Ballbreaker

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16/20
Nom du groupe AC-DC
Nom de l'album Ballbreaker
Type Album
Date de parution 26 Septembre 1995
Labels WEA
Sony Music
Style MusicalHard Rock
Membres possèdant cet album989

Tracklist

1.
 Hard As a Rock
 04:31
2.
 Cover You in Oil
 04:32
3.
 The Furor
 04:10
4.
 Boogie Man
 04:07
5.
 The Honey Roll
 05:34
6.
 Burnin' Alive
 05:05
7.
 Hail Caesar
 05:14
8.
 Love Bomb
 03:14
9.
 Caught with Your Pants Down
 04:14
10.
 Whiskey on the Rocks
 04:35
11.
 Ballbreaker
 04:31

Durée totale : 49:47

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AC-DC


Chronique @ starsky007

25 Septembre 2008
Encore une fois, c'est avec désespoir que je lisais les précédentes chroniques. l'une était trop succincte, l'autre trop élogieuse. Loin de moi l'idée de critiquer les autres chroniqueurs, mais l'hommage qu'on doit rendre au fameux groupe australien doit être à la mesure de son talent, ni trop ni trop peu. Je m'attaque donc à cette nouvelle chronique.

"Ballbreaker" est un hommage au bon vieux rock. Autant les albums "High Voltage" ou "t.n.t" respiraient le blues rock, autant dans "Back in Black" ou "Highway to Hell" on sentait un penchant pour le Hard Rock, autant on peut entendre dans celui-ci des accord se rapprochant plus du "bon vieux rock". Les australiens signent pour la seconde fois chez "WEA", après "Jailbreak" (à croire que le label leur inspire des mots à base de 'break') pour le bien de nos oreilles et le malheur de nos porte-feuilles.

La galette commence avec la très connue intro de "Hard As a Rock", qui est restée dans les mémoires comme une excellente intro. Elle s'y grave aussi bien que qu'un cœur tracé au canif dans l'écorce d'un arbre, même si elle ne respire pas la complexité. Je l'ai toujours dit, c'est la simplicité qui fait les meilleurs intros. Le morceau en lui même n'est ni très violent, ni très orienté blues... c'ets tout simplement, comme indiqué précédemment, un "bon vieux rock" qui transcende l'auditoire pendant près de 4minutes 1/2.
Des rythmes simplistes mais obsédants. C'est en fait ce qui pourrait résumer tout l'album. La voix de Brian Johnson vient se poser avec délicatesse sur ces rifts, laisasnt la musique entrer dans le corps sans pour autant pouvoir être mise au second plan.
Les frêres Young font encore une fois des merveilles. Evidement, on est loin d'un bon "Thunderstruck" ou d'une "If you want blood (you've got it)", il semble en effet qu'il se soient calmés. mais chose étrange, même en étant calmes, ils produisent des solos enivrants.
"The Honey Roll", qui sépare l'album en deux, est aussi entrée dans la légende du groupe. Impossible de parler de"Ballbreaker" sans évoquer ce titre. J'ai presque l'impression de me répeter, mais encore une fois le son est basique et entrainant, la voix de Brian excellente, et le mini solo à pleurer de joie et de jalousie.
La deuxième moitié de l'album est elle aussi comme la première, mortellement efficace.
Enfin, l'œuvre se termine par la chanson-titre de l'album. Le son des frêres Young est plus grave au début, plus sombre que les autres musiques, pour se réhausser sur la fin en un rift endiablé, et la voie criarde de Brian vient rehausser le titre en une tuerie qui rentre par les deux oreilles pour le plus ressortir.

Au final, je dirais que l'album est assez répétitif. Au risque de me faire lyncher, je dirais que si l'on enlève la légère intro, la 'pause' qu'est "The Honey Roll" et la chanson-titre finale, les musiques se suivent et se ressemblent. Attention, n'allez surtout pas croire que je trouve cet album mauvais, ce serait une funeste erreur. mais comme j'ai toujours tendance à comparer chaque nouvel opus avec "Back in Black", forcément ils manquent le plus souvent de saveur. Le fait qu'il fassent cet opus orienté 'rock' peu en choquer certains, mais ça prouve que le groupe a de nombreuses cordes à son arc.
A écouter sans modération (mais jamais après "Back in Black")

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kiss33 - 30 Août 2011: d'accord avec vous deux, des morceaux qui se ressemblent assez et légèrement moins hard rock que les précédents. Le truc, c'est que je trouve aucun morceau mauvais mais aucun n'est aussi bien qu'un Thunderstruck ou un Razor's Edge dans l'album précédent ou encore qu'un Hells Bells ou n'importe quel autre morceau des 3 premiers albums période Johnson !
kiss33 - 30 Août 2011: ... a part Hard as Rock qui est peut-être le meilleur morceau de l'album (chose paradoxale si les chansons se ressemblent !?)
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Chronique @ dark_omens

12 Novembre 2013

Plus organique et moins clinique que son prédecesseur...

Si The Razors Edge avait indéniablement des sonorités de guitares et des rythmes aux accents plus cliniques, plus "Heavy" diront même certains, Ballbreaker, nouvel effort des Australiens d'AC/DC, en cette année 1995, est, quant à lui, presque dénué de cette agressivité et de ces intonations-là. Il marque donc incontestablement le retour du groupe à un propos Hard Rock aux effluves bluesy et aux accointances Rock très prononcées. Ce changement notoire, ramenant la formation à son glorieux passé, est sans aucun doute le résultat de la réintégration en son sein de son illustre batteur originel, Phil Rudd dont on se souviendra qu'il fut, pour d'obscures querelles avec Malcolm Young lié à l'alcoolisme du batteur, renvoyé après l'enregistrement du moyen Flick of the Switch (1983). Le musicien aura sans aucun doute, de par sa sensibilité manifestement différente de celle de Chris Slade et de par son aptitude particulière à faire swinguer ses interventions, contribué à rendre ce disque moins âpre, moins agressif et, en un sens, moins froids.

L'autre élément important qui offre indubitablement un aspect moins brut à cet opus est son traitement sonore dénué de tout artifice superflu. Un résultat dont la responsabilité incombe à l'éclectique Rick Rubin qui officia pour des artistes aussi antinomiques que, par exemple, les défenseurs du Thrash Metal, Slayer ou les rappeurs de Run-DMC. Résolument plus naturel et accessible que son prédécesseur, ce disque bénéficie donc, en effet, d'une production très épuré mais très efficace.

Non content de profiter de facteurs aussi propices, Angus Young et ses complices vont s'appliquer à construire ici un opus très séduisant. Pour ce faire ils vont donc nous proposer des titres aussi réussis que, par exemple, Hard As a Rock et The Furor, que le superbe Boogie Man aux arômes enfumées et à l'expression très empreinte de Blues, que Burnin'ALive, que Caught With Your Pants Down aux allures succincts de Whole Lotta Rosie, Hail Caesar, ou Ball Breaker.

Notons aussi que ce manifeste s'agrémente d'un livret intérieur dans lequel figure des esquisses dont certains dessinateurs de la célèbre maison d'éditions américaine de Comics Book, la Marvel, sont les auteurs. Certaines de ces illustrations aux détails très fouillés donne un visage très mature à ce cahier alors que d'autres plus simplistes sont presque caricaturales. Le résultat est donc assez étrange puisque très hétérogène. Un aspect composite et déconcertant renforcé par le contraste que ces esquisses imposent avec l'artwork de ce Ballbreaker qui semble être le fruit d'une volonté différente.

En définitive Ballbreaker s'affirmera donc comme un album s'éloignant quelques peu des facettes les plus incisives et les plus aiguisées de son prédécesseur mais qui, néanmoins, n'en demeurera pas moins attrayant au final. Suivant les désirs de chacun, il vous incombera donc de savoir si vous préférez l'aspect plus abrupt de la musique de ce quintette ou si l'expression de certaines nuances vous convient davantage.

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Tyrcrash - 14 Décembre 2013: Je l'aime bien cette album. Très peu d'album d'ACDC passe en entier chez moi (ça m'ennuie), celui-ci à le mérite d'en faire partie, contrairement au précédent.
J'adore le titre the "Furor" l'un de mes préférés du groupe.

Sinon du coup je comprend pas trop la note: tu ne pointes du doigt aucun défaut majeur. Autant je suis entièrement d'accord avec le texte, autant j'aurais mis 14 ou 15, mais bon c'est du pinaillage^^
ZazPanzer - 22 Décembre 2013:

Bon, il n'y a que les cons qui ne changent pas d'avis... Après cette discussion j'ai régularisé en cd ce disque que je ne n'avais qu'en cassette et que je n'écoutais jamais en fait, car il m'avait saoulé à sa sortie, à tel point que comme un con j'avais refusé d'accompagner mes potes au concert des boys, à Nancy si ma mémoire est bonne... Résultat pathétique, je n'ai jamais vu AC/DC et je me rends compte que ce disque est vraiment très bon, pourquoi l'ai-je boudé toutes ces années durant ? ... Par contre je continue à partager l'avais de Drrock sur Chris Slade : si Rudd est incontestablement le batteur d'AC/DC, la grosse frappe de Chris Slade avait quand même de la gueule et je reste un gros fan du précédent. Putain après le premier Badlands ou encore le Symbol of Salvation des Saints que j'avais mal jugés à l'époque, je commence à me dire que j'avais de la merde dans les oreilles quand j'étais gamin aha !

metaleciton - 18 Août 2015: Très belle chronique, même si je trouve la note assez sévère et que je ne suis pas d'accord avec ta conclusion ^^.

Ce disque prend une place assez grande dans mon coeur car c'est le véritable premier album de "Hard-Rock" que j'ai écouté dans ma vie. Je le trouve aussi bon qu'un "Back In Black" personnellement.
Le son de batterie est juste énorme, tout comme le groove imparable de Phil Rudd, qui réalise une de ces meilleurs performances studio selon-moi.

De mon point de vue, je considère "The Furor" et "Burnin'Alive" comme les deux pépites de cet album. Pour faire plus court, j'aime tout dans ce disque à part le très fade "Love Bomb" qui est pour moi le seul faux pas de ce véritable Bijoux !

Note : 18/20
MCGRE - 15 Novembre 2020:

Bon je dois dire que aprés Razor j'ai un peu lacher l'affaire avec AC DC car à cette époque le Thrash et le Death monopoliser mon atention et c'etait pas ma priorité , bref et puis en prenant de l'age je me suis de plus en plus mis à achetter les albums du groupe qui me manquais et franchement depuis maintenant 15js je me délecte de Ballbreaker et je l'aime autant que Razor la seul difference c'est que a part the furor , boogie man , et burning ' alive aucun titres ne se détache vraiment du lot alors que sur razor ce n'est pas le cas , bref je suis vraiment heureux de prendre de l'age enfin pour cette raison du moins hé hé , bref du groove du rock bien gras et le pied qui tappe tout seul , ah oui petite parenthése alors que Black Ice m'avais fait craindre le pire et bien j'ai eu la chance d'écouter le dernier Power Up et franchement méme si on est loing de l'apogé du groupe je l'écoute avec un grande plaisir les titres s'enchaine et passe tout seul .

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Commentaire @ Kivan

01 Janvier 2004
Encore une des pièces maîtresses du groupe mythique de hard rock : ce Ballbreaker continue dans la lignée des précédents albums d’AC/DC.
Des riffs efficaces, joués avec brio par les frères Young, des rythmiques impeccables, très rock’n’roll, et Brian Johnson, au chant, toujours aussi excellent.
Comme à leur habitude, chaque titre est un hit en lui-même, tous très travaillés, très entraînants, très variés…
Avec tout de même « Hard As a Rock » qui sort du lot, et aussi Love Bomb, titre pour lequel j’ai un petit faible… allez savoir pourquoi…
Franchement, il ne me parait pas concevable que cet album manque à votre collection d’AC/DC !!!!

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Commentaire @ Warchild

18 Janvier 2009
Nous sommes en 1995. Le dernier album d'ACDC, The Razor's Edge est sorti 5 ans plus tot. Et on n'avait rien eu depuis du groupe, si ce n'est un somptueux Live At Donnington.
Le retour est donc, comme pour chaque album, attendu comme le messie. Ce qui est encore plus vrai maintenant.
Le livret, fait relativement important, contient des dessins de la maison d'édition Marvel.

L'album s'ouvre sur un morceau résolument porté sur le sexe. Hard As a Rock. Nul besoin de vous faire un dessin sur le sujet de la chanson. Au pire, le clip vous éclairera. Toujours est-il que ce morceau assoit la qualité de l'album. Après les albums qui sont sortis ( Flick On The Switch, Fly on the Wall ) qui sont loin de faire parti des albums incontournable du combo. Pour revenir sur le titre, il sonne très bien, il donne envie de danser enfin du ACDC quoi.

Cover You in Oil est dans la même lignée. Les riffs sont plus travaillés que précédemment. Ca sonne très bien, et les refrains sont entrainants et simples à retenir. On sent que le groupe a retenus quels ont été les élément qui ont fait que la machine ACDC a si bien fonctionner et les ressorts pour cet album.

The Furor est dans la même veine. Une intro qui fait un peu penser, de loin, à un certain Love Song ( chanson paru sur l'album australien High Voltage ). Le titre est un peu plus rock, toujours du ACDC, du ACDC qui traverse le temps sans vieillir, se servant d'éléments marchant selon les décennies et les utilisant à sa sauce. Le titre pourrait paraitre un peu inquiétant. Les paroles mêmes ne parlent plus forcément de sexe, alcool, Rock and Roll, mais de fait plus ancrés dans la réalité de tous. Ceci dit, la chanson est très bonne pour autant. Elle donne toujours autant envie de bouger.

S'ensuit alors Boogie Man. Un titre résolument bluesy. Les australiens n'oublient pas leurs influences. Et on peut voir toute l'ampleur de la voix de Brian, même si plus fatiguée, elle n'en perds pas en saveur. Cependant la chanson peut présenter certaines longueur. La qualité est là, mais le riff un peu trop répétitif. Cela en casse un peu la saveur. Pourtant l'album partait sur les chapeaux de roues avec ses trois précédentes chansons.

The Honey Roll Semble être sur la même lignée que le morceau précédent. Un tempo assez lent et quelque peu "lourd" pour du AC/DC. Le refrain vient pourtant remonter le niveau de la chanson. Ce qui fait bouger pas trop mal. Mais pas un incontournable pour autant.

Burnin' ALive laisse présager que du bon. Et d'ailleurs le morceau l'est. Le refrain est accrocheur, et le morceau laisse place à une guitare rythmée bine sympathique. Les breaks relancent le morceau sans pour autant être trop longs. Le solo est tout simplement bien senti. Bref un bon petit morceau.

La dessus s'enchaine Hail Caesar, un morceau tout aussi bon. Morceau qui relance aussi l'album. d'ailleurs on peut entendre la voix d'Angus sur le refrain. Reconnaissable entre milles. Le morceau est très simple mais diablement efficace. Pas un incontournable, mais un très bon morceau quand même.

Avec le morceau suivant on rentre pleinement dans les années 90. Love Bomb a une intro très heavy rock qui se fait beaucoup dans cette décennie et des riffs très accrocheurs. Le titre est plus dans la lignée des ACDC d'antant. On y parle de...vous le savez déjà. Bref un morceau qui balance et qui est beaucoup plus léger que ce qui a été entendu précédemment. Il fait en quelques sortes écho à Hard As a Rock.

Et la machine continue de se mettre en route avec Caught With your Pants Down. Morceau qui tout de suite donne la patate. On se surprend à headbanger et les syncope, les soupirs, le tout est très bien orchestré pour tout mettre en place de façon très légère.

Whiskey On The Rocks reste encore dans cette lignée beaucou plus légère et sympathique. Le morceau peut sembler bizarre de par la mise en place. On pourrait croire que chaque instrument à voulu jouer quelque chose de différent et que la voix tente de se greffer par dessus, et c'est cette étrangeté qui rend le morceau si sympathique.

Ballbreaker Est l'apothéose de l'album. Un démarrage léger, mais le tempo de la basse laisse entendre un morceau bien rythmé. On y coupe pas. Le refrain avec son "Ballbreaker" quasiment hurlé par Brian et repris en choeur par le groupe est très entrainant. Le morceau est donc très bien choisi pour cloturer cet album fort sympathique malgré quelques morceaux en dessous de ce que l'on pourrait attendre d'un groupe comme ACDC. Mais peut être que l'on l'en leur demande un peu trop, ô fan exigeant que nous sommes.

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Commentaire @ Lordmike

09 Septembre 2008
Bon, je me dois de chroniquer cet album. En effet c'est le premier album de hard rock pur que j'ai écouté.

Un album qui est, disons-le, absolument génial !

Dès les premières notes, on est scotché a notre siège... Jusqu'à la dernière parcelle de son, d'ailleurs !

Aucune faiblesse dans ces compos, elles sont magistrales et parfaitement exécuté par les frères Malcolm et Angus.
La performance de Brian johnson est également impeccable sur ses parties vocales.
Je ne cite ni le bassiste, ni le batteur qui ont enregistré cet opus car leurs noms m'échappent mais leurs prestations sont excellentes elles aussi. de Hard As a Rock jusqu'à la chanson éponyme de l'album, en passant par The furor ou Hail Caesar, aucune faute ne transparait, tout est impeccable (comme nous a habitué le groupe jusque-là).

Cet album vaut bien sa place dans la discographie de ce groupe monstrueux de talent… et qui ne nous a fait, à ma connaissance, aucune mauvaise surprise de ce côté-ci (et je possède tout leur CDs : entre Jailbreak et Stiff Upper Lip, donc autant dire tous) !

Je recommande cet album à tous les fans du groupe (même si je pense qu'ils le possèdent déjà), et à tous ceux qui voudraient découvrir ce groupe mythique.

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choahardoc - 23 Janvier 2010: Merci. Tout ça est bien vrai, j'ajoute qu'à mon humble avis un élément rend ce disque très singulier: la prod'. Si Rick Rubin avait mis en boîte les standards du groupe, je n'ose imaginer le résultat! Monstrueux!!!
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