James….? PRESENT
Kirk…. ? PRESENT
Rob....? PRESENT
Lars....? Lars....? Missing!!!!!!
Et oui, voici le seul et unique
Live ou le batteur emblématique de
Metallica est absent (en 23 ans chapeau bas), tant mieux pour certains, un drame pour les autres, ce concert est plutôt mal parti. Comment faire pour jouer le soir même au Down
Load festival sans batteur….. ? faire appel a des amis bien sûr. Et quitte a prendre un batteur, mieux vaut prendre ce qui ce fait de mieux : Dave Lombardo (
Slayer) par exemple, ou bien Dave McClain (
Machine Head), Matt Byrne (
Hatebreed) et sans oublier Joey Jordison (Slipknot).
Apres 1 après-midi de répétition, le choix se porte sur Lombardo et Jordison.
En terme de son, on est face a un bootleg de bonne qualité, le public est pratiquement absent lors des chansons mais omniprésent lors des interludes ce qui permet de les entendre scander « LARS, LARS, LARS ».
Le concert débute donc sur une intro de James nous disant que son « ami » est hospitalisé d’urgence et que donc il sera absent ce soir remplacé pour le coup par Dave Lombardo. Le concert commence avec un son tout petit pendant l’intro de «
Battery » mais dès le coup de pédale de
Kirk le son explose et on se régale. Le morceau est joué quasi à l’identique (Il faut dire que Lombardo avait déjà joué le morceau sur un tribute a
Metallica) ainsi que «
The Four Horsemen ». Arrive ensuite l’homme masqué et là c’est pas la même chose (je dis pas ça parce que je suis fan de
Slayer). Joey a très bien fait le métier, on voit qu’il a appris la batterie avec
Metallica mais du fait du manque de répétition le tempo est un peu ralenti par rapport au tempo
Live habituel mais, il est identique à celui du CD studio. On notera un
Kirk Hammett moins en retard dans ses solos.
Voici donc que «
For Whom the Bell Tolls » pointe le bout de son nez. Malheureusement du fait de l’absence de public il y a des grands blancs qui se répèteront à chaque volonté de James de faire chanter la public…
Pour «
Fade to Black » nous voyons l’apparition d’un nouveau batteur : Flemming Larsen, Ami (de l’ombre) de 20 ans de Lars Ulrich. Il exécute lui aussi parfaitement le titre.
Avec beaucoup d’humour James annonce le retour de Joey en disant qu’il faudrait peut être des masques a
Metallica pour redevenir plus méchant (c’est une idée….). «
Wherever I May Roam » passe comme une lettre a la poste. ET la, c’est le drame ! Voilà que
Metallica nous sort, «
Last Caress » : On dirait du Offspring, c’est assez laid, mais bon, il y en a qui aime, moi pas.
Voilà sinon le concert se finit sur 3 gros titres. On arrive enfin a percevoir le public sur «
Enter Sandman », Joey tient toujours le coup pour le plus grand plaisir de tous. Il sera chaleureusement salué par le public en fin de concert ainsi que les 2 autres batteurs de sessions d’un soir.
A posséder pour l’objet, mais il ne présente pas de grand intérêt pour le non fan…
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