Chameleon

Paroles
ajouter une chronique/commentaire
Ajouter un fichier audio
13/20
Nom du groupe Helloween
Nom de l'album Chameleon
Type Album
Date de parution Mai 1993
Labels EMI Records
Produit par Tommy Hansen
Style MusicalPower Mélodique
Membres possèdant cet album292

Tracklist

Re-Issue in 2006 by EMI Records with a second disc included.
DISC 1
1. First Time 05:30
2. When the Sinner 06:54
3. I Don't Wanna Cry No More 05:11
4. Crazy Cat 03:29
5. Giants 06:32
6. Windmill 05:14
7. Revolution Now 08:04
8. In the Night 05:35
9. Music 07:01
10. Step Out of Hell 04:21
11. I Believe 09:11
12. Longing 04:14
DISC 2 - RE-ISSUE 2006
1. I Don't Care, You Don't Care (B-Side)
2. Oriental Journey (B-Side)
3. Cut in the Middle (B-Side)
4. Introduction (B-Side)
5. Get Me Out of Here (B-Side)
6. Red Socks and the Smell of Trees (B-Side)
7. Ain't Got Nothin' Better (B-Side)
8. Windmill (Demo Version, Previously Unreleased)
Total playing time 1:11:16

Acheter cet album

 $10.26  43,56 €  9,99 €  £9.32  $14.07  31,99 €  9,99 €
Spirit of Metal est soutenu par ses lecteurs. Quand vous achetez via nos liens commerciaux, le site peut gagner une commission

Helloween


Chronique @ Eternalis

05 Mai 2009
Helloween est devenu au fil des années une institution dans le milieu du heavy metal allemand, un modèle de persévérance mais pas forcément d’intégrité, tant les humeurs et la relative qualité diffère selon les époques et les albums.
Testament d’une époque légendaire, novatrice, et ayant en partie donné naissance à l’ensemble de la scène speed mélodique actuelle (qu'elle soit allemande ou scandinave), "Chameleon" sonne le glas d’une ère ayant vu l’apogée et le déclin d’une voix, d’une personnalité unique et exceptionnelle : j’ai bien sûr nommé When the Sinner.

A bien y regarder, on peut, sans trop mentir, affirmer que Kiske aura, durant sa carrière, particulièrement été révolutionnaire sur les deux premiers volets de "Keeper of the Seven Keys" et ensuite décevant à plus d’un titre, que ce soit dans Helloween ou en solo. Une légende restée muette dans un style pour lequel il pensa et jugea avoir tout dit après cet ultime disque, peut-être moins catastrophique qu’on veut bien l’entendre dire aujourd’hui.

Une fois replongé dans un contexte bien peu reluisant pour un genre aussi mélodique, on peut comprendre l’irrésistible envie de musiciens cloisonnés dans une musique alors considérée en pente descendante, de proposer des paysages différents. Gamma Ray le fit admirablement bien avec son génial "Insanity & Genius" la même année, Wasp avec son "The Crimson Idol" très travaillé et ambitieux et Queensryche relâchera considérablement la pression avec "Promised Land" l’année suivante. Bref, les grands artistes des années 80 se devaient de changer face à une façade brutale dominée par un death en pleine démesure et un black metal dévoilant alors ses albums les plus cultes.

Helloween décida quant à lui d’apporter une atmosphère étonnement funky à son cinquième album, affublé pour l’occasion d’une pochette minimaliste, réussissant à ne pas être aussi laide que la précédente mais aussi peu engageante quant au contenu musical de l’album, résolument moins ambitieux que jadis.
Pourtant, si l’on a coutume de cracher ouvertement sur cette erreur de la nature, on ne pourra lui reprocher de disposer d’un son puissant, carré et incroyablement clair et précis, ainsi que d’un mixage faisant la part belle à la basse ("Giants") et à des guitares ayant un rendu tranchant, leur mollesse venant des riffs à proprement parler.

Affligeant de banalité pour certains, ce disque fut pourtant l’œuvre d’un Weikath prenant un risque, celui d’un virage plus commercial (alors que leur éternel rival médiatique de Gamma Ray opérait une orientation expérimentale) et accessible, mais en bannissant une certaine qualité qui avait fait la marque de fabrique des citrouilles, une rigueur qui ne les avaient pris que rarement en défaut et surtout un sens de la mélodie ici quasi absent. Les solos sont néanmoins nombreux, parfois longs et très intéressants ("Giants" toujours, "Music" et ses soli langoureux et superbes, "First Time"), mais ce sont les mélodies de base, ces rythmiques qui souffrent d’une passivité sans nom, sans accroche ni intérêt, When the Sinner posant une voix toujours aussi magnifique sur une musique des plus banales.

Banale ! "Chameleon" est en fait un opus en proie aux paradoxes, car la multiplicité des interventions de cuivres auraient pu en faire un chef-d’œuvre, mais on ressent un sentiment maladroit, comme si cette instrumentation n’était pas en adéquation avec les structures initiales.
"Music", par exemple, semble être un dédale de solos, de passages funk et de vocalises dans lesquelles Helloween se perdrait lui-même, s’étirant sur plus de sept minutes car ne sachant pas comment faire évoluer son morceau. Mais on ne pourra le citer comme étant mauvais, car les idées affluent.
"Revolution Now", et son riff pompé sur Deep Purple, pose presque le même constat. Des idées mal exploitées, des cuivres ajoutés pour la forme et non pour le fond, des guitares soporifiques et muselées, et un groupe ne semblant pas plus y croire que son auditoire, définitivement déçu d’un groupe encore impérial cinq ans plus tôt.

De même, l’intro de "First Time", comme un bœuf entre les membres, semble presque anachronique lorsque l’on entend le riff quasi pop du titre, emballé sur une rythmique des plus basiques et un Kiske chantant sans passion ni envie. Malgré un refrain mémorisable et un solo de Roland Grapow aussi furtif que bien envoyé, rien ne reste, tout se consume avec le temps.
Tout l’album sera à cet image : une prise de risques certes, mais des idées donnant lieu à un labyrinthe de sonorités liées dans une symphonie disgracieuse et pesante, voire complètement redondante.

Le ridicule "When the Sinner", aux vocaux trafiqués, à la ligne vocale infâme car niaise, et aux guitares simplement inexistantes, ou encore la pitoyable "In The Night", empreinte d’une atmosphère country sans second degré, tireront vers le bas un disque résolument inférieur au reste de leur discographie et en signe d’auto-suicide.

Andy Deris parviendra à sauver d’un naufrage certain des citrouilles ayant tant apporté…un renouveau empli de vigueur et de puissance, nous ravageant, aujourd’hui encore (les trois derniers opus studio étant de petites bombes !) des tympans endoloris ne demandant pas plus que de ne jamais revivre l’expérience "Chameleon".

15 Commentaires

14 J'aime

Partager

Samarkande - 24 Juillet 2012: Disons que c'est un très bon album "pop"...seulement en hard rock on est obigé à mieux...excellente chronique qui résume tout à fait le sentiment des critiques de l'époque...heureusement...on a eu un splendide rayon gamma pour nous faire oublier ce vilain caméléon !
Eaque - 21 Fevrier 2013: Je suis à peu près en accord avec tout ce que tu dis dans cette chronique à l'exeption du fait "que les grands noms du heavy des 80's ont changés leurs façades à cause de l'arrivé du death et du black". Or ce n'est pas vraiment "à cause" de ces styles qu'ils entamèrent une sorte de mutation mais plutôt "à cause" de la fusion, du néo, du grunge (si on peut appeler ça un style musical) et consorts. Je peux te l'affirmer pour l'avoir vécu personellement...enfin voilà, exepté ce détail je te trouve assez juste dans tes dires alors que ce n'etait pas vraiment ton époque. Bien vu !
 
christianfaith - 21 Décembre 2013: ce disque est une grosse enorme gigantesque merde que je n'ai même pas écouté jusqu au bout
 
ironfloyd186 - 14 Fevrier 2016: je comprends tout à fait cette chronique, néanmoins ça fait bizarre de se rendre compte qu'un album que l'on a adulé quand on avait 13 ans était en fait un résidu de médiocrité... à cette époque je le préférais encore à KOTSK 1, c'est dire ! ;)
    Vous devez être membre pour pouvoir ajouter un commentaire

Chronique @ Hepha38

18 Fevrier 2012

Pourquoi? Mais pourquoi?

Mais qu'a-t-il bien pu se passer dans la tête du groupe?
Après l'échec d'un Pink Bubbles Go Ape décevant la plupart des fans, on aurait pu croire qu'Helloween se rendrait compte qu'ils ont fait une erreur, que le happy hard FM sans inspiration ne marchait pas, que les pochettes pourries n'étaient pas très utiles... Mais quel ne fut pas l'étonnement du public metal qui découvrait un Chameleon encore pire que son prédécesseur, un groupe s'enfonçant dans l'échec commercial, un groupe qui, s'il avait continué sur sa lancée des "Keeper" aurait peut-être pu concurrencer un Iron Maiden en perte de vitesse qui déçut lui aussi ses fans avec le moyen No Prayer For The Dying.

Quel paradoxe que ce Chameleon. Car, d'un côté, la musique se veut extrêmement accessible pour un groupe classé en heavy/speed metal, avec des couplets et des refrains ultra-mélodiques, mais en fait, c'est bel et bien un échec commercial que cet album. Personnellement, je n'ai rien contre le Hard FM et les musiques non Metal, mais encore faut-il que ce soit bien fait!

Je ne qualifierais pas non plus Chameleon de pire album de tout les temps. On a quand même des éléments intéressants sur cet album. En particulier quelques mélodies par-ci par-là, quelques refrains parsemés sur certains morceaux, qui auraient fait mouche sur des morceaux de speed mélodique teuton. Mais tout est fichu en l'air par des guitares acoustiques, et parfois des trompettes jazzy, voire funky qui font une drôle d'impression. Preuve en est "When the Sinner" qui laisse perplexe par la niaiserie ambiante. Quelque part entre sourires moqueurs et lassitude dès le deuxième couplet. Un refrain jonché de trompettes laisse place à quelques riffs rock qui ne vont pas du tout ensemble.

On reconnaît bien la voix typique de Michael Kiske, mais on a l'impression qu'il remplace un groupe de potes durant l'absence du véritable chanteur. En effet, rien ne va ensemble. "Crazy Cat" énerve car les trompettes reviennent et Kiske adopte une voix à la limite du twist/rockabilly sur les couplets qui est particulièrement agaçante et ne donne pas envie d'entendre le morceau en entier.

On pourra enfin entendre un riff intéressant sur l'intro "Giants" et on espère que tout ne sera pas gâché par la suite. Ça va, rien d'énormément gênant. Des couplets anecdotiques et un refrain banal mais pas inefficace. C'est l'un des morceaux les moins pires de l'album. Le pont n'est pas trop déplaisant non plus. Ce "Giants" nous permet de faire une pause pas désagréable sur un album qui demande un courage de fer pour réussir à l'écouter en entier (et à le chroniquer sérieusement).

Passons sur "Fisrt Time" qui ouvre l'album et qui en annonce la couleur par son inefficacité flagrante et son manque de pêche. Rien à dire non plus sur la ballade "I Don't Wanna Cry No More", un morceau sur lequel on se demande qui pourrait bien l'apprécier!
"Windmill" est pour moi le meilleur morceau de l'album. On a enfin un morceau où la mélodie est plutôt jolie dès l'introduction. C'est une ballade pop reposante qui nous rappelle un instant qu'Helloween sait faire de jolis morceaux calmes, même si, bien sûr, on est loin d'un "A Tale That Wasn't Right". Enfin un morceau où les différents instruments vont bien ensemble.
On retourne à un style plus rock avec "Revolution Now" et on espère que le refrain sera efficace car, en regardant la durée du morceau (plus de 8 minutes), on se dit que dans le cas contraire on risquera de bien s'ennuyer!
En fait, le groupe fait la part belle à des influences hard rock du début des 70's, en particulier à Deep Purple, dont les fans en reconnaîtront un riff similaire... Rien de très mauvais, mais tout ça n'a rien de très inspiré. Le hard bluesy apparaît également sur "I Believe", même si le morceau comporte une atmosphère un peu plus épique et intéressante. Le morceau dure 9 minutes mais on ne s'ennuie pas beaucoup, les riffs sont pratiquement heavy metal (j'ai bien dit pratiquement) mais Kiske est à côté de la plaque, le style du morceau ne va pas du tout avec son chant, et ce n'est pas le refrain qui me fera dire le contraire.

Le morceau le plus "rigolo" est "Step Out of Hell", avec son intro axée AOR et son refrain débutant mais qui peut nous faire gentiment taper du pied.
Heureusement, l'album se conclue sur une note plutôt sympathique, vu que la dernière piste "Longing" est une ballade assez jolie. Les mélodies ne sont pas déplaisantes, et même si elles ne sont guère originales, elles détendent.

En conclusion, je dirai que si trois morceaux sont à retenir ("Giants", "Longing" et "Windmill"), on a du mal à comprendre comment Helloween a pu sortir un album aussi improbable que paradoxal. Bien sûr que l'on ne peut jeter la pierre à l'expérimentation de certains groupes, mais Helloween est censé être un groupe inspiré et Kiske est censé avoir une voix magistrale, marquante et renversante.
En 1993, Helloween se voit se faire méchamment laminer par la popularité grandissante de Gamma Ray, l'ex-Helloween Kai Hansen nous convaincant avec ses trois premiers albums qui expérimentent eux aussi, à la différence près que Kai à su le faire, lui!

1 Commentaire

3 J'aime

Partager
    Vous devez être membre pour pouvoir ajouter un commentaire

Commentaire @ EternalTearsOfSorrow

28 Août 2010
En 1991, lors de la sortie de Pink Bubbles Go Ape, qui avait déçu quelques fans, qui en avait dégouté d'autres, oui, j'irai même jusque là, les riffs étant trop mous, je trouve. Mais certains morceaux valaient bien évidemment quand même le coup d'être entendus, comme Mankind, par exemple (il y en a d'autres, bien sûr, mais je ne parle que de Chameleon, cette fois-ci), Helloween nous refait une apparition en cette belle année de 1993 avec un nouvel album, et de nouveaux titres. Cet album en a déçu beaucoup plus d'un, la plupart du temps, car ce n'est pas le Helloween que nous connaissons. Certes. Mais, comme je le dis toujours, il faut bien tenter d'autres styles, parfois cela peut payer.

Personnellement j'ai bien aimé cet album, oui, sauf quatre morceaux sur 12, dont 3 qui m'ont franchement dégouté. Sinon, le grand ajout de cuivres m'a bien plu. Cela donne un très bon concept et les solos de guitares sont plutôt réussis. Un des principaux défauts est le son d'une rare saleté pour ce groupe, c'est plutôt dérangeant. Une autre chose qui m'a fortement déplu est le manque de motivation de Kiske, notamment dans First Time. Pourtant, sans compter le chant, la perspicacité et les mélodies que nous sortent les guitares plus encore les très bons coups secs de caisse claire font de First Time un bon titre. Il y a même un très bon solo de guitare comme on aime beaucoup les entendre, un final très bon, auquel le batteur se lâche totalement. Si l'on ne fait attention qu'à la musique, on constate vraiment que First Time est un très bon morceau, mais il y a Kiske qui vient franchement tout gâcher et c'est bien dommage. Cela me déçoit beaucoup. Par contre, dans le dernier morceau du disque, Longing, Kiske assure totalement son rôle de chanteur avec la magnifique mélodie de guitare acoustique. C'est absurde de comparer ces deux morceaux quand on entend une si belle voix dans Longing, à côté du peu de motivation qu'il nous manifeste dans First Time.

Vous l'aurez compris, First Time fait partie de ces morceaux qui m'ont déçu. Mais les trois autres, ce sont ceux-là qui m'ont dégouté ! Parlons-en un peu... I Don't Wanna Cry No More démarre avec une intro soft, qui ne passe pas du tout, plus un refrain franchement soulant, avec un voix secondaire, dont on a l'impression qu'un beau poète est venu se ramener pour dicter un de ses beaux poèmes pour une jolie fille en faisant aller une grosse voix vraiment mal exploitée... C'est décourageant... Mais cela ne s'arrête pas là, il y a Windmill, encore une ballade mal interprétée, on s'endort... Manque d'inspiration et nullité, chant et mélodies soporifiques. Même Ingo Schwichtenberg, l'ancien batteur défunt à ce jour (R.I.P.), surnommait ce titre "Shitmill" !!! Donc cela fait vraiment partie des pires titres qu'Helloween nous ait jamais présentés. Et attention, ce n'est pas fini ! Il y a encore In The Night, un titre affreux, une pure ambiance country, pour la totale, il n'y a plus qu'à s'imaginer le cow-boy avec une main sur le chapeau en train de l'ôter, de l'abaisser de sa tête et en train de faire ses mignons petits pas de danse country. Une pure honte. Ces morceaux sont vraiment une honte de la part d'Helloween qui vaut tellement mieux !!

Il y a néanmoins certains titres qui m'ont bien plu, comme When the Sinner, qui s'éloigne totalement du Power Metal que propose normalement Helloween. Mais bon, tout de même, le pré-refrain est très bon, avec quelques petites touches de piano par-ci par-là, pour enchaîner avec le refrain à la bonne ambiance, avec trompettes et saxos en arrière plan. Un bon titre amusant. Mais attention, beaucoup de gens n'ont pas apprécié ce titre, mais moi, j'ai été très convaincu, et je suis flatté. Il y a également Crazy Cats, aux atmosphères Rock'N'Roll et Jazz, aux bons couplets, toujours accompagnées des saxos et des trompettes. Il y a aussi un solo de guitare parfaitement maîtrisé et vraiment très plaisant. Un court titre de près de 3 minutes et demie vraiment excellent. Revolution Now, un long morceau, au son et à la voix trafiqués, très bien présentés, de très bons couplets, un refrain exploité à merveille. Cette fois-ci, Kiske est vraiment motivé, il assure vraiment son chant. Il y a une longue interlude consacrée aux solos de guitare, pendant bien deux minutes, ce qui fait donc de Revolution Now un titre tout simplement superbe. Il y a également Music, un long morceau vraiment réussi, notamment dans le refrain, aux multiples mélodies. Et, bien sûr, I Believe, un morceau à plusieurs parties, toutes réussies.

Chameleon est un album original, bon à la base, d'un autre style, mais attention, même moi ayant apprécié cet album, sous prétexte que Chameleon ait déjà fait perdre quelques fans à Helloween, je vous demande ceci : Ne tentez plus d'autres styles et continuez à sortir des albums comme Master of the Rings! Et ne composez plus de plaisanteries comme le sont Windmill, I Don't Wanna Cry No More et In The Night, je vous l'implore !!

5 Commentaires

0 J'aime

Partager
EternalTearsOfSorrow - 06 Mars 2011: Oui, moi quand j'ai écouté "First Time", c'est justement le chant qui m'avait frappé, et c'est vraiment dommage. Parce que la musique est vraiment superbe, tandis que si l'on écoute bien en profondeur, on sent que le chant n'est pas intégralement à son affaire, notamment dans le refrain.
OVERKILL77 - 14 Août 2011: La vache, t'es dur avec Windmill !!! Je la crains pas c'te p'tite ballade moi. Et je trouve le solo plutôt sympa... C'est pas ce qu'ils ont faits de meilleur, c'est sûr... mais c'est bien meilleur (pour ma part) que "In the Night" par exemple, ou le très moyen "I Don't Wanna Cry No More"

... Allez-y, lapidez-moi maintenant !!! ;)
EternalTearsOfSorrow - 14 Août 2011: Mon dieu ! J'avais oublié que j'avais écrit un commentaire sur cet album ! Héhé. On voit que c'est un texte qui date, notamment quand je parle de "Windmill". Mais depuis, mon avis n'a pas changé, cela reste un des morceaux les plus affreux à mon sens qu'il m'aient été donné d'entendre en sachant que les auteurs sont des membres d'Helloween. ;)
 
christianfaith - 21 Décembre 2013: je reitère ; ce disque est une grosse enorme gigantesque merde que je n'ai même pas écouté jusqu'au bout
    Vous devez être membre pour pouvoir ajouter un commentaire