Return to Forever

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15/20
Nom du groupe Scorpions
Nom de l'album Return to Forever
Type Album
Date de parution 20 Fevrier 2015
Labels Sony Music
Style MusicalHard Rock
Membres possèdant cet album151

Tracklist

1.
 Going Out with a Bang
 03:47
2.
 We Built This House
 03:53
3.
 Rock My Car
 03:20
4.
 House of Cards
 05:05
5.
 All for One
 02:58
6.
 Rock'n'Roll Band
 03:54
7.
 Catch Your Luck and Play
 03:33
8.
 Rollin' Home
 04:03
9.
 Hard Rockin' the Place
 04:06
10.
 Eye of the Storm
 04:27
11.
 The Scratch
 03:41
12.
 Gypsy Life
 04:51

Bonus
13.
 The world We Used to Know (France Tour Edition)
 03:51
14.
 Dancing with the Moonlight (France Tour Edition)
 03:42
15.
 When the Truth Is a Lie (France Tour Edition)
 04:27
16.
 Who We Are (France Tour Edition)
 02:33
17.
 Crazy Ride (France Tour Edition)
 04:21
18.
 One and One Is Three (France Tour Edition)
 04:22
19.
 Delirious (France Tour Edition)
 02:57

Durée totale : 01:13:51

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Scorpions


Chronique @ Eternalis

06 Mars 2015

Ce "Return to Forever" a tout de l’album du pauvre

Qu’est-ce qui pousse un groupe à continuer, encore et encore quand ce dernier a déjà tout connu ?
Quand les bas ont succédé aux hauts et aux plus immenses succès ? La gloire ? Le succès ? L’argent ? La passion ?
Des questions que l’on se pose invariablement mais dont les réponses des principaux intéressés sont toujours les mêmes, souvent agrémentés d’une certaine langue de bois et d’un utopique espoir de ne jamais être oublié, d’être toujours actuel et de rester ancrer dans les paysages musicaux des différentes époques.

Ce qui est passionnant quand on évoque un combo comme Scorpions, c’est que l’on se rend compte à quel point le groupe de Rudolf Schenker et Klaus Meine ont écrit les plus belles lettres du rock comme certains des plus beaux ratages de l’histoire. Des années 70 nostalgiques avec un "Virgin Killer" en tête ou un "Lovedrive" culte aux vertigineuses années 80 où "Blackout", "Love at First Sting" ou "Crazy World" (sorti en 1990 mais possédant la même ambiance que ses prédécesseurs) en passant par l’incroyable creux de la vague représentés par les immondes "Eye II Eye" ou "Pure Instinct", Scorpions est l’incarnation du groupe ayant tout connu, des petites salles aux stades en devenant ensuite ringard et dépassé.
Puis la mode des comeback des plus grands groupes (Iron Maiden, Judas Priest, Mötley Crüe, etc…) aida beaucoup les allemands dans les années 2000, qui revinrent progressivement avec les très bons "Umbreakable", "Humanity Hour 1" et surtout l’excellentissime "Sting in the Tail" en 2009 qui surprit son monde par son énergie, sa modernité, ses prises de risques mesurées et surtout sa vigueur qui donna suite à une série de concerts prodigieux (la Tournée des Zénith française restera un très grand moment).
Alors au firmament, le groupe annonce sa révérence et déclare que cette tournée sera la dernière.

Plusieurs tours du monde plus tard, ils sortent un "Comeblack" affreusement dispensable, fait de reprises de leurs plus grands tubes dans un réenregistrement passéistes et loin d’être indispensable. On commençait déjà à se dire que les idées se faisaient rares et qu’il était dommage de se quitter là-dessus. Aucune inquiétude, le quintet n’est en fait pas décidé à s’arrêter et prépare un "Return to Forever" hautement symbolique (ou cliché, c’est selon) composé à partir…des chutes récoltées depuis près de 30 ans !
Et oui, Klaus, Rudolf et Matthias Jabs n’ont que très peu composés ici et, une fois encore, usent du recyclage pour proposer faussement du neuf mais, encore une fois, ça s’entend et toutes les bonnes impressions de "Sting in the Tail" (le dernier « vrai » album du groupe) sont envolées dès les premières écoutes. Que ce soit dans le son, les riffs, l’ambiance ou même les paroles, tout cela sonne vieux mais sans posséder la fibre nostalgique, rock n’roll et si plaisante des derniers essais qui mariaient parfaitement les deux mondes. Ce n’est peut-être pas un hasard si ces titres sont restés si longtemps au placard et il est difficile de croire que ces morceaux si fantastiques sont restés dans l’ombre par simple inadvertance, pas à ce niveau-là.

"We Built This House", premier single, est un mix entre un titre rock récent et une ballade des années 80, peuplé d’arpèges mélodiques, de la voix d’un Klaus forçant bien peu mais surtout d’une session rythmique bien trop sage, surtout lorsque l’on possède un batteur de la trempe d’un Kottak.
Le problème également de ce "Return to Forever" est l’absence complète d’homogénéité non seulement entre les compositions mais aussi dans la production. D’un titre comme celui-ci sonnant relativement moderne, nous enchainons sur un "Rock my Car" au son brut et rèche, rock brut de décoffrage nettoyé à l’eau de javel et étroitement conservé dans le formol. Comment ne pas se poser la question de la crédibilité quand on découvre une composition aussi ridiculeusement kitsch et labellisé « Face B » que "Rock n’roll Band", sans imagination ni énergie, que l’on croirait réellement sortir des tréfonds d’un "Blackout" mais sans sa hargne, sa légende et son aura.
Cette sensation est trop souvent présente, à l’instar également d’un "The Scratch" assez improbable et bluesy qui surprend mais ne convainc pas vraiment.

Concrètement, la production est réussie, Klaus chante toujours très bien même si on sait (surtout lorsqu’on l’a vu très récemment en live) qu’autotune est passé par là (ce qui n’est pas une honte, loin de là, en sachant que tout le monde y passe et que le monsieur a quand même 66 ans et une belle énergie à revendre), les soli de Matthias sont bien exécutés bien que manquant de mordant mais ce sont surtout les riffs et les rythmiques qui pêchent, souvent sans idées, ne décollant pas et faisant peine à entendre.
Il y a bien un "Hard Rockin' The Place" plus percutant et rock ou un très beau "House of Cards" (bien que ce type de power ballad soit une marque labellisé « copyright by Scorpions ») démontrant que le groupe est toujours aussi efficace dans cet exercice sans pour autant arriver ne serait-ce qu’à la cheville d’un "Sting Loving You" ou d’un "Holiday" (ce que faisait pourtant les sublimes "The Good Die Young" et surtout le symbolique "The Best is Yet to Come" sur le précédent opus). Le groupe ne s’est pas limité mais se perd à travers un album trop long de dix-sept compositions qui est difficile à terminer tant il manque de mordant et d’intérêt.

Bien évidemment, les fans reconnaitront le Scorpions de toujours par un style et une attitude inimitable mais là où terminer sur "Sting the Tail" aurait été une porte de sortie mémorable dont bien des légendes aimeraient se targuer, ce "Return to Forever" a tout de l’album du pauvre réalisé sans grande ambition ni inventivité. Dommage car nous sommes toujours en droit d’attendre plus d’un groupe ayant façonné les plus belles lettres du rock et cette fois-ci, le contrat n’est clairement pas rempli.

38 Commentaires

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IDAC - 17 Avril 2015: Bon vlà on sais ou Aubry est passé
Brozzy21 - 12 Août 2015: Merci pour ta chronique, très bien écrite (comme d'hab !). Je suis un peu d'accord avec toi, c'est un peu mou et fade, mais j'aurais pas été aussi dur que toi avec la notation. Un petit 13 aurait été bien je pense, mais après ça dépend de la sensibilité de chacun ;)
samolice - 25 Mars 2016: Merci pour la chro.
J'adore Scorpions depuis très très longtemps, je suis très très vieux, et je n'ai pas envie de descendre l'album juste pour me faire une légende du rock. Mais franchement, que j'ai du mal avec ce disque... Quel ennui.
Rien ne m'a plu. Déjà, je trouvais louche que la moitié des titres soit signée par des compositeurs extérieurs. Si au moins ces titres étaient bons, pourquoi pas. Ce n'est pas le cas, à mon goût (j'insiste sur ce point).
Jabs est complètement absent. Il avait piscine pendant l'enregistrement ou quoi?
Et ce "Rollin' Home", oh my god! On dirait Rihana ou n'importe quelle autre pouffe US.
Si je veux quand même sauver quelque chose du désastre, je dirais "Rock'n'Roll Band", "Catch Your Luck and Play" et "The scratch". Au moins on entend un peu Jabs qui a l'air un minimum concerné - il était rentré de la piscine peut être -.

Je n'ai pas détesté "Sting in the Tail" mais le très bon "Humanity" restera pour moi le chant du cygne des Scorps. Perso, je situe le décrié "Unbreakable" 10 têtes au dessus de ce pauvre "Return to Forever".
Si certains prennent du plaisir avec ce disque, tant mieux pour eux. Aucun jugement de valeur de ma part, juste que ce skeud me fait chier comme aucun autre du groupe.
Sniff
PhuckingPhiphi - 25 Mars 2016: Bon, ça y est, j'ai enfin l'album, dans sa "French Edition" pleine de bonus et tout et tout...

Bon ben c'est quand même pas folichon tout ça.

Comme Samolice, seul "Rock'n'Roll Band" réussi à m'enthousiasmer un petit peu, et encore. L'intervention massive de compositeurs extérieurs m'avait en effet aussi mis la puce à l'oreille, et hélas on ne peut pas dire que le sang neuf ainsi apporté ait été salutaire aux arachnides teutons.

Je m'en retourne de ce pas vers les huit (excellentes) rééditions remasterisées sorties fin 2015 pour retrouver le Scorpions que j'aime.
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Chronique @ metalstormrider

04 Juillet 2015

Le retour du Roi!

Dois-je encore vous faire l’affront de vous présenter le légendaire groupe de Hanovre ? 50 ans de carrière, 18 albums à son actif, un nombre incalculable de maxis, de compilations et de live, et très peu de marchandising. Un des seuls groupes qui ait touché au moins quatre générations et qui pourrait même en atteindre une cinquième. La machine est rodée et l’heure de la retraite n’a pas sonné, à la différence de formations qui l’ont envisagé beaucoup plus tôt, sans avoir connu une carrière si florissante au cours de ce demi-siècle que comptent nos Allemands. Mais quel est le secret de leur détermination ? Des petits coups de mou, ils en ont eu au milieu des 90’S. Et quel groupe n’a pas souffert de la vague grunge ? Nous ne reviendrons pas sur cet épisode qui appartient au passé, le groupe étant encore solidement ancré sur la scène internationale, peut-être encore pour quelques années. Et, preuve que les membres sont dans une forme olympique, une tournée européenne a débuté en Mai de cette année.

Quelques années après la (dernière) tournée d’adieu et cinq ans après le convaincant « Sting in the Tail », ce « Return to Forever » déboule dans les bacs, orné d’une pochette à la fois sobre et très largement évocatrice… prétentieuse diront certains, mais seule l’écoute pourra nous permettre d’éviter de tirer des conclusions trop hâtives.

Et cette découverte se fera malheureusement par le « Going Out With A Bang ». Je dis « Malheureusement » car le titre est assez anémié, loin d’être le plus révélateur de l’album, conjuguant maladroitement le style 70’S et un son moderne. Malgré les bonnes intentions, et surtout l’expérience, la sauce prend difficilement.

Et pourtant, ceux qui en resteront là auront tort! Car, ce grand retour ne semble se faire qu’à la seconde plage. « We Built This House » est un peu une synthèse de ce que le groupe peut faire de mieux lorsqu’il est en forme. Trop convenu diront les détracteurs, mais terriblement efficace, montrant le potentiel de ce « Return to Forever ». D’autres titres, comme « All For One » et « Catch Your Luck and Play », confirmeront que le groupe n’a rien perdu de sa fougue, même après autant d’années d’existence, et a conservé la recette du Hit potentiel. Du Rock and Roll et du sexe, enfin, pas trop exotique car, il serait fâcheux de se faire un tour de reins avant la tournée qui se prépare. La drogue, elle, est délaissée, la sagesse imposant de préserver les connexions restantes. Autrement dit, il serait dommage d’avoir de si beaux instruments et de ne plus savoir s’en servir…

Vous pouvez baver sur l’énergique (toutes proportions gardées) « Hard Rockin’ The Place », potentiellement un futur classique en live, fleuron du rock apporté par le groupe qui en a fait son histoire.

Nous voilà donc rassurés! L’album comporte des titres qui devraient susciter l’intérêt du plus grand nombre et occasionner des trémulations frénétiques chez toutes les générations qui seront présentes lors des shows, au risque, peut-être, de desceller certaine prothèses de hanches, au grand bonheur de votre humble serviteur…

Pas d’album de Scorpions sans les fameuses ballades. Rappelons que « Still Loving You » avait entraîné un pic des naissances en France, lors de sa sortie, et même pas mal de mois après, mais n’avait tout de même pas été remboursé par la Sécurité Sociale. L’album possède donc des compositions mid tempo, plus calmes, telles que l’éthéré « House of Cards », musicalement assez proche d’un autre titre phare paru en 1990 ou encore le superbe « Eye of the Storm ». Après quelques années (décennies ?) il n’est plus question de séduction mais plutôt d’introspection… un subtil subterfuge pour cacher les signes d’andropause ?

Si l’on excepte le Rockabilly « The Scratch » et le acoustico-caravanesque « Gypsy Life », un peu mollasson, rien n’est à jeter et la qualité de la production ne peut souffrir d’aucune critique.

Voilà un album de Scorpions pur sucre, rassurant et démontrant que le groupe est encore capable de pondre des bons titres même s’ils ont toujours tendance à suivre une sorte de sacro-sainte recette traditionnelle. Pour certains, le groupe se mord la queue, incapable de se renouveler, n’inspirant plus qu’un vague respect pour l’ensemble de sa carrière. Pour les autres, il s’agira d’une rétrospective de ce que le groupe a pu composer de mieux, et, même s’il ne s’agit pas d’un « Black Out », Scorpions continue à apporter une qualité et une bonne dose d’optimisme dans ses albums, ne trahissant jamais son style. Et puis, après 50 ans de règne, l’heure n’est plus à l’expérimentation ou à la quête d’une identité. Scorpions a-t-il encore quelque chose à prouver ?

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Commentaire @ Hellsoldier

14 Avril 2015

Un album honorable pour un dinosaure du Hard Rock.



Déjà lors de l'annonce d'un nouvel album reprenant des anciens morceaux non finalisés j'étais impatient. Mais alors à l'écoute du single "We Built This House", j'étais aux anges !
Un double refrain à la fois beau et accrocheur, des paroles nostalgiques, une production au poil et un Klaus très en voix font de ce morceau un nouvel hymne dans le répertoire de nos teutons.

Rappelons le contexte : En 2010 Scorpions pensait mettre fin à sa carrière avec une immense tournée d'adieu et un "Sting in the Tail" de bonne facture. Mais devant l'enthousiasme des fans (et l'appel du porte-monnaie aussi peut être), nos arachnides Allemandes ont décidé de rester sous les projecteurs avec une pêche retrouvée. D'abord avec un "Comeblack" presque inutile, et un live "Unplugged" garni de morceaux rares jamais joués en concert et des inédits (dont deux se trouvent sur ce nouvel album).
Et l'un de ces morceaux est sans conteste la bombe de ce "Return to Forever" : "Rock n'Roll Band". Un morceau énergique au tempo élevé muni d'un magnifique solo(néanmoins beaucoup trop court), rescapé de "Love at First Sting", tout comme le superbe "Rock My Car" tout droit sorti des sessions de 1988 pour "Savage Amusement".

Rappelons le, le groupe avait dans un premier temps annoncé un album reprenant seulement des démos inachevées des années 1982 à 1988. Ils ont finalement modifié leurs choix en ajoutant de nouvelles compositions écrites en collaboration avec leur producteur Suédois. L'une d'elles est un morceau très original, "The Scrach", alliant Hard Rock puissant et mélodies Jazzy/Cabaret avec le meilleur solo de la galette et un refrain fédérateur très efficace.
Egalement composé en collaboration avec leur producteur, l'introductif "Going Out With a Bang", s'ouvrant sur un riff bluesy trompeur, est un morceau de hard rock énergique de bonne facture qui fait taper du pied.
C'est dit : Scorpions est en pleine forme en 2015, et arrive à nous proposer des morceaux frais, dynamiques et plein d'énergie.

Mais n'oublions pas que outre les tueries Hard Rock, Scorpions réside parmi les maîtres en terme de ballades. Leurs deux plus grands succès que sont "Still Loving You" et "Winds of Change" en sont le parfait exemple, sans non plus oublier des pépites comme "Born to Touch Your Feelings", "Yellow Raven" ou encore la sublime "Lorelei" sur "Sting in the Tail". En 2015 nous avons la magnifique "House of Cards" écrite pas la paire Schenker/Meine dans les années 80, proposant des couplets transpirant l'émotion sur de sublimes arpèges et un refrain très poignant, assurément la meilleure ballade de la galette. Bien que "Eye of the Storm" sois assez belle dans son genre, elle reste en dessous de ce qu'à proposé le groupe par le passé.
En revanche je suis très déçu de "Gypsy Life" qui, en tant que titre de clôture d'album est faible, bâclée, et bien loin de la beauté d'un "Holiday".
Ceci nous amène aux petits points noirs de cet album, comme ce "All For One" et son refrain tout simplement mauvais qui tombe à plat, à l'inverse d'un "Catch Your Luck and Play" qui fait mouche à la première écoute grâce à son refrain 100% Scorpions (lui aussi un morceau issu de l'époque "Savage Amusement). Notons également un disque bonus inutile, excepté pour la sublime "Dancing With The Moonlight, composée par Matthias Jabbs qui, soulignons le, ne se lâche pas assez sur les soli, alors que son feeling et son talent restent intacts. Dommage !
Puis nous avons un OVNI, le déjà controversé "Rollin'Home", un morceau davantage orienté Pop que Hard Rock, et qui n'aurait pas dépareillé sur "Eye to Eye". Ce titre, c'est ou on aime ou on aime pas...Pour ma part j'aime beaucoup ! Que ça soit le refrain, simple mais efficace, ou les couplets qui nous font profiter de la voix extraordinaire de Klaus, je trouve ce morceau très intéressant et je pense qu'il fera un carton en concert.

Pour moi c'est donc un très bon album que nous ont sorti les Scorps cette année, avec son lot de pépites, malgré deux morceaux faibles qui auraient peut être du se trouver sur le CD bonus en lieu et place de l'excellente "Dancing With The Moonlight" ou de l'original "Delirious" de l'édition bonus Japonaise.
Quoi qu'il en soit, Scorpions reste un dinosaure du Hard Rock qui est parvenu à nous sortir un album honorable pour satisfaire et faire vibrer ses fans, et confirmer son statut de légende vivante du Hard Rock.

3 Commentaires

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choahardoc - 18 Avril 2015: Merci Hellsoldier, ton texte me fait plaisir, on a bien écouté le même disque! Dans l'ensemble, je te rejoins bien que j'ai un petit regret qu'ils se soient écartés de l'évolution qu'on pouvait percevoir sur Humanity Hour I. Un bon Scorpions, c'est déjà ça.
ELECTRICMAN - 22 Septembre 2015: très bonne chronique, merci. Petite remarque, "delirious" est un bonus itunes et les bonus japonais sont "crazy ride" et "one and one is three". Ces 3 méritaient à mon avis de figurer sur le cd (surtout les 2 premiers ) à la place de "rollin' home" et d'une ballade.
kiss33 - 27 Octobre 2015: Bon déjà je suis content que les Scorps aient sorti qqch après Comeblack, que je me suis passé d'écouter parce que sortir une compil de ce type comme ça juste après un album énormissime qu'était Sting in the Tail ça m'aurait un peu foutu les boules s'ils avaient terminé là-dessus. Ensuite cet album n'est pas vraiment dans la lignée des derniers albums des années 2000 des Scorps qui montraient une vraie montée en puissance. Là on ressent qu'il y a de plusieurs époques dans cet album, et donc l'enchaînement des morceaux est parfois étrange à l'oreille, mais en tout cas la prod est super. Sur le contenu on a quand même un bon album, et certaines compos parmi les récentes nous font dire que les Scorps sont pas encore finis, à voir pour un 19ème album ? on peut plus les croire quant à leurs sortie définitives ;) Quant à moi je les verrai à Bordeaux le 3 décembre :D
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