Motörhead, c’est la classe à l’état pur. Sans jamais avoir changé sa façon de faire, Lemmy et sa bande ont su rester les mêmes et cela depuis presque 30 ans. Il ne faut donc pas attendre de la nouveauté ni même de l’originalité dans ce nouvel opus. Ce ne sera qu’un pur disque de rock’n roll à la sauce
Motörhead mais on aime tous tellement ça que la seule chose que l’on a envie de dire c’est un grand merci.
C’est vrai, pourquoi essayer de changer d’un iota une formule qui a fait ses preuves et qui est aussi jouissive ? C’est donc un album avec du riff gras, un son énorme qui parle de guerre et de gonzesses. Avec une petite mousse, c’est le paradis sur Terre non ?
Dès l’entame de "Runaround Man", on sait que l’on ne va pas être trahi. Le titre sait ce qu’il doit faire, le coup le tête se met en marche instinctivement et c’est parti pour un petit headbanging en règle. Refrain facile à mémoriser, riff accrocheur, tout est là. Cette merveilleuse règle s’appliquera à tous les titres de ce
Motörizer. Le second titre sera l’exemple le plus marquant de cette règle.
On retrouve également le titre à la
Ace of Spades. Là encore, c’est l’une des formules magiques de notre bon Lemmy. Certes "Rock out" sent donc le réchauffé mais on s’en cogne, ce titre avoine et c’est tout ce que l’on demande à un titre de
Motörhead. Chaque titre a le potentiel pour être un classique du groupe. Que se soit "Buried A
Live", qui aurait pu apparaître sur n’importe lequel des albums du groupe ou le plus recherché "When the Eagle Screams", rien ne laisse présager une baisse de régime. Combien de groupes peuvent prétendre à cela ?
Pas beaucoup ...
Les titres plus bluesy crasseux sont bien présents aussi avec l’étendard "Back on the
Chain". Quel groove mes amis ! Le retour définitif aux choses sérieuses se fait donc avec "The Thousand Names of
God". Hymne fédérateur au possible, ce titre montre une émotion radicale et encore une fois sans la moindre concession. Oh Monsieur Lemmy siouplait !!!!!
Le son est largement à la hauteur comme d’habitude. Lemmy occupe un maximum d’espace sonore avec sa basse. Phil colmate les quelques fissures avec sa guitare et nous agrémente de quelques soli dont lui seul a la formule. Et que dire du frappeur Mikkey Dee, si ce n’est qu’il a des bras en acier. Sa performance sur "Back on the
Chain" est vraiment classe.
Rien de bien neuf, mais rien que du bon aussi. Ce nouvel album ne fait qu’enfoncer encore un peu plus le clou de la légende de Lemmy. Les amateurs adoreront, les autres respecteront ce groupe qui a fait du rock’n roll un cheval de bataille depuis plus de 30 ans.
Respect et on bouge la tête !!!!!!!
Fait chier Lemmy!
Merci pour la chro. Après 2 bons titres d'ouverture, je trouve qu'il y a un coup de mou jusqu'à English rose. La fin du skeud est sympa . Un album un peu en roue libre quand même à mon goût mais ça reste au dessus de la mêlée.
Bon comme il n'y à que les branles couilles qui change pas d'avis , hein , bref se Motorizer et une bombe , tout comme ,Kiss Of Death , Ther world Is Your et Aftershock et bien sur l'hommage
Bad magic
Merçi Lemmy pour tout ce que le Rock te dois .
RIP patron .
Vu pour cette tournee à Carcassonne dans la cité, Motörhead y avait delivré 1 set des plus efficaces.
Je n avais pas acquis cet album à sa sortie....certainement du fait que je trouvais le groupe 1 peu en roue libre... neanmoins il faut reconnaitre que Lemmy et consorts ecrirent des albums efficaces dans les annees 2000,qui s'écoutent avec bcp de plaisir en plus aujourd'hui.
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