The Crucible of Man (Something Wicked Part 2)

Liste des groupes Heavy Thrash Iced Earth The Crucible of Man (Something Wicked Part 2)
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16/20
Nom du groupe Iced Earth
Nom de l'album The Crucible of Man (Something Wicked Part 2)
Type Album
Date de parution 05 Septembre 2008
Labels Steamhammer
Style MusicalHeavy Thrash
Membres possèdant cet album249

Tracklist

1.
 In Sacred Flames
 01:29
2.
 Behold the Wicked Child
 05:38
3.
 Minions of the Watch
 02:06
4.
 The Revealing
 02:40
5.
 A Gift or a Curse ?
 05:34
6.
 Crown of the Fallen
 02:48
7.
 The Dimension Gauntlet
 03:12
8.
 I Walk Alone
 04:00
9.
 Harbinger of Fate
 04:43
10.
 Crucify the King
 05:36
11.
 Sacrificial Kingdoms
 03:58
12.
 Something Wicked (Part 3)
 04:31
13.
 Divide Devour
 03:15
14.
 Come What May
 07:24
15.
 Epilogue
 02:21

Durée totale : 59:15

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Iced Earth


Chronique @ Discipleofthelie

12 Septembre 2008
Cela faisait un moment qu’on l’attendait celui-là !
L’album qui marque le retour de LA voix de Iced Earth j’ai nommé Matthew Barlow (après une parenthèse Tim «Ripper» Owens, qui n’aura durée que deux albums finalement). Ce retour, décrié, entre les fans heureux du retour de Barlow et ceux qui préférait Owens (en n’y voyant qu’un intérêt commercial de la part de la tête pensante "Jon Schaffer").

Enfin je ne m’attarderais pas plus là dessus. Venons-en plutôt à ce nouvel album «The crucible of man (Something wicked part 2)», qui marque la fin du concept Something Wicked créé par Schaffer et sert donc de suite logique à «Framing armageddon (Something wicked part 1 )», sorti l’an dernier.
Disons-le tout de suite, cet album est une franche réussite, malgré quelques similitudes avec son prédécesseur «The crucible of man» qui est plus sombre et plus heavy, les paroles se concentrant en effet sur le personnage de Set Abominae et de son destin d’anéantir l’humanité.

L’histoire commence dès la superbe intro «In Sacred Flames» et ses chœur latin… puis on rentre dans le vif du sujet avec l’épique «Behold the wicked child». On reconnaît immédiatement la patte de Jon Schaffer. Les fans ne seront pas dépaysés : les riffs tranchants, accompagnés de la double pédale de Brent Smedley, sont vite rejoint par la chaude voix de Barlow et (après un break, sublimé d’une voix féminine arabisante) on tombe sur un refrain très efficace et facilement mémorisable.
«Minions of the watch» : plus classique, il possède lui aussi un très bon refrain et débouche sur un «The revealing» plus rapide (où la double pédale de Smedley fait encore des ravages).
Nous vient ensuite «A gift or a curse», power ballade où, sur les couplets, nous avons droit a un duo Schaffer/Barlow au chant très agréable. Comme «The Clouding», sur l’opus précédent, on ressent une légère influence Pink Floyd.
S’en suit deux autres morceaux plus classiques : «Crown of the fallen» et «The Dimension Gauntlet», qui possèdent un très bon moment avec encore un duo Schaffer/Barlow et sa mélodie finale (reprise de «The Coming Curse», de l’album «Something Wicked This Way Comes»).

Je passe sur l’excellent single «I walk alone» qui a pu déjà être découvert avant la sortie de l’album.
«Harbringer of fate» est une autre power ballade au refrain accompagné de chœurs qui en fait un des grands moment de l’album. La suivante («Crucify the king») est, lui, un morceaux très heavy au refrain encore une fois très efficace… On revient ensuite à une formule plus speed avec «Sacrificial kingdoms» avec un chant de Barlow plus aigu sur la longueur du morceau avant d’enchainer avec l’épique «Something wicked part 3» (lui aussi inspiré de la trilogie initiale au niveau des mélodies).
Arrive alors «Divide devour», dernier morceau rapide avant le très bon «Come what may», mélancolique à souhait et qui renferme un pont magnifique (rempli de percussions et de cordes du plus bel effet).
L’album se conclut sur un «Epilogue», repris de l’intro de «Framing armageddon» pour refermer la boucle !

Pour conclure, je dirais que même si on se retrouve avec un disque plutôt classique pour Iced Earth, cet album est quand même très réussi, sublimé entre autre par la voix de Matt Barlow qui nous démontre qu’il n’a rien perdu de son talent durant son absence.

Vivement la tournée en Europe !

7 Commentaires

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Discipleofthelie - 18 Septembre 2008: Je ne suis pas d'accord je possède toute la discographie du groupe dont je suis un très grand fan et j'ai pris beaucoup de plaisir a écouté cet album, plus qu'avec le précédent qui possédait selon moi des morceaux inutiles. Pour le recyclage de riffs, ayant étaient composé a la même période que le précédent il est normal que certains se ressemblent et les paroles tournent autour du même thèmes.
Discipleofthelie - 18 Septembre 2008: C'est vrai qu'il ne vaut pas un Something, un Burnt Offerings , un Stormrider ou un Dark Saga en intesité et en qualité de composition mais je trouve cet album réussit.
 
DestroyedBrain - 18 Septembre 2008: " Je ne suis pas d'accord je possède toute la discographie du groupe dont je suis un très grand fan et j'ai pris beaucoup de plaisir a écouté cet album, plus qu'avec le précédent qui possédait selon moi des morceaux inutiles. Pour le recyclage de riffs, ayant étaient composé a la même période que le précédent il est normal que certains se ressemblent et les paroles tournent autour du même thèmes."

C'est mon avis, il ne tient qu'a moi

" C'est vrai qu'il ne vaut pas un Something, un Burnt Offerings , un Stormrider ou un Dark Saga en intesité et en qualité de composition mais je trouve cet album réussit."

Donc il ne vaut pas surement pas un 18, 18 c'est une note énorme, ça voudrai dire que l'album est proche de la perfection...
Discipleofthelie - 18 Septembre 2008: Bien sur je respecte ton avis tu as parfaitement le droit de ne pas aimé je ne dis pas le contraire mais ça m'a un peu énervé quand tu as dis "Mettre 18 c'est ne pas avoir écouté le début de la trilogie ni les anciens "bon" album du groupe" alors que si je chronique un album je m'assure d'être bien renseigné sur le sujet.
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Chronique @ Ebrithil

18 Août 2009
Avec The Crucible Of Man, Iced Earth conclut (enfin) sa trilogie Something Wicked, concept commencé en 1998 avec la trilogie Prophecy/Birth of the Wicked/The Coming Curse ... 10 ans de gestation donc, pour aboutir à cet album. Un événement en soi, qui plus est marqué de cet autre événement qu'est le retour au micro de l'incroyablement talentueux Matthew Barlow (parti on le rappelle en 2003 suite à son manque de motivation et son envie de faire carrière... dans la police).

Alors, Barlow revient, oui, mais le moins qu'on puisse dire, c'est que Owens pendant ce temps ne s'est pas contenté de lui garder le siège chaud, délivrant sur The Glorious Burden une prestation inégalable et réussissant sur Framing Armageddon à très bien s'approprier le concept de Something Wicked. Et si le rouquin est sans conteste LE chanteur d'Iced Earth (plus à l'aise en live, plus motivé par la musique du groupe, en gros, plus adapté), Owens en a séduit plus d'un par ses vocalises ... dire donc que le retour de Matt Barlow assure le succès de l'album ainsi que sa qualité est exagéré.
Qu'en est-il donc de cet album ?

On avait pu le constater avec Pyramaze pour ceux qui connaissent (Barlow a chanté sur leur album Immortal en 2008, album que je vous conseille), le chanteur est loin d'avoir perdu sa voix et n'a peut-être jamais aussi bien chanté. Behold the Wicked Child, premier titre, nous le prouve, avec une prestation parfois agressive comme sur Horror Show (sans jamais être possédé comme sur Dracula, mais ce titre reste hors-catégorie...), parfois mélodique et profonde comme sur les classiques d'Iced Earth.

Mais l'inconnue, cela restait la capacité de Schaffer à composer des perles comme on en trouvait sur les 2 précédents albums ... et ce côté-là, on peut s'avérer déçu. Si Behold the Wicked Child ressemble fortement à Something Wicked pt. 1 dans l'idée, en un peu plus grandiloquent, le reste de l'album n'atteint que rarement ce niveau assez bon. De nombreux titres sont soit trop courts pour être intéressants et se déployer (l'enchaînement inutile Minions of the Watch/The Revealing), soit remplis d'éléments pompeux et d'arrangements instrumentaux faisant passer l'importance de la qualité de composition au second plan (rarement Schaffer aura été si peu inspiré en matière de riffs qui font mouche), comme sur The Dimension Gauntlet ... ce qui au final nous laisse un album dont certains titres pris individuellement sont intéressants (I Walk Alone, la belle ballade A Gift of a Curse ou encore Crucify the King), mais qui mis ensemble s'avèrent pesants, peu dynamiques, et ce de par une utilisation abusive du mid-tempo (aucun titre à la Ten Thousand Strong ne viendra nous faire chanter en choeur...). De plus, le tout semble "déjà entendu". Sur Framing Armaggedon cet aspect nous rappelait la qualité de la trilogie Prophecy/Birth of the Wicked/Coming Curse ; ici, il nous rappelle seulement qu'une telle répétition dans les thèmes et les paroles peut aisément être interprétée comme un manque inquiétant d'inspiration ... Jon Schaffer, en se lançant dans cette oeuvre ambitieuse, semble se mordre la queue et se perdre un peu dans les méandres de ses compositions.

L'album se ressaisit cependant dans les dernières encablures, avec un Divide & Devour pas transcendant mais dont le rythme up-tempo fait réellement plaisir (on est loin toutefois d'un Framing Armaggedon, d'un Setian Massacre ou d'un Ten Thousand Strong), et surtout un Come What May qui semble réunir toutes les qualités d'Iced Earth : orchestrations astucieusement placées, voix grandiose, mélodies qui font mouches : ce titre conclut sur une note magnifique la fresque Something Wicked This Way Comes.

Cependant, après s'être ennuyé pendant tout le milieu de l'album, cette reprise en main tardive ne suffit pas à sauver The Crucible Of Man de ce constat décevant et cruel : il est sans doute aucun le moins bon album d'Iced Earth à ce jour, ou du moins le moins bon avec Barlow au chant. Framing Armaggedon, malgré la présence incongrue de Ripper Owens au chant (en effet, il est assez étrange de voir 2 chanteurs se partager une trilogie conceptuelle), avait tenu la dragée haute à tous les autres opus d'Iced Earth, en matière de qualité de composition, de mélodies accrocheuses et de titres devenues classiques ... Mais ce Crucible of Man fait office de retour en demi-teinte pour le pauvre Matthew Barlow qui n'en méritait pas tant. Trop mid-tempo, trop orchestral, trop peu paufiné : il semble que Schaffer ait ici voulu faire au plus vite Barlow chanter le dernier opus de sa trilogie, alors que faire un album éloigné de ce concept aurait pu être plus intelligent (de la même façon que The Glorious Burden à l'arrivée de Tim Owens).

Reste que je me réjouis (malgré mon quasi-amour pour Ripper) de revoir un Matt Barlow toujours aussi irréprochable (car le seul point intouchable sur cet album est le chant, incroyable) dans un Iced Earth auquel il a définitivement manqué . La page Ripper Owens sera d'autant plus définitivement tournée que Framing Armaggedon s'apprête à ressortir dans une version entièrement chantée par Barlow, et le résultat s'annonce très bon. Certains s'offusqueront de ce qu'ils appellent un manque de respect envers Owens, mais rappellons que celui-ci avait bien réenregistré les vocaux de la trilogie Prophecy/Birth of the Wicked/Coming Curse ... restera donc The Glorious Burden comme symbole du talent du Ripper.Welcome back Matt, et espérons que Jon, désormais libéré de toute "obligation" liée à Something Wicked, nous ponde un album à la hauteur de son talent.

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Goneo - 14 Janvier 2024:

Je continus l'aventure Iced Earth. Matthew Barlow revient, une prestation impeccable.1 an à peine et voilà un autre gros pavé. Ça fait réchauffé... ya un bon riff sur The Revealing, mais il tourne en boucle jusqu’à la fin de la compo. The Dimension Gauntlet avec Divide Devour retiennent mon attention. Mais... ça s'arrête là.
Cela sonne déjà entendu, les morceaux tiennent sur un riff ou un refrain, malgré le côté grandiloquent et épique cela sonne creux. Sans être vraiment mauvais, je trouve vraiment l'après Alive in Athens très en dessous.

Je te rejoind sur ta chronique, des morceaux trop courts, certain sont comme coupés.

Merci pour la chro.

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Chronique @ =XGV=

14 Juillet 2009
Le revoilà parmi nous, fans d'Iced Earth, l'homme à la crinière rousse plus connu sous le nom de Matthew Barlow revient en pleine forme (et rasé) interpréter les titres du groupe. Tim Owens, malgré sa performance remarquable sur l'opus précédent est remercié au profit de leur chanteur symbolique. La nouvelle a réjouit bien du monde et étant donné la qualité irréprochable de Framing Armageddon, on attendait une nouvelle galette excellente elle aussi... Mais le résultat ne sera pas exactement au niveau des attentes.

Bien entendu, The Crucible of Man possède les qualités nécessaires à un bon album d'Iced Earth : les riffs de Jon Schaffer ne font pas faux bond, on reconnaît le style du groupe, Barlow n'a rien perdu de sa voix, qui nous revient comme elle nous a quitté : mélodique, originale et lyrique. Tout ceci est incontestable et l'album est bon, mais reste plus ou moins décevant à la première écoute pour une raison simple : l'histoire de l'album est la suite de celle contée sur le précédent, la plus naturelle des choses est, dans ce cas, que la musique suive également le même schéma.

En effet, rappelons tout de même que le dernier album était assez expérimental par rapport à ce qu'on connaissait du groupe notamment avec quelques transitions musicales, voir simplement composées de bruitages, qui ouvraient sur certaines chansons, mais ici ce n'est pas le cas et Crucible of Man n'a donc pas ce côté original et c'est bien dommage car les deux CD écoutés à la suite en perdent leur cohérence. S'il avait été question d'un tout autre album n'ayant aucun lien avec son prédécesseur, ça n'aurait eu aucune importance, mais ici, ça en a beaucoup puisque les deux sont à prendre comme une œuvre complète. C'est donc là le point noir de l'album.

Mais si l'on écoute The Crucible of Man sans prendre en considération son lien avec la trame narrative du précédent ? Dans ce cas, on se retrouve avec un album bon sans plus. Il est difficile de faire deux coups d'éclat à la suite, donc Jon Schaffer, principal compositeur, accuse le coup et connaît une baisse d'inspiration qui n'est cependant que peu handicapante. L'album s'ouvre sur des chœurs en Latin, inquiétants puis apocalyptiques enchaînant sur Behold the Wicked Child, qui reprends la même ambiance et sur laquelle Barlow fait un retour triomphal. La suite sera souvent moins inspirée mais jamais ennuyeuse ou dispensable et c'est quand même le minimum, non ? Puis l'album se clôt sur Epilogue, qui est en réalité la reprise de l'intro de Framing Armageddon ( façon de boucler la boucle qui n'est pas sans rappeler Iron Maiden et Seventh Son of a Seventh Son qui commençait et se terminait sur les même paroles. )

L'album est donc assez difficile à noter puisque deux points de vue sont à prendre pour le juger. Si on repense au lien étroit avec l'opus précédent, il est plombé par la rupture avec la musique du précédent. Bien entendu, puisque l'on passe du point de vue des Setians à celui de Set Abominae, un changement d'ambiance était très pertinent, mais on n'a pourtant plus ce côté original qui renouvelait en plus idéalement la musique du groupe. De ce point de vue, The Crucible of Man mériterait 14. Mais si l'on décide de prendre l'album séparément, la qualité des compositions monterait l'album à 16. Comme je pense que le lien avec l'histoire est à prendre compte pour un concept-album, mais que la qualité des compositions s’appréhende au pire avec quelques écoutes, il vaut mieux couper la poire en deux.

On arrive donc à 15, la note la plus juste. Bon album, mais pas une priorité pour ceux qui veulent découvrir la musique de la bande à Jon Schaffer.

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Commentaire @ phantasmagoria

24 Mai 2009
Après un retour victorieux de Mathew Barlow sur scène en 2008 (notamment au Hellfest), restait donc à confirmer sur album studio.

Dans cette seconde partie de Something Wicked, nommée The Crucible of Man, on a affaire à 13 vrais morceaux sur 15, contrairement à la 1ère partie Framing Armageddon qui en contenaient 11 sur 19. Il y a donc moins d'interludes (acoustiques, bruitages), ce qui rend cet album plus facile d'accès et plus homogène que le précédent.
Par ailleurs, bon nombre de titres ont une consonance orientale dans cet album, ce qui fait que ceux qui ne connaissent pas ce combo américain pourraient presque le ranger dans la catégorie Metal oriental au coté d'un Melechesh.

The Crucible of Man" est aussi plus agressif, plus Thrash que Framing Armageddon mais il n'y a malheureusement pas de tueries dignes de Something Wicked This Way Comes (1998) (album où apparait la trilogie Something Wicked), comme Disciple of the Lie", My Own Savior ou Stand Alone. On sent, par ailleurs, un petit essoufflement du leader guitariste John Schaffer sur cet opus avec certains morceaux autour de 2 minutes comme Minions of the Watch, fait rare pour ce groupe ayant toujours développé un Heavy Thrash hautement technique. Il faut dire que si l'on compte le side project Demons And Wizards, le père Schaffer nous a pondu 4 albums en moins de 5 ans !! Circonstance atténuante donc quand même.

The Crucible of Man est tout de même un excellent album qui ravira les fans d'Iced Earth. Plus homogène que Framing Armageddon, plus agréable à écouter, plus agressif même si peut-être moins mélodique, il est cependant difficile d'extraire un titre au dessus des autres dans cet album (excepté le single I Walk Alone). La bonne idée serait sans doute de l'interpréter en intégralité sur scène tant les morceaux qui le composent semblent être indissociables.

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