Ungrateful

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17/20
Nom du groupe Escape The Fate
Nom de l'album Ungrateful
Type Album
Date de parution 14 Mai 2013
Style MusicalEmo Metal
Membres possèdant cet album75

Tracklist

1.
 Ungrateful
 03:23
2.
 Until We Die
 04:26
3.
 Live Fast, Die Beautiful
 03:52
4.
 Forget About Me
 03:02
5.
 You're Insane
 03:34
6.
 Chemical Love
 03:29
7.
 Picture Perfect (ft. Patrick Stump of Fall Out Boy)
 03:51
8.
 Risk It All
 04:00
9.
 Desire
 02:45
10.
 One for the Money
 03:19
11.
 Fire It Up
 03:53

Bonus
12.
 I, Alone (Deluxe Edition)
 03:53
13.
 Father, Brother (Deluxe Edition)
 02:47

Durée totale : 46:14



iTunes Deluxe Edition
12.
 I, Alone
 03:53
13.
 Father, Brother
 02:47
14.
 Losing Control
 03:53
15.
 Ungrateful (Music Video)
 05:24
16.
 You're Insane (Music Video)
 03:48

Durée totale : 19:45



Deluxe Edition Bonus DVD
1.
 Escape the Fate: Live from the Roxy
 
2.
 Ungrateful (Music Video)
 05:24
3.
 You're Insane (Music Video)
 03:48

Durée totale : 09:12



Japanese Edition Bonus Tracks
12.
 I, Alone
 03:53
13.
 Father, Brother
 02:47
14.
 Apologize
 03:16

Durée totale : 09:56

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Escape The Fate


Chronique @ BloodyValentine

11 Juin 2013

L'album qui aurait pu ne jamais voir le jour !

Enfin, après deux années noires, le quintette emo/metal du Nevada est de retour! Dirigé par Craig Mabbitt, le groupe a sorti le 14 mai dernier son nouvel opus "Ungrateful" produit par John Feldmann. Et oui, Feldamnn le retour! Quelques soucis de producteurs trop "envahissants" ont amené les américains à quitter leur studio. Ajoutez à cela quelques petits problèmes de line-up et Escape the Fate est au plus bas. Grisés par les événements, les 5 garçons se sont tournés à nouveau vers John Feldmann qui a produit l'album This War Is Ours en 2008. Un "nouveau" producteur, un nouveau guitariste (TJ, ex Motionless In White), et voilà qu'ETF est remis sur pieds.
Après 2 enregistrements différents, le frontman est enfin fier de son nouveau bijoux, maintenant, à nous de juger!

Un rapide coup d’œil sur la pochette et le style est annoncé: soft, sombre mais travaillé. Un artwork qui augure du bon Escape the Fate, rien de plus, rien de moins!
Côté tracklist, le début est audacieux et balance directement le titre qui donne son nom à l'album: Ungrateful. Sensée représenter au mieux le style de cet opus, l'ouverture de l'album laisse planer la peur du decrescendo d’intérêt. A voir...

Dès la première écoute, une vague infernale déferle sur nos oreilles. Des morceaux sombres sonnant comme un véritable retour aux sources. ETF reste sur la fibre des opus précédents mais on sent la maturité gagnée par le groupe durant ces deux dernières années. Dans un registre globalement plus "agressif", Craig et sa bande s'affirment. La voix est présente, les riffs sont solides et révèlent des influences certaines du côté d'Avenged Sevenfold et Linkin park ( en cherchant bien!). Tout comme sur les précédents albums, le groupe à opté pour des thèmes redondants: vie, amour, fête, argent et orgies à la 10 Miles Wild. La recette est là, plus ou moins convaincantes selon les titres.

Bien que l'album soit globalement réussi et entêtant, certains morceaux donnent moins envie de se déchaîner et de headbanger en rythme. Malgré la participation de Patrick Stump (Fall Out Boy), le morceau posé de l'opus est (pour ma part) un peu décevant: les solos sont travaillés certes, mais le refrain est classique, un cri de détresse sentimentale un peu cliché où plane un air de déjà vu, à mon humble avis...

Mais les américains n'ont pas dit leur dernier mot! A chaque nouveau titre on se dit : "waouh! ça, ça va faire un hit!" mais tout l'album ne peut malheureusement pas faire un tube! Après plusieurs écoutes, le choix est finalement fait quant aux pistes phare de l'album. Parmi elles, Forget About Me, dans la veine de This War Is Ours dans les moments les plus écorchés du morceau. Chemical love, une ballade brutale arrangée à grands renforts de programmation et de back vocals scandant le refrain, un pur bonheur! Et bien évidement, l'inévitable Ungrateful, hymne entêtant, ôde à la vie et à la résistance contre la violence bien trop présente de nos jours. Son "stand up and scream while the rest of the world won't make a sound" résonne dans la tête pendant des heures et des heures.

Au final on se retrouve avec une très belle production. Un opus brutal avec une touche personnelle bien affirmée, du made in Escape the Fate, comme on l'aime!

22 Commentaires

4 J'aime

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Blessing - 25 Septembre 2013: Superbe chronique , bien écrite !
C'est vrai que cet album est différent des précèdent , je trouve qu'il est beaucoup plus catchy. Certaines chansons sorte du lot , notamment Ungrateful qui fait penser à du vrai Metalcore dans sa composition.
Mais je préférais l'époque avec Ronnie Radke mais vu ce qu'il fait maintenant avec FIR , je ne vais pas m'en plaindre :)
BloodyValentine - 25 Septembre 2013: Encore merci :)
Oui je partage aussi cet avis, je dirais que c'est l'aboutissement du style essayé sur l'album éponyme Escape The Fate.
Ehh en tant que fervante admiratrice de Radke ( autant pour son talent que pour la personne, mais c'est hors sujet ^^ ) je n'irais pas en dire du mal mais je le préfère en tant que chanteur de FIR et Craig à la tête d'ETF :)
Blessing - 26 Septembre 2013: Tout à fait !
Bah le problème , selon moi c'est que Dying is your latest Fashion prévoyait de très belles chose pour ETF, maispar la suite ,avec l'arrivée de Craig Mabbitt tout à selon moi un peu basculé , ce qui à provoqué deux albums suivant un peu moins bon (c'est juste mon avis personnel !). En plus Craig aurait dut rester à Blessthefall car leur premier album His last walk était génial mais bon je vais dans le HS là :). Bref c'est une belle chro' tout de même !
BloodyValentine - 26 Septembre 2013: C'est vrai que Dying Is Your Latest Faashion est une véritable merveille !! Et oui Craig était très bon avec BTF mais bon, j'ai une préférence pour son rôle dans ETF ^^ les goûts et les couleurs hein comme on dit ^^
encore merci :)
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Chronique @ Lepard

11 Juin 2013

Escape The Fate ne ment pas sur la marchandise : maturité et cohésion.

Escape the Fate et moi, c'est une longue histoire.

Quand on évoque Escape the Fate, il y a toujours deux écoles : les fervents défendeurs de l'époque Ronnie Radke (actuel leader de Falling In Reverse) et ceux qui préfèrent Craig Mabbitt (ancien membre de Blessthefall). Personnellement, j'apprécie les deux. Utile !

Craig Mabbitt intègre le combo en 2008 pour enregistrer dans la foulée "This War Is Ours", aussi bien apprécié que détesté. L'album en lui-même n'est pas mauvais (le fulgurant "This War Is Ours (The Guillotine II)", les très sympathiques "Ashley" et "10 Miles Wide" ou encore l'hymne "The Flood" devenu au fil du temps un classique du groupe), mais Escape the Fate n'arrive pas faire une synthèse de son propos. On sentait de grosses hésitations pop/rock ("We Won't Back Down", "On to the Next One" ou encore "Something", des titres pas forcément horribles mais complètement hors-sujet) et des excursions dans le domaine non-aisé de la ballade (le catastrophique "Harder Than You Know"). Une chose qui changera complètement deux ans plus tard avec la sortie de l’album éponyme. Et là, c’est la claque ! Au lieu de naviguer dans les eaux troubles de la Pop/Rock teintées de Post-Hardcore, le groupe sort la grosse artillerie et nous propose (enfin, on serait tenté de dire !) des compositions solides et matures. Des titres tels que "Massacre" (un des meilleurs du groupe), le single séduisant et imparable "Gorgeous Nightmare" , les courts mais puissants « Issues » et « City Of Sin » ou encore les violents "Prepare Your Weapon" et "The Aftermath (The Guillotine Part III)" (quel solo mes amis). Bref, un très bon album qui haussait Escape the Fate dans la cour des grands.

2012. Max Green, bassiste et pilier du groupe quitte le navire. Pour différences musicales, il parait. Mouais, gros doutes de mon côté et plusieurs interrogations. L’âme d’Escape the Fate est-elle morte ? Son départ permet plusieurs choses non négligeables : mis à part l’arrivée de Thomas "TJ" Bell (ancien Motionless In White), c’est surtout l’état officiel de Michael Money en tant que guitariste. Frère de Monte, il épaulait déjà le groupe sur certaines tournées. Pourquoi ne faisait-il dont pas parti du groupe alors ? Max Green ne voulait pas, tout simplement. Bien regrettable, car même si le garçon est assez discret sur scène, il insuffle une certaine énergie au groupe (de plus, c’est mieux d’avoir deux gratteux, en particulier pour les soli, histoire de tenir la rythmique).

Le premier extrait de "Ungrateful" est dévoilé en live, il se nomme "Live Fast, Die Beautiful". L’appréhension et l’excitation étaient fortement présentes lors de la première écoute, très vite remplacées par du bonheur (et du soulagement). "Live Fast, Die Beautiful" débute par une excellente introduction en tapping, façon original pour le groupe d’entrer dans le sujet. On retrouve d’ailleurs ce motif plusieurs fois dans la chanson, en particulier lors d’un breakdown meurtrier qui envoie valdinguer les cojones. On peut aussi noter le chant de Mabbitt sur ce passage, où il appuie fortement sur sa voix (comme sur "We Won’t Back Down"). Le titre annonce donc le meilleur pour la suite et montre que le groupe a toujours gardé son petit côté rock pas désagréable (les couplets, dont certains peuvent reprocher une linéarité).

2013. Annonce de la sortie de l’album + deux nouveaux titres disponibles en écoute. Me revoilà derechef tout excité ! Le premier titre porte le nom de l’album : "Ungrateful". Encore une fois, c’est une sacrée baffe dans la tronche. Escape the Fate nous propose ici une composition lorgnant vers un Post-Hardcore agressif, comme en témoigne ces couplets particulièrement intense où Mabbitt hurle de tout son cœur (ce n’est pourtant pas le même genre de scream que dans son side-project, The Dead Rabbitts). Le refrain est, quant à lui, d’une beauté lumineuse. Il coupe complètement avec les couplets mais il apparait comme une sorte de délivrance (les textes évoquent la brutalité, le clip est très fort), il se veut à la fois fédérateur et explosif, jamais Escape the Fate n’avait composé un aussi bon refrain. Il faut aussi noter un très bon solo (on reviendra plus tard sur la qualité des soli de Monte tout au long du skeud) et un break donnant une envie folle d’headbangueur : "SCREAM AND SHOUT !".

Le second extrait s’intitule "You’re Insane". Le groupe revient à quelque chose de plus basique, alternant des couplets Heavy et un refrain contenant une petite pointe Glamisante bien agréable (emmené par la voix de Mabbitt). Les quelques screams éparpillés sur les trois minutes trente fonctionnent plutôt bien, tout comme le solo (qui envoie le pâté, comme on dit dans ma contrée). Le clip dénonce la téléréalité, à travers le destin tragique d’une jeune femme, mère d’une enfant. Le sujet des vidéos est plus soigné, on est loin de "10 Miles Wide" ou encore "Situations". Encore un signe de la maturité acquise du combo.

14 Mai : sortie internationale de l’album. Pour la troisième fois, grande excitation en mon for intérieur. Les questions se bousculent : « est-ce que l’album suivra la lignée des trois titres déjà dévoilés ? », « doit-on s’attendre à des changements drastiques ? » et surtout « j’aime ou pas ? ». Hé bien la réponse est simple, j’aime ! J’aime beaucoup d’ailleurs.

"Ungrateful" n’est pas vraiment une surprise, car il se situe dans la droite lignée de son prédécesseur. L’évolution n’est pas le mot d’ordre, confirmation convient mieux. La grande particularité d’Escape the Fate, ce qui fait son charme, c’est la possibilité de faire des compositions accrocheuses plutôt mainstream mais qui restent (la plupart du temps) convaincantes. L’album ne souffre d’aucune baisse de régime, mis à part peut-être le titre final, "Fire It Up", peu inspiré (refrain un tantinet lourdingue, et couplets mal négociés) malgré une bonne introduction donnant l’impression d’être en descente. C’est d’ailleurs la première fois qu’Escape the Fate nous pond un opus globalement homogène. Chose suffisamment rare pour être souligner ("Lost In Darkness" sur l’album éponyme était une sacrée catastrophe, coupant complètement l’énergie mise précédemment en œuvre. Je ne parle même pas de "This War Is Ours", où c’était légion).

Le gros challenge, c’était la ballade. Impossible de passer dessus pour tout groupe de Post-Hardcore qui se respecte. Escape the Fate n’est pas vraiment le plus doué dans le domaine. Effectivement, depuis la touchante "The Day I Left The Womb" sur "Dying Is Your Latest Fashion", le groupe enchaînait des ballades ennuyeuses et horriblement pompeuses ("World Around Me" en est le meilleur exemple). Pourtant, sur "Ungrateful", le combo donne l’impression d’avoir été touché par la grâce, car « Picture Perfect » (on passera sous silence les paroles) est une vraie réussite. Bien sûr, elle est très commerciale mais dieu que c’est bon. Que ce soit cette courte introduction, ces couplets assez atmosphériques (tout est relatif, ce n’est pas The Gathering !), ce refrain mémorisable ou encore ce magnifique solo gorgé de feeling… tout est placé sous le signe d’une beauté simple mais concrète. Escape the Fate marque des pointes.

Ne vous inquiétez pas, le groupe nous sort tout de même de sacrées bombes musicales où les musiciens s’en donnent à cœur joie. Ce sont surtout les frères Money qui tirent leur épingle du jeu. Certains riffs sont vraiment intéressants, comme celui assez déjanté (il en donne l’impression du moins) de "Forget About Me" qui contient par ailleurs un excellent breakdown, screams de circonstance compris, ou de « Risk It All » qui se veut plus carré (dommage que la suite ne soit pas à la hauteur, le groupe étant un peu trop linéaire). On peut aussi retenir "Until We Die", qui se révèle au fil des écoutes (la lead rappelle légèrement Avenged Sevenfold) grâce à certains passages hurlés de bonne augure et un refrain encore une fois bien fédérateur. Pour la comparaison, c’est un peu la petite sœur de "Prepare Your Weapon" sur l’album précédent. Au niveau des soli, Monte Money explose littéralement de talent. Le mec accouche de coups de maitre assez percutants (je persiste et signe, il est pour moi un des plus doués de sa génération. Ecoutez donc les soli de "The Final Blow" ou "My Apocalypse" pour vous en convaincre), Sur chaque composition, le bonhomme l’illumine à chaque fois, soit par sa technicité ("You’re Insane", "Chemical Love" ou "One For The Money") ou sa sensibilité (le très rock n’ roll "Desire", "Picture Perfect"). Une petite déception de ne pas voir apparaitre une quatrième partie de "The Guillotine", où le bougre nous pondait souvent ses meilleurs soli (encore une preuve de la page tournée par le combo).

L’autre aspect jouissif d’Escape the Fate, c’est de composer des titres « normaux ». Normaux dans le sens où ils ne sont pas d’une grande originalité, mais qu’ils revêtent un côté particulier. C’est surtout palpable avec le diptyque "Desire / One For The Money", qui figurent parmi les meilleurs moments de l’album. Tandis que "Desire" lorgne vers un Glam Post-Hardcore irrésistible (ha, ces couplets Heavy au poil, que c’est bon ! Tout comme un solo au feeling rock n’ roll), "One For The Money" fait office de grande fiesta avec un très bon riff et un refrain rassembleur ("One, Two, Three", je le chantonne souvent durant la journée). Il faut aussi parler de "Chemical Love", petite sœur de "Gorgeous Nightmare" par son côté sexuel peu dissimulé (gagné par l’air jouée à la lead).

Maintenant un petit bilan des musiciens en général. Mis à part les guitaristes, il faut saluer la performance de Craig Mabbitt qui achèvera de convaincre les nostalgiques de l’ère Radke. Le bonhomme chante de la même manière que sur l’album éponyme, c’est-à-dire bien voir très bien ("Live Fast, Die Beautiful"). Par contre, les screams sont moins présents, on dirait qu’il a laissé la moitié de ses tripes chez The Dead Rabbitts (où il scream comme un beau diable !). Le petit nouveau, TJ sonne moins présent que ne l’était Max Green (sa basse claquait sec sur le précédent skeud) mais il épaule à merveille un Robert Ortiz toujours impérial derrière ses fûts (cette alchimie est très palpable sur "Live Fast, Die Beautiful" lors du tapping).

Le live ajouté à l’album en version deluxe traduit très bien l’amitié et la complicité qui unie le groupe. Ce show, enregistré au fameux Roxy, est un vrai plaisir aussi bien visuel que auditif (comme quoi, pas besoin d’artifices extravagants pour assurer !). Plusieurs titres sont interprétés, dont des versions phénoménales de "Ungrateful" et "Until We Die". Le groupe propose même le triptyque de "The Guillotine" (dont la première voit Danny Worsnop d’Asking Alexandria growlé dans la dernière partie), un véritable florilège de violence Post-Hardcore maitrisée ! Et mince, quel bonheur d’entendre "10 Miles Wide" (dont le second couplet est screamé par TJ et Mabbitt) ou "The Flood" ("I TAKE IT BACK !").

Le groupe n’étant pas avare en matière de chansons, il nous propose comme à son habitude deux titres bonus. "I Alone" est une petite surprise, grâce à des couplets calmes (comme sur "Ashley") mais le tout est contrebalancé par un refrain rappelant les heures sombres de « This War Is Ours ». Quant à "Father, Brother", c’est une belle surprise. Quand on l’écoute, on se dit qu’elle aurait remplacée avec brio "Fire It Up" ! Comme les couplets de "I Alone", elle est plutôt calme et distille une certaine beauté. Le refrain sonne comme une antithèse au couplet, c’est très sympathique.

Vous l’avez certainement compris, cette quatrième offrande est très bonne (voire excellente par moment). Escape the Fate n’évite pas les fautes de parcours, mais l’ensemble sonne vraiment très bien. On sent la cohésion et l’envie de proposer quelque chose de bon à son audimat. Le groupe sonne de façon plus mature. "Ungrateful" s’impose comme un des meilleurs albums du genre en cette année 2013.

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BloodyValentine - 12 Juin 2013: Excellente chronique ! que dire sinon qu'elle reflète à merveille l'album ? Ma seule opposition serait vis à vis de Picture Perfect, certes le groupe à progresser en matière de ballade mais je ne suis toujours pas fan ! après tout est une question de goûts :)Quand au live je dirait même qu'il est touchant tant il reflète la complicité du groupe mais aussi du groupe avec son public ! en tout cas merci pour ce moment de lecture incroyablement intéressant ! ;)
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