Infernal Battles

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15/20
Nom du groupe Deathspell Omega
Nom de l'album Infernal Battles
Type Album
Date de parution 20 Juin 2000
Style MusicalBlack Metal
Membres possèdant cet album85

Tracklist

Re-Issue in 2003 by Northern Heritage Records on CD.
Re-Issue in 2010 by Norma Evangelium Diaboli / End All Life Productions on CD with a different cover.
1.
 The Victory of Impurity
 05:02
2.
 Drink the Devil's Blood
 04:22
3.
 Extinction of the Weak
 05:26
4.
 Sacrilegious Terror
 04:56
5.
 Raping Human Dignity
 04:19
6.
 The Ancient Presence Revealed
 05:39
7.
 Knowledge of the Ultimate Void
 04:42
8.
 Death's Reign (Human Futility)
 04:20

Durée totale : 38:46

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Deathspell Omega

  • The Victory of Impurity | Deathspell Omega
  • Drink the Devil
  • Extinction of the Weak | Deathspell Omega
  • Sacrilegious Terror | Deathspell Omega
  • Raping Human Dignity | Deathspell Omega
  • The Ancient Presence Revealed | Deathspell Omega
  • Knowledge of the Ultimate Void | Deathspell Omega
  • Death


  • Commentaire @ Nattskog

    15 Mai 2004
    Avec Deathspell Omega, pas de surprise, nous sommes en présence d’un groupe de true black. L’ambiance malsaine se perçoit dès les premières secondes avec un riff très sombre et à peu près aussi haineux que la voix pourtant si cristalline du chanteur.
    Cet « album » consiste en réalité en une réunion de la démo « Disciples of the Ultimate Void » (1999) et du vinyl « Infernal Battles » (2000). Le son de la démo, bien que très underground, reste très audible, et les morceaux dégagent une puissance assez impressionnante. Ne cherchez pas d’espoir dans cette musique, il n’y en a pas. Plus les titres passent, plus on se sent damné… et ce ne sont pas les paroles qui me contrediront : pour ce qui est lisible, elles sont très satanistes et misanthropes et correspondent bien au titre de cette « compilation ».
    Alors, jusqu’au quatrième titre, c’est tout à fait correct au niveau du son. C’est même très très bon !
    Par contre, les titres 5 à 8, ceux d’ « Infernal Battles » sont vraiment crades. Limite désagréable à entendre, ce qui est bien dommage, car les compositions sont très bonnes. Pour les amateurs de true black bien root (Necro, c’est pour toi !)
    Alors voilà, je ne sais pas trop quoi dire de plus, car le bilan définitif est mitigé : je vais être sympa… 75% de très bon, mais 25% de son trop crade pour vraiment apprécier le contenu…
    A avoir pour les amateurs de true underground !

    Nattskog

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    Commentaire @ BEERGRINDER

    21 Fevrier 2014

    Trve de seconde zone

    Déjà, cet « album » repose sur une arnaque : deux démos réunies pour en faire un full lenght, et pas la crème de la crème du style hélas. La première des deux (la plus récente chronologiquement) est certes de bonne facture, rappelant le Black Metal d’un Darkthrone, voire l’agressivité d’un Gorgoroth par moment, mais à part pomper ce genre de groupes cultes en moins bien, rien ne transparaît vraiment de personnel. Pour la deuxième partie intitulée Disciples of the Ultimate Void, c’est du même tonneau mais avec un son vraiment trop brouillon, caractéristique des groupes de Trve Black qui confondent authenticité et son de merde. Toutefois tout n’est pas à jeter dans la composition avec un Drink the Devil’s Blood au côté poignant de bon aloi.

    Autre ombre au tableau, Northern Heritage ne s’est vraiment pas cassé le bol dans son édition, avec un livret minimaliste sur lequel il manque la moitié des lyrics, celles présentes étant de toutes façons illisibles avec une surimpression pourrie sur les ¾ du texte, certains diront sans doute qu’il s’agit là de la volonté de rendre le tout occulte et mystérieux, tout ça… Mouais, et mon cul c’est du poulet ?
    Impossible dans tous les cas de déceler des pistes de l’évolution future du groupe ici (à part éventuellement sur quelques riffs vaguement dissonants), on est à cent lieux du Black / Death puissant et original que Deathspell Omega jouera plus tard.
    Si les premiers albums des vieux groupes de Black et Death sont souvent cultes, les combos récents semblent souvent avoir besoin de s’échauffer avant de sortir des chefs d’œuvres.

    BG

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