Metropolis Pt.2: Scenes from a Memory

Liste des groupes Metal Progressif Dream Theater Metropolis Pt.2: Scenes from a Memory
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Nom du groupe Dream Theater
Nom de l'album Metropolis Pt.2: Scenes from a Memory
Type Album
Date de parution 26 Octobre 1999
Produit par
Enregistré à Bear Track Studios
Style MusicalMetal Progressif
Membres possèdant cet album680

Tracklist

1. Scene One : Regression 02:07
2. Scene Two : Overture 1928 03:38
3. Strange Deja-Vu 05:12
4. Scene Three : Through My Words 01:02
5. Fatal Tragedy 06:49
6. Scene Four : Beyond this Life 11:23
7. Scene Five : Through her Eyes 05:29
8. Scene Six : Home 12:53
9. Scene Seven : The Dance of Eternity 06:14
10. One Last Time 03:47
11. Scene Eight : The Spirit Carries On 06:38
12. Scene Nine : Finally Free 12:00
Total playing time 1:17:12

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Dream Theater


Chronique @ cacaman

13 Septembre 2005
L’annonce de l’arrivée de Jordan Rudess aux claviers fut comme une résurrection, surtout pour les non-adeptes de "Falling into Infinity", un poil commercial sur les bords. En effet, suite au "Liquid Tension Experiment 2" mitonné aux petits oignons, l'intégration de Rudess au sein de Dream Theater sonne le glas du progressif slim fast, celui-ci se refusant de jouer autre chose que du frappadingue. De plus, le retour de l'ancien lettrage et du fameux logo bizarroïde (signifiant Majesty, leur premier nom) sur la pochette en dit long sur la volonté du groupe de renouer avec les glorieux breaks-qui-tuent. Et pour couronner le tout, cet album s'intitule "Metropolis pt2", en référence bien sûr au titanesque Metropolis pt1 (figurant sur "Images and Words") qui a longtemps hanté les nuits du métalleux musicien...

L'opus se décompose en deux actes, durant respectivement 35 et 40 minutes, scindés eux-mêmes en scènes. Pas de doute, c'est un concept-album. Organisé à la Queensrÿche avec parties narratives et bruits suggestifs, il développe une histoire de crime sur un fond de paranormal : le héros, Nicholas, hypnotisé, régresse mentalement dans l'une de ses vies antérieures. D'où la connexion avec Metropolis pt1. D'ailleurs, les musiciens semblent raffoler de passages où lignes de chant, thèmes et autres rythmes de la première partie sont repris à l'endroit, à l'envers, trifouillés comme ce n'est pas permis, pour réussir la sensation de déjà-vu du héros, accentuée par des répétitions à l'intérieur de l'album-même, de refrains (le poignant One Last Time par exemple), de couplets transposés au clavier ou inversement, etc, formant ainsi un gigantesque réseau imaginaire.

Cette histoire, plus complexe qu'il n'y paraît, est donc particulièrement fouillée et réussie (elle est d'ailleurs très inspirée du film "Dead Again"). De plus, en grands professionnels, les musiciens de DT ont su composer une musique collant formidablement bien aux textes, parsemée d'enchaînements si limpides et si fluides que sélectionner un morceau en particulier relève du défi.

D'un point de vue strictement musical, n'ayons pas peur des mots, c'est éblouissant. Les accros du progressif instrumental mouilleront leurs draps à l'écoute d'Overture 1928, The Dance of Eternity, ou de quelques breaks, techniquement parfaits et mélodiquement fabuleux (Beyond This Life ...argh). Ils ne manqueront cependant pas les successions ponts/refrains d'école qui flanquent la boule à la gorge et hérissent les poils (Strange Deja-vu, Home, à l'accroche difficile, ou le bouleversant Finally Free, le chef d'œuvre de l'album). Les plus sauvages d'entre nous lèveront le poing et balanceront la tête sur le magistral Fatal Tragedy (au final époustouflant) ou Beyond This Life (jamais DT n'a autant bourré), tandis que les plus modérés dégusteront Through Her Eyes, The Spirit Carries On, ou One Last Time aux mélodies assaisonnées de piano, de lignes de chant et de chœurs (gospel s'il vous plaît) à faire fondre l'âme d'un caillou. Concernant la prestation des instruments, la batterie et la guitare gouvernent globalement l'opus (produit par Portnoy et Petrucci, ben voyons) et le clavier se révèle être aussi brillant que sur les précédents LTE. Seule la basse est assez discrète (conforme au caractère du larron), excepté sur un passage monstrueux de Dance of Eternity . Mais ce qui transcende complètement cet album déjà anthologique, c'est la voix de LaBrie qui survole les compos, modulant comme jamais.

"Images and Words", l'immense deuxième opus de DT, qui avait jusqu'alors toisé du haut de sa maîtrise technique et mélodique purement géniale bon nombre de réalisations contemporaines (tous styles de musiques confondus), doit maintenant céder la place à cette œuvre aux qualités semblables, mais au déroulement moins froid, moins clinique, plus mûr, plus architecturé.

Ecoutez "Metropolis pt2" au casque, peinard, allongé sur votre plumard, dans le noir complet, et oubliez tout ce que vous avez écouté, ou même vécu jusqu'alors.


4 Commentaires

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Yawn - 19 Avril 2011: Slt, bon j'vais être le premier à rendre hommage à ton travail ^^ !



Effectivement cet album m'a conquis en tant que digne successeur direct de 'Images and Words'. Tel des Pink Floyd adeptes de la distorsion et du jeu de maître, DT a franchi un nouveau palier avec cet album au concept parapsychologique bien trouvé. J'ai particulièrement apprécié le soin des musiciens d'orchestrer subtilement les transitions avec des éléments narratifs, ça apporte un cadre vraiment riche et unique.

Côté musique, tjs impeccables et appliqués, rien à redire franchement.

Je pense que c'est une pierre angulaire des oeuvres de DT et tu as parfaitement retranscris l'essence même de cet album, ainsi que les éléments qui le rendent si indispensable au paysage du metal prog; GG mon gars !

Malgré que tu ais un pseudo "à chier" (prends-le avec humour, venant de moi c'est ironique;-)), t'as été inspiré sur cette chronique, et ça me donne envie de le réécouter, merci.
zde_free - 19 Octobre 2011: Album extraordinaire. Je n'ai pas aimé DT pendant des siècles, qui plus est je détestais leur manière de s'inspirer librement d'autres artistes (je peux reconnaître du Tool, du Metallica, Amorphis, Muse, etc).
Mais je ne sais pas pourquoi je n'écoute plus qu'eux depuis 6 mois!!!
Et il est vrai qu'ils ont touché au génie sur cet album.
J'ai eu des frissons comme jamais lors de 'Finally Free'. En effet techniquement ces gars sont incroyables, mais ils ont un sens de la mélodie peu commun et ils s'en servent à merveille pour nous plonger dans des ambiances aussi variées qu'ambitieuses.
Je ne me lasse pas d'écouter celui-ci en particulier.
Et merci à Spirit Of Metal et aux chroniqueurs en tout genre qui font découvrir des artistes dont on peut aisément passer à côté.
Matsu - 28 Avril 2012: Merci à toi pour cette chronique. Un album fantastique, à écouter, comme tu le dit si bien " au casque, peinard, allongé sur votre plumard, dans le noir complet" Une claque musicale aux ambiances plus que fabuleuses. En grande amatrice d'instrumental, je retiens tout particulièrement The Dance of Eternety, qui a lui seul te fait comprendre qu'ils effleurent la perfection ! Mais les deux slows sont transcendants, et que dire de ce final... Vraiment, du grand prog, avec la Dream Touch en prime !
Mozabi649 - 15 Avril 2014: Pour ma part j'ai pendant longtemps trouvé que cet album était en dessous de la référence qu'est Images and Words. Je l'avais écouté 2 fois et je le trouvais fade, aucune mélodie ne me restait dans la tête contrairement à leurs autres albums. Et puis j'ai décidé de lui donner une dernière chance, et j'ai appliqué ta suggestion : "dans le noir, allongé sur le lit et au casque". Et depuis je trouve que c'est celui où l'émotivité est la plus forte.

Et ce que j'apprécie encore plus particulièrement, c'est la voix de Labrie sur cet album, on se rend vraiment compte de sa progression depuis Images and Words et c'est ce qui fait je pense que ce Metropolis Pt 2 est meileur que IaW.

Mes pistes préférées : Through her Eyes et Overture 1928 Mmmmmm !
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Chronique @ pielafo

23 Décembre 2015

Metropolis Pt 2 est un album immense... Parfait...

Chapitre 5 : Le sommet

En 1998, à la suite du très controversé Falling into Infinity, il y a du mouvement au sein de la bande de Mike Portnoy. Derek Sherinian quitte le navire pour les mêmes raisons que Kevin Moore en son temps, à savoir, il n’était pas satisfait par la direction musicale que lui proposait le groupe. Il sera remplacé en 1999 par un certain Jordan Rudess qui officiait au poste de claviériste au sein du projet parallèle à Dream Theater, Liquid Tension Experiment. Aussi, le groupe change de label encore une fois et va être pris sous l’aile des Américains d’Elektra Records le temps de trois albums: Six Degrees of Inner Turbulence, Train of Thought et celui qui nous intéresse aujourd’hui, Metropolis Pt 2 : Scenes From A Memory.

Mais qui, en 1997, aurait prédit que ce groupe, à l’époque très affaibli, allait sortir en cette année 1999 le chef-d’œuvre ultime de tout un genre ? Car oui, Metropolis Pt 2 est un album comme aucun autre groupe n’en fera jamais. Il est personnel, il a une patte, du caractère, une personnalité hors du commun. Basé autour d’un concept aussi complexe que la musique de l’album qui le raconte, ce disque incarne à lui seul le fer de lance d’un genre qui, à la suite de ce disque, fera émerger énormément d’albums qui s’en inspireront mais qui ne l’égaleront jamais (The Human Equation de Ayreon ou encore Mercy Falls de Seventh Wonder sont des exemples). Scenes From A Memory est l’album d’une carrière, celui qui pose les bases pour les années à venir, celui qui fera que toutes les sorties qui lui succéderont, seront considérées comme étant inférieures.

Il m’est impossible de parler de cet album sans évoquer en quelques mots le concept. Il se base autour d’un jeune homme qui est tourmenté par ses démons et rêve sans cesse d’une jeune femme. Pour régler ce problème, il s’en va voir un hypnotiseur qui va lui permettre de retourner dans le passé pour comprendre la raison pour laquelle il en rêve inlassablement. S’ensuivront de nombreuses péripéties qui ne seront pas racontées ici afin de préserver une qualité d’écoute relativement neuve pour l'auditeur.

Une voix… un décompte… de la détente… Une guitare acoustique lointaine nous transporte vers des horizons lumineux, blancs, joyeux. James Labrie nous rassure, nous susurre que nous sommes en sécurité dans cet endroit complètement hors du temps. Nous remontons le temps jusqu’en 1928, où notre voyage commence. Et là, c’est l’explosion! On a droit à un feu d’artifice de couleurs, de mélodies, et à un thème qui sera dans les mémoires de tout le monde. Les solos arrivent de partout et sont d’une émotion à fleur de peau sur ce morceau d’ouverture. C’est la préparation pour des montagnes russes d’émotions qui resteront présentes sur tout l’album. Ainsi commence le premier véritable morceau de l’album, à savoir, l’immense "Strange Déjà-Vu". Rarement un morceau n’aura été aussi fédérateur que celui-ci. Portnoy derrière les fûts joue avec un groove à faire pâlir les plus grands batteurs. De son côté, Labrie croit en son texte et sa voix ajoute un plus énorme à l’immersion.

Car oui, Metropolis est un album immersif. Il se vit littéralement, c’est une expérience unique qui ne laissera pas l’auditeur indemne car tout est tellement bien construit, beau, chaleureux, heureux, triste, mélancolique et j’en passe… C’est un véritable ascenseur émotionnel venant d’un groupe qui nous montre ici son plus beau visage. Mais pourtant, au sein de toute cette émotion, le combo se montre également sous son jour le plus technique (pour l’époque entendons-nous. Systematic Chaos n’existait pas encore) comme en témoigne le grandiose "The Dance of Eternity". Ce morceau peut même se targuer d’être l’une des pistes les plus complexes à jouer selon certaines sources. Et ce, d'autant plus qu'il n’y a que peu de repères. Où est-ce que le groupe veut nous emmener ici ? Et la persévérance et la patience permettront à l’auditeur de comprendre petit à petit toutes les subtilités de cette formidable pièce instrumentale.

Mais, au-delà de ce premier constat, fait suffisamment rare pour être mentionné, il y aura trois riches fresques dépassant chacune les 10 minutes. Parmi ces trois morceaux, le premier, "Beyond This Life", symbolise à lui seul le manège d’émotions que représente cet album. En outre, le groupe réussit ici l’exploit d’allier une technique virtuose à une sensation de bien-être extrêmement apaisante. Cela est aidé par un refrain d’une beauté d’exception qui paraît pourtant si simple. "Home", quant à lui, sera bien plus difficile d’accès. En effet, ici les riffs se veulent plus lourds, plus concis, plus précis. Ce morceau est plus posé mais paraît ici beaucoup plus oppressant. Il se targue même d’être le titre où il y a le plus de clins d’œil au premier volet de Metropolis paru sur Images & Words en 1992. Beaucoup de thématiques sont reprises par moments mais, dans l’ensemble, le morceau semble quasiment neuf, un peu comme si on était en train de redécouvrir l’œuvre d’il y a 7 ans. Enfin, il y aura cette conclusion en la présence d’un "Finally Free" qui ancrera cette idée chez l’auditeur qu’il n’est pas en train d’écouter n’importe quel disque. On décèle une guitare acoustique belle à pleurer (comme si les larmes n’étaient pas déjà assez fortes comme ça juste après "The Spirit Carries On"), une atmosphère inquiétante et puis un coup de feu couplé d’un Labrie déchirant. Voilà ce qu’est ce morceau: une conclusion grandiose d’un album qui l’est tout autant.

Et comment ne pas faire mention des deux ballades (sans compter l’intermède "Through My Words") qui sont, de très loin, les plus belles composées par les garçons de la Berklee ? D'une part, "Through Her Eyes", malgré une mélodie très douce, est pourtant vraiment déchirante placée dans le contexte de l’album. Les paroles sont assez sombres et la mélancolie fait son nid au fond de notre être. Pour sa part, "The Spirit Carries On" est une ballade où tous les instruments jouent au service de l’émotion. Ce qui est amusant à noter, c’est que ce titre vous fera pleurer alors que les paroles sont extrêmement optimistes. Des larmes de joie, d’espoir sans doute…

Vous l’aurez compris. Metropolis Pt 2 : Scenes From A Memory est un maître album. Il est de ces albums qui peuvent changer la face de la musique à jamais. Ce disque est le chef-d’œuvre de Dream Theater, le disque qui les fera passer à la postérité (avec Images & Words). Selon votre serviteur, rarement la perfection n’aura été aussi proche qu’avec cette œuvre de génie. Je n’ai pas peur de le dire: ce disque a changé ma vie. Et rappelez-vous, Metropolis Pt 2 ne s’écoute pas, il se vit…

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supertiptip - 25 Décembre 2015: Je me suis allongé sur mon lit j'ai fermé les yeux. Mais le voyage ne ma pas emporté plus que ça. C'est sur il est excellent, mais c'est comme être devant un repas étoilé, le déguster et repartir sans souvenir impérissable et avec un léger goût amère. Je n'arrive pas à expliquer ce qui m'a donné ce dégoût. Peut être un ennuie ,des mélodies déjà entendu mille fois, beaucoup trop guitare acoustique ou je ne suis pas rentré dedans. Je sais pas.

En tous cas excellente chro sa ma donnée envie de l'écouter mais c'est pas came (Cela n’empêche pas que je le trouve vraiment très bon).
frozenheart - 25 Décembre 2015: @TheReverend13: C'est tout à fait ça, une attaque! Non mais bien sûr, quand je dis que le seul groupe Metal qui a réussi un concept album qui tient la route de long en large, étais Queensryche.
Je ne voulais pas dire que celui-ci etais mauvais, mais qu'il devenait assez ennuyeux à la longue à cause de trop de partie instrumentale: la moitié de Home, suivi de The Dance of Eternity, chiant au possible.
Etant un grand fan de la première heure, j'ai été assez déçu à sa sortie, heureusement que j'ai pu me rattrapé avec son DVD qui lui prend toute sa signification en live. Alors, c'est sûr j'en attends toujours davantage de ce formidable groupe. Maintenant, sans Portnoy cela me semble difficile.
pielafo - 25 Décembre 2015: Ah oui, je précise, le Dvd live Metropolis 2000 est tout aussi bon que l'album. Et l'interprétation de A Change Of Seasons est fabuleuse!
TheReverend13 - 26 Décembre 2015: @frozenheart : D'accord, c'est peut-être ton point de vue, mais absolument pas le mien. The Dance of Eternity est un sommet de prog pour moi, une des chansons qui m'ont le plus marquées et que j'ai le plus écoutées. Alors lire que c'est "chiant au possible", désolé, mais non, je ne suis pas d'accord.
Alors peut-être que "attaque" c'est un peu fort, mais je maintiens le fait que ta remarque était subjective et personnelle. Surtout que les parties instrumentales sont l'élément le plus intéressant chez Dream Theater en général (je dis en général, car justement, sur cet album, LaBrie est irréprochable).
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Commentaire @ EVILSHADE

14 Juin 2008
"Dream Theater" est pour moi le meilleur groupe que cette Terre porte. Pourquoi? Parce que chaque membre est un dieu dans son domaine, ils maîtrisent à la perfection leurs instruments pour en sortir des mélodies, des solos et des rythmiques à couper le souffle.

Bon, parlons de l'album "Metropolis Pt.2 : Scenes from a Memory" maintenant. Cet album est le préféré de ma collection, pourtant je les ai tous écoutés. C'est un concept album, donc, en gros, une histoire de la première à la dernière note. Ce qui signifie que certaines structures musicales peuvent revenir tout au long du CD.

Le disque commence lentement avec un trio piano, chant et guitare sèche pour laisser place à un morceau instrumental où ils mettent en place plusieurs thèmes qui vont revenir dans les morceaux qui suivent. Puis une chanson très heavy comme sait bien faire Dream Theater, et, à la troisième minute, petit changement de mélodie pour après laisser place à un petit interlude qui n'est autre qu'un duo piano et chant, pour enchaîner avec un morceau extrêmement couillu alliant riffs lourds et passages symphoniques (du prog quoi!). Ecoutez attentivement le solo final. Personnellement, je n'ai rien à en dire. Puis, après, vient le morceau "Beyond This Life", avec ces accords de purs métalleux qui font vibrer, avec des solos à la WAH-WAH. Excellent. Et après ce titre, ils nous montrent qu'ils savent aussi faire des chansons tranquilles. Pour arriver à la "scène six". "Home" et le morceau qui suit sont de loin les morceaux les mieux foutus de cet album, car, c'est là qu'ils nous montrent leur vrai talent, que ce ne sont pas des joueurs d'opérette. Les trois derniers morceaux ne sont qu'un long développement marquant la fin de ce récit. Mais ce n'est pas une fin nette, c'est une fin digne de "Dream Theater", c'est-à-dire très progressive est absolument époustouflante.

Voilà, j'espère que je vous aurai donné l'envie de l'écouter car c'est un album magnifique d'un bout à l'autre.

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Metalattitude - 27 Janvier 2009: Really this album is a masterpiece
lio71 - 17 Août 2010: une des plus grosses claques dans ma vie d'amateur de prog.apres marillion, il y a dream theater.c'est vrai que c'est un des plus gros groupes que la planète ai portée.je ne met pas 20 parce que la perfection n'existe pas .mais la ,on est pas loin...
troudufion - 04 Janvier 2011: déception une fois de plus
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