Painkiller

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19/20
Nom du groupe Judas Priest
Nom de l'album Painkiller
Type Album
Date de parution 03 Septembre 1990
Style MusicalHeavy Speed
Membres possèdant cet album1477

Tracklist

1.
 Painkiller
 06:06
2.
 Hell Patrol
 03:36
3.
 All Guns Blazing
 03:57
4.
 Leather Rebel
 03:34
5.
 Metal Meltdown
 04:50
6.
 Night Crawler
 05:44
7.
 Between the Hammer & the Anvil
 04:48
8.
 A Touch of Evil
 05:44
9.
 Battle Hymn
 00:56
10.
 One Shot of Glory
 06:47

Bonus
11.
 Living Bad Dreams (Re-Issue 2001)
 05:22
12.
 Leather Rebel (Live) (Re-Issue 2001)
 03:40

Durée totale : 55:04

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Judas Priest


Chronique @ BEERGRINDER

17 Juillet 2008

L’apothéose.

Episode XIII : l’apothéose.

Après un difficile procès contre des chrétiens extrémistes illuminés qui a heureusement vu nos Beatles du Heavy Metal acquittés (aux USA il existe désormais la jurisprudence Judas Priest), Rob Halford et ses acolytes peuvent désormais laisser éclater toute la colère, la frustration, et l’injustice ressenties pendant ses démêlées avec la justice.
Judas Priest va en effet « lâcher les chiens » et sortir un disque absolument ultime qui flirt par moment avec le Thrash Metal.

Faisant suite au bon mais irrégulier Ram It Down, rien ne laissait présager que Painkiller (1990) aurait l’effet d’une bombe à neutron dans le petit monde du Heavy Metal mais il y a plusieurs raisons à cela.
Tout d’abord l’intégration de Scott Travis à la batterie (ex Racer-X) va considérablement brutaliser la musique de Judas Priest par sa vélocité, sa double-pédale omniprésente et son jeu agressif. Ensuite au niveau des guitares : la paire Tipton / Downing va se surpasser pour pousser les duels de soli à leur paroxysme avec une efficacité, une vitesse et également un sens de la mélodie jamais égalés depuis.

La transformation du Priest transparaît jusque dans l’artwork où ce personnage imaginaire le « Painkiller », règne en maître sur sa mécanique de combat, au dessus d’une ville dévastée sur laquelle le Metallian, symbole du groupe bien avant de devenir un magasine, s’élève des entrailles de la terre.

Et enfin « last but not least » cette voix du Metal God, cette satanée voix reconnaissable entre mille (bien que parfois copiée n’est-ce pas M. Ralph Sheepers) et jamais égalée qui atteint sur Painkiller son apogée de puissance, de diversité et de talent.

Qui n’a jamais tremblé devant le départ en trombe de Painkiller et le solo de batterie de Scott Travis remplaçant avantageusement Dave Holland ? Qui n’a pas halluciné en écoutant le chant bluffant de puissance de Rob Halford (HE-IS-THE-Painkiller…) ? Qui ne s’est pas extasié devant les rythmiques ravageuses et le formidable duel de guitare que se livrent Tipton et Downing lors du solo central ? Qui n’a jamais tenté de fredonner les paroles de Painkiller sous la douche ou ailleurs en tentant désespérément d’imiter cette voix suraiguë impossible à reproduire ? Réponse : pas moi en tout cas.

Sur certains disques quelques chansons au dessus du lot cachent un peu la misère générale mais c’est loin d’être le cas ici : Hell Patrol et All Guns Blazing enchaînant sans coup férir avec des riffs surpuissants et des refrains catchy pour ne pas dire inoubliables. La virtuosité (omniprésente tout au long de cette galette) gagne un cran supplémentaire sur Leather Rebel avec un départ prodigieux de dextérité et d’impact et un Halford variant bien son chant pas uniquement cantonné dans les ultra aiguës.

La démonstration de force est loin d’être terminée avec une intro de Metal Meltdown que ne renierait sans doute pas Yngwie Malmsteen pour ce titre d’une vélocité et d’une agressivité presque incroyable pour du Heavy Metal, tous les musiciens donnent l’impression d’être à bloc pour tout déblayer sur leur passage.

Comme pour prouver que les anglais savent varier les plaisirs, Night Crawler propose toujours des guitares solides (chaque riff de ce disque est énorme) mais un chant plus posé et une ambiance centrale aux atmosphères terrifiantes qui montre le Priest sous le jour le plus noir jusqu’ici. Sur Between The Hammer&The Anvil, Rob Halford montre toute sa capacité à faire passer des émotions au travers la puissance de son organe (et oh ! pas d’allusions douteuses s’il vous plait !) et un nouveau solo dantesque vient s’ajouter à la liste déjà fort bien remplie.

Bien entendu la traditionnelle balade est présente et avec A Touch of Evil qui est encore une réussite totale dans un style bien différent des anciennes et légendaires Beyond The Realm Of Death ou Victim Of Changes.

Un dernier morceau de bravoure épique One Shot At Glory finira de parachever le chef d’œuvre avec une fois de plus un riff de départ tueur, quelques soli majestueux (la pile touche le plafond) et un chorus à faire frémir.

La particularité de ce disque a été de repousser les limites du Heavy-Metal, dans un style qui n’est pourtant pas du Thrash, les gars de Birmingham parviennent à insuffler une puissance et une agressivité hors du commun : des titres comme Painkiller, Metal Meltdown ou All Guns Blazing dévastent tout sur leur passage. Impossible de sortir indemne d’une telle expérience.

Painkiller est un disque que même les fans les plus endurcis de Metal extrême apprécient, peut-être même l’album le plus fédérateur de l’histoire du Metal. Voilà en quoi ce bijou constitue l’œuvre ultime du Priest, considéré tout simplement par la majorité des métalleux comme la meilleure galette de Heavy-Metal jamais sortie.

Alors pour les plus jeunes d’entre vous qui trouvent que Stratovarius est ce qu'il se fait de mieux au niveau de la puissance et de la virtuosité dans le Heavy-Metal, il est grand temps de se pencher sur Painkiller de Judas Priest.

Malheureusement le départ prochain du hurleur chauve préférant continuer sur une carrière solo, allait porter un rude coup au Priest qu’on ne reverra que sept ans plus tard avec Tim « Ripper Owens » au chant mais ceci est une autre histoire.

To be continued…

BG

42 Commentaires

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Geinocide - 29 Juin 2017: Et bien, après avoir lu et relu cette chronique au combien véridique et parfaite (sauf pour Ram It Dawn qui est moins bon mais pas de beaucoup. Le 2ème meilleur perso). J'ai toujours dit que Painkiller ne serait jamais égalé ! 20/20 évidemment
 
jeunemetalhead - 20 Juillet 2017: C est plutot Judas qui a influencé le thrash ( dissident agressor ; exciter etc.n)..Painkiller c était un juste retour des choses mais puissance 10. Ils ont juste remis les pendules a lheure en montrant qui était le patron .
C est aussi le retour d une batterie digne de ce nom depuis unleashed in the east .
Qui apporte un impact et un certain cachet aux compos .
BEERGRINDER - 23 Juillet 2017: Comme tous la plupart des groupes de Heavy cultes des 70's, Judas Priest a bien évidemment influencé le Thrash puisque ce dernier est le résultat de la fusion entre le Heavy Hard Rock et le Punk. Mais avant Painkiller, Judas Priest n'a pas grand chose de Thrash dans ses compositions, c'est un peu comme Possessed qui a influencé le Death Metal sans en être si on veut faire un parallèle similaire.
mechant - 24 Novembre 2019:

Tres belle chronique résumant merveilleusement bien ce que je pense de cet album.

Ecouté 1 nombre incalculable de fois, le Priest a sorti l' album  le plus burné du heavy metal...mais aussi le plus cohérent car ici pas de point faible...

 

 

 

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Chronique @ mattpriest

26 Fevrier 2008
« Can’t Stop The Painkiller » … voilà peut être ce que l’on pourrait dire de ce groupe avec la sortie d’un des albums les plus marquant des années 90.

En cette année on retrouve les Metal Gods pour un douziéme album dès plus innatendue vais-je dire ! Même si des prémices du changement de son du groupe étaient visibles sur l’album précédent : « Ram It Down », avec des riffs plus puissant et des parties de batteries plus technique et une double grosse caisse présente, on ne se douté peut être pas de ça !

Maintenant étant considéré comme l’un (ou LE pour certains) des meilleurs albums du groupe, allons en voir les causes de ce succès … mérité !!!

On retrouve, tout d’abord, le groupe avec un changement de batteur et ça se ressent. En effet dès la musique éponyme (et la première de l’album) on entend une intro à la batterie à tomber par terre : une double grosse caisse très présente et rapide, des roulements précis. Ce que l’on n’aurait pas imaginé avec l’ancien batteur car on s’entait un travail minimum de ce dernier. On entend très nettement le changement de son et là … un riff de guitare vous claque la tête : puissant, technique avec une vitesse d’exécution que l’on retrouverait plutôt en live … tout simplement sublime ! Mais ça ne s’arrete pas là : en effet on retrouve des solis de toutes beauté avec des parties mélodiques comme sur « Painkiller », « Leather Rebel » ou même « Night Crawler ». Des riffs de guitares puissants, variés et des changements de rythmes qui font ressortir parfaitement les mélodies des guitares et donc de la musique. Un autre aspect nouveau de cet album, qui ne se cessera pas de surprendre, ce sont les petites parties de solos entre quelques couplets de chants et riffs.
On retrouve également, un Rob Halford peut être au meilleur de sa forme : une voie puissante, aigue et parfaitement maitrisé comme on l’entend sur « touch of Evil », « Painkiller ». Mais ce n’est pas tout, un aspect différent est ajouté : il y a des mouvements de la voie, on entend une voie aigue, mais on peut aussi l’entendre plus grave ou plus poussé et portée. C’est là un aspect essentiel du chant car le chanteur montre (ou remontre) son talent : avoir une grande mobilité d’un chant technique en passant des aigues aux graves en un clin d’œil, et on peut l’entendre notamment sur la musique « one Shot At glory ». Cette chanson finale de l’album est amenée par une petite intro à la guitare d’un riff simple, et repose un petit peu, ou en tout cas permet d’assimilé les huit précédentes musiques. Il ya tout un ensemble qui font que cet album est devenu un monument du Heavy metal : une batterie présentes avec une rapidité d’exécution phénoménale, mais aussi pas de fausses notes quand à l’usage des doubles grosses caisses. Une voie exceptionnelle et des riffs variés mais qui reste ancrés dans la tête.
Une des qualités est peut être le fait qu’on ne se lasse pas de l’écouter, les musiques et les mélodies se retiennent facilement. D’autres aspects nouveaux sont audibles comme : des éléments mécaniques lors de la fin de « Halford Meltdown », ou le son des éclairs en introduction de « Touch of Evil » qui est une des musiques de l’album ou la mélodie l’emportent et cela se sent aussi bien dans les riffs, que dans le chant.

Le fait que les introductions soient variés montre aussi les différences avec les autres albums : ici on peut entendre une intro avec une batterie, des solos de guitares, ou même un chant aigue et criard. On retrouve lors de « living Bad dreams », une musique bonus de l’édition remasterisé, la plupart des aspects cité au-dessus, sauf qu’ici il y a moins de rapidité et de puissance dans la voie mais dans la mélodie avec un clavier en arrière plan, ce qui fait vraiment évoluer le son et les mélodies en sont d’autant plus perçut et belles.

En bref … un album à avoir et écouter absolument pour ceux qui ne l’ont pas fait !!! Je pense pour ma part que c’est un inconditionnel de heavy metal mais aussi qu’il peut inspirer des groupes de Thrash, car on retrouve quelques riffs et une rapidité d’exécution digne de certains groupes de Thrash !!!
Tout simplement magnifique !!!

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steelhardos - 08 Juin 2008: Excellentissime album!
L'énergie déployée ici est phénoménale et la présence de "Touch of Evil" donne un côté plus introspectif et ambiancé qui fait du bien.
Metalmann - 20 Octobre 2008: De lon le plus bel opus des judas priest. Mais le plus marquant c est l expérience vocal que nous offre "magic rob" sur cette galette; vocalement extraordinnaire.

Mais de la à dire que c est le meilleur album de heavy metal, sans doute pas; mais un des fondateur surement.

Alors posez vous montez le son "painkiller" va vous coller au siège!!!
Eternalis - 29 Novembre 2008: The ultimate metal album...forever!
 
jeunemetalhead - 20 Juillet 2017: Sur Ram it down c est une batterie programmé . De l aveu du groupe tout comme Turbo.
Dave holland n a jamais èté capable en live de foutre de la double comme lesbinks ..alors sur hars as iron ..oublie
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Commentaire @ Tony14

16 Juin 2008
Classique...

Je crois que c'est un album essentiel du Métal et que chaque fan se doit de le posséder. Revenons à l'important,la musique. Priest à su, d'une main plus qu'habile, intégrer des éléments thrash à sa musique, au vu des gros succès des pointures américaines (Megadeth et Metallica entre autre). Ils ont donc ajouté un son plus thrash à leur Heavy légendaire et prouvé qu'ils n'avaient pas perdu leur mordant, même après près de vingt ans de carrière. Avec leurs deux «lead» guitaristes excellents (Downing et Tipton), Judas Priest maîtrise le métal comme nul autre et reste le seul représentant respectable d'une époque révolu, avec le déclin de Maiden, et ne parlons même pas de Sabbath en 1990. Par contre, après cet album, Priest subira une chute avec le départ de halford qui reviendra plus tard, dans les années 2000. Je me sens un peu jeune pour critiquer cet album, car 1990 est l'année de ma naissance, mais comme on dit, la musique n'a pas d'âge.

Chansons à écouter : l'album est génial, mais j'ai un faible pour "Nightcrawler" et "Metal Meltdown".

Classique, garrocher vous (en québécois ça veut dire se presser vers quelque chose) dans les magasins si vous l'avez pas encore.

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Commentaire @ leatherboy

09 Août 2007
Ah Judas Priest !! Ah "Painkiller" !! Un groupe et un album qui comptent énormément pour moi. Mon premier disque de heavy metal, pensez-donc comme c'est important dans la vie d'un die-hard metalleux comme moi.

Cet album, je pourrais lui consacrer un site internet juste pour lui. Il reste définitivement mon disque favori. Et pas uniquement pour sa valeur nostalgique, mais surtout, et c'est bien là l'essentiel me direz-vous, pour sa valeur artistique.

Dernier album avant le départ de Rob Halford, il contient des brûlots tels que le cultissime title-track, mais aussi "Night Crawler", "Leather Rebel", "Hell Patrol", "Touch Of Evil" (quel solo !!!), ou encore "One Shot At Glory" (ma chanson préférée tout disque confondu, épique a souhait).

A des années-lumières de ses précédentes réalisations, limite "true metal", "Painkiller" marque la fin d'une ère avec le départ de Rob Halford, mais également le début d'une nouvelle, une ère résolument metal.

Amateurs de grosses rythmiques, d'envolées guitaristiques majestueuses et toujours bien senties, de voix haut perchées, bref d'un heavy metal de première catégorie, technique mais jamais démonstratif, jetez-vous corps et âmes et les yeux bandés sur se chef-d'oeuvre (puisqu'il faut appeler un chat un chat), je vous garantie que vous en aurez pour vos thunes !

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Maiden37 - 24 Décembre 2010: Je me souvient de ma première écoute de ce disque. Ça été mon coup de coeur pendant des années. Comment ont-ils pu créer un album aussi parfait.
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Commentaire @ Simonrock93

28 Avril 2010
Après un excellent Ram It Down, la bande du divin chauve nous concocta ce qui deviendrait une tuerie totale,une boucherie ultime. Eh oui, qui pouvait penser que Judas pourrait faire mieux que R.I.D?

Remettons nous dans le contexte originel,le début des années 90'. Alors que les Guns' et Metallica vendait des millions d'albums, nous pensions qu'après 20 ans de carrière, J.P n'avait plus rien sous le pied, très très grave erreur.

le titre qui donne son nom à l'album voit le retour de Rob à des chants plus aigus et agressifs, soit, il se débrouille très bien dans ce domaine (c'est le Metal God). Le reste de l'album livre des chansons de qualité égale voire supérieur à Painkiller, soit par des rythmiques plus thrash (Leather Rebel) ou par des refrains toujours plus fédérateurs (Hell Patrol, All Guns Blazing).

les guitaristes K.K Downing et Glen Tipton nous livrent des solos techniques et excellents (Painkiller, Metal Meltdown).

A Touch of Evil a quelque relent de Turbo avec les synthétiseurs mais ils sont utilisés savamment et ne transforment pas la musique en une immonde soupe commerciale (d'ailleurs cette chanson a un refrain magnifique et un bon break )

Au final, cet album nous aura mis une énorme claque dans la tronche et il reste un classique de Judas, même si Rob quitta le groupe après la tournée (mon cœur se brisa en apprenant la nouvelle) mais l'avenir en décida autrement,hé hé!


3 Commentaires

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awen - 28 Avril 2010: Ton coeur s'est brisé quand tu as appris la nouvelle que Rob avait quitté le groupe? Je veux bien te croire, mais ... à l'époque où c'était une nouvelle, tu n'étais pas né, si on en croit ton profil ;)
deefive555 - 30 Mars 2012: Que dire mis à part :3”mettez un bon casque audio afin de comprendre pourquoi cet album est tout simplement magique ...”
TDH75 - 21 Janvier 2021:

Tout linéaire qu'il soit, « Painkiller » possède un immense souffle épique d’inspiration créatrice.

Intensité, vitesse, violence, emphase sont les maîtres mots de ce disque hors norme ou Judas Priest se voit prendre tous les risques.

Arrivé pourtant au firmament de sa créativité artistique, de son succès et de sa renommée dans le monde du hard rock, le groupe va connaître de gros problèmes intérieurs et gouter aux affres de l’implosion.

Les raisons évoquées ? L’envie de Rob Halford le légendaire chanteur du groupe de défricher de nouveau horizons musicaux, de se détacher de l’image de Metal God qui était la sienne à l’époque.

Il est aussi probable que le procès pour incitation au suicide qu’a vécu le groupe à cette époque l’ait considérablement affaibli et rongé de l’intérieur.

L’aventure commencée 16 ans auparavant s’achève donc un peu tristement sur un album magistral et novateur, auréolé d’une éternelle gloire dans l’Histoire du Métal. Critique complète sur mon blog :

https://lediscoursdharnois.blogspot.com/2021/01/painkiller-judas-priest.html

 

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