The Wörld Is Yours

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16/20
Nom du groupe Motörhead
Nom de l'album The Wörld Is Yours
Type Album
Date de parution Décembre 2010
Style MusicalHard Rock
Membres possèdant cet album406

Tracklist

1.
 Born to Lose
 04:01
2.
 I Know How to Die
 03:20
3.
 Get Back in Line
 03:36
4.
 Devils in My Head
 04:21
5.
 Rock 'n' Roll Music
 04:25
6.
 Waiting for the Snake
 03:42
7.
 Brotherhood of Man
 05:16
8.
 Outlaw
 03:31
9.
 I Know What You Need
 02:58
10.
 Bye Bye Bitch Bye Bye
 04:04

Durée totale : 39:14

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Motörhead


Chronique @ AlonewithL

14 Décembre 2010

L’album en question est une énième bombe à fragmentation sortie de la soute du bombardier

Un Lemmy prophète pointe du doigt l’humanité entière et déclare « The Wörld Is Yours », et l’humanité vit que cela était bon. « Le monde est votre », de quel monde fait-il allusion? A son monde à lui bien sur, celui du Rock ‘n’ Roll, du metal, celui de « Motörhead ». Vous ne croyez tout de même pas qu’il allait nous offrir le monde dans lequel on vit, de façon précaire parfois. Bien que Lemmy soit devenu un grand de ce monde, sa seule représentation chez les Simpsons ne suffira pas à faire plier les autres grands. Il aurait lui aussi voulu que tout ça change. Il n’a pour cela que la force de sa musique et celles de ces brûlots à proposer. Et il nous propose à chaque fois un monde avec des pointillés sur le « o ».

Que nous a-t-il offert cette fois ci à l’approche des grandes fêtes de fin d’année, en cette assez triste année 2010 que l‘on s‘empresse de voir finir? Un énième album. Parfait! Néanmoins, la prudence s’impose dès l’annonce de ce nouvel opus. « Kiss of Death » comme « Motörizer » ont eu un accueil sans réelle surprise, sans réelle appréhension. Ils ont pour autant tous les deux maintenu une certaine continuité, avec une qualité au rendez vous. Un soupçon de doute en revanche pour ce dernier né, qui nous arrive deux ans après son précédent, « Motörizer ». Il s’agit du 21ème album studio de nos vieux briscards. « 21 », un chiffre qui pourrait donner le tournis. Ça en fait du temps passé, des tournées (dans tous les sens du terme). Et les gars ne sont pas non plus du genre à suivre le régime adéquat recommandé par la médecine. Ils se soigneraient plutôt à l’eau de feu. De quoi se demander justement s’ils seront encore capables de le foutre, le feu, ou si tout ceci partira en fumée. Le groupe fera-t-il preuve d’une prise de fatigue, d’un peu de faiblesse? Même pas. Je vous le dis en toute vérité. L’album en question est une énième bombe à fragmentation sortie de la soute du bombardier. Tous le monde aux abris. Les machines violentes du hard se remettent à pilonner.

Un petit moment de méfiance semble nous gagner à l’écoute du premier titre. « Born to Lose » s’élance dans un hard équilibré, où guitare et basse apparaissent assez statiquement, comme le chant. Quelque chose de bien commun qui pourrait nous enchanter difficilement. Mais attention, les doutes vont vite être réduits en cendres, pulvérisés par la virulence du son apporté sur un plateau par « I Know How to Die ». Une vigueur vivifiante du côté des instruments, qui déboulent. C’est le cas de le dire. La même chose se retrouve également du côté du chant. On retrouverait même un Lemmy des débuts. Des sonorités fluides, à la fois bien bourrées et groovy, contrastant avec la dureté des paroles prononcées. Drôle de façon pour le groupe d’interpréter musicalement le désespoir.

Premier élément que l’on constate quasi-immédiatement: Une musique propre et lissée, grâce certainement à l’excellence de la production signée Cameron Webb (qui avait été aussi à la production des précédents albums « Kiss of Death » et « Inferno »). Le son « Motörhead » s’est de plus, indéniablement américanisé. On pourra d’ailleurs ressortir de cet album certains titres hard/boogie aux accents de vieux sud, que ce soit sur le pétillant « Get Back in Line », puis sur « Rock ‘n’ Roll Music », à mid tempo cette fois ci. Composé lui d’un refrain qui s’imprègnera aussi facilement que l’encre d’un dermographe sur de la peau. Un superbe hommage rendu à la musique de surcroit. « Rock ‘n’ Roll music is the true religion ». La seule religion de Lemmy Kilmister et de ses fans. La seule qui mériterait d’être défendue ardemment. Avec une force égale que celle déployée sur « Bye Bye Bitch Bye Bye ». Qu’en dire? Un tumulte boogie aphrodisiaque. Un titre qui en jette, ponctué de ce cynisme coutumier de la formation envers les femmes.

Une touche américanisée que l’on parvient à tâtonner sur les couplets du déboitant « Devils in My Head ». Oui c’est bien le diable qui les a inspiré. Nous voici avec des riffs retroussés et diablement percutants. Un petit solo parfaitement exécuté par sieur Campbell, qui venait de perdre son père il y a peu de temps, ayant mis d’ailleurs légèrement en compromis l’élaboration de l’album. Il ne faut pas oublier qu’il est également lui aussi à la composition. Celui ci se débrouille superbement en jouant au chat et à la souris avec les autres membres sur « I Know What You Need », dégageant une inventivité et une richesse imparable dans la réalisation.
« Waiting for the Snake » pourrait nous apparaître plus curieux avec ses ébauches de déhanchement de guitare version 70s, à la « Mountain », sortant des sentiers battus au bout milieu d’un morceau très  « Motörhead », classique, mais qui nous envoi la sauce sans la moindre concession. C’est tout ce qu’on demande.

Quoi? D’autres exigences? Du plus agressif? Mais il y en a. Il y en a pour ainsi dire pour tous les goûts. C ‘est le principal atout de « The Wörld Is Yours ». Ah, le monde généreux de Lemmy et ses amis. Un bar où l’on sert aussi bien du bourbon bien tassé que du moscatel. En costaud, il y a bien ce petit « Outlaw », ténébreux, les petits riffs de couplet sont tels de violentes décharges électriques. Un côté bourrin que l’on apprécie pleinement, même si le chant ne parait pas trop bien s’accommoder avec. Un magnifique brûlot concentré est mis de côté pour les estomacs particulièrement solides. Il s’agit du poison « Brotherhood of Man ». Une ambiance malsaine où Lemmy prend sa voix la plus ténébreuse, résonnant aux cadences millimétrées de la batterie de Mickey Dee. Une énormité terrifiante et sombre, réussissant là où « Hammered » avait peiné. Un monstre sorti de l’abime, de l’enfer qui a du être maintes et maintes fois visité entre deux bouteilles de whisky. Brrr, de quoi frissonner (de plaisir).

Des frissons de plaisir, voilà tout ce que procure « The Wörld Is Yours ». On n’était pas en droit d’attendre l’excellence de leur part, et ils s’en sortent assez remarquablement. Ce n’est pas non plus le brio des grands opus, mais on était encore loin de s’attendre à un tel maintien de niveau. A croire vraiment que c‘est dans l‘alcool que l‘on conserve le plus longtemps les bons produits. « Motörhead », le groupe vieillissant n’est pas usé, ni à laisser dans la dèche. Un pied de nez au temps qui passe. Et Lemmy, seul sait encore ce que l’avenir nous réserve.

16/20

97 Commentaires

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samolice - 11 Septembre 2012:

Cet album est réussi. Presque 2 ans qu'il tourne sur la platine et je ne m'en lasse pas.

Lemmyplégique? Non surement pas avec cet album (spéciale dédiace pour Silent Flight, maitre en calembours).

MattMaiden - 12 Septembre 2012: Lemmyplégique, pas mal !! je la ressortirai quand on me demande ce que j'ai - joke spéciale friends :) -
largod - 12 Septembre 2012: Pareil Sam. Brotherhood of man déchire tout...
Morsifer - 01 Fevrier 2013: Très bon énième album de la part de notre 'Lend me five' accroc aux amphétamines préféré!
Il a encore une pêche d'enfer le vieux Lemmy. Personnellement, Outlaw, dont les riffs sont vraiment accrocheurs, et Rock and Roll music, avec son petit côté années 60, sont mes favorites...
Quoique Brotherhood of man m'a également agréablement chatouillé les conduits auditifs.
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Commentaire @ fabkiss

25 Décembre 2010

Après «Motörizer», motörhead confirme avec «The World Is Yours» un début de fin de carrière

L’actualité de Lemmy Kilmister, est bien chargée, en cette fin d’année 2010, un DVD, Film bio, une tournée (avec une date à…Lyon ( ?!), le 14/12) est surtout, un nouvel album de Motörhead.
Le Papy du Speed est en forme, et nous en fait profiter.

2010, non seulement Lemmy s’offre un nouveau lifting, se retire les poches sous les yeux, se fait les racines, mais il nous offre à nous, pauvres hères, un nouvel Opus.
Preuve éclatante, que Lemmy aurait découvert, une source de jouvence.
Avec le nouveau et superbe «The Wörld Is Yours», l’excellent «Motörizer», qui le précédait, attrape des airs de soubresauts nostalgiques et diminués par l’arthrite, d’un vieux monument engoncé dans la rigidité de son statut. Monolithe, dont chaque strates, semblaient dédiée aux événements passés et importants de Motörhead, comme une épitaphe flamboyante, à la mémoire des heures glorieuses.
Fort heureusement, ce n’est pas la 1ére fois que je prends un album pour une pierre tombale, et ce n’est pas la 1ére fois, que je me plante (KissPsycho Circus, Aces – Special Force, VH – 1984…).il faut dire, que j’avais lâché la carrière de Motörhead, après «Iron Fist», chose, qu’eux même avaient fait apparemment, avec «Motörizer».
«We Are Motörhead», que je m’offris, entre temps, bien que n’apportant rien de neuf ou de folichon, confirmait deux choses. Que «Aces Of Spade» est le dernier grand album de Motörhead, et que le trio, est sa meilleure formule.
A quoi bon un guitariste rythmique…Dans un trio, en général, la guitare assure la lead et la rythmique…entre les soli. Bah, dans Motörhead, c’est aussi la basse de Lemmy qui peu faire la guitare rythmique.
Et c’est ça aussi Motörhead

Tonton Lemmy, qui venait de nous raconter au coin du feu, la merveilleuse histoire de Motörhead avec le chaleureux et avec le recule, pantouflard « Motörizer », est en pleine cure de «juvamine», son «juvabien» ressemblent plutôt à un «Fuck Off», et le 1er titre, «Born to Lose» à un coup de pied au cul tout en double, flirtant avec le Heavy Metal. Une impression de puissance, et surtout de fraicheur qui se dégage immédiatement…quel bonheur… «Rock and Roll is not dead».
Ce que confirment «IKnow How To die» et «Get Back in Line». Le Rock And Roll, qui comme Lemmy, est le tronc, la sève de Motörhead…de Motörhead, comme je l’entends, speed, hargneux et rugueux, Hard et radical…So British.
Oh!! Bien sur, ce n’est pas «Aces Of Spade», Lemmy à 30ans de plus, il pourrait être le grand père de beaucoup ou l’arrière grand père de certains, les plus jeunes, ici, sur SoM.
Philip Campbell et Mikkey Dee ayant apparemment enfin assimilé la fibre profonde de Motörhead ou alors, c’est Motörhead, les a digéré eux même (depuis Motörizer).
Il en ressort justement, une réelle impression de continuité avec les 1ers albums de Motörhead, comme si une parenthèse peu convaincante (de ce que j’ai pu en entendre, malgré tout, depuis «Iron Fist») se refermait. Comme pour le précédent, un retour en force du feeling et du plaisir dans la composition, l’impression de rentrer à la maison après trop longtemps, de retrouver une odeur, un gout, connu, mais oublié. «The World Is Yours» retrouve en plus, un sursaut de radicalité et de dynamisme, soutenu par une production moins cossue et ouatée que pour «Motörizer», mais n’est en moins, sophistiqué, claire et puissante.
Bien sur, les petits fils potentiels. Les plus jeunes, éblouies par la lueur de la légende, trouveront ça, pêchu, certes, mais bien «lent» dans la forme. Les anciens, eux qui auront vieillis avec Motörhead…ou en même temps, retrouverons, le même fond qui les a fait aimer Motörhead, une énergie brute, gratuite, et qui s’avère inépuisable. Ainsi que ce qu’il lui donne son aspect éternel, parce que toujours présent malgré les années, la voix fleurant bon ce délicieux mélange de cendrier plein, de Jack Daniel’s et de bière brune et le jeu de basse si particulier de Lemmy. L’inimitable, l’inoxydable, l’incorruptible, le plus pur et peut être dernier Rock And Roller de cette génération.
Et je rappellerais aux plus jeunes, que Motörhead, entre la seconde moitié des années 70 et le tout début des années 80, était le groupe le plus speed du monde…et que Lemmy approche des 70 balais
Qu’il est la référence ultime de toute une génération de Thrasher , et celle de toutes celles qui suivent et se réclament d’un Rock ou d’un Metal, un peu bourrin et sans concession.

Et en plus, ce n’est pas que Motörhead soit moins Speed…il l’est moins souvent…c’est tout.
Mais d’entrée, avec le déjà cité «Born to Lose», pour mettre d’emblée, les pendules à l’heure. Avec son riff tranchant de basse. «Outlaw», dévastateur…simplement et son suivant, «I Know What You Need» qui rappellera Thin Lizzy à plus d’un vieux graisseux. Un Speed de vieux, c’est certain, mais un Speed efficace, toujours prêt à accoucher du Thrash.
De toute façon, ce Speed, c’est plus une affaire d’état d’esprit que de vitesse pure et de BPM.
Disons que la tendance, s’est inversée, le Hard Rock And roll…bien rapide quand même (Motörhead laisse toujours sur place, la grande partie des groupe de Hard Rock, et les Nashville Pussy, semblent bien petit joueurs quand même), est devenu majoritaire, à l’image de l’ébouriffant «Bye Bye Bitch bye bye» titre final avec surement, les 2 meilleurs solo de la galette, LE titre de l’album, avalanche de décibels joyeux et pétaradants je suppute, que l’on ait mis Lemmy sous oxygène tout de suite après…pauv’e vieux. Plus calme mais excellent aussi, l’extra bluesy «Rock’n’Roll Music» et sa guitare, entre ZZ top et AC/DC et dont les 5 premiére seconde, mon fait croire un instant que Motörhead reprenait «I Was Made For Lovin’ You» de Kiss.

2ans après «Motörizer», qui si ce n’est un retour aux sources et au moins, un retour de l’esprit du Motörhead que j’avais délaissé en 82. Autant, « The Wörld Is Yours» enfonce le clou et apporte, lui, un retour aux fondamentaux. Speed et Radicalisme. Une production incisive, celle de Motörizer était feutrée, donnant un aspect bourgeois et confortable. Ici, l’ambiance est beaucoup plus électrique, moins sage.

Un seul petit regret, «Devils In My Head» psychotique…mais pas assez, le titre n’est pas mauvais, mais semble un peu poussif, et étrangement, principalement du fait du chant de Lemmy qui est pourtant sur tout les autre titres…aux taquets.

A contrario, j’accorde une mention spéciale à «Brothehood Of Man» titre sombre, lourd, dense, profond…noir. Titre que je qualifierais sans ambages de Black Metal, bien que très «Heavy», il est quand même très Noir.
Lemmy de voix et de basse, est méconnaissable, un chant…presque un Talke Over soutenu par une guitare thrashy, ponctué de grognement proche d’un feulement. Une voix venant d’outre-tombe, un timbre et un phrasé des feux de l’enfer qui vous glace…Excellent.
Avec Solo de guitare ad hoc, psychédélique et névrosé…même la la derniére note est bien dans l’esprit Black…elle est toute pourrite.


Inventeur du Speed et archétype du Hard Rock macho comme il s’entendait à l’époque, viril, brutal, c’est vrai, mais pas violent, vantard, goguenard, rigolard et bruyant et respectueux de la femme et de sa liberté (dans la ligne de la philosophie…adaptée) bien avant et sans rapport avec les Judas Priest, Manowar (qui sont dans une ligne «Macho» plus proche de celle «Macho Men» des Village People) et encore moins avec le Metal actuel, plus violent, humiliant et surtout, malsain.

Lemmy, dont, Il serait temps que la Reine se décide à anoblir en Lord Kilmister, «Seigneur des contrées Metalic Britanique»
Bâtisseur de ce monument Historique construit sur de solides fondations, au sommet du quel flotte glorieusement l’Union Jack symbole de l’Empire
Au quel, Motörhead, apporte avec «The World Is Yours», non pas une pierre angulaire ou une clé de voute, mais une belle pierre d’ornement. Dur, chaud et agréable au touché, comme le gypse.

Après «Motörizer», Motörhead confirme avec «The World Is Yours» un début de fin de carrière (malgré tout, inéluctable) aussi passionnant que ses débuts.
La seule différence visible entre les débuts et maintenant, étant une prise de poids, celle du poids des ans. Le corps, restant vif et acéré et l’esprit vif

Si vous n’avez pas encore envoyé votre commande au Père Noël, rajoutez-y «The World Is Yours» et n’oubliez pas de glisser vos Santiags ferrées, sous le sapin.

Et pour détourner le slogan d’un groupe qui se revendique de «l’héritage Motörhead» ; «il faut mille fans de Manowar, pour faire un fan de Motörhead».
Celle la, c’est simplement gratuit…c’est pour moi, c’est mon cadeau de Noël…

fabkiss

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Elevator - 27 Avril 2011: C'est marrant, j'aime "Hammered" et "Iron Fist".
Par contre, en ce qui concerne "Hammered", je suis d'accord avec toi pour dire que "Walk a Crooked Mile" et "Shut Your Mouth" sont les meilleures de l'album.
fabkiss - 11 Mai 2011: "J'en ai plein le cul que l'on compare tous les opus de Motörhead à "Ace of Spades"...

L'as de pique c'était en 1980 !!! Il y a plus de 30 ans...

16 albums sont sortis depuis... Lemmy et sa horde ne seraient pas là depuis plus de 35 ans, si ils n'avaient sortis que des merdes."



tu me fais penser à AC-DC qui depuis For Thouse About, n'as sorti que des merde et est pourtant plus populaire qu'a sa période Bon Scott



aduleé par des gens qui ne connaissent pas cette période, ni Bon

qui ont fait sa légende...



Motorhead avait un ésprit "trio" et rageur

qu'il semble retrouver depuis 2 Album



mais, ce n'est qu'un avis personnel
FBD5367 - 26 Septembre 2011: "Ace of Spade"...
Je me rappelle vaguement une interview au cours de laquelle Lemmy disait qu'il en avait marre de ce titre, que ça le faisait limite chier d'avoir toujours à le jouer.
Ceci dit, entre nous quand on écoute du Motörhead c'est du genre :
- Quel morceau ?
- Euh... Motörhead.
- Quel album ?
- Euh... Motörhead.
- De quelle année ?
- Euh... Motörhead !
Pour signifier qu'en fait on écoute du Motörhead et puis c'est marre !
deadcrow - 17 Novembre 2011: tout ça pour conclure : Motörhead music is the true religion.
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