Paracletus

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17/20
Nom du groupe Deathspell Omega
Nom de l'album Paracletus
Type Album
Date de parution 08 Novembre 2010
Style MusicalBlack Avantgardiste
Membres possèdant cet album178

Tracklist

1.
 Epiklesis I
 01:42
2.
 Wings of Predation
 03:43
3.
 Abscission
 06:07
4.
 Dearth
 03:47
5.
 Phosphene
 07:03
6.
 Epiklesis II
 03:06
7.
 Malconfort
 04:57
8.
 Have You Beheld the Fevers?
 02:59
9.
 Devouring Famine
 05:09
10.
 Apokatastasis Pantôn
 04:01

Durée totale : 42:34

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Deathspell Omega

  • Epiklesis I | Deathspell Omega
  • Wings of Predation | Deathspell Omega
  • Abscission | Deathspell Omega
  • Dearth | Deathspell Omega
  • Phosphene | Deathspell Omega
  • Epiklesis II | Deathspell Omega
  • Malconfort | Deathspell Omega
  • Have you Beheld the Fevers ? | Deathspell Omega
  • Devouring Famine | Deathspell Omega
  • Apokatastasis Pantôn | Deathspell Omega


  • Chronique @ enthwane

    09 Novembre 2010
    Qui aurait pu prévoir cela ? Je vous le demande. Qui, parmi nous, pauvres humains, avachis derrière nos écrans d'ordinateurs respectifs, aurait pu prévoir qu'un tel météore de noirceur frapperait notre scène musicale de plein fouet ?

    Je vous le donne en mille : absolument personne. Personne n'aurait pu prévoir que Deathspell Omega, avec ce simple album, écraserait, mutilerait, et enterrerait toute concurrence dans le domaine du Black Metal. Oui. Prenez toutes les espérances que vous aviez mis en ce disque, multipliez-les par cinq, et vous serez encore loin du compte.

    C'est un constat simple : depuis que j'ai ce disque (c'est-à-dire hier matin), je n'ai absolument pas arrêté de l'écouter, consacrant l'intégralité de ma journée à la découverte et à l'appréhension de ce "Paracletus". Je m'enfermais donc dans ma chambre, transformée pour l'occasion en pièce totalement noire : volets fermés, afin que mon ouïe puisse pleinement profiter de ce disque, que nous attendions tous comme le messie.

    Dieu, dire que nous "l'attendions" serait un euphémisme. Ce "Paracletus", ce serpent de mer, qui se dévoila d'abord par le biais de sa tracklist aux titres toujours aussi énigmatiques. Puis qui, enfin, dévoila son visage et son corps : une hideuse masse noire, grouillante et brûlante, sans aucune expression, sans aucune humanité. Le ton était donné. Et cet avant-goût ne fût que confirmé par le morceau "Devouring Famine", dévoilé par Season of Mist, fiers (et ils ont bien raison) de leur nouveau poulain.

    J'ai accumulé les écoutes. Les unes après les autres, j'ai tenté de percer la carapace noirâtre, de discerner l'aura abominable entourant ce "Paracletus". En vain, j'ai cherché quelques prises pour tenter de me sortir des abîmes de la folie dans lesquelles ce disque m'a plongé. A chaque fois que je crûs en discerner une, ma main eu tôt fait de se poser dessus, pour finir par se rendre compte qu'elle n'était qu'un serpent, mordant violemment la main, injectant son venin sombre, ne rajoutant que fièvre et spasmes à ma crise de démence.

    Oui, ce disque m'a mis dans un état impossible. Comme Gris m'avait fait pleurer toutes les larmes de mon corps, Deathspell Omega m'a mis en état de transe : la nuit blanche que j'ai passée à décortiquer cette offrande au Malin, je l'ai passée à suer, à trembler, à sursauter. J'avais beau tenter de fumer cigarettes sur cigarettes pour essayer de me calmer, rien n'y faisait. Ce n'était pas moi qui écoutait "Paracletus", c'était "Paracletus" qui m'hypnotisait, me tentait, me faisait croquer la douce chair de la folie.

    Je n'ai pas vu le temps passer. Les heures et les minutes se confondaient. Quand j'ai, pour la première fois, pressé la touche "arrêt" de la télécommande de ma chaîne hi-fi, il était déjà sept heures du matin. Définitvement changé par l'écoute de l'objet. A l'heure ou j'écris ces quelques lignes, j'en suis à ma vingtième écoute de ce monument. Et la première chose qui me frappe, c'est que jamais, durant ces nombreuses écoutes, la Lassitude n'a osé pointer son nez, probablement effrayée par tant de démence contenue dans un unique disque. A chaque nouvelle session, on découvre quelque chose de nouveau. Une nouvelle difformité sur le corps boursoufflé de cette hideuse créature. Et rien que ce tour de force est assez magistral pour mériter d'être souligné.

    Musicalement, "Paracletus" est le juste milieu entre l'assourdissant et brumeux "Si Monvmentvm..." et le dissonant "Fas-Ite..."; ceci se ressent notamment au niveau de la production, moins nette et pointue que sur "Fas...", mais tout de même plus claire que sur "Si Monvmentvm...". Si j'ose dire, la production parfaite, pour un groupe tel que Deathspell Omega.

    Il fallait bien une production de cette trempe pour que l'auditeur puisse pleinement se faire attirer par la pomme de démence. "Paracletus" le tentateur se révèle être une masse sonore polymorphe, aux structures changeantes et extrêmement complexes. Permettez-moi la comparaison suivante (qui sonnera peut-être comme un blasphème pour les Pvristes, mais je m'en fiche royalement) : "Paracletus" est au Black Metal ce que Meshuggah est au Métyal tout court.

    Car musicalement, ce disque en impose. Les compositions sont recherchées, et totalement imprévisibles. En parlant de prévisions, par exemple, qui aurait pu voir venir que le groupe emploierait la langue de Molière sur quelques titres de ce disque ? Oui, en français. Et pour tout les francophones du site, l'usage de notre belle langue ne donne que plus de possibilités au groupe, et l'auditeur ne peut que mieux en ressentir la parole malsaine.

    Deathspell Omega prêche, au cours de "Dearth", mais aussi des deux "Epiklesis", d'une voix sentencieuse. Mikko Aspa, tel le prêtre corrompu d'une église irrévérencieuse, déballe son sermon macabre, ternissant l'image divine, et parlant au nom de son maître, Satan. D'une voix moins vomitive que sur "Si Monvmentvm...", il nous manipule, nous, foule d'auditeurs curieux, attirés par cette bête curieuse, pour mieux nous entraîner dans son culte morbide. Et hurle comme un dément, rappelant parfois les cris de folies du regretté Nattram (Silencer, Diagnose:Lebensgefahr).

    Et, lorsque vous êtes pendus à ses lèvres, buvant ses mots dégoûtants, la bête attaque. Avec une sauvagerie sans précédent. Vous êtes les proies, eux sont les prédateurs, à l'image du titre "Wings of Predation", qui charge à grands coups de polirythmies et de structures biscornues. Ou encore sur "Malconfort", qui romp brutalement le deuxième sermon du révérend, "Epiklesis II", vous assénant des blasts à en faire pâlir le plus Frost******-addict d'entre vous.

    Les titres sont tous du même acabit : violents et sans compromis. Le groupe ne connaît aucune forme de douceur, et même les morceaux un peu "reposants" pour nos tympans malmenés ne sont que des cadavres qu'on aurait tenté de maquiller. L'apparence peut-être apaisante, mais l'odeur de putréfaction reste tenace. Tout au long du disque, cette brume sombre sort des enceintes de votre lecteur de disque pour pénétrer au fin fond de votre cerveau, hanter votre âme, et infecter les lobes de vos cerveaux. Mélangeant les connexions entre les nerfs, désactivant les neurones, rendant une sensation de malaise désagréable et présente tout au long des quarante minutes de l'oeuvre.

    Mais l'ambiance et la vitesse ne sont pas les seules armes du groupe, non, très loin de là. Piétiné par les charges dévastatrices des morceaux précédents, Deathspell Omega saura vous achever avec des titres de la trempe de "Have you Beheld the Fevers? ", tout en un mid-tempo écrasant. Ballotés et tourmentés au gré des riffs tranchants et décousus, le crâne fracassé par le martèlement incessant de la batterie, les pensées hantées par les hurlements inhumains du chanteur, vous n'en pourrez plus. Vous vous effondrerez, trop éprouvés pour continuer. Triste spectacle : Vous gisez à terre, dans votre sang souillé par le venin occulte de "Paracletus".

    Et "Apokatastasis Pantôn", dernier titre de l'album, et de loin le meilleur, résonnera pour vos funérailles. Titre progressif, se consumant à petit feu, dont la cadence est marqué par une batterie rythmant la marche funèbre, le tout sublimé par ces guitares, ces guitares incroyablement puissantes, qui jouent des riffs déchirants, mélancoliques et étonnamment lumineux; Comme le calme après la tempête. Le trio infernal contemplera votre cerceuil, jusqu'à sa mise en tombe, satisfait d'avoir fait goûter la pomme interdite à un pauvre mortel. Et le disque se termine.

    Absolument tout est dit dans ma note. Ce disque est parfait de bout en bout. La seule chose qui l'empêche d'avoir un 20 est sa durée, bien trop court à mon goût. Mais ne prenons pas le risque de vexer le monstre, sa durée de vie est de loin acceptable. Dépêchez-vous d'aller écouter sa divine parole, buvez, ceci est son sang, mangez, ceci est sa chair. Ma chronique est longue, certes, mais résumer ce disque à la va-vite, ou encore omettre de raconter l'expérience de l'écoute aurait été une insulte au groupe. Un disque dont on ne ressort pas indemne. Je tire mon chapeau à LA sortie de cette année 2010, et retourne de ce pas l'écouter, me saouler de leur abominables pensées et croyances. Tout est dit.

    64 Commentaires

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    enthwane - 24 Juillet 2011: Merci pour ces mots mec. Rien à dire d'autre, si ce n'est qu'on apprend à faire abstraction des habituelles têtes à claque qui viennent te gonfler sous n'importe quel prétexte héhé.
    mayhem13 - 10 Mai 2012: Ta chronique m'a bluffé, sacré boulot! Je viens de voir dans le dernier Rock Hard que Phil ANSELMO en parle comme le messie de ce groupe, je vais acheter l'album de ce pas les yeux fermés!
    GoddamnBiniou - 19 Avril 2015: On peut certes critiquer le manque de recul du chroniqueur, de ne pas avoir laissé le temps à cet album de mûrir. On peut aussi doute de l’écriture « gonzo ». Sauf que merde, c’est exactement ce que j’ai vécu à la découverte de cet album. Peu fan de Deathspell Omega, je me le suis lancé un peu par hasard, l’erreur ! J’ai ensuite passé ma soirée à me l’enquiller en boucle, encore et encore. Plus que rares sont les albums qui se sont montré capables d’avoir un tel effet et rien que cela témoigne de la grande qualité de ce disque. Parce que même après des mois et des mois d’écoute, il reste toujours aussi puissant. Un chef d’œuvre.
    Valhala - 03 Mai 2020:

    [ Lisant des ciritiques qui ont eu lieu il y a une décennie je ne comprends pas... Avez-vous seulement déjà lu des critiques auparavant (peu importe l'art interrogé?) ? Plus elles sont proches de la sortie, plus elles sont passionnées ou au contraire, venimeuses (pour ne pas dire hautaines), le but étant de préférer ou non un artiste/une oeuvre... C'est là l'art de la critique ... Et Enthwane en rend une copie parfaite, passionnée et commentée (seul la notion de note peut-être criticable en ce point). Mais que voulez-vous de plus ? Une contre-critique ? Le site/Internet est fait pour ça non ? ]
    Concernant le Cd en lui-même, c'est une oeuvre, elle plaît ou elle déplaît.
    On peut aussi être de mon côté et trouver que ce n'est pas là l'essence du Black comme Enthwane la ressent et l'imagine. C'est pourtant un album comme l'on en écoute peu sinon jamais dans une vie. Complexe (surtout),complet, doté d'une production parfaite, de compositions inconnues jusqu'à alors, profondes et d'une inspiration géniale. 
    Il n'en reste pas moins qu'une telle pièce se devait d'avoir une chronique écrite avec les nerfs écorchés. (N'en déplaise au délaissés de la poste de l'époque.) Rappelons que la chronique est un art littéraire (les premiers paragraphes étant justement là pour juger de la subjectivité du chroniqueur). Ajoutons qu'Enthwane n'a que transposer de la prodonfondeur à une chronique numérique. Merci à lui.

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    Chronique @ valentheris

    05 Janvier 2011

    Un grand album, marquant la fin d'une trilogie qui ne l'est pas moins.

    Les trois années d'attente qui ont séparé le terrible "Fas-Ite, Maledicti, In Agnem Aeternum" et ce dernier opus de l'alliance Franco-Finlandaise Deathspell Omega ne furent pas des plus agréable pour les fans du groupe. Si en 2008 nous avons eu droit à un lot de sorties assez conséquent avec la parution de deux compilations reprenant de vieilles compositions du groupe remises à l'ordre du jour et deux mcd de qualité, ces deux dernières années furent assez discrètes en nouvelles alléchantes. Et pourtant, un jour, un simple mot se fait entendre : "Paracletus", sous-titrant un de ces artwork mystérieux dont le groupe a l'habitude, représentant une bête aux multiples faciès monstrueux et annonçant une atmosphère à la fois chaude, sinistre et vicieuse à cette conclusion de la trilogie engendrée par "Si Monumentum Requires, Circumspice". Le doute et la crainte planaient encore quant à la qualité ou l'originalité que cette conclusion allait offrir. Mais de toute évidence Hasjarl et Khaos connaissaient la fin depuis longtemps et ceux-ci, bien que conservant tout ce qui fais la force de leur projet depuis 2004, ne se reposent pas sur leurs acquis pour lui donner une forme concrète...

    À peine les premières notes d' "Epiklesis" retentissent-elles qu'un décor familier se dresse autour de l'auditeur, la distorsion des guitares et la résonance de la basse commencent déjà leur danse complexe, à la fois aérienne et hypnotique tandis que le célèbre Mikko Aspa récite ses cantiques imprégnés par de discrètes touches de la langue de Molière. Le tout débouche sur le magnifique "Wings Of Predation" confirmant le fond et la forme de ce dernier opus de manière décisive et nous préparant judicieusement à la suite. La furie des riffs est toujours égale à elle-même, délivrant des lignes de notes alambiquées et variantes tandis que la batterie fait toujours démonstration de ce jeu frénétique et d'une extrême précision auquel la production rend un fort bel hommage, gardant une authenticité savourable dans le son tout en lui offrant un rendu assez clair.
    Comme l'annonce le break central et final de cette deuxième piste, une certaine tristesse émane d'une bonne partie des compositions, développant la noirceur de l'album à un niveau élevé de par des envolées plus mélodiques et prenantes à la manière du lugubre "Abscission" ou encore de la transition "Epiklesis II" (les Epiklesis se rapprochant des "Prayer" de Si Monumentum...), les montées dans les aiguës des guitares et le rythme martiale que peux prendre la batterie en dépit d'une véhémence certaine y étant pour beaucoup dans la concrétisation de ces apports émotionnels.

    Là où un "Fas-Ite..." arborait une réelle complexité d'assimilation grâce à des titres parfois assez longs et des breaks incessants laissant peu de points de repères dans leur structures et dans l'enchaînement des compositions, "Paracletus" se révèle être plus aéré et plus logique dans son déroulement. Les dix titres ci-présents se suivent les uns les autres sans concessions, de façon logique, renforçant sa forte teneur envoûtante, car on s'y perd peu et on se laisse guider aisément et ce même dès la première écoute. Pourtant, DSO n'est pas tombé dans la facilité et n'a rien perdu de son âme comme en témoignent un "Phosphène" batailleur qui n'est pas sans rappeler "Si Monumentum..." en son départ ou encore un "Devouring Famine" assez classique pour quiconque connaît bien les précédents opus, mais qui en contrepartie témoigne de la présence de la fougue et de la pâte des musiciens, la notion de tristesse et de mélancolie s'évanouissant quelque peu ici pour offrir un vrai maelström musical.

    Non, Deathspell Omega ne s'est pas affaibli, non Deathspell Omega ne joue pas la carte de l'émotion à outrance dans les breaks poignants qu'ils délivrent afin de s'attirer de nouveaux fans dans ses filets, ceux-ci servant au contraire au faciès sinistre et addictif de cette conclusion de qualité, parachevant un triptyque désormais incontournable de l'hexagone.
    Alors que nous goûtons aux dernières notes de "Apokatastasis Pantôm" signant la lugubre fin d'un travail de six ans et que le livret se referme sur les dernières paroles de Mikko Aspa et des superbes illustrations, l'une théologique sur une impression calque de fort bonne effet et l'autre sur des images de damnés brulant dans les flammes de l'enfer, illustrant par la même occasion de fort belle manière l'aboutissement de ce concept, une question essentiel vient à l'esprit.
    Et ensuite?
    Nul ne sait ce que le groupe va faire, peut-être nos deux compatriotes ne le savent-ils pas non plus, mais on peut être confiant quant au résultat, car le groupe en plus de faire preuve d'une essence musicale solide semble être du genre à aller jusqu'au bout de leur concept quelque soit sa nature.
    "Paracletus" semble marquer une fin, mais qui sait...peut-être n'annonce-t-il qu'un nouveau départ...

    "You were seeking strenght, justice, splendour! You were seeking love! Here is the pit, Here is your pit! Its name is SILENCE..."

    Val'

    11 Commentaires

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    Silent_Flight - 21 Janvier 2011: Je n'sais pas qui met des -1 à mes interventions, mais c'est surement quelqu'un dont l'étroitesse d'esprit ne laisserait même pas passer le moindre atome d'oxygène.
    valentheris - 21 Janvier 2011: Merci pour les compliments Demoncy !

    J'espère que cet album te plaira, en tout cas si tu a aimé les deux précédents il n'y a pas de raison.Si tu le vois à bon prix dans les temps à venir fonce et reviens partager ton écoute, les avis et les discussions musicales sont les bienvenues.

    À très bientôt alors et bonne futur écoute.

    Val'

    ps:Quand on voit que même les fanzines les plus ronchons et subjectifs lui attribuent une bonne note on se dit qu'ils ont vraiment frappé fort avec Paracletus !
    valentheris - 21 Janvier 2011: Celui-ci est plus dans la veine de Si Monumentum et pas loin de Kenose (comme l'a souligné Psystorm).

    À cause d'une certaine difficulté à le trouver fut un temps et au fait que je l'ai écouté peu de fois (je parle de Kenose que je ne possède pas moi-même, il appartient à un ami) je n'ai que le souvenir de mon ressenti à son écoute qui était très favorable et certaines parties qui me restent encore en tête.
    Donc pour la comparaison avec Kenose je préfère ne pas prendre trop de risque mais il n'est éloigné de ce dont je me souviens quoi, bien que plus proche de Si Monumentum.

    En tout cas la qualité et là et si tu as accroché aux deux dont on parle alors vas-y !
    Val'
    HelMist - 18 Fevrier 2011: C'est vrai que cet album peut faire litteralement du mal. J'ai senti ce malaise dont parle Silent_flight et c'est pour cela que j'aime Paracletus. Il attire avec ses passages entrainant mais nous fait aussi du mal. DO est un groupes de arterroristes!
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