The Source

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17/20
Nom du groupe Ayreon
Nom de l'album The Source
Type Album
Date de parution 28 Avril 2017
Style MusicalMetal Progressif
Membres possèdant cet album79

Tracklist

DISC 1
1. The Day That the World Breaks Down
2. Sea of Machines
3. Everybody Dies
4. Star of Sirrah
5. All That Was
6. Run! Apocalypse ! Run !
7. Condemned to Live
DISC 2
1. Aquatic Race
2. The Dream Dissolves
3. Deathcry of a Race
4. Into the Ocean
5. Bay of Dreams
6. Planet Y Is Alive !
7. The Source Will Flow
8. Journey to Forever
9. The Human Compulsion
10. March of the Machines
DVD
1. Everybody Dies
2. Star of Sirrah
3. Run! Apocalypse ! Run !
4. The Day That the World Breaks Down
5. Interviews
6. Behind the Scenes

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Ayreon


Chronique @ frozenheart

29 Avril 2017

Retour à la source.

Pour la plupart des groupes rock, l'histoire d'Ayreon, le projet du géant et multi-instrumentiste Arjen Anthony Lucassen, a quelque chose qui tire vers l'idéal. En effet, quoi qu'il advienne, le Hollandais surdoué reste fidèle aux idées et au genre Rock (Metal) Progressif qui l'on fait connaître, et cela, depuis 1995 avec The Final Experiment, son excellent premier concept album.
Par ailleurs, il ne faudra pas attendre très longtemps la sortie de l'extraordinaire pour ne pas dire chef-d'œuvre "Into the Electric Castle", deuxième album conceptuel au casting d'invités plus ou moins connus tels que les chanteurs : Fish (ex-Marillion), Damian Wilson (Threshold, Landmarq), les chanteuses Anneke Van Giersbergen (ex-The Gathering) et Sharon Den Adel (Within Temptation), entre autres, pour s'apercevoir du réel talent de compositeur du stakhanoviste batave.

D'autres albums aussi prestigieux qu' Into the Electric Castle verront le jour, à commencer par l'imposant The Universal Migrator (2000), scindé en deux albums. Le premier, The Dream Sequencer, se distinguera par une mouvance prog atmosphérique ; l'autre, Flight of the Migrator, nous dévoilera d'entrée de jeu la facette la plus Metal d'Ayreon avec des guitares plus présentes et mordantes que sur le premier volet. Le tout est exécuté par une imposante liste d'invités réunissant le gratin de la scène Power Prog Mélodique du début des années 2000. 4 ans plus tard suit le double CD conceptuel The Human Equation, au propos plus orienté Folk et Rock que ses prédécesseurs.

L'année 2008 correspondra à la sortie d'un autre double album conceptuel 01011001 : énorme recueil de science-fiction, au tout aussi impressionnant casting, qui réunira la crème des chanteuses et chanteurs Metal des années 2000, dont la fidèle Anneke Van Giersbergen, Jorn Lande (Jorn, ex-Beyond Twilight, ex-Ark), Jonas Renkse (Katatonia), Tom Englund (Evergrey) et Magali Luyten (ex-Beautiful Sin, Nightmare).
The Theory of Everything, l'album suivant, s'avérera beaucoup plus difficile d'accès et à appréhender que les autres œuvres d'Ayreon. Celui-ci s'éloignera des sentiers de la science-fiction, en s'attaquant à des sujets tels que l'existence humaine, l'extinction de la Terre, mais aussi scientifiques comme la fameuse théorie du tout.

Aujourd'hui, le géant hollandais nous transportera à nouveau au plus profond de la science-fiction, en nous proposant une nouvelle réalisation d'Ayreon, le prequel de 010110001 intitulé The Source, autre album conceptuel découpé en 4 chroniques distinctes, et long de presque une heure trente minutes. Bien entendu, je pourrais vous énumérer l'énorme casting et vous détailler l'histoire de ce nouveau manifeste, mais au lieu de cela, je vous inviterais à lire le magnifique livret illustré par le cover-designer français Yann Souetre, qui accompagne le contenu de ce gargantuesque double CD.

Quant à la production, il n'y aura rien à redire. Elle sera à la hauteur de nos attentes en dotant l'opus d'un son massif, clair et très moderne. Le tout est complété d'un mix qui mettra bien sûr le chant en avant, mais aussi une instrumentation de haut niveau, dont une batterie puissante, au jeu net et précis du fidèle Ed Warby (Gorefest, Hail of Bullet), présent depuis les débuts de l'aventure Ayreon!

Immergeons-nous, sans plus attendre, dans l'univers sci-fi de The Source.
Les 17 pistes aux diverses ambiances s'enchaîneront sans temps mort, à commencer par "The Day That the World Breaks Down", énorme et long pavé de 12:32 minutes qui ouvre magistralement l'album, commençant ainsi l'histoire, qui continuera en 2008 sur l'album 01011001 (jusque là vous suivez toujours?). Ce morceau laissera s'exprimer la plupart des 11 chanteurs et chanteuses de l'opus. En premier lieu, James Labrie (Dream Theater) dans le rôle de l'Historien, dévoilera un chant plus cérémonieux et solennel qu'à l'accoutumée. Mention spéciale à l'imposant et fidèle Russel Allen (Symphony X) qui, dans le costume du Président, se montrera une nouvelle fois impérial sur l'étendue des 17 titres, le fédérateur et mélodieux "Into the Ocean" étant le meilleur des exemples.
Mention spéciale à Tobias Sammet (Edguy), qui dans le rôle de capitaine de l'espace, se montrera tout aussi convaincant sur l'étendu de l'opus, à commencer par le lourd et rampant "Star of Sirrah" dont le refrain laissera s'exprimer son compatriote de Blind Guardian, Hansi Kürsch, mais aussi Paul Gilbert (Mr Big) qui viendra poser l'un des ses meilleurs solos de guitare en mode shredder. D'ailleurs nous retrouverons Tobias et Hansi sur le rapide et enjoué "Run! Apocalypse! Run!" où Tommy Karevik (Kamelot) au timbre puissant et dans le rôle du chef des opposants, viendra une nouvelle fois nous émerveiller.

Parmi les autres réussites de l'opus, nous aurons la chronique 3 (The Transmigration) et son quarté gagnant : l'entraînant "Aquatic Race", au couplet et refrain exquis, le lent et mélodieux "The Dream Dissolves" qui mettra en avant le chant de nos 2 déesses bataves (Floor Jansen jouant la Biologiste et Simone Simons, la Conseillère), accompagné des retentissantes et vibrantes interventions du duo norvégien Eriksen/Rue (le Diplomate et le Prophète). Ce morceau est suivi de mon préféré, l'oriental "Deathcry of a Race" qui révélera un Tobias Sammet (le Capitaine) très en voix et soutenu par les vocalises arabisantes de Zaher Zorgati, le chanteur du groupe tunisien Myrath, (dans le rôle du prédicateur), fera des merveilles. Cette troisième partie se termine par l'entraînant "Into the Ocean", cité plus haut et dont l'air imparable, soutenu par des interventions de guitares tranchantes et Heavy, nous rappellera à bien des égards celles de l'album Victims of the Modern Age de Star One (l'un des nombreux projets d'Arjen Lucassen).

Concernant les titres et invités restants, votre illustre serviteur vous laissera le soin d'aller les découvrir à travers l'album et le livret de The Source. Seule petite ombre au tableau : "March of The Machine", la dernière piste de l'album, qui par sa durée et son final me laisse sur ma faim. N'aurait-il pas été plus judicieux de terminer l'opus par l'épique "Journey to Forever", ou de nous concocter un final digne de "The New Migrator" par exemple? Par ailleurs, je trouve dommage que des chanteurs de la trempe de Nills K Rue et Michael Erikson n'interviennent pas plus souvent et longtemps sur l'ensemble des 17 chansons de ce merveilleux opus.

Malgré quelques petits impairs sans conséquences majeures, ce double album conceptuel aux allures de best of, constitué de nombreuses atmosphères et rebondissements complétés par un copieux casting, se pose d'ores et déjà comme l'une des meilleures œuvres à mettre à l'actif d'Arjen Anthony Lucassen.

Au final, The Source comblera sans aucun doute les fans les plus acharnés du géant hollandais et de ses nombreux projets, mais aussi les aficionados du genre Metal Progressif et de ses dérivés.

Encore un grand merci à Monsieur Lucassen.

29 Commentaires

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Mozabi649 - 06 Mai 2017: Aquatic Race et Journey to Forever parmi les morceaux faibles de l'album ? Sérieusement ?
Groaw - 06 Mai 2017: Ecoute, que tu aimes ces morceaux, c'est ton point de vue.
Moi, je les ai moins aimés, c'est tout. Je les trouve moins percutantes, moins travaillées notamment avec des riffs très répétitifs et un schéma trop ressemblant. Cela reste de très bons morceaux mais un peu moins bon que l'ensemble des autres chansons.
Mozabi649 - 07 Mai 2017: C'est sûr que c'est pas artistiquement aussi fouillé que The Day the World Breaks Down et Everybody Dies mais j'irais pas jusqu'à les qualifier de morceaux faibles de l'album. C'est d'ailleurs un album que je trouve qualitativement très cohérent
Groaw - 07 Mai 2017: J'ai beau me relire, je ne vois pas où j'ai écrit que ces morceaux étaient "faibles".

Dire que des morceaux sont moins bons que d'autre ne veut pas dire qu'ils sont faibles. On a toujours nos chansons favorites et nos chansons que l'on aime moins. Dans mon cas, c'est juste que je les aime moins ^^'
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Chronique @ Mozabi649

07 Mai 2017

Ayreon passe l'exercice de la préquelle avec succès

Un silence si assourdissant...
Alors que le calme nous entoure
Un élan de peur envahit nos veines.

C'est sur ces paroles peu rassurantes que s'ouvre le dernier album d'Arjen Lucassen, l'homme à tout faire néerlandais, compositeur et producteur de génie. A travers son œuvre et ses concepts si particuliers (tant sur le fond que sur la forme) ce géant de la musique (au sens propre comme figuré) a fait voyager et touché émotionnellement bon nombre d'auditeurs.

Après avoir mis en pause la Sci-Fi qui lui est si chère pour s'attarder sur une histoire beaucoup plus réaliste dans The Theory of Everything, et ce avec grand succès, The Source renoue avec les Forever, la race extraterrestre et ancêtre des humains, tout droit sortie de l'imagination d'Arjen et décide de nous conter comment les Alphans (habités de la planète Alpha donc) sont arrivés sur la planète Y et sont devenus la race que nous avons connue dans 01011001.


Ce qui frappe d'entrée avec The Source c'est son ton très rentre-dedans. Aucun album d'Ayreon ne lui arrive à la cheville en terme de puissance sonore, d'agressivité des riffs et d'epicness des morceaux. Il en résulte un bon nombre de moments très propices à un hochement de tête assez immédiat comme Everybody Dies, Into the Ocean ou Run ! Apocalypse ! Run ! Ce qui n'est d'ailleurs pas pour me déplaire.

Cependant, offrir un son plus puissant peut rapidement faire verser dans un penchant négatif : Perdre en variété et en subtilité. Heureusement ce n'est ici pas le cas. La variété instrumentale et stylistique a toujours été la grande force des albums d'Ayreon et nous avons ici encore l'occasion d'apprécier le large panel d'influences du monsieur. En vrac nous pourrons citer bien évidemment le folk cher à Arjen et présent tout au long de l'aventure par petites touches sur The Day That The World Breaks Down et Deathcry of a Race ou au premier plan sur All That Was ou Journey to Forever par exemple. Bien sûr en tant qu'album de Prog qui se respecte, celui-ci a ses moments planants de toute beauté, The Dream Dissolves en tête. On notera également que le violon et le violoncelle de respectivement Ben Mathot et Maaike Peterse sont à nouveau de la partie et jalonnent l'album lui apportant le timbre clair et solennel des cordes.

Vocalement l'album affiche également une belle palette de timbres différents de par les nombreux interprètes bien sûr mais le style de composition n'est pas étranger à cette réussite. On retrouve donc des délires vocaux très proches de ce qu'aurait proposé un Freddie Mercury (Everybody Dies, Aquatic Race), de courtes lignes arabisantes, un duo lyrique de Simone et Floor, des choeurs à forte tendance gospel (Aquatic Race, Journey to Forever) et quelques growls de Tommy Rogers, discrets mais magnifiquement bien placés.

Parlons d'un autre gros point positif de l'album, les invités. Que ce soit chanteurs ou musiciens, tous font un travail vraiment époustouflant, que ce soit leur première participation à l'aventure Ayreon ou non. Parmi les récidivistes, James Labrie pose ici des phrases élaborées dans un style très narratif avec une voix éthérée, très en accord avec son personnage d'Historien. Tommy Karevik et Michael Mills qui avaient éclaboussé ToE de toute leur maîtrise réitèrent une excellente performance. Constat équivalent pour Hansi Kürsch de Blind Guardian qui s'impose comme l'évidence même et donne toute son ampleur à des refrains et des lignes de chant déjà catchy et épiques à la base. On compte aussi Simone qui a ici un rôle plus consistant que sa très courte apparition sur 01011001.

Parmi les « novices » que compte l'opus, on retiendra Mike Eriksen de Circus Maximus, qui tire très bien son épingle du jeu dans son rôle de diplomate optimiste avec des lignes de chant portées par son ton posé et son timbre chaud, Tobias Sammett d'Avantasia illumine le tout de sa puissance et endosse le costume du sauveur en tant que capitaine du vaisseau qui fait quitter la planète Alpha au groupe élu que nous suivons. Enfin mentionnons Nils K. Rue de Pagan's Mind qui jouera ici le prophète et qui sera ainsi l'auteur de bon nombre de références à 01011001 dans ses lyrics.
Mais clairement la palme du vocaliste le plus impeccable sur cet album revient au monstre sacré Russell Allen. Chacun des passages sur lesquels il intervient est un pur bonheur ; le passage bluesy de The Day That The World Breaks Down, ses couplets sur Into the Ocean en sont les meilleurs exemples.

Pour finir avec les guests, on compte 1 solo de claviers tout en beauté et fluidité par Mark Kelly de Marilion ainsi que 3 soli de guitare : celui supersonique de Paul Guilbert (Mr. Big) sur The Star of Sirrah, le très virtuose et Petrucciesque de Marcel Coenen sur The Dream Dissolves et le plus impressionnant de tous : Guthrie Govan sur Planet Y is Alive ! Ce dernier fait évoluer cette piste déjà épique vers des sphères stratosphériques avec un solo d'une beauté et d'une limpidité absolument exemplaires.


Tout cela fait beaucoup de points positifs mais il y a quelques aspects de ce CD qui sont un peu plus problématiques pour moi et sur lesquels je vais maintenant revenir.


Concernant le chant, cet album bien qu'encore irréprochable en termes d'exécution a tout de même un sérieux goût de « j'en veux encore ». Que ce soit pour Russell Allen notamment ou d'autres comme Simone, leurs parties de chant paraissent bien courtes à la fin des 90 minutes. Vous pourriez tout à fait me dire que cette critique est valable pour les autres albums d'Ayreon. Cet argument est recevable bien sûr mais cette frustration est pour moi beaucoup plus présente à la fin de ce The Source que 01011001 qui faisait pourtant intervenir 7 vocalistes de plus. Et ce n'est qu'un ressenti mais j'ai l'impression que c'est sûrement dû au découpage des lyrics qui se cantonnent souvent à faire intervenir un chanteur à la fois pour un couplet et limite les échanges assez courts mais intenses qu'on pouvait avoir sur 01.

Enfin l'autre grosse critique que j'adresserai à cette galette concerne l'implication émotionnelle de l'auditeur et pour illustrer mon propos je vais encore comparer avec 01011001. Sur celui-ci, même si on ne s'intéressait pas à des individus en particulier, on ressentait une empathie pour les Forever en globalité qui passaient par différentes étapes sublimement exprimées : la morosité d'une vie sans surprise puis l'excitation d'un nouveau départ conduisant à une désillusion cependant teintée d'espoir. Le tout couronné par les débats éthiques entre les personnages qui découlaient des péripéties.

Dans The Source, les sentiments que l'auditeur peut éprouver sont très limités et c'est d'autant plus dommageable qu'ici on s'intéresse à des personnes bien distinctes et pas à une espèce entière. Mais rien ne vient réellement impliquer la cible du récit qui finalement suit juste l'histoire d'un groupe qui s'échappe de sa planète. Les seules réminiscences de 01011001 sont All That Was et les remords qu'éprouvent Simone et Floor quant à quitter Alpha et une tentative bien timide de débat entre Russell et Tommy K sur Planet Y is Alive !. C'est trop peu quand on voit la palette d'émotions qu'Arjen a su développer sur un homme torturé par son passé dans THE ou les multiples conflits d'intérêts et de points de vue de ToE.


Alors que retenir de ce nouvel Ayreon ? A l'exercice de la préquelle il est indéniable que le Néerlandais s'en tire mieux que certains de ses équivalents du monde du cinéma. Cependant il n'évite pas certains écueils d'ailleurs propres aux blockbusters à savoir une forme impeccable mais un fond manquant de profondeur. The Source est un nouveau cadeau batave, trésor de composition, production et interprétation. The Day That The World Breaks Down et The Dream Dissolves sont d'ailleurs d'ores et déjà à compter parmi les plus belles compos d'Arjen. Cependant, je regrette que les lyrics ne soient pas à la hauteur de ces pépites instrumentales, part pourtant très importante de ses précédentes odyssées. Cela dit l'album reste excellent, marquant et est loin de faire tache dans la discographie d'un des plus grands génies musicaux de notre temps. Hâte d'entendre la suite !

Woaw ce pavé ! Sans conteste la chronique la plus longue que j'ai jamais écrite. Si vous en avez eu le courage, merci de m'avoir lu jusqu'ici !

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frozenheart - 08 Mai 2017: Moi je pense qu'un concept album tel qu'il soit, demande de nombreuses écoutes, afin d'en faire une analyse complète et d'avoir le recule suffisant pour le chroniquer et surtout le noté. Car malheureusement , beaucoup d'entre nous ont le chef-d'oeuvre facile...
Mozabi649 - 08 Mai 2017: Après tu vois que je n'ai pas crié au chef d'oeuvre sur celui-ci :) Je pense que quand tu as pesé le pour et le contre, fait le tri dans tes idées et analysé ce qui te plaît ou non et pourquoi, et bien je ne vois pas pourquoi te retenir de quantifier en quelque sorte toute cette réflexion via une note. Une chronique n'est pas une suite d'informations, inconsciemment ou non tu exprimes un avis subjectif. Et pour le lecteur je pense qu'une note lui permet d'éclaircir ton avis justement
frozenheart - 08 Mai 2017: Je ne m'adressais pas spécialement à toi, mais analysé un tel album en seulement une semaine, voire 10 jours me paraient un peu léger, à moins que...

Par ailleurs, je pense que noté un album comme ça, sans commentaires, ne sert à rien, mis à part gonflé ou baisser les statistiques.
Mozabi649 - 08 Mai 2017: Tu m'as dis plus haut l'avoir écouté une vingtaine de fois en un mois. Pour ma part j'ai du l'écouter une quinzaine de fois en 10 jours et je n'ai rien écouté d'autre. Rien qu'hier je me le suis passé 3-4 fois :)
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