Into the Legend

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15/20
Nom du groupe Rhapsody Of Fire
Nom de l'album Into the Legend
Type Album
Date de parution 15 Janvier 2016
Labels AFM Records
Style MusicalPower Symphonique
Membres possèdant cet album105

Tracklist

1.
 In Principio
 02:45
2.
 Distant Sky
 04:32
3.
 Into the Legend
 05:01
4.
 Winter's Rain
 07:44
5.
 A Voice in the Cold Wind
 06:18
6.
 Valley of Shadows
 06:54
7.
 Shining Star
 04:39
8.
 Realms of Light
 06:00
9.
 Rage of Darkness
 06:02
10.
 The Kiss of Life
 16:45

Bonus
11.
 Volar Sin Dolor
 04:56

Durée totale : 01:11:36

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Rhapsody Of Fire


Chronique @ edenswordrummer

19 Janvier 2016

Une autre preuve de l'immortalité des maîtres du genre...

Depuis la scission de Rhapsody Of Fire, les auditeurs vont de surprise en surprise. La surprise de voir un Ascending To Infinity envoyer un Dark Wings of Steel aux oubliettes, la surprise de découvrir un Prometheus bien en-dessous des promesses faites par Turilli, et, pour finir, la surprise d'écouter un Into the Legend bien au-dessus de nos espérances...
Même dans le cas d'une séparation amicale, les deux formations Rhapsodiennes engendrèrent, sans le vouloir, un réel cas de compétition entre leurs sorties. Très actives, les deux bandes enchaînèrent les nouveautés, les sorties, les concerts, les clips vidéo presque simultanément, tant et si bien que les fans, désorientés par un Dark Wings of Steel conventionnel et ronronnant, ne purent s'empêcher de s'accrocher à un Turilli plein d'assurance et submergé par une confiance aveugle envers ses ambitions. Néanmoins, Prometheus divisa encore une fois les avis... Tandis que certains hurlaient au chef-d'oeuvre, d'autres ne purent s'empêcher d'être déçus par un album qui s'orientait vers une voie bien éloignée de ce qui avait fait leur amour pour la musique des Transalpins.
C'est dans ce chaos que la sortie d'Into the Legend fut annoncée, douzième album de Rhapsody of fire, deuxième album solo d'Alex, information accompagnée, quelques temps plus tard, d'un single bien en-dessous de ce qu'avait pu nous livrer les Italiens il y a fort fort longtemps. On se désintéressa de l'événement, on haussa les épaules, et on tourna la page.

Et pourtant, et pourtant... L'écoute de ce Into the Legend réserve bien des surprises, à savoir la participation d'un orchestre symphonique, l'intervention d'une chanteuse lyrique, le retour d'un titre épique (16 minutes !), l'arrivée d'un nouveau bassiste (Alessandro Sala), et surtout, le retour à la musique ayant fait le charme des Italiens.
Dès que l'on consulte la tracklist, en plus de percevoir des noms de chansons d'une attachante niaiserie (on ne les changera jamais), c'est avec joie que l'on découvre le retour d'un long titre épique en fin d'album, une ballade en septième position, un titre d'ouverture très speed, une intro en latin...bref, Rhapsody of fire semble plus que jamais déterminé à renouer avec son passé.

« In Principio » donc, ouvre l'album par des montées en puissance de cuivres très élégamment mises en scène. Puis viennent ces choeurs, comme d'habitude, magnifiquement introduits. Mais ce qui frappe le plus, c'est la nouvelle richesse de la palette sonore. Alex semble avoir rangé ses samples au placard pour une démarche orchestrale bien plus organique et vivante... "Distant Sky" poursuit par un riff à la Power Of Dragonflames. Les orchestrations s'y mêlent à merveille, la batterie enchaîne les breaks de fou furieux, Fabio fait alors son apparition, chantant des mélodies que l'on pensait ne plus jamais entendre. L'orchestre est impressionnant de puissance et œuvre avec le chant pour nous livrer un pré-refrain renversant d'efficacité. Le refrain est poussé vers des aigus improbables, et la guitare pose un solo portant la patte de Turilli, comme pour montrer que rien n'a changé, que Dark Wings of Steel n'est plus qu'un lointain et mauvais souvenir...

C'est ainsi que Rhapsody Of Fire capte notre attention et redonne espoir. Mais la claque sonore continuera durant (presque) l'intégralité de l'album.
Into the Legend a pour but principal de rassurer et de remettre les points sur les i. Une occasion pour le cofondateur de montrer ses réelles capacités, très mal évaluées lors de la sortie de Dark Wings of Steel. L'album propose un mélange parfait entre l'ancien Rhapsody, baroque et dépaysant, et les œuvres plus récentes, féroces et ambitieuses. En plus de réussir ce pari improbable, Alex parvient à y laisser sa signature, à marquer une scission entre son travail solo et sa coopération avec Turilli.
« Realms Of Light », par exemple, porte très clairement la patte du cofondateur, par ses violons saccadés et son côté Heavy. Le titre nous évoquera d'ailleurs l'album précédant auquel on aurait insufflé une nouvelle vie, intégrant: riffs heavy déroutants d'efficacité, choeurs solennels, murmure diabolique, refrain mélancolique d'une grande intensité. La partie centrale nous renverra à « My Sacrifice » dans l'ambiance générale, mais en bien plus dynamique, ces sublimes duels de solos ne nous laissant pas une seule seconde de répit. Alex atteste ainsi de sa capacité à apprendre de ses erreurs et à les mettre à profit pour écrire des titres très rafraîchissants.

Mieux encore, parfois, Rhapsody Of Fire nous transporte vers des paysages qui nous étaient totalement inconnus. « Winter's Rain » s'axe autour d'un riff central béton, brillant de noirceur, déroutant de simplicité. Le titre, durant ses huit minutes, conserve un tempo extrêmement lent, telle une marche guerrière. Fabio y pose un chant d'une mélancolie poignante, les arrangements fourmillent autour du riff, faisant du titre une réelle découverte à chaque écoute. Puis, vient le centre du morceau, purement orchestral, mais possédant un authentique souffle épique. Les bonnes idées se succèdent de seconde en seconde, la formation nous balade de surprise en surprise sans jamais sembler à court de ressources... Alors que les dernières notes résonnent, le verdict est sans appel : Rhapsody a retrouvé quelque chose que l'on pensait perdu à tout jamais: la Magie.

Bien sûr, les fans de la première heure ne seront pas en reste car, en plus d'élargir son univers, Rhapsody Of Fire nous renverra aux douces ambiances des débuts. « A Voice In The Cold Wind », par exemple, avec son ensemble baroque, nous évoquera un « Village Of Dwarves », auquel on aurait ajouté toute l'expérience et la maîtrise d'une formation pleine de recul sur ses œuvres.

« Valley Of Shadows » et « Rage Of Darkness » rétabliront l'équilibre d'une balance créative qui fut très oscillante ces derniers temps. Le premier s'ouvrira par un riff orchestral meurtrier à la guitare judicieusement dosée pour en transcender toute la puissance. Le metal sait se faire plus discret au profit d'une voix lyrique de toute beauté et de choeurs latins parfaitement mis en scène, tandis que l'orchestre met en valeur les solos de Roby, devenant ainsi un support indissociable. « Rage Of Darkness », quant à lui, se dirigera vers de somptueux changements de tons. Le riff est une merveille de composition et on retrouve enfin une structure beaucoup plus mouvementée, bourrée de mélodies changeantes, de duels de solos (Alessandro Sala fait des merveilles avec sa basse) et, pour finir, d'une guitare supersonique posée sur un orchestre décidé à en découdre. De quoi renvoyer les détracteurs du nouveau guitariste réviser leur jugement.

« The Kiss Of Life », titre épique de 16 minutes, achèvera l'album par un refrain à l'intensité démesurée, à l'émotion poignante et à la puissance retrouvée. Alors que Turilli privilégiait des morceaux à tiroirs très techniques, Alex fait ici le choix de mettre en valeur puissance et efficacité. Ainsi, les-dites 16 minutes passent à une vitesse ahurissante. Fabio est plus rayonnant que jamais, livrant ici l'une de ses meilleures interprétations, sa voix semblant vivre de plus en plus la musique au fil du morceau. De plus, le titre réserve bien des surprises, comme un changement de ton radical vers une atmosphère acoustique exotique (qui nous évoquera légèrement « Gargoyles, Angel Of Darkness »), un duo entre Fabio et Manuela Kriscak (qui intervenait également dans « Valley Of Shadows » et « Realms Of Light »), et une envolée orchestrale finale bluffante de maîtrise.

Bien sûr, l'album n'est pas parfait, et, dans sa volonté de composer une oeuvre bien plus évocatrice de la musique des Transalpins, Alex a usé de gimmicks parfois très prévisibles... « Into the Legend » se révélera comme le titre le plus dispensable de l'album. Manquant cruellement d'accroche, de folie ou d'ambition, il deviendra, au fil des écoutes, un simple moment de flottement entre deux superbes titres. Et cela, malgré ce solo, il faut le reconnaître, très bien foutu. « Shinnig Star » s'inscrira comme une énième ballade un tantinet épique composée par nos chers Transalpins, qui n'ont jamais réussi à détrôner leur légendaire « Lamento Eroico ». Mais tous ces défauts ne sont que dérisoires face au soulagement de retrouver un groupe débordant d'énergie et capable, même sans Turilli, de faire vivre un univers qui avait pourtant perdu la moitié de ses âmes créatrices.

Into the Legend est donc, très clairement, une réussite. Un retour en force d'un groupe que l'on pensait dépouillé de sa principale ressource. Rassurant et innovant, il conforte quant à l'avenir du groupe et permet de préparer l'auditeur à l'ouverture de nouveaux horizons. Nous savions Rhapsody Of Fire très mal en point, mais le groupe fut l'objet d'autres mésaventures et sa renaissance fut, à chaque fois, certaine. Alex accomplit ici un travail remarquable, bourré de bonnes idées et de moments de bravoure, le tout affublé d'une production d'une grande puissance. Le Roi du Power Symphonique est revenu. Que son règne soit, on l'espère, long...

13 Commentaires

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edenswordrummer - 22 Janvier 2016: Orel : merci de tes appréciations, je suis, comme toi, très séduit pas cet album qui a au moins le mérite de ressembler à du Rhapsody qui fera grand plaisir aux fans dépités du dernier opus...et comme toi, j'ai hâte de voir la suite, concernant les projets solos d'Alex, c'est sur que le fameux Rhapsody in Black serait le bienvenu ;)
Eclectic : tres beau voyage, en effet, pas inoubliable, c'est possible et je pense que tu es plus en capacité que moi de juger correctement un opus alors peut être que ma note pourra te paraître excessive...mais j'ai préféré avantager un peu le magnifique travail de rattrapage mené ici, tout en essayant de mener une description précise du contenu, merci pour tes appréciations :)
eclectic - 22 Janvier 2016: Je ne partage pas ton point de vue, mais ton argumentation se tient et ta passion fait le reste.
Steelizer - 05 Fevrier 2018:

Bravo pour cette chronique dont je rejoins tout à fait le point de vue. Rhapsody Of Fire a, selon moi, réussi à produire ici un album intense en émotions, ce qui est bien le but d'un groupe de Metal Sympho. Le titre Kiss of Life est un pur chef-d'oeuvre et mérite à lui seul l'achat de l'album. Une fresque grandiose avec, comme tu le soulignes, un chorus à faire s'écrouler le plafond. Par contre, je ne te suis pas concernant Shining Star auquel je donne une mention spéciale, beau et superbement lyrique. J'adore également le titre Into The Legend dont le chorus est très réussi.

J'ai effectivement aussi écouté l'album Prometheus de Turilli et je dois dire que ce dernier est loin de me plaire autant que ce Into The Legend.

edenswordrummer - 06 Fevrier 2018:

Merci pour tes retours et ton commentaire développé, on voit que tu portes les Italiens en haute estime ! 

Kiss Of Life est une excellente pièce épique qui a le mérite de proposer une démarche beaucoup moins progressive que ses prédécesseurs tout en se montrant captivante.

En revanche, je trouve Shinning Star quelque peu fade et melodiquement assez pauvre et facile. Je trouve que niveau airs enchanteur, Rhapsody a fait beaucoup mieux par le passé. Et le titre Into The Legend, malgré son couplet agressif et son solos exquis fait traîner en longueur un refrain finalement tres banal, qui n'est pas sans rappeler "Never Forgotten Heroes". Une construction de mélodie assez conventionnelle que je n'apprécie pas chez Alex, lui qui est capable de pondre beaucoup mieux, comme le sublime "Winter's Rain".

En revanche, il me semble qu'ils se sont remit au travail et qu'un nouvel album devrait arriver au printemps, c'est avec cet album qu'on y verra plus clair sur le devenir du groupe :) 

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Chronique @ dark_omens

19 Janvier 2016

Rhapsody n'a-t-il plus rien à dire?

Rhapsody n'a-t-il plus rien à dire?

Voilà l'inquiétante interrogation qui nous étreindra dès lors que l'entame poussive, poussiéreuse et convenue de ce Into the Legend, nouvel opus du plus célèbre groupe de Power Metal italien, nous aura offert son triste spectacle. In Principio, énième intro instrumentale, et Distant Sky sont, en effet, deux titres dans lesquels il est difficile de voir autre chose qu'une formation aux pâles intentions se parodiant elle-même.

Fort heureusement Into the Legend, bien qu'en partie ancré dans la plus pure tradition de ce que font les transalpins depuis plusieurs années déjà (un constat que des refrains relativement classiques ne viendront pas démentir), arrive afin de nous redonner quelques frêles espoirs. Ce morceau, plutôt sympathique au demeurant, fort de ces couplets à l'agressivité marquée, rassure. Un apaisement qu'un très intéressant Winters Rain aux riffs et aux rythmes plus lourds viendra conforter.

Les passages aux voix à la fois angéliques et symphoniques ponctuées par ces éructations rauques et gutturales donnent à Valley Of The Shadows un parfum très attachant. Soulignons également l'aspect soigné et pertinent des parties orchestrales de cette piste. Une chanson assurément à mettre au crédit des bonnes surprises de ce manifeste. Tout comme d'ailleurs, mais dans une moindre mesure, Realms of Light (avec un petit bémol sur les interventions de claviers entourant le solo de guitare dont on ne comprend pas bien l'intérêt, ni, à vrai dire, l'a-propos dans l'atmosphère générale du titre.). A Voice In The Cold Wind, promenade celtico-médiévale à flutiau est, elle aussi, plutôt agréable même si elle n'apporte pas grand-chose à ce genre de représentations maintes et maintes fois joué. S'agissant de Shining Star, ballade épico-romantique, Fabio Lionne aura beau s'y démener afin d'y faire naître un attendrissant trouble palpable, pas sûr pour autant qu'il réussisse à nous émouvoir.

The Kiss of Life a, quant à elle, la lourde tâche de clore les débats. Qu'en dire sinon qu'elle est une synthèse plutôt enthousiasmante des capacités actuelles du quintette. Les esprits les plus critiques, dont votre humble obligé est incontestablement, regretteront simplement son interminable longueur devenue une coutume bien trop systématique à son goût. Reconnaissons néanmoins qu'ici cette durée n'est pas trop rédhibitoire tant Fabio Lionne et ses comparses parviennent, en grande partie, à y maintenir une tension servant assez judicieusement le récit. Toutefois, nul ne pourra m'ôter de l'esprit qu'un propos plus concis eut été nettement plus fort et convaincant.

Globalement Rhapsody (Of Fire) nous offre donc ici un travail sensiblement plus captivant que celui qu'il nous proposa sur un moyen Dark Wings of Steel. Plus dynamique, plus inspiré et plus agressif, ce nouvel opus ne manquera donc pas de rassurer la frange la plus inquiète d'entre nous. Quant à celle regroupant les anxieux formalistes aux penchants prononcés pour l'intellectualisation à outrance, elle ne pourra s'empêcher de penser à la question initiale de cette modeste analyse sans une certaine gravité. Car, certes, ces cinq musiciens originaires de Trieste auront ici, une fois encore, fait montre de talents avérés, et ce, afin d'accoucher d'un album de qualité. Mais avec celui-ci ils continueront aussi à nous donner des œuvres tellement moins marquantes que celles du temps béni de cette révolution qu'ils enfantèrent autrefois. Et au fond on pourra alors se demander si la question n'est pas tant de savoir si Alex Staropoli et ses acolytes ont encore des choses à dire mais si le public est encore avide de les entendre. Mais ceci est peut-être un autre débat...

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Marmite - 20 Janvier 2016: De mon point de vue également je trouve Qu'ils ont "juste" fait du Rhapsody Of Fire.

La petite balade en milieu d'album à la flûte vue, vue et revue, l'intro pareil et la fin d'album sur une chanson en longueur qui n'étonne plus.

Sinon c'est que du bon. Cela laisse le droit d'espérer une suite encore meilleure.

Et merci pour vos chroniques à Edenswordrummer et Dark_Omens !
Fyrnael - 20 Janvier 2016: Merci beaucoup pour la chronique! J'irais peut-être y jeter un coup d'oeil, au cas où il y aurait quelques perles. J'hésitais à me pencher dessus car après avoir écouté Into the legend, ce morceau m'a semblé particulièrement creux et parodique. J'ai trouvé le refrain mièvre et interminable sans compter une quasi absence de mélodie dans le couplet et une agressivité sans aucune conviction.

Fingers crossed pour le reste, mais j'ai des craintes..
Orel - 21 Janvier 2016: Merci à vous deux pour ces chroniques inspirées.

Aaaaah enfin un album qui me réconcilie avec RoF! Je trouvais le précédent convenu et ultra fade. Celui ci m'a redonné un élan de nostalgie que j'avais perdu depuis Triumph or Agony. Alors ok ce n'est pas un album parfait mais que de bonnes idées! Et surtout je suis heureux de voir Alex nous pondre un bon album sans Luca Turilli. Cela montre qu'il sait enfin voler de ses propres ailes.
Après je ne sais comment l'expliquer, mais je sens une certaine énergie dans cet album qui me laisse à penser que les zicos ont pris leur pied à jouer dessus, au contraire de Dark Wings of Steel. Et cela fait plaisir! De plus c'est dans ce style que j'aime Rhapsody: rapide, épique, symphoniquement maîtrisé sans que cela ne devienne de la bouillie indigeste (suivez mon regard----> Luca) et avec des bonnes grattes, le tout intelligemment dosé. Bravo les gars!
DragonMaster - 27 Janvier 2016: Vos deux chroniques sont très bien. Merci à vous deux. Dans le meilleur des mondes, je préfère qu'il y ait au moins deux chroniques par album pour me faire une meilleure idée.
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