Doro

Interview réalisée avec le bassiste Nick Douglas.

interview DoroToi et la musique : KALISSA : Comment décrirais tu ta musique ?
Nick Douglas : Si tu me demandes dans quelle catégorie, je pourrais mettre ma musique …. Bien, si je recherchais un de mes albums dans un magasin de disque, je le trouverais dans la partie Rock ou Indépendant. En ce qui me concerne ma musique c'est une manière pour exprimer ce que j’ai envie de faire. Dans un sens, mes chansons sont comme des enfants. Elles passent par une phase de développement jusqu’à ce qu’elles soient présentés au monde et je suis très heureux d’entendre qu’elles ont fait une bonne impression pour quelqu’un.

KALISSA : Pourais tu, nous résumer en quelques mots ton expérience acquise au sein de tes groupes ?
Nick Douglas : Je n’ai pas vraiment de groupe en solo pour le moment. Quand j’en avais, c’était beaucoup de travail dur mais les musiciens étaient très bien, j’aimais la liberté que j’avais.

KALISSA : Comment t’es venus l’idée de jouer pour le groupe Doro ?
Nick Douglas : J’ai auditionné pour Doro à New York en 1990. un ami à moi connaissait bien le claviériste qu’il y avait à l’époque et c’est comme ça que j’ai sus que Doro recherchait un nouveau groupe. Alors j’ai été à la répétition au studio de Manhattan où les auditions avaient lieu et j’ai vus qu’il y avait plusieurs bassistes qui essayaient ce jour là. J’ai honnêtement pensé que je n’obtiendrais pas ce groupe alors j’ai décidé juste de jouer par plaisir. A ma grande surprise, j’ai été choisis pour faire la prochaine tournée en Amérique. J’ai commencée à travailler avec elle depuis.

KALISSA : Quel est ton meilleur souvenir avec tes groupes ?
Nick Douglas : il y en a beaucoup trop pour n’en citer qu’un. Là, une anecdote personnelle, une fois (avec Doro) nous jouions à « l’Universal Amphithéâtre » de Los Angeles et Gene Simmons (Kiss) était là. Après le concert, je l’ai rencontré en coulisse et il m’a dit que j’avais bien joué. Je pense que j’ai dus me sentir sur un petit nuage pendant une semaine.

KALISSA : Quel est le degré de ta popularité dans ton pays ?
Nick Douglas : Comparé à la réussite commerciale des groupes, ce n’est rien de tout ça mais ça me convient. Je suis encore considéré comme étant non signé. Si la popularité de mon travail en solo augmente ce sera fantastique, ce sera le destin, je suppose. Je passe sur MySpace page et j’ai différents contacts avec les personnes qui s’arrêtent. C’est appréciable d’être seul à seul avec ceux qui apprécient mon travail.

KALISSA : Quels sont tes projets ?
Nick Douglas : Finir mon second album solo. Ça prend beaucoup de tem
interview Dorops parce que je travaille avec d’autres groupes.

Un pas de plus vers ton intimité : KALISSA :Quels ont été tes groupes favoris durant ta jeunesse ?
Nick Douglas : J’ai grandis en écoutant tout ce qui passé à la radio. La première fois que j’ai entendus 'With A Little Help From My Friends' des Beatles, ça m’a accroché. Peu après, j’en suis venu à m’acheter tous leurs albums que j’ai pus trouver. Puis j’ai découvert Iron Maiden. Je pense que c’est ce qui m’a conduis à vouloir être bassiste. D’autres groupes : Rush, Pink Floyd, and Queen.

KALISSA : Qu’est ce qui a changé dans ta vie depuis que t’es musicien ?
Nick Douglas : Bien, je dors beaucoup moins (rires) !! Devenir musicien a sauvé ma vie. C’est fantastique de découvrir le monde et savoir que je n’aurais jamais pus apprendre tant à l’école. Je pense que je n’ai jamais été tenté par les drogues, la musique était ma drogue. Ce n’est pas un mode de vie toujours facile. Les voyages peuvent être intenses et fatiguants et je suis souvent partis loin de chez moi. Etre capable de faire ce qu’on aime à travers le monde, c’est une très bonne valeur.

KALISSA : Que préférez tu joué en studio ou te produire en live ?
Nick Douglas : La réponse est oui ! Sérieusement, l’un est en complément de l’autre. J’adore passé des heures sans fin en studio en enregistrant et développant de la musique. Puis être capable de se produire en live, voir ans le public leur joie c’est une énorme

KALISSA : Qu’utilisé tu comme modèle pour ta basse ?
Nick Douglas : En live, j’utilise actuellement une Warwick Buzzard LTD conçu par le fondateur de Warwick, “Hans Peter Wilfer et John Entwhistle of The Who”. Aussi pour les live et studio, j’utilise une Warwick Jazzman Streamer LX 5-string, deux Vigier Arpege 5-string basses (Faite en France! Grande qualité!), une Americaine Standard Fender Precision basse et une Ernie Ball Stingray 5. Toutes sont pour la main gauche.

Un tour d’horizons sur l’actualité : KALISSA : Comment est véhiculé l’image du metal aux Etats Unis ?
C’est une large question. En Amérique, le metal est généralement accepté par les médias. Il a plusieurs stations de radio qui ont des émissions de radio mais habituellement c’est plus du métal traditionnel, ou du metal classique. J’ai rarement entendus une radio diffusé du black ou quelque chose dans ce style mais je suis sur que ça existe.

KALISSA : Que signifie le metal pour toi ?
Nick Douglas : Le metal est un dégagement d’énergie et une manière pour la partager avec tes amis. Je pense que ça peut aider à canaliser le stresse comme tout type de
interview Doro musique, en fait. Je trouve que les personnes issus de la culture du heavy metal sont parmi les plus sympathiques que j’ai eus à rencontrer !

KALISSA : Une date funeste le 11.09.2006 les Etats-Unis et n’importe où dans le monde, il y a eut une pensée pour ces victimes innocentes. Comment as-tu ressentis cet évènement ?
Nick Douglas : Dans le groupe de Doro, Johnny Dee (batterie), Joe Taylor (guitare) et moi même sommes Américains. Nous nous produisons juste pour ce groupe Allemand. Alors pour parler comme un Américain ma première réaction après ce qui est arrivé en 2001, je me suis senti comme violé. Pour moi ainsi que pour toutes les vies qui ont été inutilement perdues et leurs amour. Puis j’ai regretté que ça n’est pus être stoppé. Je ne comprends pas pourquoi ces actes de haine s’accomplissent. Si tu crois au karma, je pense que ce genre de personnes se couvrent d’une large dette pour elles mêmes. Avec les commémorations, vivant à New York, c’était dur de se focaliser sur autre chose. Je n'oublierai jamais la différence dans le ciel de voir le trafic aérien sans les Tours. J’étais dans la banlieue de la Pennsylvannie quand c’est arrivé.

KALISSA : De l’autre côté de l’Atlantique, nous avons une vision critique face aux différents évènements survenant dans ton pays pour des raisons justifiées ou non. Il y a eut de vives polémiques au sujet de la guerre en Iraq, les uns acclamant les soldats pour leur bravour d’avoir délivrer le pays d’un horrible dicteur, les autres montrant du doigt l’avantage à envahir la pays pour le pétrole. Quel est ton avis sur la question ?
Nick Douglas : Je ne suis pas d’accord avec l’invasion de l’Irak. Beaucoup de pays ont envoyés des troupes là bas. Je suis sur que les soldats aimeraient rentrés chez eux. Mon cœur les accompagne.

KALISSA : Les Etats-Unis sont décrit comme un pays de liberté, une terre de rêve, penses tu avoir réalisé tes rêves ?
Nick Douglas : Oui, je suis très chanceux et reconnaissant même si j’ai toujours des buts à atteindre.

KALISSA : Toujours une question à propos de ton pays, si tu devais choisir trois films, lesquels classerais tu ?
Nick Douglas : J’adore 'Napoleon Dynamite', aussi 'Waiting For Guffman', ce sont deux bonnes comédies. J’ai aussi beaucoup aimé 'Walk The Line', the story of Johnny Cash.

KALISSA : Je te laisse le mot de la fin ....
Nick Douglas : J’ai été dans de nombreux endroits à travers le monde et nous ne sommes pas si différents dans ces endroits. Il faut évaluer les individus pour ce qu’il ou elle est. Oh ... et regardez pour le nouvel album de Nick Douglas, j’espère l’année prochaine. A bientôt, Nick

interview réalisée par Kalissa

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