Enthrone Darkness Triumphant

Liste des groupes Black Symphonique Dimmu Borgir Enthrone Darkness Triumphant
Paroles
ajouter une chronique/commentaire
Ajouter un fichier audio
18/20
Nom du groupe Dimmu Borgir
Nom de l'album Enthrone Darkness Triumphant
Type Album
Date de parution 30 Mai 1997
Labels Nuclear Blast
Enregistré à Abyss Studio
Style MusicalBlack Symphonique
Membres possèdant cet album1182

Tracklist

1.
 Mourning Palace
 05:13
2.
 Spellbound (by the Devil)
 04:08
3.
 In Death's Embrace
 05:41
4.
 Relinquishment of Spirit and Flesh
 05:32
5.
 The Night Masquerade
 04:24
6.
 Tormentor of Christian Souls
 05:39
7.
 Entrance
 04:47
8.
 Master of Disharmony
 04:15
9.
 Prudence's Fall
 05:55
10.
 A Succubus in Rapture
 05:58

Bonus
11.
 Raabjørn Speiler Draugheimens Skodde
 05:03

Durée totale : 56:35

Acheter cet album

 $12.90  13,90 €  9,99 €  £31.25  $18.03  34,03 €  13,90 €
Spirit of Metal est soutenu par ses lecteurs. Quand vous achetez via nos liens commerciaux, le site peut gagner une commission

Dimmu Borgir


Chronique @ Lunuy

05 Juin 2011

Emperor-like version lighter ?

Comme a dit Confucius (dans ses rares moments où il n’était pas élitiste et myso) « une image vaut mille mots ». L’aperçu de la pochette donne d’une certaine façon raison au vieux philosophe chinois : un trône central, un noir personnage les fesses dessus et une couleur verte des plus mystiques.

Un symbolisme derrière ? Non, juste une illustration assez parlante de la principale thématique de ce troisième album bourrin de Dimmu Borgir sorti en mai 1997. Un peu plus parlante en tout cas que le titre pompeux " Enthrone Darkness Triumphant ". Rien que pour cette audace, je ne vais pas prendre de gants avec cette galette.

Mais avant toute chose...


I – LA QUESTION QUI TUE : un pompage en règle d’In the Nightside Eclipse d’Emperor ?

Le Norsk Black Metal (prononcez la formule de façon caverneuse) étant ce qu’il est, je vais laisser la parole à quelques « spécialistes » :

« - P’tain ! Pourquoi qu’la midinette qu’on a épargnée nous a convoqués ici !?
- Pas pour ton goût pour la bière en tout cas.
- Faux, Ingal : Kiru est toujours plus inspiré quand il est soûl.
- Bon, alors, elle nous veut quoi cette fille qui dit s'appeler Lunuy ?!
- Elle voudrait qu’on compare ITNE avec EDT...
- QUOI ?!?!? JAMAIS !!!! JE VEUX PLUS EN ENTENDRE PARLER DES MANCHOTS EMPEROR OU DES TOUTMOU BURGER !!!
- Chut ! Moins fort ! Faut pas que les copains ou les Deatheux sachent qu’on ait là, ils jaseraient !
- Grrr ! J’vois pas pourquoi on lui dirait ce qu’on n’en pense !
- Allez, Kiru, un petit effort pour la belle. Elle était bien sympa.
- Ok ! Le v’là mon avis : Ihsahn aurait dû jeter ses synthés par la fenêtre dès "Wrath of the Tyrant"... ! NON, en fait, bien avant ! Lui et Samoth, ils ont rien fait d’autre que cacher leurs bras cassés de guitaristes ou de batteur derrière des murs insupportables de claviers qui pètent plus haut que leur cul ! Bien fait pour eux si Toutmou burger leur a repris tout le plan des hyper-couches (culottes) superposées sur leur saleté d’EDT !
Et je reste poli !
- Mouais… et toi, t’en penses quoi, Ingal ?
- ‘L’a pas complètement tort : niveau technique ou composition, Dimmu a tout copier sur mon cher Emperor, c’est bien connu.
- T’as des preuves de ce que tu avances, là ?
- M’enfin Yurz, elles sont évidentes ! Les claviers d’EDT sont arrangés de la même façon par rapport aux guitares. Pareil pour la progression ou l'enchaînement des titres. Et quelles que soient les rythmiques, on a un large éventail de mélodies... En fait, ils ont juste choisi des guitares et une batterie surproduites et moins tranchantes et des titres plus courts pour que cela passent mieux auprès des pseudo-fans de Black. Tsss ! Ne me dis pas que tu ne l’as pas remarqué ?
- Tu sais, moi et Emperor... je préfère le Moon in the Scorpio de Limbonic Art ou le Nexus Polaris de Covenant*, donc... Mais je crois que t’exagère un peu : par rapport à In the Nightside Eclipse, Shagrath a un chant plus en avant qu'Ihsahn ; les arrangements des claviers sont moins denses ou envahissants par rapport aux autres instruments et leurs sonorités différentes, avec moins de simulation de chœurs ; et puis il y a un vrai piano en plus, déjà présent sur Stormblast, qui donne une...
- Bon, on’ va pas y passer la nuit, les gars ! 'Marre des blagues symphos pour trends-minettes ! J’ai gaspillé ma salive et j’ai soif ! ‘M’en vais de suite boire une bonne blonde !
- Je crois bien qu’on va en rester là, Yurz, sinon Kiru va encore piquer une crise de nerfs.
- Ouais, t’as raison Ingal. De toute façon, on a déjà tout dit. Allons le suivre au bar avant qu’il nous pique la meilleure bouteille. »


[*Ancien nom du groupe The Kovenant]
-----

Fin de l’intermède, hélas sans grand intérêt...

Crédits : trois sympathiques « Black fâcheux » rencontrés par ma pomme sur les comm’ de la « chronique » notant 04/20 le Spiritual Black Dimensions de Dimmu (quatrième opus, 1999, avec Vortex au chant clair).

-----


II – L’accroche personnelle / les premières impressions


Si l'on considère ses deux premières œuvres, Dimmu Borgir a complètement changé d’approche avec son troisième album : tempo nettement plus rapide ; constructions des morceaux moins composites ; aucun interlude instrumental et titres possédant à peu près la même durée.

Je vais être franche : j’ai été subjuguée à la première écoute d’EDT. Et à la deuxième. Et à la troisième...
On me signale que le Black sympho de Dimmu est devenu artificiel, pompeux à partir de l'arrivée du groupe chez Nuclear Blast ? ‘M’en contrefiche ! Ça passe comme une lettre à la poste chez moi !

Mais au diable les étiquettes traditionnelles ! Pour moi, ce n’est pas du Symphonic ou du Melodic Black Metal, mais du "Physique Black Math" ! ("physique" en anglais pour plastique en français ; math pour mathématiques).
Une précision de matheux et un souci du détail digne d’un peintre néo-classique qu’ils ont eu, les compositeurs, dans la confection de leurs compositions !

Considérons les sonorités : de massifs riffs de guitares Heavy carrés de chez carrés ; des assauts des percussions ultra calibrés au centimètre dans les compositions ; des lignes de synthés et de piano fichtrement bien ajustés avec l’ensemble ; des arrangements vocaux sans faute de bout en bout...
Alors qu’un titre comme l’ouverture " Mourning Palace " distille une atmosphère lourde et froide, des ambiances bien variées donnent un petit côté ésotérique à des tueries au tempo très soutenu, telles que " Spellbound (by the Devil)", " The Night Masquerade " ou " Master of Disharmony ".

Si l’on résume, Dimmu nous offre un " Physique Black Math " aux coups imparables, qui placent les Ténèbres définitivement sur le trône dès la première minute de l’écoute : une percée de la mêlée en plein centre par des assauts directs (blast-beats/rythmiques Speed), de savantes manœuvres sur les flancs (mid-tempo) ou quelques feintes (breaks centraux des arrangements néo-classiques) avant de redoutables contre-attaques (solos de guitares/retour de la batterie)...
Les Noirs dominent les Blancs dans cette intense partie semi-rapide de plus de 50 minutes !
Et pour finir en beauté, la ballade " A Succubus in Rapture " envoie la Dame noire exécuter un interminable baiser de la mort au Roi blanc : Échec et Mat à la Lumière !


... Mais bon, ne soyons pas trop naïve...

-----


III – L’exploration en profondeurs des Ténèbres... pas si profondes que ça, en fait...


D’abord, qu’on ne vienne pas me dire que ce disque est en tout point irréprochable sur le plan (ultra-)technique. Mon oreille aguerrie en a entendu des notes pas très bien rendues. Et on dit après que Dimmu se permet d’avoir une production exagérément clean, en particulier au niveau des guitares ou de la batterie ?
Enfin... c’est juste un détail insignifiant ; que certaines fréquences soient plus ou moins diminuées par rapport à l’ensemble, ce genre de chose s’est déjà entendues maintes et maintes fois avec d'autres groupes de Black Metal... et souvent, cela allait dans le sens de la démarche artistique de ces derniers.

Par contre, côté sonorités, il y a quelques petits trucs qui me chiffonnent sur EDT :

Les arrangements des claviers ? « Zolis, Zolis » ! Mais bien trop kitsch par moments !
Les lignes de piano ou de carillon (glockenspiel électronique ?) sur " In Death’s Embrace " ou " Entrance " demeurent linéaires et répétitives pour pas grand chose ; la couche de synthé de " Relinquishement of Spirit and Flesh " et l'ambiance orientale (via des simulations de chœurs) de " Tormentor of Christian Souls " sonnent un trop superflues...
De trop le piano ? Non : il est plus discret, inquiétant et inspiré sur d’autres pistes, notamment sur " Prudence’s Fall "... Tant mieux !

Le chant principal ? Euh... Wahooou ! « Vachement impressionnante » la voix de Shagrath, avec son chant hurlé et réverbéré, tellement torturé que c’est à s’en décrocher la mâchoire ! (mauvais jeu de mots, je sais, mais c’était trop tentant) Ah, parfois on a droit à quelque growls... Très bien !
La voix éthérée de la " guest star " Bente Engen à la fin de " The Night Masquerade " ? Pfiouuu ! Surprenante et provocante !

Ah, et les paroles... tellement imaginatives !
Invoquer les forces des Ténèbres, l'obscurité et Satan, c’est important, mais quand même ! Que certains titres soient un peu plus mystérieux ! " In Death’s Embrace " ; " The Night Masquerade " ; " Master of Disharmony "... Le sommet de la caricature est atteint avec le refrain très neu-neu de " A Succubus in Rapture ".
Au moins le précédent Stormblåst, malgré ses petits passages mous du genou et ces vocaux perfectibles, savait lui surprendre avec ses titres et ses textes écrits en norvégien et ses compositions bien plus complexes.

Tiens, au fait, ce retour en force des guitares et de la batterie après ce chant lent de Shagrath... ou ces petits accords néo-classiques introductifs des morceaux ou usés comme de brusques breaks atmos... ou même ces solos très Heavy des guitares... ou encore ce rythme général très soutenu... Je sens le copier-coller d’un ou plusieurs morceaux de certaines productions sorties courant 1996 par d'autres forma...
[S’interrompe par un raclement de gorge :] Hum-hum ! Non ! Ne faisons pas bondir les fan(atique)s de Dimmu. Ce serait tellement cruel... Et qui sait ? Si ça se trouve, je me perdrai dans de douteuses comparaisons stylistiques... Je n’ai pas la prétention d’avoir la science infuse, moi ! Contrairement à certaines personnes...


CONCLUSION / NOTATION


J’ai beau me prétendre matérialiste, mon esprit lunatique n’en ait pas moins un peu déboussolée par cette galette. " Very Evil " malgré les claviers ? Je n’irais pas jusqu’à dire ça. Je rejoindrais plutôt l’avis d’un certain chat noir : plus mystique que malsain.

Que dire d’autre, sinon ? Tout le monde sait que c’est à partir de cet album que la scène Black Metal (norvégienne, en particulier) va copieusement vilipender et brocarder le groupe, cet ange noir renégat osant se servir de manière immodérée d’arrangements néo-classiques, de mélodies ou de rythmiques plus Heavy ou Thrash que Black, ou d’une production très clean... En somme, pour les puristes, du « Black commercial », aux orchestrations devenant de plus en plus boulimiques avec le temps – ça viendrait de là ce sobriquet « Dimmu burger » ?

Et puis tiens, pour le coup, j’vais pas noter cet album EDT tant critiqué (et décrié). Donner un stupide nombre d’un ou deux chiffres ? Rien à cirer ! J’veux pas polémiquer !

Mon avis n’est qu’un avis parmi tant d’autres...

Lunuy.

20 Commentaires

18 J'aime

Partager

Ihopeyoudie - 29 Août 2011: N'oublie pas ce que je t'ai demandé en mp Lunuy...
Vic_Rattlehead - 21 Novembre 2011: Désolé de m'immiscer, n'étant pas un fan de Black Metal, je suis juste là pour saluer le travail de Lunuy. Bravo!
Soli - 17 Mai 2012: Pour moi un disque parfait, une ambiance mystique (Je reprends tes mots Lunuy), une réalisation fantastique, j'en ressens une plénitude inébranlable.
En bref une réalisation majestueuse.
20/20 inéchangeable.
echaosis - 13 Novembre 2014: L'idée d'un album plus mystique qu'obscur est la plus pertinente à mon goût. EDT ne donne pas la pêche noire et sulfureuse que l'on peut avoir en écoutant un bon vieux Taake, ou un malsain A Blaze In The Northern Sky. On est dans le "clavier", non EDT vient avec la solitude, le froid, le vide et l'abandon. Les riffs plus heavy que thrash écrasent, le combat laisse place au contemplatif. Question de sensibilité. Excellent album de Dimmu. Pour moi le meilleur devant SBD et Stormblast (2005, oui je sais).
Cet album en soi est excellent.
    Vous devez être membre pour pouvoir ajouter un commentaire

Commentaire @ Mika_Helvetia

05 Janvier 2006
Au cours de sa carrière, Dimmu Borgir a toujours évolué dans son style, c'est à dire se perfectionner sans perdre son esprit Black Symphonique. Enthrone Darkness Triumphant suit donc cette évolution, un an seulement après le somptueux Stormblast, en nous offrant un style toujours très mélodique et nostalgique en accentuant plus le côté Heavy avec des gratts plus présentes que sur les derniers opus.
Cet album est une parfaite démonstration de la puissance ténébreuse, de mélodies attristées et de compositions symphoniques.
Cet album se différencie encore par l'utilisation de la langue anglo-saxonne (les Norvégiens écrivaient dans leur langue natale sur les précédents albums). Ce qui retire malheureusement ce côté très guttural qui s'associe si bien avec leurs œuvres.
Des morceaux incontournables sont présents sur cet album :
Mourning Palace, expression parfaite de douleur spirituelle qui est sans doute le morceau le plus connu de l'album!
Dans un style plus encré dans la puissance; Spellbound By The Devil dont les riffs sont plus rapides et la batterie plus puissante avec passablement d'usage du double pédalier.
Quand on part comme ça on ne s'arrête pas et on fait encore plus rapide, plus malsain, plus mélodique et sombre pour obtenir In Death's Embrace dont la batterie est toujours aussi rapide. Et cette fois c'est sans doute plus les claviers aux sonorités classiques qui offrent cette déferlante issues du grand Nord avec à la fois un sentiment de grandeur, de froid et de haine! A noter également un excellent solo de guitare et une très bonne impression laissée par son utilisation lors de concerts !
Dans une recherche d'un son plus Heavy et appuyé notons Relinquishment of Spirit and Flesh. Pour les amateurs de sensations glaciales et nocturnes, The Night Masquerade remplira parfaitement ce rôle avec pour combler cet esprit et le côté lourd du Metal une combinaison parfaitement orchestrée sur Tormentor of Christian Souls.
Retournons dans l'esprit triste et malsain du début de l'album avec un morceau très mélodique et profond; Entrance, qui à défaut de la puissance de In Death's Embrace nous offre une nostalgie indescriptible... l'envie de quelque chose que l'on ne connait même pas!
Un petit faux pas à mon avis sur cet album; Master of Disharmony. Non pas que quelque chose manque ou soit mal fait mais il ne comble pas les attentes qui avaient été satisfaites avec les autres morceaux.
Prudence's Fall est sans doute la piste qui dégage le plus cette impression malsaine issue tout droit des ténèbres que le Black Metal se doit presque obligatoirement de dégager. Ajoutez à cela une grande touche glaciale et une mélodie excellemment composée et le tour est joué !
Pour clore, A Succubus in Rapture, un morceau qui semble avoir été composé exprès pour cette occasion. Il dégage un énorme sentiment de tristesse à l'idée de quitter quelque chose, tout en rappelant la force de celle-ci pour nous dire qu'elle ne disparaitra jamais!!!

Très bon album qui a je crois, malheureusement fait associer Dimmu à certains autres groupes dans les esprits d'incultes ou d’inconscients, alors qu'il n'a rien avoir avec eux (je dis ça en positif)!

1 Commentaire

6 J'aime

Partager
LuneNoire - 14 Août 2010: La Quintessence même du Black Symphonique qu'est cet album.
Une escalade sans fin par dessus les nuages, laissant au coeur un sentiment unique et plaisant. Ce disque me plonge dans l'interminable, ce qu'on écoute sans être lassé, sans s'ennuiyer.
Un chef d'oeuvre parfait.
20/20.
    Vous devez être membre pour pouvoir ajouter un commentaire

Commentaire @ Black_Requiem

06 Avril 2004
J’ai été un peu déçu par ce Enthrone Darkness Triumphant déjà au niveau de la pochette (on dirait un dessin au crayon sur lequel on a frotté un chiffon pour étaler et mélanger le couleurs) mais aussi au point de vue musical. Peut-être n’aurais-je pas du écouter autant leurs trois derniers albums ( Death Cult Armageddon, Puritanical Euphoric Misanthropia et Spiritual Black Dimensions) qui sont des albums bien plus mélodiques, mais je ne crois pas que cela aurait changé d’une façon conséquente mon avis.

Bien sûr, les différentes parties sont exécutées avec sûreté, aucune incohérence n’est à noter au niveau de la rythmique des différentes parties ou alors au niveau de la justesse entre la basse, les claviers et les guitares. Pour moi, Dimmu Borgir a échoué par son envie de trop bien faire. Je m’explique : ils sont sans doute passé à coté de l’essentiel en voulant mettre trop d’ambiances et de sonorités sombres par ci, trop de parties vocales (qui à mon goût sont trop fortes par rapport à la mélodie) par là. C’est tellement plus beau lorsqu’un groupe laisse place à la mélodie et dont les parties chantées constituent un élément en plus et non une unité à part entière dans la musique. Je pense que Dimmu Borgir a voulu précipiter les choses en écrivant les morceaux et malgré la sonorité puissante que le groupe a su acquérir au fil des albums, l’album pêche par son manque d’entrain. En fait, il y a deux morceaux que j’aime sur l’album et encore, pas en entier. En effet certains morceaux ont des passages mélodiques intéressants (les voix synthétiques en particulier) mais le tout est peu mélodique dans l’ensemble.

10 Commentaires

1 J'aime

Partager

Matai - 28 Septembre 2009: Oui je suis d'accord avec ce qui est dit dans les commantaires, cet album est bon, et très mélodique (comment ça ce n'est pas mélodique? 'In Death's Embrace' ou 'A Succubus in Rapture' ne le sont pas assez ?)
J'ai découvert le groupe avec cet album, j'ai écouté les autres, chaque album a sa patte, celui là à le sien et je le trouve vraiment bien !
Ryfalgoth - 21 Juillet 2010: Enthrone Darkness Triumphant est certainement le meilleur album des Norvégiens, quoique Stormblast est sûrement aussi bon.

Effectivement les rythmiques et le clavier sont en parfait harmonie comparé aux albums plus récent où la guitare et le synthé ne collent pas toujours vraiment.
Trop d'ambiances et de sonorités sombres ? Tu aurais dit cela par rapport à Death Cult, oui. Mais là je ne vois absolument aucun problèmes.
Trop de parties vocales ? J'avoue ne pas comprendre au vu des magnifiques passages mélodiques qui sont proposés tout au long de l'album, notamment In Death's Embrace.
sebmorgul - 19 Août 2010: que ca soit stormblast ou enthrone darkness,des albums comme ca faut les mettre dans un coffre fort parce qu'il nen sortiront plus d'aussi bon!
Tfaaon - 05 Juin 2011: hum, moi, je suis dans le sentiment inverse que toi ( black-requiem ) : je préfère Enthrone Darkness à un Puritanical , que ça soit au niveau de la prod comme de la compo .
je trouve cet album à la fois plus beau et mieux inspiré , sans parler de la prod raté de Puritanical...
    Vous devez être membre pour pouvoir ajouter un commentaire