Framing Armageddon (Something Wicked Part 1)

Liste des groupes Heavy Thrash Iced Earth Framing Armageddon (Something Wicked Part 1)
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17/20
Nom du groupe Iced Earth
Nom de l'album Framing Armageddon (Something Wicked Part 1)
Type Album
Date de parution 07 Septembre 2007
Style MusicalHeavy Thrash
Membres possèdant cet album318

Tracklist

1.
 Overture
 02:24
2.
 Something Wicked (Part 1)
 05:02
3.
 Invasion
 01:00
4.
 Motivation of Man
 01:34
5.
 Setian Massacre
 03:48
6.
 A Charge to Keep
 04:24
7.
 Reflections
 01:50
8.
 Ten Thousand Strong
 03:56
9.
 Execution
 01:27
10.
 Order of the Rose
 04:51
11.
 Cataclysm
 01:30
12.
 The Clouding
 09:18
13.
 Infiltrate and Assimilate
 03:48
14.
 Retribution Through the Ages
 04:32
15.
 Something Wicked (Part 2)
 02:59
16.
 The Domino Decree
 06:36
17.
 Framing Armageddon
 03:40
18.
 When Stars Collide (Born Is He)
 04:17
19.
 The Awakening
 02:01

Durée totale : 01:08:57

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Iced Earth


Chronique @ =XGV=

30 Juin 2009
Avec The Glorious Burden, en demi-teinte, mais au final de bonne facture, Iced Earth avait présenté aux fans son nouveau chanteur : Tim Owens. Celui-ci n'avait pas fait l'unanimité et certains clamaient déjà haut et fort que le groupe était mort. Si on pouvait comprendre leur réaction à l'écoute de l'opus précédent, Framing Armageddon allait leur clouer le bec sur le champ.

Il s'agit là d'un concept album, reprenant le thème de la trilogie concluant l'album Something Wicked This Way Comes, racontant l'histoire des "Setians", race peuplant la Terre avant l'homme, quasiment anéantie par ces derniers lorsqu'ils envahissent la planète. Les dix mille survivants s'organisent alors pour se venger en effaçant la mémoire humaine puis en manipulant pour diviser l'humanité jusqu'à la naissance de Set Abominae, l'antéchrist, qui vengera définitivement les Setians. L'histoire ayant été divisée en deux, s'arrête pour cet album juste avant la naissance du messie des Setians.
Le concept développé est donc original (on est loin de Night of the Stormrider ), mais on ne fait pas un album avec une histoire, dirons certains, mais pour ce qui est de ça, aucun souci...

On a remarqué depuis longtemps qu'écrire des histoires pour ses albums décuplait la créativité de Jon Schaffer, le leader du groupe, et cette fois, il atteint des sommets. Quand on regarde la liste des chansons, on remarque qu'il y a 19 compositions, certaines s'avérant être des instrumentaux ou même des bruitages, servant astucieusement d'introduction à la chanson suivante. Ces dernières sont également de bonne qualité, variées, habilement construites, sans faute de goût est-on même tenté de dire, bien qu'il faille ne pas s'emballer. Pourtant, quand, sur "The Clouding", belle pièce de 9 minutes, on passe d'une moitié calme et apaisante à une autre agressive et maléfique portée à merveille par Tim Owens, grâce à une transition très inventive, on ne peut plus douter un instant des talents de compositeur de Jon Schaffer. Et que dire du single "Ten Thousand Strong", porté par ses riffs si reconnaissables, tellement épique ? Que penser de l'agressif "Framing Armageddon", violent, exprimant la rage des Setians ?

Il est également intéressant de noter le côté expérimental de ce Framing Armageddon. Sa structure même, évoquée plus haut, basée sur quelques introductions en est un aspect, mais ça ne s'arrête pas là. La musique en elle-même porte les marques de l'expérimentation avec des choeurs, par exemple, surtout sur "When Stars Collide (Born is He)", où Owens laisse sa place à ces chœurs dans un final grandiose. Si on n'arrive pas à de l'expérimentation au sens fort du terme, ces changements apportent un rafraîchissement aux fans aguerris, sans virer dans le surfait ou la caricature. Vraiment, je cherche encore l'impardonnable faute de goût... Y en a-t-il vraiment ?

Mais n'oublions pas le travail du controversé Tim "Ripper" Owens... Ceux qu'il n'avait pas convaincus sur l'album précédent ne pourront que s'incliner devant sa prestation. On savait depuis longtemps qu'il était talentueux, mais là, il donne tout ce qu'il a, chante avec ses tripes, passe par tout les chants qu'il maîtrise (c’est à dire beaucoup.) En réalité, je n'ai pas peur de le dire car ça crève les yeux : il remplace parfaitement Matthew Barlow qu'on arrive même à oublier. Pendant un album, Owens est LE chanteur d'Iced Earth. Il n'y a qu'à écouter son chant et ses cris sur la chanson titre, où il se lâche complètement, dans une telle rage qu'on a l'impression que les riffs de Jon Schaffer commencent à chanter, tellement sa voix colle au jeu du guitariste.

Bref, cet album est peut-être le meilleur d'Iced Earth et, de manière incontestable, est un pan indispensable de leur discographie. Des musiciens (invités ou non) au top de leur forme, un chanteur exprimant son talent comme jamais... Il est difficile d'en dire plus sans se répéter puisque les défauts de cet album sont trop rares pour être des vrais défauts et sont de toute façon vite oubliés grâce aux qualités... Un album à acheter les yeux fermés pour les fans.

8 Commentaires

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raussy - 02 Juillet 2009: Une chronique alléchante, qui me donne envie de me procurer cet album. J'ai 2 Iced Earth, "The Glorious Burden" que j'aime beaucoup, très agréable et que je ne me lasse pas d'écouter, et "The Crucible of Man (Something Wicked part 2), très sympa également. Je sais maintenant lequel acheter au plus vite.
David_Bordg - 30 Janvier 2014: excellente chronique!!!
TDH75 - 22 Décembre 2021:

« Something wicked this way comes » est vraiment un album étrange et bizarrement constitué ou plane une tentative assez ratée d’écriture d’une œuvre majeure inspirée du « Powerslave » d’Iron Maiden.

Son début avec cette alternance pas toujours heureuse entre morceau power-thrash et longues ballades pas toujours inspirées a pour effet de hacher terriblement le rythme et de rebuter.

Bien sur Iced earth touche toujours de temps en temps juste et fait mal (« Stand alone ») mais l’album est pour moi sauvé par sa dernière partie composée de longues pièces de heavy metal intense, rapide et inspiré.

Au final le résultat est contrairement à un « The dark saga » parfaitement dosé et équilibré, plutôt bancal et on ne peut s’empêcher que « Something wicked this way comes » en étant épuré de quelques longueurs et de quelques titres superflus aurait pu être un excellent album.

Goneo - 11 Janvier 2024:

Houuu le pavé! et un ouf de soulagement après 2 albums qui ne mon pas touché. Celui-ci est largement au-dessus, les mélodies et refrain sont bien plus prenant et mieux amenés. Puis c'est plus couillu, je retrouve un Iced earth avec plus de niac!
"the clouding" met un coup de frein, cette compo en 2 parties est bien trop longue pour ce qu'elle propose, 5min de semi ballade où il se passe rien, ensuite ça va mieux avec un bon riff pêchu. MAis 9min pour ça.....
"The domino Decree" à tendance à me sortir de l'oeuvre, je trouve quel dénote en plus d'être répétitive.
When Stars Collide (Born Is He), sympa mais pareille c'est la même chose pendant 4min.
Du coup on y coupe pas, c'est toujours très compliqué de faire un album bon de bout en bout avec une telle durée.
Une première partie vraiment bonne du 1er au 10e morceaux, la suite est plus en dent de scie.

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Chronique @ Ebrithil

27 Juillet 2009
Après The Glorious Burden, me voilà donc à chroniquer le second album d' Iced Earth avec Tim Ripper Owens au chant, j'ai nommé Framing Armageddon . Un Framing Armageddon qui est, comme tout fan d' Iced Earth le sait, la suite tant attendue du cultissime et adulé Something Wicked This Way Comes .Alors, une suite chantée par un autre chanteur, ça donne quoi ?

D'autant que si The Glorious Burden, album assez différent de ce qu'avait alors fait Iced Earth, collait comme un gant à la voix ultra-puissante et lyrique de Owens, force est de reconnaître que Matt Barlow avait fait tailler sur mesure le premier opus de la trilogie Something Wicked . Et même ceux qui avaient été conquis par le "nouveau venu" ( bon, là ça fait quand même 3 ans ...) ne peuvent qu'être inquiets du résultat et de la performance vocale d' Owens sur Framing Armageddon.
Et Schaffer ? Réussira-t-il le pari osé de proposer une suite aussi bonne musicalement ?

Tant de questions que l'on peut légitimement se poser .

Et auxquelles Schaffer et son équipe répondent avec aplomb . Car dès le premier titre, servi par une intro "égyptisante" du plus bel effet, on sent que le charme opère à nouveau et surtout, que le "son" Iced Earth semble ici de retour après une parenthèse Glorious Burden un peu différente . Riff efficace, ambiance sombre dès les premières secondes, chant moins démonstratif ( clairement une des plus grosses progressions d' Owens que cette retenue et ces variations convainquantes) mais toujours aussi bon.

Alors, je dois vous avouer, cette histoire de Setians désireux de se venger des humains via une offensive menée par les "Ten Thousand" (d 'où le tube Ten Thousand Strong) , j'y ai assez peu accroché ... même si le tout semble rondement mené et original au milieu de la débauche d'albums-concept que le monde du metal accueille en son sein. Toujours est-il que l'ambiance est bien là, au milieu d'intros et d'interludes à outrance qui cassent un peu le rythme de l'album (un peu trop d'attente entre chaque titre) ... d'autant que lorsqu'on enlève les instrumentaux, interludes et outros, on se retrouve avec 11 chansons, pas 19 . Le point sombre de cet album donc ...

Mais un point sombre qui n'est finalement qu'un nuage au milieu d' un ciel bien bleu . Et pour cause .On retrouve ici tout ce qui faisait le charme d' Iced Earth avant la venue d' Owens : ambiances et mélancolie bien présentes (alors que l'émotion semblait avoir délaissé The Glorious Burden ) dans des chansons comme The Clouding, titre-fleuve de 9 minutes au final explosif, ou encore A Charge To Keep, magnifique chanson où Owens nous prouve qu'il est loin d'être une "machine à hurler", comme il le clame sur l'opus de son groupe Beyond Fear ...Mais également, et c'est heureux, plans beaucoup plus accrocheurs, "riffés" et efficaces . Setian Massacre et Ten Thousand Strong, déjà devenus des tubes du groupe, en sont de parfaits exemples, mais comment ne pas citer l'incendiaire chanson éponyme Framing Armageddon, Retribution Through the Ages ou encore The Domino Decree, bordélique au premier abord mais véritablement prenant au fil des écoutes ?

Au final, Framing Armageddon s'avère être le parfait successeur de Something Wicked This Way Comes, proche dans l'esprit de celui-ci et clairement plus proche musicalement de l'ancien Iced Earth que ne l'a été The Glorious Burden . A un tel point qu'on imagine presque Matt Barlow le chanter. Tim Ripper Owens prend donc ici bien moins d'importance, et si il fait un boulot exemplaire et largement supérieur au niveau moyen des chanteurs heavy, force est de constater que l'époque de la "démonstration vocale" est terminée et qu' Owens se met ici au service de la musique, des émotions et de l'ambiance . Il signe ici un magnifique cadeau d'adieu , cédant sa place à un Matt Barlow dont le retour fera le plaisir des fans et ce malgré un The Crucible Of Man particulièrement décevant , mais qui définitivement est "la" voix d'Iced Earth .

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Chronique @ Mindkiller45

23 Fevrier 2011

Un album qui justifie le choix de Tim Owens comme chanteur du groupe.

Jon Shaffer est un homme qui prend son temps. Ce Framing Armageddon en est une preuve flagrante. En effet, cet album est le premier volet d’une fresque sur deux épisodes. Enfin, le premier volet… l’introduction a été écrite neuf ans auparavant sur l’album Something Wicked This Way Comes. Tiens tiens, étrange… puisqu’en effet le sous-titre de cette œuvre est Something Wicked…

Bon, petit changement par rapport à l’introduction faites auparavant (sur les titres Prophecy, Birth Of The Wicked et The Coming Curse) ce n’est pas Matthew Barlow, mais Tim ‘Ripper’ Owens qui officie au chant. Cela peut casser le rythme de l’histoire et perdre quelque peu son auditoire, mais Owens était déjà présent sur l’album précédent (The Glorious Burden) et comme se plaisait à dire Shaffer à l’époque : « peut importe qui chante, le contenu est le plus intéressant ».

Quid de ce contenu justement ? Et bien, remontons à l’époque de Something Wicked This Way Comes. La trilogie clôturant l’album nous présentait une race plus ancienne que l’homme. Les Setians. Ceux-ci pressentant leur destruction tentent alors de se cacher parmi les hommes. Ils attendent l’arrivée de leur messie, l’antéchrist humain, pour pouvoir à nouveau gouverner le monde. C’est donc à ce moment que Shaffer a lâché sa première bombe. Matthew Barlow chantait donc à l’époque ces trois titres qui clôturaient l’album et ouvraient pour l’album dont il est question aujourd’hui.

9 ans plus tard, de l’eau a coulé sous les ponts. Et les fans du groupe l’ayant lâché avec un The Glorious Burden peut être un peu faiblard mais honnête et très bon, même si trop patriotique, ont eu tort. Car même si les timbres de voix entre Tim Owens et Matthew Barlow sont très différents, l’album dont il est ici question nous prouve que Shaffer a fait le bon choix en choisissant Owens pour chanter les compos qu’il a écrit. Car au final, même si le timbre n’est vraiment pas le même et la qualité vocale sensiblement différente, l’émotion qui se dégage de cet album, en particulier sur A Charge To Keep, est palpable. Et l’intensité tout aussi honnête que si notre MP de chanteur avait officié.

Pour l’histoire, car il s’agit là autant d’histoire que de musique, on reprend là ou l’on s’est arrêté en 1998. Les hommes et les Setians se livrent une guerre sans merci ou ces derniers seront quasiment éradiqué. Cependant la guerre n’est pas perdue pour eux puisqu’ils ont pu cacher leur messie et l’envoyé parmi les hommes pour qu’il les comprenne et puisse mener à bien l’assaut final. Ainsi, seuls 10 000 Setians sont encore en vie à la fin de la bataille. Ceux-ci nous seront donc révélés par un Ten Thousand Strong, morceau single de l’album.

Le titre précédent, Reflections, est un titre mid tempo, comme on en trouvera beaucoup sur cet album. Ceux cherchant le Iced Earth de la grande époque Barlow devront donc encore patienter pour avoir des titres ravageurs rythmiquement parlant. Mais Reflections lui est un titre prenant, collant parfaitement au thème de la chanson. Les paroles traitent de l’arrivée imminente de la fin d’une race et du peu de chance de survie de leur culture qu’il peut subsister. Ce titre se marie donc très bien au suivant, le calme avant la bataille, au sens littéral de l’expression, puisque Ten Thousand Strong traitera de cette bataille et de l’issue que vivront les Setians.

Si l’histoire ne vous parle pas, laissez vous porter par ces 19 titres (instrumentaux compris) qui sont vraiment somptueux et merveilleusement chantés. Certes, la puissance et l’agressivité n’est pas forcément de mise sur cet album, mais il aurait pu être, si l’histoire n’en avait pas décidé autrement, celui qui aurait assis la position de Tim Owens comme chanteur de Iced Earth.

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mariosmash - 23 Fevrier 2011: Un album excellent, que je ne me lasse pas d'écouter une fois de temps à autres.
Mindkiller45 - 23 Fevrier 2011: C'est pas forcément le meilleur album du groupe, mais il est assez honnète pour qu'on passe un bon moment oui :)
 
mariosmash - 23 Fevrier 2011: En fait, je suis plutôt adepte de ce genre de chant, alors j'ai bien accrocher forcément^^
Mindkiller45 - 23 Fevrier 2011: Il est parfait pour l'album, je le concède. Mais, et c'est un avis tout à fait subjectif, il n'égalera jamais The Dark Saga, Burnt Offerings ou même Something Wicked This Way Comes
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Commentaire @ Julien

26 Septembre 2007
Nous allons essayer de passer outre les considérations dans le genre « Ripper Owens ne vaut pas Matt Barlow », « Iced Earth est mou du genou depuis le départ de Matt Barlow » j’en passe et des meilleurs. Pourquoi donc passer outre ces considérations, la réponse se tient dans vos mains avec le superbe concept qui s’offre à nous. Deux albums basés sur « Something Wicked This Way Comes ». Deux albums espacés de quelques mois pour nous mettre une bonne claque. Un plus calme (celui dont nous parlons aujourd’hui) et un plus heavy qui sortira l’année prochaine. Let’s rock.

Alors ce n’est pas avec ce Framing Armageddon que le groupe va retrouver sa violence passée mais c’est avec ce Framing Armageddon que le groupe va asseoir sa nouvelle notoriété. Ce qui avait pu paraître comme une faiblesse pour certains sur les autres albums avec Owens va apparaître comme une force. Ce disque est probablement l’un des mieux écrit de la discographie du groupe. Affichant 19 titres au compteur on pourrait légitimement s’interroger sur la teneur exacte du disque. Il est donc vrai que certains de ces 19 titres sont les transitions des intro. A l’instar de Nightfall in Middle Earth de Blind Guardian, Iced Earth nous propose ici un véritable récit dont les scènes sont ponctuées par ce que j’appelle ces transitions.
Les titres en eux même sont tous plus entêtants les uns que les autres. Les refrains sont assez gigantesques. Prenez par exemple le single « Ten Thousand Strong » dont le refrain ne sort plus de votre tête, eh oui c’est ça le concept de ce disque d’Iced Earth. Ca rentre et ça ne sort plus. Plus fort encore, en tendant bien l’oreille on retrouve des petites choses appartenant à « Something Wicked This Way Comes ». Il fallait bien faire une piqûre de rappel, non ? Ce disque est une vraie offrande à tous les fans du groupe. Donc pour ce qui est du chant, je suis assez client de Ripper Owens et bien que ça soit différent par rapport à ce qu’il faisait dans le passé, le travail vocal qu’il a abattu pour ce disque est monstrueux. La superposition de ses différents chants est unique et avec les bonnes compos derrière ça envoie le bois. Je ne ferais pas de comparaison inutile, je trouve que compte tenu de la musique il ne fallait pas faire autre chose.

Très bien écrit, rempli d’émotion, entêtant avec des gros refrains, cette première partie a tout pour plaire et convaincre les fans sceptiques de la première heure. Ripper ne sera jamais Matt (et inversement) mais compte tenu de la musique actuelle, le mélange est détonant. Il me tarde d’avoir la seconde partie plus heavy pour prendre la pleine mesure de ce concept album.

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Julien - 27 Septembre 2007: lol oubli mais je pense que ma chronique parle d'elle même. Je suis complètement d'accord avec toi c'est un superbe album
fabrog - 07 Octobre 2007: je reste un inconditionnel de Barlow mais a la premiere ecoute de cet album je trouve qu'il le fait bien
Erwin - 13 Septembre 2008: Tout d'abords commençons par l'une des choses les plus importantes de cet album : L'arrivée de Tim Owen. Certains diront "il chante mal.... J'aime pas sa voix nia nia nia..."
Mais je pense au contraire que sa présence est particulièrement bien car elle donne un assez bon tournant au groupe (même si j'aime beaucoup Matthew Barlow) et les chansons de cet album vont largement mieux à Tim Owen. Parce que bon "Setian Massacre" et "The Clouding" repris par Matthew je dis franchement bof.

Ensuite, un album assez bien rythmé et peut-être un peu plus approfondis musicalement parlant... C'est dans l'ensemble un très bon album même si ces interludes peuvent parfois agacer. On peut trouver cet album long mais je trouve que lorsque l'on l'écoute, on ne le trouve pas si long que ça.

D'autant plus que la chanson "Framing Armageddon", m'a surprise négativement au début puis positivement au fur et à mesure des écoutes.

Donc dans l'ensemble un très bon album de ICED EARTH même s'il change des autres, notamment à cause de son chanteur. De toute façon ne vous en faites pas, les gens qui son fan que de Matthew Barlow vont être heureux car il revient pour le prochain album du groupe : Something Wicked Part II : The Crudible Of Man.
KingMetal - 06 Janvier 2009: Erwin : Cet album ne marque pas l`arrivé de Tim The Ripper Owens,mais c`était plutôt The Glorious Burden qui en fait la marque.
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