne chro, mais quelque chose m'a fait bondir: "Children of the Damned" moins charismatique ? Allons, ce titre est un bijou de toute beauté ;-)
Le mythique The Prisoner, le sublime Children of the Damned, les tubesques morceau titre et Run to the Hills, le génial 22 Accacia Avenue, et l'un des plus grands morceaux de l'histoire: Hallowed be thy Name. Ajoutez à cela une pochette cultissime; des paroles recherchées; une interprétation irréprochable et le cris le plus mythique de l'histoire et vous avez cet album.
Dommage que l'ouverture ne soit pas à la hauteur et qu'un Gangland faiblard fasse retombé la pression en fin d'album. Toutefois, ces deux titres sont largement compensés par les autres.
Vinarius - 28 Septembre 2014: Heu et le morceau Eponyme Arthron? :p
Merci Dark. Ca valait bien le 18. Ca vaut meme le 20 si y'a pas Gangland :/
mechant - 08 Août 2021:

Cet album est la 2e naissance de Maiden. L'integration de B. DICKINSON va propulser le groupe en tete des formations de Heavy et la NWOBHM va decliner... 

Le groupe va pondre 1 serie d albums incroyable..l alchimie est parfaite.

TNOTB est monumental.

Maquistador - 25 Octobre 2021:

Putain ! Toute ma jeunesse, je me rappelle les écouter en regardant la WWF le mercredi.

J'étais au collège à cet époque là (les années 90) et nous n'étions pas très nombreux à écouter du metal.

Génération bandana à la ceinture ;-)

Avec Nirvana, ce sont les 2 groupes qui m'ont donné envie d'approfondir ma culture musical et qui ont inspiré tant de groupes par la suite...

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Chronique @ Ebrithil

06 Avril 2010
Aaaah, The Number of the Beast ...
Chroniquer une telle légEnde est quelque chose qui peut paraître simple tant les hymnes qui la composEnt sont Entrés dans l'inconsciEnt collectif, dans les mythes et légEndes du heavy metal. Qui ne connaît pas Hallowed Be Thy Name ou le titre éponyme de l'album n'a pas fini son apprEntissage du monde métallique ... Mais tel apprEntissage a-t-il une fin quand on En voit la richesse ?

Et pourtant, et pourtant, la tâche n'est pas si aisée, car que dire qui n'a pas déjà été dit ? CommEnt ne pas tomber dans le redondant, dans les superlatifs inutiles et creux ?
Remettons tout d'abord les choses dans leur contexte.

1980 : une bande de britanniques mEnés par un bassiste mégalo, Steve Harris, sort un album qui pose la première brique d'une légEnde : Iron Maiden, chef de file du mouvemEnt NWOBHM, digne successeur d'un Judas Priest qui est Encore loin d'En avoir besoin. Après un deuxième album fort réussi, Killers, le maître Harris décide de passer à la vitesse supérieure. MaidEn était bon, mais MaidEn doit être au delà de ça. MaidEn doit être LE groupe, celui auquel tout fan de hard rock pEnse En premier lieu. Et pour ce faire, adios Paul Di'anno le gros dur, bonjour Bruce Dickinson, tout droit vEnu de Samson, qui amène avec lui sa gestuelle théâtrale (servant à donner aux derniers rangs un spectacle à la hauteur du prix du ticket, dixit Bruce-Bruce) et à la voix monumEntale, à classer parmi les 5 meilleures de tous les temps dans le domaine.

Le morceau qui nous accueille, Invaders, est pourtant une semi-déception. Car si Bruce Dickinson est indéniablemEnt des lieues au dessus de Paul Di'anno, la chanson En elle-même n'a pas le potEntiel tubesque d'un Wrathchild toujours joué En Live un quart de siècle plus tard... et est probablemEnt le morceau "d'ouverture" le moins efficace de l'histoire d'Iron Maiden, loin derrière des hymnes comme Aces High, Caught Somewhere in Time, The Wicker Man, Be Quick or Be Dead ...

HeureusemEnt, après quelques minutes, on s'En veut presque d'avoir douté des Anglais. Car Harris, qui a un pied (voire les 2) dans chaque compo de l'album, a clairemEnt haussé le niveau. Children of the Damned est ainsi le premier des hymnes de l'opus, tout En sobriété musicalemEnt et En lyrisme vocalemEnt...

On pourrait toutefois trouver une chose à redire à cet album, c'est qu'il ne fait pas dans la demi-mesure. Soit les titres sont de véritables tueries à classer dans les meilleurs titres de MaidEn et du metal En général, soit ils sont au mieux agréables et seront aisémEnt zappés par la génération actuelle qui n'a qu'un clic à faire sur son écran (de mp3 ou d'ordi) pour passer à la chanson suivante. Ainsi En est-il de Gangland, Total Eclipse ou dans une moindre mesure d'Invaders et The Prisoner, des titres bons certes mais manquant de cette magie qui fait qu'un album comme Powerslave ou Brave New World peut s'écouter d'une traite sans débander.

Mais quelqu'un peut-il nier la surpuissance d'un Number of the Beast qui, après une INTro devEnue cultissime, part dans un trip simili-satanique avec un Dickinson au sommet de son art, un refrain simple mais gigantesque (6,6,6 ! The Number of the Beast !!!) et un solo qu'après 4 écoutes (si on a pas l'oreille musicale) on fredonne En chœur ?
Peut-on ne peut pas avoir la larme à l'oil à l'écoute de Hallowed Be Thy Name, avec sa montée En puissance jouissive à s'En faire dessus et ses paroles déchirantes de mélancolie signées Harris, avant un solo... Pfiouu... que les mots ne suffisEnt pas à décrire ? On frissonne à l'écoute de l'histoire de cet homme condamné attEndant son heure d'être mEné au "Gallows Pole" (la potEnce).

22 Acacia AvEnue, plus joyeuse, est égalemEnt un grand momEnt, peut-être un poil sous-estimé et trop peu joué En Live à mon goût au profit d'un titre que je trouve personnellemEnt moins bon : Run to the Hills. Reste que le rythme et le refrain de ce dernier En font une chanson adulée des fans, qui passEnt peut-être parfois à côté du message assez osé narrant le massacre des IndiEns d'Amérique par les colons sans-gêne et sans coeur qui débarquèrEnt au XVIème siècle.

The Number of the Beast n'est INTrinsèquemEnt pas le meilleur album d'Iron Maiden : Powerslave, plus majestueux, SevEnth Son Of A SevEn Son, plus cohérEnt et prEnant, et même Piece of Mind, plus varié et mature, le dépassEnt tous d'un ou deux niveaux. Mais à l'image d'un High Voltage pour Run to the Hills ou d'un Kill'Em All pour Metallica, The Number of the Beast est un monolithe du heavy metal, la pierre fondatrice d'une légEnde qui montera haut, très haut, biEn plus haut que tout le reste.
A l'image de ce que voulait Steve Harris, En 2010, Iron Maiden est probablemEnt le plus grand groupe de heavy metal du monde.

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jamz - 06 Avril 2010:
félicitation pour ta chronique qui me semble juste et qui n encense pas l album dans la démesure par rapport a beaucoup de chronique.
pour moi pas le meilleur de MAIDEN
Enfer - 08 Fevrier 2013: Je me permets d'intervenir car je ne suis pas d'accord avec quelques points.... Les titres comme Invaders, The Prisoner ou Gangland sont pourtant des véritables oeuvres d'art en matière de Heavy Metal et je ne les trouve absolument pas en deça du reste de l'album... Au contraire elles sont très cohérentes et je vais même jusqu'à dire que The Prisoner est ma chanson préférée du disque.... C'est sûr qu'elles ne s'inscrivent pas dans les morceaux toujours joués 30 ans après, mais je jouis rien qu'en imaginant The Prisoner joué aujourd'hui avec la formation actuelle... O_O
ELECTRICMAN - 05 Septembre 2022:

totalement d'accord avec le commentaire précédent, les 3 titres cités ne me dérangent absolument pas. Par contre l'ordre des titres n'est pas optimal pour moi (voir mon avis sur la 1ère chronique).

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Chronique @ Lordmike

10 Fevrier 2010
Aaaah ! The Number of the Beast, En voilà un album qui aura fait du bruit.
Il a provoqué l'explosion d'un des groupes les plus importants de la scène Metal actuelle.
A sa sortie l'album fut propulsé directemEnt à la première place des vEntes En Grande Bretagne.
C'est aujourd'hui un véritable monumEnt à lui tout seul, avec ce disque Iron Maiden est Entré dans l'histoire.
Pour ceux qui comme moi ont la version remasterisé de 1998 on note l'apparition du titre "Total Eclipse", un titre Enregistré En 1982 comme le reste de l'album mais qui fut mis à l'écart au dernier momEnt (je me demande biEn pourquoi).
Le groupe à d'ailleurs eu l'INTelligEnce de ne pas le placer à la fin de l'album En bonus track mais En avant dernière place afin de laisser "Hallowed Be Thy Name" terminer l'album sur les chapeaux de roues.

Pour ce qui est des paroles de cet album il y a plusieurs choses plutôt INTéressantes :
"22 Acacia AvEnue" est une sorte de suite à Charlotte The Harlot présEnt sur le premier album du groupe.
Cette adresse est sEnsé être celle du bordel où travaille Charlotte.
Pour ce qui est de "The Prisoner", Bruce Dickinson s'est inspiré directemEnt de la série du même nom.
Cette chanson évoque le fait d'appartEnir à un lieu et de ne pas pouvoir s'En détacher.
Le passage du refrain où Bruce dit "I'm not a prisoner, I'm a free man" est une citation direct du personnage principal de la série qui prononce cette phrase durant l'un des épisodes.
Quant à l'INTro de la chanson c'est tout bonnemEnt un extrait de la série qu'ils ont rajoutés pour l'ambiance.
Pour finir, le concept de "The Number of the Beast" viEnt du fait que le producteur Martin Birch a percuté une caminonette dans laquelle se trouvait six nonnes.
Le lEndemain il porte sa voiture au garage et la facture pour les réparations s'élèvEnt à 666 livres sterling.

VEnons En au poINT le plus important, la musique. Car c'est tout de même cela qui nous occupe le plus.
Et biEn il n'y a absolumEnt riEn à critiquer, tout est parfait.
Les riffs et les soli de Murray et de Smith sont dantesques, la basse de Steve Harris qui galope tout le long de l'album et la voix unique de Bruce Dickinson sont autant d'élémEnts qui rEndEnt ce disque extraordinaire. Sans oublier évidemmEnt la batterie de CLive Burr qui apporte une rythmique En béton qui sied parfaitemEnt avec la basse de Sire Harris.
Le groupe avance comme un seul homme dans une seule direction et c'est vraimEnt bon.
Quand la musique ralEntit c'est seulemEnt pour mieux repartir Ensuite plus puissante que jamais.
Le morceau le moins bon de ce disque est Gangland et pourtant c'est déjà un très bon titre, alors commEnt qualifier les autres ?
Il n'y a pas assez de superlatifs ni d'hyperboles assez forts pour évoquer toute la puissance de ces chansons.
De "Invaders" à "Hallowed Be Thy Name" En passant par "Children of the Damned" et "Run to the Hills" riEn est à jeter.
C'est un disque que l'on écoute de la première note à la dernière sans ne jamais décrocher une seule seconde, après on se le repasse car on En a pas eu assez.
Si cet album est aussi excellEnt c'est aussi grâce à son producteur, En effet, Martin Birch ne voulant pas faire les choses à moitié a énormémEnt joué sur les ambiances et notammEnt sur celles du titre éponyme. L'EnregistremEnt de celui ci fut un véritable calvaire pour Bruce Dickinson qui dut recommEncer les quatre premières lignes de chant pEndant 4 heures afin d'arriver à un résultat satisfaisant pour Martin Birch.
Pour ce qui est de "Children of the Damned" c'est un titre absolumEnt complet. Une INTro mélodique, un riff fabuleux et Entrainant et un refrain ultra accrocheur, il ne manque riEn, tout y est pour notre plus grand bonheur.
Un album qui commEnce avec le très bon titre "Invaders" mais surtout qui se clôture avec "Hallowed Be Thy Name", l'un des plus grands titres du groupe. Un morceau qui boucle cet album sur une véritable apothéose de sEnsations.
Des guitares à la fois mélodiques et puissantes, un Bruce Dickinson au top de son talEnt et une ambiance magique.
On a beau l'écouter 50 fois il est toujours aussi impressionnant, ce disque est une véritable perle.

Le son est vraimEnt de bonne qualité (j'ai la version remasterisé donc c'est normal mais un ami qui possède le LP original m'a dit la même chose), on comprEnd pourquoi Martin Birch est devEnu après cela le producteur attitré de la vierge de fer.
Tout les instrumEnts sont à leur place, c'est carré.
Tout est optimisé de sorte à ce que le visage de MaidEn ressorte le mieux possible.

Et biEn voilà, tout est dit.
Un excellEnt groupe qui signe un album monumEntal, c'est LE chef d'œuvre du groupe avec le suivant Powerslave En 1984.
Les suivants biEn que très très bons égalemEnt seront un peu moins flamboyant.

Je met 19/20 à cet album. Je ne lui met pas 20 car la perfection n'existe pas, je n'ai pas Encore trouvé le défaut de cet album mais il doit exister.

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Lordmike - 02 Septembre 2010: Merci :)

Faut dire que c'est un album qui a frapper un grand coup et qui depuis 30 ans n'a pas pris une ride et enterre encore les productions d'aujourd'hui. Maiden était et restera un groupe purement exceptionnel.
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Chronique @ MyLordAngus

28 Septembre 2008
En 1981, la maison MaidEn voit le départ de Paul Di Anno, poussé En sortie par Steve Harris. Pari risqué, car le groupe En Encore En pleine élaboration de son style, et le chanteur possèdait déjà ses fans. Pour le remplacer, on prEnd Bruce Dickinson, de Samson. The Number of the Beast, l'album qui voit son INTégration au groupe, est le premier gros succès des anglais, et le début d’une série de classiques de heavy metal.

Le gros poINT fort de cet album, c'est la qualité des compos. 9 titres, 9 brûlots de metal. Des structures assez simples, des refrains, couplets, breaks et solos, et c'est immédiatemEnt accrocheur ; on fredonne les chansons dès la deuxième écoute. On débute par le rapide "Invaders". Et ce qui marque immédiatemEnt, c'est le chant du nouveau vEnu Bruce Dickinson. BiEn plus heavy metal que celui de Paul Di'Anno, avec un timbre plus aigu, mais aussi plus puissant et d’une manière plus metal, sa voix s'accorde parfaitemEnt avec le style du groupe. Ainsi, personne n'imagine "Run to the Hills" sans Bruce Dickinson s’égosillant sur le refrain. Cette chanson deviEndra un hymne du groupe En concert. Sur "Killers", on voyait apparaître les prémices d'un heavy metal terriblemEnt fédérateur, il explose sur cet album.

On a donc une définition simple du heavy metal selon les anglais. Les guitares se taillEnt une belle part sur ce disque, avec des riffs efficaces, et des solos vraimEnt réussis, comme le tapping sur "The Prisoner". Dave Murray et Adrian Smith formEnt une des paires guitaristiques les plus redoutables, grâce à leur grande complicité EntretEnue depuis leur Enfance. La basse de Steve Harris épaule efficacemEnt CLive Burr à la batterie, qui réalise sa meilleure prestation avec Iron Maiden. Les rythmiques cavalcades deviEnnEnt la marque de fabrique du groupe (même si d’autres les ont utilisées avant). CepEndant, les anglais n'oubliEnt pas de varier les plaisirs. Ainsi, sur le disque se côtoiEnt la power ballad "Children of the Damned" alternant Entre couplets acoustiques mélodiques, refrains émouvants, et solos Enlevés ; "22 Accacia AvEnue" au riff tortueux à souhait et au solo superbe, une des premières compos d’Adrian Smith ; ou l’haletant "Gangland", contant l’histoire d’un homme traqué par un tueur à gages.

Au panthéon du metal, on retiEndra le fabuleux titre éponyme et son INTro frissonnante tirée du livre des Révélations. Son riff magique En palm-mute, ses solos excellEnts, mais plus Encore son thème maléfique (pour l’époque biEn sur ;) ), qui attire une horde de détracteurs soi-disant anti-satanique. Remarquable aussi, "Hallowed Be Thy Name", un titre à tiroir. Successeur de "INT.", ce titre débute la série des chansons épiques qui clôtureront plusieurs albums de la vierge de fer. Histoire d’un condamné à mort qui attEnd sa fin En passant de la colère à la résignation, son génie réside certainemEnt En ses longues parties instrumEntales et ses riffs sinueux, et son final majestueux où Bruce Dickinson hurle le titre de la chanson.

Dois-je détailler l’édition remasterisée? Comme toujours, un livret agréable et complet, une pochette retravaillée moins bleutée, plus sombre que l’originale, et les clips de "Run to the Hills" et "The Number of the Beast". Les paroles des chansons révèlEnt l’INTérêt du groupe pour les événemEnts historiques (Invasion de la Grande-Bretagne, traque des indiEns d’Amérique) ou le cinéma (film « Le Village des Damnées, série TV « Le Prisonnier »). On a même droit à la suite des avEntures de Charlot. Enfin, la chanson "Total Eclipse" présEnte sur l’édition originale japonaise est rajouté avant "Hallowed Be Thy Name" (le final percutant du disque original est donc conservé). Ce titre est un mid-tempo efficace avec un final aux arpèges nostalgiques, qui apporte un contrepoids aux speederies de l’album.

Si l'on dit que Black Sabbath a invEnté le heavy metal, il est de coutume de dire que Iron Maiden lui a donné ses lettres de noblesse. Si l’on ne peut évidemmEnt pas négliger l’apport énorme de Judas Pirest et autres Accept, on peut raisonnablemEnt, à l’écoute de cet opus, trouver une part de vérité dans cet adage, car les londoniEns mettEnt au poINT une recette musicale riche et imparable En quarante-quatre petites minutes, qui connaît Encore un énorme succès aujourd’hui. 18/20 pour un disque varié, efficace, indémodable, et surtout un des symboles du heavy metal.

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barback - 28 Septembre 2008: Encore une belle chro' bien détaillée. Merci. Rectifie juste ton children of decadence en children of the damned et ce sera parfait;)
 
MyLordAngus - 28 Septembre 2008: Oulala la honte sur moi!!! :)
Trashking - 07 Avril 2009: Bonne chronique.
Bien que je préfère l'époque Di'Anno, je dois avouer que cet album est pas mal. Seul le chant de Dickinson gache les morceaux sauf sur "Children of the damned". C'est mon avis.
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Commentaire @ Julien

01 Mars 2005

Comment décrire de manière objective l’un des plus grands albums de métal de tous les temps, dur dur !!!!!! Je vais quand même essayer. Sorti en 1982 cet album est celui de la consécration pour Iron Maiden. Le nouveau frontman Bruce Dickinson remplace donc Paul Di’Anno à la tête de la vierge de fer et le côté un peu râpeux des deux premiers albums disparaît par la même occasion. Oui mais voilà, n’ont-ils pas gagné l’un des meilleurs chanteurs de Heavy metal jamais entendu ? Peut-être !! Il faut aussi reconnaître que les compos sont plutôt énormes avec pas moins de quatre classiques de chez classique, le genre qui fait chanter un stade de 100 000 personnes. La faute à qui ? A MONSIEUR Steve Harris qui, avec le concours de Bruce Dickinson, nous a écrit du riff légendaire. En effet qui ne connaît pas le fameux « Run to the Hills » ou Encore « Hallowed Be Thy Name » ou encore……. Je me perds. Après trois supers titres, le lourd commence avec « 22 Acacia Avenue », premier des quatre gros morceaux. Tout y est : refrain accrocheur, soli, rythmiques impeccables, parfait. « Six, Six, Six The Number of the Beast » qui n’a jamais chanté cela un jour dans sa vie : personne. Là, théoriquement on n’a plus de voix mais ce n’est pas fini car le devenu incontournable « Run to the Hills » arrive. Comme avec AC-DC, Iron Maiden a compris que faire simple est parfois préférable, et un refrain dévastateur met tout le monde dans sa poche. C’est ça l’esprit « stade ». En effet comment faire plus simple comme refrain que «Run to the Hills run for your Lives, Run to the Hills run for your Lives». On ne peut pas, mais ça marche. Heureusement que « Gangland » est là pour nous reposer la voix, quoique….. Le dernier titre n’est autre que « Hallowed Be Thy Name » qui en plus de contenir un texte vraiment dur a une rythmique extrêmement soutenue. Magnifique !!! Pour information la réédition de 1998 contient un titre en plus « Total Eclipse » mais bon l’intérêt est bien ailleurs. Voilà donc c’est LE disque de référence de Iron Maiden qui doit avoir une petite place sur l’étagère de chacun d’entre nous.

MYTHIQUE !!!!!!!!!!!!!

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metalmat66 - 25 Juillet 2008: Ben alors Bertrand, tu nous fait un coup de calgon ! T'accroches-pas à 666 ? C'est pas bien ça ! Blague à part, je pense comprendre ce qui t'arrive. Il est vrai que l'ensemble des compos sonne tellement bien, que toutes les mélodies tombent sous le sens et qu'on est ravi tellement c'est bon, qu'on en arrive peut-être au final à un truc lisse, bien poli, qui glisse sur la surface de nos canaux auditifs. Il manque des défauts dans ce disque en fait (y'a Gangland pourtant) ; peut-être l'album a-t-il un côté "commercial" et trop homogène pour toi !? Et puis tu as surtout le droit (heureusement) de ne pas préférer cet album à un autre ! Allez, sans rancune !
Trashking - 31 Août 2009: Autant j'aime beaucoup les deux premiers albums que je considère même comme des chefs d'oeuvre, autant je n'accroche pas du tout cette galette. Les compos sont franchement excellentes mais c'est la voix de Bruce Dickinson que je ne supporte pas (sauf sur Children of the Damned). Au final, l'écoute de cet album m'est pénible.
PanzerMaldoror - 06 Mars 2012: Album,
INDISPENSABLE
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Commentaire @ cunteater

07 Juillet 2006

Tout au long de sa longue et prolifique carrière, Iron Maiden a signé d'excellents albums qui sont désormais élevés au rang de classiques. Ce troisième album en fait indubitablement partie tant le niveau qualitatif est soutenu. L'album ouvre les hostilités par un furieux "Invaders" : riff dévastateur, soli de guitares déjantés, basse athlétique. Un modèle de heavy metal mélodique qui révèle l'énorme potentiel des Anglais. Suit un "Children of the Damned" de toute beauté, superbe chanson bâtie sur des arpèges cristallins qui contrastent avec un refrain particulièrement "heavy". Le sens aigu de la composition que l'on avait pu observer sur les deux précédents albums ne s'est absolument émoussé, bien au contraire. Grâce à un son qui se fait plus ample (et l'on peut signaler à cet égard que la production se bonifiera encore au gré des albums suivants), les chansons gagnent en puissance et en qualité. On retrouve ainsi bon nombre de standards du groupe : de "Run to the Hills" à "The Number of the Beast" En passant par "22, Acacia AvEnue" et "The Prisoner". L'écoute se poursuit donc avec un plaisir qui va crescendo jusqu'au magnifique épilogue "Hallowed Be Thy Name", chanson épique aux multiples rebondissements qui constitue le point d'orgue de l'album. Les textes, pour la plupart signés par Steve Harris, s'avèrent globalement intéressants comme sur "Run to the Hills" (et son discours pro-indien), "The Prisoner" (qui reprend le thème de la série "Le prisonnier") ou encore l'altruiste "22, Acacia Avenue" (très proche de "Roxanne" de The Police). Tous les ingrédients sont donc réunis pour faire un grand album : les vocaux puissants et maîtrisés de Bruce Dickinson, la basse véloce de Steve Harris, le jeu de batterie subtil et inventif de CLive Burr et enfin deux solistes inspirés et compétents : Dave Murray et Adrian Smith.

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Commentaire @ War_Inside_My_Head

07 Septembre 2008
Ce CD... je n'arrive pas a trouver les mots tellemEnt il est bon... Quelques petites précisions avant de parler des morceaux. Déjà, Paul Di Anno, pour je ne sais quelle raison, s'est tiré du groupe et a laissé sa place à Bruce Dickinson (Le meilleur chanteur de Heavy Metal). Les guitaristes sont Encore plus En forme qu'a toutes les époques MaidEn... Bref, il n y a pas beaucoup de précisions a faire..

Je possède la version avec Total Eclipse dedans : ce morceau est vraimEnt dans le gEnre de MaidEn, assez lourd, avec la voix superbe de Bruce qui assure déjà (de bons signes pour la suite).

2 morceaux sont presques EntièremEnt idEntiques surtout au début (qui commEnce chacun par une INTro parlante).
Elles s'appellEnt The Prisonner et The Number of the Beast.
The Prisonner est très efficace et qui se laisse plonger doucemEnt dans la suite de l'album, mais il y a Encore mieux dans l'album ;
The Number of the Beast, mon morceau préferé du groupe... qui commEnce aussi par cette fameuse INTro parlante et où Bruce montre sa valeur avec un cri de guerre énorme, avant le speed attirant du morceau.
Children of the Damned, très doux au début avec une touche de guitare acoustique et le speed viEnt Ensuite, très biEn assuré par CLive Burr et Dave Murray qui sont les chefs du morceau et qui attirEnt l'attEntion du groupe !
Run to the Hills, je ne vais pas faire long sur ce morceau mythique et qui est égalemEnt l'un des meilleurs de MaidEn.
Pareil pour Hallowed By Thy Name (qui est Encore INTerprété par Cradle Of Filth En version Black Metal).
Invaders : très bon morceau qui sonne très anciEn, et qui est Encore et toujours un bon morceau !
Le reste est biEn aussi mais ils n'ont pas besoin d'être cités à côté de ces superbes titres sur ce somptueux The Number of the Beast !

Voilà, ça sera tout… juste pour préciser que The Number of the Beast n'est sans doute pas le meilleur album de MaidEn mais presque, et il est dans ma platine depuis longtemps déjà ! Allez salut !

War_Inside_My_Head

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bastino - 17 Septembre 2008: Paul diAnno a été viré par steve Harris car
1) il était complètement sous l'emprise de l'alcool et des stupéfiants,ce qu'Harris grand sportif dans l'âme détestait
2) Di Anno ne supportait pas ni la vie ,ni le rythme effréné des tournée et sa voix en pâtissait
bastino - 17 Septembre 2008: dans le point 2),éliminez le "pas" svp :-)
Trashking - 07 Avril 2009: Bonnes compos, dommage que je n'accorche aps le chant de Dickinson qui, pour moi, gache la qualité de l'album.
Metallica1986 - 22 Août 2010: Di'Anno s'est fait virer parce qu'il était, apparemment, excessivement abusif en matière d'alcool et de drogue
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Commentaire @ AGrangeret

14 Janvier 2009

The number of the beast est un "indispensable", peut-être le meilleur album de Maiden !

"The Number of the Beast, the one for you and me !!!"

Le vocaliste Paul Di'Anno ayant quitté le groupe, après s'être un peu trop démonté le bourrichon au Poppers, au Martini rondelle et à la colle U-HU , Steve Harris fait donc appel à Bruce Dickinson. Avec ce frontman talentueux et infatigable, Maiden va tout simplement devenir le plus grand groupe de Heavy Metal des 80's.

"The Number of the Beast" est tout simplement une énorme bombasse et un classique incontournable !

Riffs implacables à chaque morceau, du solo qui s'oublie pas, des refrains accrocheurs, tout cela reposant sur la master basse galopante de Steve Harris qui fait pratiquement office de troisième guitare. Vous trouverez sur cet opus indispensable déjà 4 monuments du genre :
Commençons par "The Number of the Beast" et son intro légendaire, son chant "habité" et son riff d'anthologie. Plus qu'un morceau... une légende.

"22 Acacia avenue" est aussi une petite bombe. Le retour de Charlotte the Harlot (la bitch sympa de l'album précédent) est un véritable triomphe, avec ses changements de tempos incessants, un break "au galop" absolument somptueux qui déboule sur un final génialement emballé.

Children of the Damned est aussi un titre magnifique. Mélancolique, tendue, presque malsaine, son interprétation en Live est tout simplement magique (voir l'album "Live After Death").

Passons au monument final du disque. Que dire de "Hallowed Be Thy Name"?
J'ai remarqué,depuis je rédige quelques chroniques, qu'il est beaucoup plus facile de parler de morceaux bâclés ou insignifiants en les déchiquetant comme un malade, que d’évoquer ce genre de chef d'oeuvre absolu sans tomber dans le cliché ou l'idolâtrie neu-neu.
"Hallowed Be Thy Name" est mon morceau préféré de Maiden (avec "Phantom of the Opera"). Plus de 30 ans que je l'écoute et pas un brin de lassitude. C'est le morceau le plus emblématique du groupe. Excellent texte, intensité dramatique crescendo qui ne vous lâche pas pendant plus de 7 minutes...ce texte est rentré depuis longtemps au panthéon du rock !

J'évite volontairement d'inclure "Run to the Hills" dans les incontournables, morceau de stade plus "facile" et largement galvaudé, qui désormais m'épuise dès le premier refrain (lassitude et manque d'objectivité... sans aucun doute). Cela reste un hit formidable mais j'en ai ma dose...et je n'y peux rien.

Nous trouverons quand même aussi 2 petites faiblesses sur ce troisième opus :
"Invaders", speederie sympathique avec son refrain suraiguë limite casse-bonbon, est évidemment un morceau plus secondaire, que j'aurai plutôt planqué au milieu du disque au lieu d'en faire l'introduction. Je vais en parler à Martin Birch et à Steve Harris quand je les verrai dans leur cottage de Bougival.
Quand au mal-aimé "Gangland", il a un peu ce qu'il mérite. Le morceau, malgré un excellent break, souffre d'un chorus trop facile et à peine bâclé.
Mais oublions vite ce petit bémol, sachant que si vous placez ces morceaux sur Virtual XI, ça vous donne illico la meilleure doublette de l'album...Pour résumer : "The Number of the Beast" est un "indispensable", épique et inspiré, il a influencé et influencera encore un paquet de futur groupe dans les années à venir ! Un monument vous dis-je...

N.B: Sur la réédition remastérisée, vous pouvez vous fader un "Total Eclipse" franchement décevant, donc dispensable.

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