Welcome to the Other Side

Liste des groupes Heavy Speed Rage (GER) Welcome to the Other Side
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16/20
Nom du groupe Rage (GER)
Nom de l'album Welcome to the Other Side
Type Album
Date de parution 2001
Labels GUN Records
Style MusicalHeavy Speed
Membres possèdant cet album95

Tracklist

1. Trauma
2. Paint the Devil on the Wall
3. The Mirror in Your Eyes
Tribute to Dishonour
4. R.I.P.
5. One More Time
6. Requiem
7. I'm Crucified
8. No Lies
9. Point of No Return
10. Leave It All Behind
11. Deep in the Night
12. Welcome to the Other Side
13. Lunatic
14. Riders on the Moonlight
15. Straight to Hell
16. After the End
17. Sister Demon
Bonustrack
18. Don't Fear the Winter

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Rage (GER)


Commentaire @ Midiane

15 Décembre 2007
Rage est un de mes groupes de heavy favori et je me décide ce soir à en dire quelques mots. Encore des allemands bien entendu, ce groupe est né en 84 grâce au grand Peter Wagner (Peavey) musicien et chanteur charismatique. Le groupe se nomme tout d'abord Avenger, et change pour un Rage définitif en 1986.
Le groupe fait les premières parties des « grands » de l'époque comme Running Wild, UDO, Motorhead ou encore Saxon.
A partir de 92 à la sortie de l'album Trapped Rage s'impose comme un groupe prédominant sur la scène metal et acquiert une renommée internationale.
Après quelques albums Peavey décide de changer le line up du groupe et invite le multi-instrumentiste biélorusse Victor Smolski et le batteur américain Mike Terrana à le rejoindre.
Le trio joue pour la première fois au Wacken 99 et présente à cette occasion son nouvel album 38216. C'est ici celui qui nous intéresse.
Le groupe a aujourd'hui plus de 20 ans d'existence et reste un groupe culte dans le monde du heavy metal. Le line up actuel est celui ci : Peter Wagner dit Peavy (chant, basse), Victor Smolski (guitare) Andre Hilgers (batterie).

Mais parlons de 38216, second album de Rage version Terrana /Smolski, celui ci est une belle réussite. Le résultat de la collaboration est concluant comme nous le montre cet album. Il reste dans la lignée du précédent Black in Mind.
Ici nous avons 17 titres avec bien évidemment certains plus réussis que d'autres mais un certain équilibre est tout de même respecté.

L'album débute très bien, l'intro Trauma nous plonge dans l'univers narratif et lyrique qui nous inprégnera tout au long de la galette.
Le second titre Paint The Devil On The Wall est un titre efficace et dynamique accessible très rapidement, tous comme The Mirror In Your Eyes au refrain entrainant. Les parties instrumentales y sont simples mais accrocheuses.
R.I.P. Est un aparté de 2 minutes, la voix se fait plus vibrante, la mélodie plus caressante, elle introduit à merveille le cinquième morceau, One More Time.
Vif grâce à un refrain cadencé qui sauve vraiment le morceau. On notera quelques parties progressives, peu surprenantes elles s'intègrent parfaitement bien dans le morceau.
Requiem reste dans le même esprit que RIP, les notes sont reprises, l'échappée d'une minute et demie ouvre de façon intrigante le 7eme morceau I'm Crucified.
Ici nous avons un des titres forts de l'album, peut être mon favori à dire vrai, les paroles sont horribles pourtant l'ambiance est paradoxalement enjouée et légère au moment du refrain. Le reste du morceau est bien plus pesant. Ce morceau permet notamment a Smolski de se lâcher et à Terrana de se défouler un peu.
On en arrive à un titre avec lequel j'ai honnêtement beaucoup de mal a accrocher. No Lies.
A commencer par l'intro qui me dérange tellement, Peavey prend une voix poussive et mis à part le refrain et les escapades de Smolski. rien ne m'emballe vraiment.
Point Of No Return quant à lui est un mid tempo assez banal dans le style de One more Time.
Leave It All Behind est un titre tempéré, énergique et enthousiasmant.
11eme morceau Deep In The Night est empreint de douceur,et s'illustre plutot comme une «ballade» au sein de l'album.
Le titre éponyme 38216 est un basique et a tout pour plaire.
Pas étonnant c'est du Rage tout craché. On aime ou on aime pas bien entendu. C'est un morceau très entier qui s'offre a nous. Les dix dernières secondes tempèrent un peu la chanson pour introduire la petite transition instrumentale d'une minute: Lunatic.
Morceau plutôt plaisant même si un peu fade comparé au reste de l'album Riders On The Moonlight est un peu décevant.
Pareil que pour Straight To Hell, le titre suivant. Le refrain est un peu maladroit et au final c'est ce que je retiendrait de ce morceau....
Le titre qui retiendra véritablement l'attention est After The End, il reste définitivement La ballade de l'album. Elle diffère réellement du style de Rage mais est vraiment bonne par ailleurs. Elle convient parfaitement à la voix pénétrante de Peavey. J'accroche sincèrement et j'aurais trouvé ça idéal si l'album s'était conclu par ce morceau.
C'était sans compter l'ultime titre, Sister Demon. C'est peut être pour ca que je grimace toujours un peu quand on passe de la douceur de After the end à ce titre...

Ma conclusion est que cet album est le premier que j'ai découvert des allemands, c'est peut être ce qui me l'attache au fond.
Pour moi, il possède une certaine homogénéité malgré les ambiance diversifiées au sein de l'album.
Le line up était plus que jamais soudé à l'époque, quelques touches progressives pas dérangeantes au demeurant se sont glissées par ci par la. L'album est bien rythmé, même si certains titres ne sont pas tellement indispensables et rallongent un peu l'écoute de la galette.

Midiane

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Albireo - 08 Juillet 2013: Un des problèmes avec Rage est l'irrégularité dans leurs albums. Et celui-là est l'un des plus marqué par ce souci.

Une première partie magnifique, carrément enthousiasmante !! Après un "Trauma/Paint the Devil on the wall" d'une efficacité dévastatrice, un "The mirror in your eyes" limite barré, vient la pièce maîtresse "Tribute to dishonour". Majestueuse, prenante ! Et cette chanson "I'm crucified" qui est l'une des meilleures que Rage ait jamais composées ! Refrains lourds, presque malsains, et couplets enjoués sur des paroles terribles ! Sans compter un thème introductif de toute beauté. Whaou !

Et tout d'un coup, le néant. "No lies" inintéressante. Globalement, toute la fin n'est pas extraordinaire. Ça bastonne mais ça tourne à vide.

Album toutefois à posséder pour les 20 première minutes vraiment géniales !
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