Mais que manque-t-il à MACHINE HEAD ? Depuis près de 10 ans maintenant, le groupe est l’un des acteur principal de la scène metal. En
1994 – après la vague NEVERMIND, BLACK ALBUM ou USE YOUR ILLUSION – sort
Burn My Eyes, un pavé dans la marre ; un GREAT SOUTHERN TRENDKILL avant l’heure. Et ça va continuer ainsi, avec son lot de mésaventures (changement de line-up, enregistrement de THE MORE THING CHANGE), les critiques du 3eme album (plus en références à la coupe de cheveu du chanteur et à leur look affreux qu’a la musique) etc… le groupe continue continu contre vent et marée. Mais MACHINE HEAD reste un groupe de scène et profite de la promotion de son nouveau brûlot
Supercharger pour enregistrer son premier album live :
Hellalive.
Une fois le disque écouté, une question subsiste : Mais que manque-t-il à MACHINE HEAD ? Comment un tel groupe n’a-t-il pas réussit à atteindre les sommets ? Que lui faut-il de plus ?
Tous les titres de ce disque sont des tubes, des classiques du metal. Même les chansons extraites du controversé
The Burning Red sont impressionnantes à l’instar de
From This Day et THE BLOOD THE SWEET THE TEARS.
La bande de Frisco pioche dans tout son répertoire et il n’y absolument rien à jeter. Un véritable best of (jetez un œil à la sete-liste ! !).
De plus, sachant que le concert sera gravé, Rob FLYNN en fait des tonnes sollicitant le public londonien comme jamais. Ce sera également l’occasion de découvrir Phil DEMMEL futur (ex) qui remplacera A. LUSTER au poste de guitariste.
Des albums live comme celui-ci ont en reprendra plus souvent. A posséder absolument. Vous pouvez même le ranger a coté de celui de PANTERA. Appelé à devenir culte.
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