Liste des groupes NWOBHM Iron Maiden (UK-1) Death on the Road

On l'attEndait avec énormémEnt d'impatiEnce, il est Enfin (!) arrivé!!! Ce double Live de la tournée 2003, Death on the Road World Tour, et non pas de la tournée 2005, comme marqué sur l'autocollant aposé sur l'emballage, est une pure tuerie. En effet, la production de Kevin Shirley est puissante, le son est clair et le mixage mise sur l'équité Entre tous les instrumEnts. RiEn à dire de ce côté-là. La setlist est, elle aussi, trés alléchante : outre les nouveaux morceaux, tels que "Wildest Dreams", "Rainmaker", "No More Lies", mais, surtout "Dance of Death", "PaschEndale" et "Journeyman", les véritables joyaux de ce Live, qui possédEnt une atmosphère mystérieuse et ténébreuse, ce qui sied à merveille au monde de la Vierge de Fer, beaucoup plus puissants et majestueux que sur album, nous retrouvons, égalemEnt, et pour notre plus grande joie, les grands classiques comme "Wrathchild", "Can I Play with Madness????" (qui remplace le superbe, mais, tellemEnt revu et corrigé "The Evil That Men Do"), "The Trooper" avec un Dickinson secouant l'Union Jack avec ferveur, le moderne "Brave New World" de l'album du même nom, le trio d'Enfer "Hallowed Be Thy Name", "The Number of the Beast" et "Run to the Hills", ainsi que "Fear of the Dark" et "Iron Maiden" ("Screeeeeam for me!!!"). 'Death on the Road' est un album Live qui se place En dehors des autres albums Live de MaidEn, par son aura sombre et son charisme grandiloquEnt. Un achat judicieux, qui complétera votre collection d'albums de Iron Maiden. Un DVD est, égalemEnt, annoncé pour le 24 octobre, qui comprEndra, outre le concert de Dortmund, Enregistré le 24 novembre 2003, un documEntaire de 90 minutes sur la conception du treiziéme opus studio des britanniques, le sous-estimé et trop mal-aimé 'Dance of Death', quelques extraits des concerts des tournées 2003 et 2005. Un superbe momEnt à passer En perspective. Nous nous En lêchons les babines avec grande impatiEnce!!! Un seul poINT noir à retEnir : Dance of Death n'a plus le souffle de ses jeunes années. ParticulièremEnt flagrant sur "Hallowed Be Thy Name".
'Death on the Road' l'album Live de l'année? Sans aucun doute! La représEntation parfaite de la grande messe que sont les shows de MaidEn. EPOUSTOUFLANT!!!

Bon là, disons-le tout de suite, ça commEnce fort avec cette illustration un peu pourrie ( et là je pèse mes mots,... au secours Derek Riggs, reviEns !). Je me demande Encore commEnt la bande à Steve Harris a pu donner carte blanche à cet illustrateur à la petite semaine, pitoyable ... et surtout inquiétant !
En ce qui concerne le contEnu, il y a à boire et à manger dans ce Death on the Road.
D'emblée, c'est la production au demeurant excellEnte qui saute aux oreilles. Le travail de Shirley est consistant et, il faut biEn le dire, sauve certains morceaux du naufrage ( No More Lies, Rainmaker ). D'autres n'ont pas eu cette chance ( Can I Play with Madness ), paix à leur âme.
HeureusemEnt, comme dans certains albums moyEns de MaidEn ( comme par exemple dans Virtual ElevEn ), il y a des choses INTéressantes ( ouf ). MaidEn ne sortira donc jamais une daube complète, c'est sûr.
Tout d'abord, cette fabuleuse INTerprétation de Dance of Death. Moi qui n'avais pas aimé la version studio et sa cavalcade folklorique, je dois reconnaître que cette version Live a du poil de la bête ( hair of the beast ? ). Dickinson nous sort ici le grand jeu, comme au bon vieux temps de Live After Death. ExcellEnt.
Ensuite, il y a Lord of the Flies, morceau complètemEnt transfiguré par un Dickinson Encore En état de grâce. C'est dans ces momEnts là que l'on mesure tout le fossé qui le sépare d'un Blaze Bayley.
La version de The Trooper est, quant à elle, redevable du public allemand qui s'En donne à coeur joie sur l'affaire.
RetEnons aussi Fear of the Dark et Journeyman qui éclairEnt un deuxième disque trop classique et sEntant le déjà vu.
Pour résumer, je dirais que ce Live n'est certainemEnt pas indispEnsable ( comparé à Live After Death ! ); même s'il possède quelques bons momEnts, il me semble que sa parution a aussi ( et surtout ) été dictée par l'obligation de respecter un contrat avec EMI.
Pour les mordus uniquemEnt.

Que ceux qui pEnsEnt Encore que MaidEn ne prEnd pas ses fans pour des vaches à lait lèvEnt le doigt… bon, bah, il reste pas grand monde! Donc voici vEnir ce nouveau Live de la Vierge de Fer, mais attEntion, pas de méprise, il ne s’agit aucunemEnt d’un EnregistremEnt de leur dernière et excellEnte tournée estivale lors de laquelle le groupe n’avait joué que des morceaux des quatre premiers albums (ce qui est prévu pour plus tard, biEn EntEndu, tant qu’on peut tirer sur la corde, hein…) mais biEn de la tournée précédEnte qui faisait la promo à l’album « Dance of Death ». Alors comme d’habitude, une grosse majorité des titres de ce dernier album sont joués, puisqu’on En trouve 7 morceaux sur ce Live. Les autres sont des ultras classiques qu’on trouve tout le temps, avec « Fear of the drak », « Iron Maiden », etc. Verdict? Bah quelques surprises En fait, des bonnes comme des mauvaises. Déjà, ce qui frappe, c’est que les nouveaux morceaux passEnt extrêmemEnt biEn En Live, sans aucun doute Encore mieux qu’En studio. Il faut dire que le public très présEnt, par ses chœurs, donne une dimEnsion énorme à des titres comme « No More Lies » ou « Dance of Death » qui foutEnt le frisson. L’ambiance En général de ce disque est parfaite. SeulemEnt, il y a un mais… CommEnt admettre un Live qui n’apporte En soit pas grand chose, quand En plus Dickinson s’avère chanter certains passages de façon très limite ? Disons le clairemEnt, « Can I Play with Madness???? » est massacré par son chant qui est faux par momEnt…Le mixage aussi est étonnant. Les rythmiques sont presque trop légères, alors que les solos sont placés très haut, ce qui provoque une sEnsation désagréable à force. Disons le clairemEnt, sur ce coup là, et ça deviEnt une habitude, ce Live est loin d’être indispEnsable, et à part les ultra fans qui se régaleront des versions scéniques des nouveaux titres , je ne vois pas qui peut Encore trouver son compte là dessus. Et que dire du DVD qui suivra…

Enregistré chez nos amis teutons (à Dortmund : capitale de l'acier et du football métallurgique !), ce Live n'a pas grand INTérêt. Vous pouvez vous rattraper sur "Rock in Rio" (ou Encore mieux sur "Live After Death"), sans regrets.
La maison de disque fait jouer la pompe à fric depuis un petit momEnt, pas la peine de plonger dans le panneau !
Résumons l’affaire : En 5 ans, En plus des albums studio, deux doubles-Live, deux best-of, un coffret de vieilleries et une tartine de rééditions de singles 80’s remasterisés pour MAIDEn. Bonjour les revEnus optimisés… et par ici la monnaie ! Une affaire qui marche…
BEn c’est normal, on a perdu un peu de sous pEndant l'ère Bayley et il faut biEn se rattraper !

Pour En revEnir au sujet, le son de ce Live est franchemEnt passable, et les grands "hits" du groupe s'EnchaînEnt ici sans passion.
De surcroît , nous voilà obligé de nous "fader" les deux "Wildest Dreams" ET "Rainmaker" dès le début. Pas plus excitant En Live que sur album !
Tout va un peu mieux avec "Dance of Death", long titre assez épique qui rEnd biEn dans sa version scénique tout comme "Brave New World", désormais un « classique » au refrain fédérateur. "PaschEndale" déboule et ça vous remet En place (sans doute le grand INTérêt du disque). On ressort, (et c’est aussi la bonne surprise !) "Lord of the Flies"… et là pas de doute, la période Bayley avec X-Factor mérite sans doute d’être ré-écoutée avec plus d'attEntion.
Le deuxième disque balance les sempiternels « classiques » maidEniEns, à peine INTerrompu par une version très moyEnne de "Journeyman".

Un dernier conseil d'ami : Gardez votre pécule En évitant d'investir dans ce Live… c'est la crise !