Evermore Darkly

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15/20
Nom du groupe Cradle Of Filth
Nom de l'album Evermore Darkly
Type Compilation
Date de parution 17 Octobre 2011
Style MusicalBlack Gothique
Membres possèdant cet album121

Tracklist

DISC 1 - CD - DISC 2 - DVD
1.
 Transmission from Hell
 02:05
2.
 Thank Your Lucky Scars
 04:52
3.
 Forgive Me Father (I Have Sinned) (Elder Version)
 04:21
4.
 Lilith Immaculate (Extended Length)
 08:11
5.
 The Persecution Song (Elder Version)
 05:43
6.
 Forgive Me Father (I'm in a Trance)
 06:27
7.
 The Spawn of Love and War (Elder Version)
 06:23
8.
 Summer Dying Fast (Midnight in the Labyrinth)
 05:22

Durée totale : 43:24



DISC 2 - DVD
1.
 You Can't Polish a Turd, But You Can Roll It in Glitter (Documentary)
 
2.
 Lilith Immaculate (Promo Video)
 06:25
3.
 Humana Inspired to Nightmare
 01:22
4.
 Heaven Torn Asunder
 07:04
5.
 Honey and Sulphur
 05:31
6.
 Lilith Immaculate
 06:25
7.
 Her Ghost in the Fog
 04:35
8.
 Nymphetamine
 05:02
9.
 The Principle of Evil Made Flesh
 04:36
10.
 Ebony Dressed for Sunset
 02:52
11.
 The Forest Whispers My Name
 05:09
12.
 Cruelty Brought Thee Orchids
 07:21
13.
 From the Cradle to Enslave
 04:32

Durée totale : 01:00:54

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Cradle Of Filth


Chronique @ Eternalis

09 Novembre 2011

Un encas de luxe en attendant

Ombre rampante prête à déchirer vos chairs, la bête n’est pas loin…
Moins directement suffocante qu’autrefois, l’atmosphère n’en est que plus menaçante et hostile, laissant éclater sa rage et ne se cachant plus derrière les funestes enchantements d’une ambiance tourmentée pour terrifier sa proie.
Repliée dans sa forêt retranchée au milieu des goules et des fantômes, la bête s’apprête à frapper une nouvelle fois… le ciel se charge d’éléments sombres annonciateurs d’un chaos à venir. Une légère brume se lève, propre à dissimuler un danger surgissant de toutes parts. Inexorablement, l’air devient irrespirable et les loups affamés se mettent à sortir de leur sombre tanière, vestige d’une époque où ils régnaient en maitre sur les lieux. Néanmoins, dans l’obscurité d’un paysage désolé et démoniaque, dans lesquels tu oses pénétrer…tout est toujours plus sombre…l’appel de Lilith est le plus fort…

L’appel de Lilith

Après avoir narrée ses exploits et son histoire tout au long d’un ambitieux concept de quinze titres cependant controversé, et s’être endormie parmi les tableaux mythologiques de ces adorateurs, son réveil n’est plus qu’une question de temps. De très peu de temps…

Si Cradle of Filth est revenu, après quelques années de disette créatrice, parmi les sommets de son aptitude de composition sur le magistral "Godspeed on the Devil’s Thunder" et son excellent successeur, "Darkly, Darkly Venus Aversa", la suspicion reste toujours de mise lorsque vient l’heure de découvrir une nouvelle pièce de la féconde discographie des britanniques.
"Evermore Darkly", comme son patronyme le laisse paraître, n’est pas un véritable nouvel album mais un ep très généreusement bouffi de contenu présenté théoriquement à bas prix (les quelques 24 € d’Amazon ou de la Fnac étant une folie et une honte manifeste, ne vous procurez pas cet article à ce prix) mais néanmoins dans une superbe édition propre aux récentes productions Peaceville, un harmonieux digibook cd + dvd à l’artwork magnifique et aux illustrations internes des plus morbides et baroques.

A la lecture de la tracklist, il est rapidement évident que la nouveauté est un facteur à la dimension éminemment réduite. Concrètement une introduction faite d’interférences chaotiques ("Transmission From Hell") et le morceau suivant "Thank Your Lucky Scars" (Dani n’a visiblement pas perdu son sens de l’humour…) se partagent les profondes nouveautés, auxquelles s’ajoutent une nouvelle panoplie de versions courtes, remixées et autres joyeusetés bien souvent inutiles. Autre attraction de l’aspect audio, la présence inédite d’un extrait du projet à venir et attendu de tous, le fameux "Midnight in the Labyrinth" qui reprendra les morceaux des premiers disques mais de manière entièrement symphoniques, en la présence ici de "Summer Dying Fast".

Quelques détails ?

Si l’on reconnait relativement aisément la mélodie initiale, il est évidement difficile de retrouver l’ensemble des similitudes d’un morceau original ayant toujours souffert d’une production cartonnée à l’extrême, où les claviers n’étaient audibles que lorsque les guitares acceptaient gentiment de se taire. La grandeur ici est bien plus de mise, entre envolées lyriques très « lovecraftiennes », chœurs féminins gothiques sombres et brumeux et mélodies de claviers très fantomatiques et évoquant les châteaux hantés et leurs maléfices. Les moyens mis en œuvres sont clairement conséquents, et l’impact des cuivres (les cors sont très audibles notamment) et des percussions confèrent au morceau une dimension forcément cinématographique. On peut penser que l’album dans sa globalité contiendra une expression plus tragique que sur "Summer Dying Fast", ou tout au moins plus sombre, le final se voulant d’une beauté presque optimiste.

Concernant le reste du disque, le fameux "Thank Your Luck Scars" s’inscrit dans le sillon du disque précédent, furieux et rapide mais sans grande originalité, aux riffs thrashisants et tranchants et à la batterie rapide et très techniques. On pourra regretter des lignes vocales trop conventionnelles pour Dani Filth, entre hurlements bien connus et phases narratives toutes aussi convenus. Un titre passe-partout qui, en lui-même, ne nécessite pas l’achat du produit, même si on retiendra un solo à l’entame arabisante de James McllRoy.
A cela s’ajoutera des versions non masterisées inutiles, un remix cette fois-ci raté de "Forgive Me Father" (on est loin des expérimentations électroniques jouissives de "Abracadaver") et une version longue de "Lilith Immaculate" ajoutant un pont symphonique morbide et angoissant, tellement bien agencé que l’on s’en demande pourquoi il n’apparait pas sur la version finale.

Mais "Evermore Darkly" avait été annoncé par le groupe lui-même également comme un dvd à part entière, avec son documentaire au titre savoureux (littéralement « on ne peut pas faire briller une merde, mais l’entourer de paillettes »).
Au final très consensuel lui aussi, ce doc de 50 minutes retrace la dernière tournée des festivals de l’été 2011 ainsi que la tournée en Europe de l’Est, dans des pays où le groupe est moins habitué à jouer (Slovénie, Russie, Ukraine…) mais où les fans n’en sont pas moins déchainés et réceptifs. Sinon, pas grand-chose ni scoop à se mettre sous la dent, "Midnight in the Labyrinth" n’est pas évoqué et Dani parle aussi de ceux qui s’amuse depuis toujours à descendre son groupe, autant sur le net qu’en live (on se souvient des projectiles au Hellfest…). La caméra laisse aussi la parole à Ashley Jurgemeyer (chanteuse/claviériste live) ainsi que sa place de femme dans un monde essentiellement masculin et de ce que cela implique en tournée, avec sourire et sens de l’humour. On remarque surtout un groupe bien loin de son imagerie « evil » à la ville (même si on le savait déjà) une fois débarrassé de son maquillage et de ses accessoires.

Sympathique mais légèrement inconsistant…
En revanche, le live au Graspop est excellent…la réplique du concert du Hellfest, mais ici avec envie et entrain, et sans l’attitude exécrable et profondément dérangeante de Dani en France (comme quoi les caméras font parfois des miracles), avec une setlist revisitant chaque album (sauf "Thornography") et un son très puissant. On pourra redire de l’interprétation de Dani sur certains titres (l’intro de "Honey & Sulfur" ou encore ce formidable "Cruelty Brought the Orchids" qui devient décidément inchantable avec les années…) mais l’ensemble reste d’excellente facture, avec un Martin Skaroupka intraitable et démentiel derrière les futs. On ajoutera un clip dans la droite lignée de l’imagerie Cradle avec "Lilith Immaculate" et nous nous retrouvons avec un double disque sympathique, faisant passé le temps mais manifestement inconsistant pour honorer le prix que les grandes enseignes lui offre actuellement (ils n’ont surement pas compris comme l’emballage est beau…).
Un encas de luxe en attendant "Midnight in the Labyrinth" en quelque sorte…"Evermore Darkly" n’est rien de plus, mais se veut professionnel et certainement pas bâclé comme la plupart des sorties similaires. Il permet simplement de ne pas oublier le groupe à l’heure où un projet de longue date est enfin sur le point de sortir de terre…nous serons présent ce jour-là…avec toute l’intransigeance que Cradle of Filth demande et récolte depuis des années…patience…

18 Commentaires

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Ereskigal - 11 Novembre 2011: N'ayant écouté pour l'instant que la partie cd, je suis assez déçue. L'inédit n'est pas très inspiré et les "elder versions" des titres de darkly sont plus des "older versions". Sans parler de la version trance de forgive me father... Reste Summer dying fast qui maintient mon intérêt pour le groupe.
leatherface - 12 Novembre 2011: ne pas prendre pour acquis que "darkly..." est un bon disque je me suis copieusement ennuyé pour ma part.ceci dit , je salue la rédaction soigné de ta chronique.
Anesthesia - 26 Novembre 2011: Cradle c'est plus ce que c'était...
Goneo - 23 Fevrier 2022:

Point positif, le packaging, l'artwork, le dvd sympa.

Point Négatif, c'est que à par une chanson inédite, qui est pas mal mais sans plus, disons dans la continuité de Darkly, bin le reste....bon... passé une écoute, on y reviens pas. Du coup L'ep se résume à une chanson et un dvd.

Je le conseil au fan, les autres peuvent passer leur chemin. Merci pour la chro .

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Chronique @ sarcophagus

18 Décembre 2011

Si vous n’êtes pas convaincu par le CD vous serrez convaincu par le DVD.

En ce moment ça ne chôme pas chez Cradle of Filth. Leur dernier album Darkly, Darkly, Venus Aversa sortit il y a près d’un an a remis le groupe à niveau en prouvant que Godspeed on the Devil Thunder n’était pas un accident de parcours et aussi que le groupe a enfin retrouvé son inspiration. Entre Evermore Darkly et Midnight in the Labyrinth, Cradle of Filth nous chouchoute en 2011 (même si Midnight in the Labyrinth risque plutôt de sortir en 2012). Pour un EP Evermore Darkly est bien chargé et peu cher (seulement 16 euros pour un CD et un DVD).

Rien qu’au visuel Cradle Of Filth a mis le paquet avec une pochette magnifique qui caractérise bien le black metal du groupe. Un black metal à la fois sombre et gothique mais toujours très beau à écouter. Sur le premier CD nous avons huit pistes dont trois totalement inédites. L’introduction Transmission from Hell nous place bien dans l’ambiance et nous prépare au voyage que le second morceau va nous offrir. Certaines personnes auront remarqué que cette introduction est très ambiante et que la partie narrative est toujours faite par la même voix présente sur Godspeed On The Devil Thunder qui représentait Gilles De Rais. Dans ce contexte morbide, arrive soudainement Thank Your Lucky Scars. Ce titre correspond tout à fait à l’album Darkly, Darkly, Venus Aversa, caractérisé par une violence très prononcé surtout au début et délaissant plus le coté gothique que l’on pouvait trouver sur Nymphetamine.

Même si le groupe joue vraiment que sur ce morceau il se donne à fond. Paul Allender et James McKillboy nous envoient des riffs à très grande vitesse mais sans pour autant oublier le coté mélodique (dont le magnifique solo de guitare à la fin du morceau). Une fois de plus Martin Skaroupka assure ses parties de batterie avec brio et prouve encore qu’il est le meilleur batteur de Cradle Of FIlth depuis le départ de Nicolas Barker. La basse reste très classique pour du Cradle mais n’est pas dérangeante. Le clavier apporte un caractère plus grandiose et apparait que de temps à autre sans adoucir le morceau. La prestation vocale de Dani est exactement la même que sur Darkly, Darkly, Venus Aversa. Le frontman a toujours de plus en plus de mal à aller dans les aigus mais ne lui jetons pas la pierre car il est comme tout le monde il vieillit et il ne peut rien faire contre ça. Personnellement même si j’ai été séduit par Cradle pour ses vocaux très aigus, la baisse en intensité de ces vocaux permet au chanteur d’améliorer sa performance dans les graves et offre quelque chose de différent.

La suite de l’EP est par contre peu alléchante. Il suffit de regarder la liste des morceaux pour s’apercevoir que Cradle nous offre encore des chutes de Studio et des remix vraiment pas terrible comme on pouvait en trouver sur l’édition limité de Godspeed On The Devil Thunder. Les choses qui restent assez intéressantes sont les morceaux Lilith Immaculate version longue (que le groupe aurait pu laisser sous cette version dans leur dernier album) et Summer Dying Fast mais dans la version que l’on pourra trouver sur Midnight in the Labyrinth qui détendra l’auditeur. De mon point de vue ce futur album risque d’être énorme. Mon avis reste assez mitigé à ce stade car même si les deux premiers morceaux et la reprise de Summer Dying Fast sont bons, le reste n’est quand même en grande partie pas très utile.

Maintenant je m’attaque au DVD et au niveau du contenu le groupe a plutôt bien remplit l’engin pour un EP. Dans ce DVD sont disponible un petit documentaire sur une partie de la tournée européenne de Cradle Of Filth regroupant surtout des dates dans l’Europe de l’Est et en Allemagne. Sinon on trouve le clip de Lilith Immaculate et un live complet d’environ une heure filmé au Graspop 2011. Le live est assez intéressant au niveau des morceaux même si le groupe pouvait jouer plus longtemps. Sur onze morceaux, huit font partie des premiers albums du groupe (allant de The Principle of Evil Made Flesh à Midian). De quoi rassurer les fans des débuts dont je fais partie. Mais personnellement j’aurais préféré que le groupe joue davantage des morceaux issus des deux derniers opus même s’ils ne sont pas les meilleurs car je pense que ça aurait été plus intéressant d’avoir la possibilité d’avoir des titres comme The Death of Love ou Harlot On Pedestral en live car les vieux titres tout le monde les connait et en plus ils sont déjà présents sur les DVD Heavy Left Handed and Candid et Peace Through Superior Firepower. Donc une petite déception même si le groupe offre Honey And Sulphur et Lilith Immaculate comme nouveaux morceaux enregistré en live.

Si Cradle of Filth nous avait habitués à des prestations plates depuis un moment, et bien ce n’est pas le cas sur ce concert et sur la tournée (d’après le petit documentaire). Ici on trouve un groupe au sommet de sa forme avec les deux guitaristes motivés comme jamais, un batteur hors du commun et un Dani surexcité. Par contre le bassiste et la claviériste sont plus statiques mais se font plaisir. Le groupe est motivé il suffit de voir comment la tente est blindée de monde (cette tente doit être au moins trois fois plus grande que la Rock Hard Tent du Hellfest). Pour revenir sur la performance de Dani, elle est assez mitigée surtout sur Heaven Torn Asunder. Dès le début les cris aigus de Dani sont suspects et laissent penser que ça prestation risque d’être très moyenne. Mais le chanteur comble ce défaut en étant très actif sur scène et le public se prend au jeu des Anglais. Sur les dernières tournées Dani restait très statique derrière son pied de micro mais là c’est totalement l’inverse. Dani bouge beaucoup, headbangue comme un fou sur certains titres et communique beaucoup avec son publique et les fans aiment ça (Dani recevra même le soutien-gorge d’une femme). En plus Dani laissera même la parole à James McKillboy entre deux morceaux (personnellement je me souviens pas avoir déjà vu Dani laisser la parole à un de ses musiciens pendant un concert). Mais ce qui gâche une partie de ce concert c’est la prestation de la nouvelle claviériste qui nous fait vraiment regretter le départ d’Ashley Ellyllon et encore plus celui de Sarah Jezebel Deva. Car si la claviériste a de jolies formes elle n’a pas forcément une jolie voix. Bien qu’elle ne soit pas moche mais des fois elle place des fausses notes ou reste très discrète alors qu’elle devrait être plus présente. A par ce défaut et quelque problème de son de temps en temps, la prestation des anglais est convenable dans l’ensemble.

On peut quand même remarquer que la première moitié de la prestation est inégale comparé à la seconde. De l’introduction à Nymphetamine, le groupe est moins fort et les problèmes de son sont plus nombreux qu’à la fin. En plus, la fin du set contient que des vieux morceaux de Cradle Of Filth notamment The Principle of Evil Made Flesh (un des titres les plus efficaces en live) et Cruelty Brought Thee Orchids. Par contre pourquoi le groupe a fait l’impasse sur le titre Dusk And Her Embrace surtout que cette tournée était censée revisiter les anciens albums alors comment on peut oublier ce morceaux même si le groupe ne se concentre pas sur les anciens opus ? J’aurais préférer largement entendre Dusk And Her Embrace que Nymphetamine qui même s’il est connu ne peut pas égaler celui-ci.

Pour conclure cet EP n’est pas mauvais si comme moi on prend en compte toute les nouveautés du premier disque et le DVD. Avec Evermore Darkly, Cradle Of Filth nous prouve qu’il n’est pas mort et qu’il ne se laissera pas enterrer. Sa fait vraiment plaisir de revoir le groupe se redonner à fond après tant d’années de galère. Certains trouveront que mon 17 est peut-être surévalué mais moi j’ai toujours été fan de Cradle Of Filth dans les bons et les mauvais moments de sa carrière. Je vous conseille vraiment cet EP et si vous n’êtes pas convaincu par le CD vous serrez convaincu par le DVD qui compte beaucoup dans ma note car j’admets quand même que le CD reste très moyen. En tout cas bonne écoute.

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Commentaire @ Mhorgh666

14 Novembre 2011

Un Ep consistant de premier abord, mais qui au final n'est pas si rempli que ça!

Cradle of Filth...un groupe qui m'a fait découvrir le metal extrême...

Des albums qui m'ont touchés, qui m'ont donnés des frissons, qui me hantent, qui m'inspirent...

Aujourd'hui, fin de l'année 2011, est sorti l'EP "Evermore Darkly", pseudo suite de l'album terrible de la même année, "Darkly, Darkly Venus Aversa", qui à lui seul, m'avait emballé dés les premières notes.

Toutefois, le contenu de cet Ep n'est pas très réjouissant ni attractif...
Une intro brouillon nommée "Transmission From Hell" qui n'est pas indispensable, un titre inédit "Thank Your Lucky Scars", qui ne manque pas d'humour noir quand on le traduit, et puis des versions complètement inutiles de titre issus du dernier album...
Ah, et une version longue du titre phare de l'album "Lilith Immaculate" que j'ai apprécié mais sans grande réjouissance!

Le DVD apporte un bon bonus tout de même, un live complet avec le hurleur Dani Filth et cette claviériste au beau visage et à la voix hypnotisante...
Puis un documentaire(non sous titré) et un clip de "Lilith Immaculate".

Bien...Bon bah c'est un EP bien bourré par rapport à "VEmpire" et "From the Cradle to Enslave" mais l'originalité n'est pas au rendez-vous...

Esperons que l'album suivant (non pas Midnight in the Labirynth" mais celui qui suivra!) sera vraiment nouveau...

14/20

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Mhorgh666 - 18 Novembre 2011: Oué c'est vrai, tu as raison, c'est comme le "Rain of Thousand Flames" de Rhapsody, qui est un Ep et qui dure autant longtemps qu'un ancien opus de Gronibard ou tout autre groupe de Porno-grind...
Mhorgh666 - 18 Novembre 2011: Et Bitter Suites to Succubi est un EP...OUI! Parce qu'il y a des titres inédits, une reprise (Oui je sais dans Thornography il y a une reprise mais c'est un album quand meme! ^^) et des anciens titre a la sauce plus épicée...^^
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