The Atrocity Exhibition...Exhibit A

Liste des groupes Thrash Bay Area Exodus The Atrocity Exhibition...Exhibit A
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17/20
Nom du groupe Exodus
Nom de l'album The Atrocity Exhibition...Exhibit A
Type Album
Date de parution 28 Octobre 2007
Labels Nuclear Blast
Style MusicalThrash Bay Area
Membres possèdant cet album426

Tracklist

1.
 Call to Arms
 01:33
2.
 Riot Act
 03:37
3.
 Funeral Hymn
 08:37
4.
 Children of a Worthless God
 08:24
5.
 As It Was, As It Soon Shall Be
 05:15
6.
 The Atrocity Exhibition
 10:33
7.
 Iconoclasm
 07:54
8.
 The Garden of Bleeding
 19:51
9.
 Bedlam 1-2-3
 00:05

Durée totale : 01:05:49

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Exodus


Chronique @ eulmatt

02 Décembre 2007
Le thrash old-school revient à la mode depuis quelques temps, tout le monde l’aura remarqué. Les pisse-vinaigre et autres rabat-joie pourront toujours cracher dans la soupe, après tout, en stigmatisant ces effets de mode et de tendance qui glorifient ce qu’il convenait de railler juste avant. Mais pour le fort contingent de fidèles (dont votre serviteur) qui ne s’est jamais lassé d’écouter ses vieux CD, même en plein cœur des années 90, alors que ce style était synonyme de ringardise absolue, c’est au final un joli pied de nez.
Le décor étant planté, une objection s’impose : des vraies légendes du thrash des années 80, combien participent-elles pleinement à cette renaissance ? Testament, le premier, avait réussi à tenir tant bien que mal le cap pour accoucher d’un The Gathering brillant mais un peu isolé…c’était en 1999. Depuis, Kreator a frappé fort avec son Enemy Of God, teigneux à souhait, et le Maître en personne, Slayer lui a emboîté le pas avec Christ Illusion, son meilleur album depuis…Seasons In The Abyss ! Voilà en ce qui me concerne les seuls disques marquants des légendes du thrash que je vois dans l’ère moderne (qui a dit « Overkill » ?), et au final c’est bien léger.
Venons-en enfin au fait de cette chronique : un quatrième monstre vient de frapper à son tour et participer au mouvement : Impact Is Imminent. Et The Atrocity Exhibition risque de faire du bruit.

Bien sûr, nos amis en sont à leur troisième album depuis 2004, signe d’une réelle volonté de subsister, mais jusqu’à présent, bien que solides et réussis, leurs albums contemporains étaient encore loin d’avoir l’impact des vieux disques de la période dorée, du légendaire Bonded by Blood jusqu’aux fameux Fabulous DisasterImpact Is Imminent, achevant avec brio la décennie 80.

« The Atrocity Exhibition…Exhibiton A » est d’un tout autre calibre, et bien que je n’aie pas pour l’habitude d’écrire des chroniques « à chaud », cette fois-ci je ne parviens pas à freiner mon enthousiasme : ce disque là figure dans le gratin de la discographie des Californiens, et à coup sûr c’est l’une des deux ou trois plus grosses claques thrash metal de ces dernières années.

Côté line-up, ça se stabilise : le « vieux » Tom Hunting est de retour pour remplacer l’excellent Paul Bostaph, et l’énergique Rob Dukes semble avoir définitivement écarté le fameux Dave Souza. Côté production, un savant mélange de puissance, de clarté et de gras pour un son moderne et percutant.

Nous voilà partis pour une heure de baffes, de headbanging et de metal de base comme on l’aime. Tout débute par une petite introduction martiale et succinte, qui n’a pour vocation que de prévenir que ce qui va suivre est sérieux. Ah les premiers riffs de Riot Act, et ce panzer de batterie qui s’en mêle, la déferlante vocale et des soli d’école, le tout dans un matraquage en règle qui vous ferait risquer une entorse cervicale, comme ça, à froid. Thrash rules…
S’en suivent deux titres sacrément fournis, de chacun plus de huit minutes, et au cours desquels tout y passe : l’art du muting et de la corde à vide pour pondre des riffs à faire frémir tout fan de thrash normalement constitué, la gestion maîtrisée du tempo et l’impact du métronome Hunting, une agressivité et une rage intactes, des breaks lourds comme un truck américain, quelques touches mélodiques toujours bien senties et une émotion particulièrement présente à l’exécution de chaque solo. Je peux vous dire que vous bénirez le travail de sape lourd et imposant des cinq premières minutes de Funeral Hymn, lorsque l’accélération finale vous filera des frissons de joie, ou que vous vous laisserez embarquer dans les superbes alternances de rythmiques massives et d’envolées mélodiques du magnifique Children Of A Worthless World.

Passé un intermède plus quelconque, du moins plus conventionnel avec son unique riff gras et un poil convenu sur un rythme de tracteur (As It Was, As It Soon Shall Be), le souffle est à peine repris que le titre éponyme vous recolle en profondeur au siège. Pas radins les thrashers de la Bay Area, qui vous en donnent pour plus de dix minutes, maîtrisant les ficelles du métier pour vous coller à n’en plus finir de joyeuses accélérations que l’on prend en plein buffet à chaque fois, son pied avec. Ah, le break de milieu de morceau, bien glauque et poisseux et son enchaînement progressif tout en accélération déhanchée…technique irréprochable, justesse mélodique et utilisation judicieuse du répertoire heavy metal quand il le faut. Du cousu main, qui finit dans une atmosphère très sombre, sur un larsen qui se perd…jusqu’au riff initial, rapide et incisif, de Iconoclasm. Notre ami vocaliste y déverse son ire avec virulence, quitte à y laisser quelques cordes vocales en route…et ça envoie sévère ! Toujours quelques jolies parties de guitare, et toujours cette même débauche d’énergie savamment contrebalancée de magnifiques envolées mélodiques.

L’avant-dernier morceau est finalement le seul qui transpire autant l’old-school, avec un riff binaire appuyé sur le même temps par la batterie, façon Anthrax des grandes années, la fantaisie en moins, la haine et la violence en plus…

Le temps s’écoule décidément trop vite, et voilà déjà la fin avec Bedlam 123. Intro curieuse, un peu souffreteuse pendant au moins…deux minutes, avant de repartir pour un dernière séance avec un riff pointu et une rythmique toujours aussi musclée, le tout pour une nouvelle tempête très proche de ce qu’a pu produire Machine Head sur son dernier album dans l’enchaînement des riffs complexes et du jeu de batterie qui ne l’est pas moins. Deux soli plus loin, la nuque ankylosée et la tête vidée de tout tracas, c’est comblé que vous achevez l’écoute de ce disque phénoménal.

La conclusion ira de soi : The Atrocity Exhibition est un grand album de thrash. Non content de mettre en avant la santé incroyable de cette légende qu’est Impact Is Imminent, il est remarquable de constater que son thrash n’a rien perdu de sa rage et de son énergie originelles, mais qu’en plus, bien plus que de ressortir des vieilles recettes un poil dépoussiérées, Impact Is Imminent nous produit là un metal résolument moderne, qui ne se complait pas à regarder dans le rétro. Et c’est un sacré tour de force. Vivement la suite ! (Exhibit B ?)

Je ne peux finir sur autre chose que le vieil adage de mon ami Fabien : « Thrash now, Work later ! ». Avec Impact Is Imminent, c’est encore plus vrai.

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MCGRE - 27 Septembre 2012: Superbe chronique comme d'hab hé hé par contre il y a une petite erreur sur le 3e titre c'est children of a worthless god et non pas children of a worthless world mais je pense plus a une faute de frappe qu'a une vrai erreur de ta part .
Baal666 - 01 Novembre 2012: je connaissais Exodus avec l'album Shovel headed kill Machine mais avec cette album the Atrocity exhibition ( et le suivant Exhibit B) ils ce sont vraiment surpassé!!!!! le refrain de children of a worthless world et magnifique!!
surement l'un des meilleurs groupe de thrash de tout les temps


" I you fear!!! seeing Throught your lies!!!
You I fear,raping of innocent minds!!!"
NICOS - 13 Avril 2013: L'album souffre quand même terriblement de ses longueurs.
mechant - 17 Mai 2019:

J ai beaucoup ecouté cet album lors de son achat et il revient regulierement dans mes choix THRASH lors de mes ecoutes au boulot.

Vieille ecole au son moderne, exodus tape fort avec ce missile. Le chant me va bien ...meme si parfois je le trouve un trop "gueulé".

La batterie et la basse sonne telle le binome rythmique indisociable qu il faut pour qu'1 album Thrash soit au top.

Les 2 exhibit sont a mes oreilles 2 tres bons albums qui s inscrivent parfaitement dans la logique evolutive du groupe.

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Chronique @ Fetus

05 Janvier 2008
Ah, les années 80… Je n’étais même pas né, mais quand je regarde ma collection de disque qui correspond à cette date, franchement, je me dis que c’était du bon. La grande époque du thrash metal. Toi, vieux routier père de famille qui lis ma chronique, rappelles toi de Master Of Puppets de Metallica, Reign In Blood de Slayer, et d’autres albums et groupes si cultes qui cartonnaient à l’époque. Le temps s’écoule et on arrive aux 90’s. Et là, c’est le drame. Les solos de guitare sont devenus ringards, les pantalons moules burnes sont devenus honteux. Bonjour au grunge, au néo metal et à la fusion, et au revoir le thrash metal. Oui, rappelles toi des albums des groupes cités plus haut sorti à cette époque. Bof bof, hein… Puis nous voici dans les années 2000. Peu à peu, le heavy et le thrash metal reviennent à la mode, même certains groupes de néo se mettent à faire des solos de guitare. Certains groupes de thrash tentent des retours aux sources. Résultat médiocre (ça vous parle, un certain Metallica ?). Petit à petit, Overkill ou encore Kreator reviennent en force. Exodus aussi. Après deux albums « Tempo of the Damned » et « Shovel Headed Kill Machine » non négligeables, nos cinq thrash metalleux d’Exodus sortent un de leur meilleur album et aussi un des meilleurs de l’année 2007. Je m’explique un peu plus clairement :

Le disque est introduit par un rythme martial qui s’amplifie progressivement. A cela s’ajoute quelques accords de guitares en son clair. La distorsion des guitares et les autres instruments parviennent d’un seul coup pour jouer quelque chose de très heavy. « A Call To Arms » introduit le CD d’une façon solennelle et rappellera à quelques fans l’intro de l’album Master Of Puppets. The Atrocity. Pas la peine de faire attendre d’avantages l’auditeur, le CD enchaîne directement sur « Riot Act », un titre à la longueur moyenne, au riff rapide, puissant, avec un Rob Dukes très efficace à son poste de chant. Un chant nerveux, sec mais guttural en aucun cas.

C’est à partir de la troisième piste qu’Exodus passe aux choses sérieuses, avec « Funeral Hymn ». Presque neuf minutes de thrash metal sans aucune pause. Les riffs de guitares s’enchaînent progressivement d’une manière très carrée, très professionnelle. Les solos de guitares sont d’une technique irréprochables et s’emboîtent parfaitement avec la guitare rythmique. La combinaison de ces deux là nous emmènent dans des contrées épiques où se déroulent longues batailles atroces et violentes. Epiques, héroïques, ce sont des mots parfaits pour résumer « Children Of A Worthless God », un des meilleurs morceaux de cet opus. Comme pour le titre précèdent, on ne sent même pas passer les huit minutes tant le morceau contient de parties différentes, ce qui ne fait pourtant pas perdre le rythme très rapide de cette irréprochable galette. On a faire ici à des refrains en chants clairs et torturés ce qui donne vraiment un côté héroïque à la chanson. Une fois de plus, le groupe nous fais voyager dans de lointaines contrées avec ses impressionnants solos d’une longueur respectable.

Exodus ne laisse vraiment aucun répit à l’auditeur. La piste suivante, malgré un rythme un peu plus lent dû à un riff de guitare assez lourd et hard rock, ne nous laisse pas souffler. « As it was… » est donc une piste avec un esprit très rock’n’roll, très old school, et surtout très thrash ! Parfait pour headbanguer dans la fosse, en buvant une longue gorgée de sa bière de temps en temps. Mais la rigolade est terminée, messieurs. Effectivement, on arrive à la piste éponyme qui ne dure pas moins de dix minutes. Un morceau dont il vaut mieux se préparer à écouter, en s’asseyant tranquillement dans son fauteuil armé d’un bol de lait chaud (ou d’une pinte de bière pour d’autre). Après une petite intro, les couplets nous mettent sur tension avec un rythme ultra rapide, qui se calme heureusement sur les refrains. Ce titre à un côté urgent et alarmant qui pourrait provoquer d’énormes circle-pits dans le public. Après un long solo, le morceau part en mid tempo saupoudré d’une batterie vraiment présente (merci Tom Hunting), en parfait accord avec les guitares de Gary Holt et Lee Altus. On enchaîne avec un joli larsen sur « Iconoclasm », un peu moins long que le titre éponyme. Un titre qui n’a rien de spécial : thrash, rapide, sans aucune pause, crevant et épique.
La fin de l’album est de plus en plus proche. Je suis à bout. « The Garden Of Bleeding » m’achève littéralement à coup violent de massue. Mais je ne suis pas encore mort : Il reste un dernier morceau, « Bedlam 123 ». Le titre commence doucement, avec un riff de guitare très répétitif et une basse beaucoup plus présente que d’habitude. J’espérais après cela une petite pause, un moment de douceur. Et ben non, Exodus m’a dit d’aller me faire voir. Si Exodus commence violemment, alors il finit aussi violemment. Progressivement, le son des riffs tranchants de guitares s’éteint, après s’être battu comme une bête.

The Atrocity Exhibition est donc un des meilleurs albums de thrash metal et de métal tout court pour cette année. La production et le mixage sont parfaits, tous les instruments sonnent bien et sont mis en avant. Les morceaux sont construits intelligemment, et sont accompagnés de solos vraiment épiques. Exodus a également réussi à faire un CD durant une heure sans pratiquement aucune pause. Des titres longs et violents à souhaits, qui ne laissent pas le choix à l’auditeur.
J’en reviens à mon routier père de famille. Oui, toi, qui as lu ma chronique, rends toi conte que la belle époque du metal que tu as vécue il ya presque trente ans sont entrains de revenir petit à petit. Certains ne doivent pas du tout être d’accord avec moi, mais je sens que les années à venir vont être très riches pour le metal. Je sens quelque chose de très gros venir. The Atrocity Exhibition… Exhibit A est un présage envoyé par les dieux, pour nous prévenir que quelque chose de très fort pour nous, metalleux, va arriver.

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boule - 04 Août 2008: excellent, Exodus est de retour
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Chronique @ thecrazydrummer

08 Décembre 2007
Le voici le voilà le nouveau Exodus, The Atrocity Exhibition - Exhibit A qui succède au dernier très bon Shovel Headed Kill Machine. Premier volume de The Atrocity Exhibition car
si j'ai bien compris (arrêtez-moi si je me trompe, et pardonnez mon ignorance...) un 2éme album portant le nom de The Atrocity Exhibition Exhibit B cette fois devrait sortir dans quelques temps. M'enfin ne pensons pas à l'avenir, et découvrons plutôt ce nouvel opus.
Déjà pour tout vous dire j'adore le cover, cet ange crucifié recouvert de tête de morts moi je trouve ça splendide. Ok, la pochette peu difficilement déterminer la qualitée du CD qu'il y a derrière mais c'est toujours un petit plus. A noter un beau packtage qui doit être surment réservé à l'édition limitée...

C'est partit, j'enmanche le disque dans le lecteur! Enfin!
Intro façon "militaire" sur Call To Arms, et peu à peu quelques accords légers de grattes...Tout ce fait progressivement avant que les guitares partent dans des beaux délires! Sublime intro, d'1min.33 et que j'aurais bien vu en morceau complet; m'enfin bon, c'est pas moi qui fait...Et derrière pas de répit! Riot Act vous arrive comme un puissant coup d'genou dans l'plexus (pardonnez l'expression), le début est à en donner des frissons avec un riff qui se caractèrise par un: "1,2,3; 1,2,3; 1,2,3; 1,2,3" tout simplement sublime. Très bon titre, le plus court de l'album (si on ne compte pas l'intro Call To Arms), les autres sont bien plus long...

Funeral Hymn, Children Of A Worthless God...Deux tracks de 8min' chacunes, un bonheur prolongé donc. Car ce sont deux merveilles, mais j'ai un petit faible suplémentaire pour Children Of A Worthless God. Un riff dévastateur là-dessus, un refrain plus ou moins chanté, des solos guitares bien venus (4:20) j'ai failli mourir tellement c'est beau.
La continuitée de l'album est dans le même ton, tel un rouleau compresseur Exodus nous cloue le bec' une nouvelle fois avec un bon thrash qui ravira tous les puristes du genre j'en suis sûr.
Je passe le bon As It Was, As It Soon Shall Be pour vous parler de The Atrocity Exhibition titre éponyme donc, à nouveau 10 minutes de thrash comme on en fait plus....
Un côté malsaint s'en dégage du riff principal, une saveure du mal je dirais; difficile à expliquer à vous d'écouter et de vous prosterner si je puis dire.
Se prosterner, c'est le mot qui revient également sur le morceau suivant: Iconoclasm. Je me souvient m'être secoué comme un 'ti fou en écoutant pour la première fois ce titre.
Ca va mieux maintenant merci, quoique...Il faut dire que c'est tellement bon qu'à chaques fois on se croirait encore à la première écoute, divin! Sur les couplets, la voix est mise en retrait de forte belle manière par rapport aux guitares.

Mais continuons l'ascension du mont Exodus, et de ce The Atrocity Exhibition - Exhibit A! The Garden Of Bleeding possède le dont d'avoir une intro bien angoissante, là encore très malsaine. C'est qu'un avis m'enfin je verais pas ça dans la B.O. de Bambi si vous voyez ce que je veux dire...Ce côté est encore plus renforcé en présence du chant, démoniaque à souhait tout ça me fait encore vibrer.
9 titres? C'est tout? J'en aurais bien pris plus moi! Ahh bah il reste quand même ce 9éme titre, Bedlam 1-2-3!
Que dire de plus si ce n'est ce que j'ai répéter à plusieures reprises plus haut, on ne peut que ramasser ses dents devant une telle puissance et agressivitée.

Vient maintenant la conclusion, une grosse baffe dans ma gueule! Désolé du language plus ou moins familier de cette expression, mais là...Il n'y a que cela qui colle parfaitement à ce qu'est réellement ce chef-d'oeuvre. The Atrocity Exhibition - Exhibit A est à ne pas manquer, qui plus est si vous êtes un fan d'Exodus et que vous avez adoré le dernier en date : Shovel Headed Kill Machine.
Il est similaire, et surment meilleur je dirais. C'est très dur à dire, je n'aime pas comparer les bons albums entre eux...Voilà, vous n'avez plus qu'à l'acheter je vous le conseille fortement car à moi il m'a bien plût.

19/20

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