City of Evil

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16/20
Nom du groupe Avenged Sevenfold
Nom de l'album City of Evil
Type Album
Date de parution 06 Juin 2005
Style MusicalMetal Mélodique
Membres possèdant cet album576

Tracklist

1.
 Beast and the Harlot
 05:43
2.
 Burn It Down
 04:58
3.
 Blinded in Chains
 06:35
4.
 Bat Country
 05:13
5.
 Trashed and Scattered
 05:55
6.
 Seize the Day
 05:32
7.
 Sidewinder
 07:01
8.
 The Wicked End
 07:10
9.
 Strength of the World
 09:14
10.
 Betrayed
 06:47
11.
 M.I.A.
 08:46

Durée totale : 01:12:54

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Avenged Sevenfold


Chronique @ Ebrithil

18 Janvier 2010
Il est de ces albums dans la carrière d'un groupe qui dénotent totalement avec le reste de leur discographie, s'éloignant d'un carcan trop utilisé et réutilisé (par le groupe lui-même ou par la surabondance de combos pratiquant le même style), tentant de se débarrasser d'une étiquette collée de gré ou de force et essayant par là de s'extraire de la masse toujours plus dense des groupes de metal.

Avenged Sevenfold, avec City of Evil, tente donc le tout pour le tout et s'éloigne (pas définitivement, hélas...) du metalcore conventionnel (même si remarquablement bien exécuté) de Sounding the Seventh Trumpet et Waking the Fallen, deux albums qui s'ils n'ont rien de mauvais en soi ne seront pas restés dans les annales comme des pépites du genre.
Certains diront que A7X, comme il est convenu de l'appeler dans le milieu, n'a guère eu le choix, l'opération subie par Matt Shadows, chanteur de la formation, ayant orienté leur musique vers quelque chose de plus clean et moins "-core" de façon un peu contrainte et forcée. Sur ce point, il est impossible de se prononcer, mais reste que s'ils ont fait preuve d'opportunisme, les membres d'A7X l'ont fait d'une fort belle manière et en maîtrisant leur sujet sur le bout des doigts.

Car City of Evil, disons le d'emblée, est un album époustouflant.

Passés les 30 premières secondes et le hurlement fort convenu de Shadows, on est vite rassuré car le rythme s'emballe sur Beast & the Harlot, sur un riff monstrueux et un chant qui flirtera (et ce, tout au long de l'album, de façon parfois légèrement gênante) avec Axl Rose. Si le refrain peut être critiqué par son côté relativement mélodique, reste un guitariste brillant nous gratifiant du premier solo (très) réussi d'une longue série. Quant au regretté batteur The Rev, il abandonne un jeu autrefois très metalcore pour éclabousser de son talent la chanson.

Après cette entrée en matière réussie (même si Beast & the Harlot n'est pas un Welcome to the Jungle ou un Master of Puppets), les fans purs et durs du metalcore bourrin des débuts auront déjà déserté le navire. Et ceux qui sont restés espèrent quelque chose, une preuve qu'Avenged Sevenfold est capable de hausser le niveau.
Et il faudra attendre le 3ème morceau pour cela, Burn it Down, très up-tempo, étant relativement banal... ce qui nous amène à un Blinded in Chains entraînant, nous menant à des couplets sombres posés sur un rythme de batterie infernal, un Synister Gates (guitariste soliste) s'amusant à branler son manche pour nous sortir des harmonies entre Slash et Iron Maiden tout au long des 6min34 du morceau, avant un ralentissement progressif menant à un inquiétant passage acoustique, puis à un final tout en riffs tandis que le son baisse lentement... belle réussite.

Un track-by-track est quelque chose de particulièrement peu intéressant à faire, je m'arrêterai donc sur ce détail en parlant de Bat Country : un morceau devenu classique, et on comprend pourquoi. Une folie douce règne sur le morceau, semblable dans sa structure à Beast & the Harlot. Reste un break relativement peu utile où Shadows tombe dans le mièvre... mais qui est amplement rattrapé par un solo dantesque et déjanté de Synyster Gates, qui n'a décidément de leçons à prendre de personne.

Le guitariste éblouit en effet tout au long du morceau, à l'image du batteur. Des riffs monstrueux (Strenght of the World), des soli à pleurer (Wicked End, Seize the Day, MIA...et tous, en fait), et des mélodies toujours réussies (le final à la guitare acoustique de Sidewinder est un moment véritablement magique, de même que la fin de MIA)... S'il reste possible d'émettre des réserves sur le chant de Matt Shadows, parfois à la limite du mièvre sur certains breaks mélodiques et flirtant parfois trop (sans en atteindre le bas de la chaussette) avec les Guns N' Roses, le travail des musiciens sur City of Evil est incontestablement impressionnant.

Avenged Sevenfold, en passant du metalcore au heavy/power mélodique, ne pouvait pas faire sans éviter LA ballade. Seize the Day est donc une sympathique chanson rock mélodique servie par des paroles mélancoliques au possible et un solo qui, s'il est fort bien interprété, n'en reste pas moins inspiré par un certain November Rain à mon humble avis...
Il me reste à parler de ce qui est selon moi LA perle de l'album : Strenght of the World. Une intro au violon et à l'acoustique très "western", puis arrive un riff tout simplement monumental qui nous porte pendant 9 minutes. Le refrain, pompeux, pourrait être lourd si le morceau n'était pas si réussi. A écouter.

On peut trouver des défauts à City of Evil : musique parfois très mélodique, influences évidentes, morceaux parfois un poil prétentieux... Mais quand l'interprétation atteint un tel niveau d'excellence, ces défauts semblent bien dérisoires.
Car à mes yeux, Avenged Sevenfold a signé avec cet opus une des perles heavy/power de la première décennie du XXIème siècle. Ni plus, ni moins.

19 Commentaires

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shadowsarepowerless95 - 18 Fevrier 2012: Un superbe album où l'on découvre tout le potentiel de The Rev qui restera à jamais un des meilleurs batteurs de Metal!
samolice - 04 Septembre 2012:

Je trouve l'album correct, avec de bons passages ... mais je n'arrive pas l'écouter en entier sans me lasser et décrocher. Trop long à mon goût (presque 1h15 quand même). 

Game_system - 02 Novembre 2012: Pas du tout d'accord...cet album n'a ,pour moi, rien d'extraordinaire, au contraire, il est vite lassant. Trop de mélodies tue la mélodie, c'est limite du Metal for Kids, c'est bien dommage.Je préfère le A7X metalcore.
hadsonners - 14 Janvier 2013: Rien à redire à ta chro, Album excellent, un chef d'oeuvre que tout metalleux digne de ce nom se doit de posséder dans sa discographie, peu importe le look, peu importe leur ptite gueule d'ange, cet album est un diamant brut point.
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Chronique @ Game_system

22 Octobre 2017

Trop de mélodies tue la mélodie

Waking the Fallen avait beaucoup marqué les esprits en 2003 avec son metalcore inspiré et très personnel, livrant l’une des œuvres du genre musical parmi les plus influentes. Cet album a également hissé Avenged Sevenfold (A7X pour les intimes) à un plus haut niveau de popularité et lui a permis d’acquérir une fanbase solide. A peine leur tournée finie, ils se mettent déjà à composer ce qui deviendra City of Evil, leur troisième opus, toujours sous la houlette de Mudrock comme producteur et cette fois-ci chez un plus gros label : Warner Bros. Records.

Le moins que l’on puisse dire, c’est que City of Evil est un dépaysement total pour tous ceux ayant adulé Waking the Fallen, tellement le changement de direction musicale s’avère radical. Fini le metalcore, ici il n’y a plus une seule influence issue du hardcore ; la musique est nettement plus mélodique et ne contient plus ou pratiquement plus aucun breakdown. Zacky Vengeance et Synyster Gates capitalisent sur les mélodies de guitares, les solos complexes et les riffs moins directs. Ils avaient déjà introduit des parties de guitares harmonieuses et mélodiques sur les compositions du précédent opus, avec de grandes influences heavy metal (particulièrement Iron Maiden), mais ici c’est devenu la base même des partitions. Dépaysant aussi par les vocaux, car M. Shadows n’emploie plus aucun Scream hardcore sur aucune chanson ; elles sont exclusivement composées de chant, également bien plus mélodique. Le batteur The Rev est le seul membre qui a gardé un héritage direct du passé metalcore avec son jeu toujours aussi nerveux et rapide (les parties en double pédale restant très impressionnantes), et une force de frappe toujours aussi présente.

Et c’est là tout le problème de City of Evil. Le changement musical est tel que l’on se demande parfois s’il s’agit bien du même groupe, car évoluer musicalement par rapport aux œuvres précédentes en ajoutant au fil des albums des éléments novateurs est une chose ; changer radicalement de style en est une autre. Le fan ayant connu le A7X metalcore avec ses passages hardcore et mélodiques parfaitement équilibrés et composés se retrouve face à un groupe qui use et abuse des mélodies jusqu’à la moelle. Les chansons se ressemblent presque toutes et font preuve de durées souvent inutilement longues.

On se demande vraiment quel est l’intérêt d'une chanson comme « Strength of the World » qui atteint presque 10 minutes au total pour resservir la même chose tout au long de sa durée avec, en plus, un passage à vide en plein milieu avec une instrumentation qui n’apporte pas grand-chose si ce n’est plus de longueur et une saturation de mélodies. Quant à « Betrayed », malgré son refrain sympathique et le fait qu’il soit un hommage au regretté Dimebag Darell, il est complètement saccagé par ses passages à longueurs parfaitement inutiles et ne parvient pas à générer la moindre émotion.

Il est aussi regrettable que certaines chansons comme « Blinded in Chains » ou « Thrashed and Scattered » se montrent très, voire trop, chaotiques avec des solos de guitare complexes et qui vont dans tous les sens, accusant une cruelle absence de structure. De plus, différents passages enchaînés trop rapidement ne laissent pas le temps à l’auditeur d’assimiler quoi que ce soit, sans oublier une durée trop longue, ces chansons n’étant au final rien d’autre que des démonstrations techniques.

Mais la palme d’or de la chanson la plus mauvaise revient à « Seize the Day », véritable stéréotype de la ballade dénuée de toute émotion et de toute personnalité. Ennuyeuse au possible, elle s'avère poussive, sans intérêt et surtout excessivement longue (oui, encore). Il n’en ressort donc absolument rien de convaincant. On est très loin de l’incroyable « I Won’t See You Tonight Pt 1 » du précédent opus, qui a beaucoup marqué les esprits avec sa thématique portée sur la tentative de suicide d’un ancien membre de A7X, qui a profondément ému et marqué le groupe, avec une prestation vocale de M. Shadows qui se voulait poignante, sincère et cathartique, faisant passer « Seize the Day » pour une simple caricature.

Les vocaux, parlons-en. Comme dit un peu plus haut, le chanteur a exclu toute trace de hurlement hardcore pour ne laisser place qu’au chant. Le problème c’est que ce dernier se veut moins personnel, comme sur ce passage ridicule dans « Blinded in Chains » où il tente d’imiter Axl Rose en s’inspirant de la chanson « Welcome to the Jungle ». L’ombre de James Hetfield n’est pas loin non plus avec tous ces « yeah ! » à répétition. Il tente aussi avec sa voix une approche plus aigüe pour appuyer les émotions. Si certains passages sont plutôt réussis, l’ensemble devient vite décevant, car à force d’en abuser, il trahit son apport. Le chant est souvent accompagné de chœurs réalisés par les autres membres du groupe, particulièrement Synister Gates, déjà présente dans Waking the Fallen mais de façon très timide.

Mais tout n’est pas à jeter dans City of Evil, l’album contenant son lot de passages vraiment agréables. Le premier qui vient en tête est le très bon « Sidewinder ». Son début nous prouve qu’A7X est toujours capable de balancer des riffs bien tranchants. Son refrain est très efficace et surtout sa magnifique fin acoustique nous montre tout ce dont M. Shadows est capable de faire de plus merveilleux avec sa voix. « M.I.A », avec sa thématique mature (le sentiment de culpabilité d’un soldat suite au retour dans son pays après une guerre) et sa grande qualité de composition, clôture l’album de la plus belle des manières et fait sans doute partie des chansons les plus réussies d’A7X. Celle qui est, selon moi, la meilleure de cet opus, « Burn it Down », s’avère excellente, avec un M. Shadows qui use à merveille de son chant aigu (tout comme « Sidewinder », pour une fois, les émotions se font vraiment ressentir), un rythme intense qui ne baisse jamais et un The Rev qui nous concocte un jeu de batterie impressionnant. Enfin, « Blinded In Chains » et « Thrashed and Scaterred », malgré leurs structures trop chaotiques, offrent également quelques moments intéressants.

Avec City of Evil, A7X a gagné autant de fans qu’il en a perdus. Un album qui marque une rupture nette et définitive avec les deux précédents albums, et a ouvert une nouvelle voie pour le groupe. Mais trop de mélodies tue la mélodie. Il y a une telle saturation que l’écoute de l’œuvre en devient très vite lassante, sans parler de la longueur des durées des chansons qui n’arrange rien. Au final, un album en demi-teinte, avec de bons passages mais en nombre insuffisant pour couvrir tous ses défauts, mais surtout, un opus qui nous fait poser beaucoup de questions quant à la véritable identité du groupe.

4 Commentaires

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hadsonners - 24 Octobre 2017:

Ahhh, Je te remercie de cette chronique car très intéréssante ! La plupart des gens loue cet album comme le chef d'oeuvre d'Avenged, j'en fait partie, pour moi City of Evil et Nightmare sont les deux chef d'oeuvres du groupe.

Je te sais attaché à une ligne directrice avec les groupes, au vu de tes nombreux commentaires que j'ai pu lire tu n'aime vraiment pas quand un groupe change de style et surtout quand celui ci ce fait moins violent avec plus de chant clair, d'harmonie, de mélodie ect...

Je suis donc pas du tout daccord avec cette chronique mais c'est très bien que tu l'est écrite car oui cetain n'aiment que le A7X metalcore ( on est daccord sur le fait que Waking The Fallen soit une petite perle ).

Pour moi le groupe reste une référence majeur du Heavy Metal aujoud'hui et est un prétendant sérieux pour la reléve une fois les anciens disparu.

Leur dernier album le prouve d'ailleurs.

 

Game_system - 24 Octobre 2017:

Et moi je te remercie beaucoup pour ton commentaire, qui me fait vraiment plaisir ! ;)

À vrai dire, un groupe qui prend une ligne directrice plus mélodique ne me déplait pas forcément, c'est juste que 100% des groupes prennent une virée plus mélodique quand il s'agit de changement (je n'en connait pratiquemment pas qui font le contraire), donc forcément, il y en a certains qui ne me plaisent pas. C'est ce qui explique que quand je n'aime pas le changement de direction musicale d'un groupe c'est toujours en plus mélodique, mais ça ne veut pas forcément dire que pour moi plus mélodique = plus mauvais.

Dans le cas d'A7X, j'ai tellement été marqué par Waking the Fallen, disque que je trouve à des années lumières des standards metalcore (une belle perle comme tu le dis), que la découverte de City of Evil a été difficile pour moi à digérer. Avec le temps, ça ne s'est pas arrangé, je l'aime toujours moyennement, et comme tu le dis j'en ai vu des milliers de commentaires vouant un culte à ce disque. Et puis les fans sont très divisés sur ce sujet, je fais décidément partie de ceux qui préfèrent leur passé metalcore.

Futur successeur des géants du heavy metal, ça je ne sais pas, seul l'avenir nous le dira, mais ce qui est sûre c'est qu'ils semblent avoir trouvé leur voie musicale. Perso je n'ai pas accroché à leur carrière post-Waking the Fallen (même Nightmare ne me touche pas plus que ça, c'est dire ! Même si j'admet qu'il est très bien composé) alors que j'étais un grand fan. Je voulais juste montrer un avis opposé à celui déjà présent sur le site histoire de dévoiler la division engendrée par cet album chez les fans. T'inquiète, je ne vais jamais chroniquer les autres albums ! :p

 

hadsonners - 30 Octobre 2017:

Avenged à fait assez récemment encore des titres Metalcore comme le très bon Not Ready to Die qui je pense a du te plaire ou encore les bien violent Natural Born Killer et God Hates Us sur Nightmare justement( sans doute un de leur titres les plus violent ). Même le titre éponyme de cet album envoie bien le bois dans le genre Heavy !

Après clairement ce n'est pas la majorité de l'album et comme ils l'ont encore récemment expliqué en interview ils n'ont pas l'intention de refaire du Metalcore, je pense que tout simplement ils ne se retrouvent plus totalement dans ce style, mais voila sur chaque album ou presque il y'a une ou deux chansons qui envoient comme à l'ancienne ( écoute God Damn sur leur dernier ).

The Stage leur dernier album a vraiment pris beaucoup de gens a rebrousse poil, c'est sans doute leur opus le plus difficile d'accès mais aussi un de leur plus intéressant, d'ailleurs il a plutôt fait un flop niveau vente ce qui montre que le groupe a bel est bien proposé un contenu déroutant par rapport a ce qu'ils font d'habitude.

En tout cas ce qui est sur c'est qu'il ne se repose pas sur leur acquis, chaque album est différend, mais je comprend que leur violence puisse te manquer car pour toi ça faisait partie intégrante de leur identité et c'est pour ça que ta chronique et ton avis sont particulièrement important concernant ce groupe.

Tu est le porte parole d'une frange parfois un peu oublié de gens qui écoute, on écouté Avenged.

Game_system - 02 Novembre 2017:

Je connais certains des titres que tu as cités, mais je ne les considère pas du tout comme du metalcore. Pour moi c'est du heavy avec quelques influences modernes, et ça reste dans la veine du son initié dans City of Evil, en peut-être un peu mieux car avec moins de surabondance de mélodies. Faudrait que je réecoute pour un avis plus dense, j'ai pas réecouté Nightmare et le reste d'A7X depuis des lustres.

Du dernier album je n'ai rien écouté, ça fait déjà plusieurs années que j'ai arrêté de suivre A7X, j'y jetterais une oreille par curiosité. En même temps pas étonnant qu'il s'est si mal vendu, vu qu'ils ont eu la terrible idée de le sortir sans rien annoncer ni en faire une quelqconque promotion pré-sortie, en plus de jouer un style moins accessible.

Oui clairement A7X me plait plus par son passé, j'ai pourtant essayé avec les succeseurs mais je n'y arrive tout simplement pas, pure et simple question de goûts !

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