Runnin’ Wild

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17/20
Nom du groupe Airbourne
Nom de l'album Runnin’ Wild
Type Album
Date de parution 23 Juin 2007
Produit par Marlette Bob
Style MusicalHard Rock
Membres possèdant cet album581

Tracklist

Re-Issue in 2008 by Roadrunner Records (Special Edition with 16 tracks and a different cover).
ORIGINAL TRACKLIST
1. Stand Up for Rock 'n' Roll
2. Runnin' Wild
3. Too Much, Too Young, Too Fast
4. Diamond in the Rough
5. Fat City
6. Blackjack
7. What's Eatin' You
8. Girls in Black
9. Cheap Wine & Cheaper Women
10. Heartbreaker
Bonustrack (American Release)
11. Hellfire
Bonustracks (Australian & New Zealand Releases)
11. Hellfire
12. Let's Ride
Bonustracks (Japanese Release)
11. Dirty Angel
12. Let's Ride
VIDEO DISC (LIMITED EDITION ONLY)
Recorded live at Wacken Open Air, Germany, 2008.
1. Hellfire
2. Fat City
3. What's Eatin' You
4. Girls in Black
5. Cheap Wine and Cheaper Women
6. Heartbreaker
7. Blackjack
8. Runnin' Wild
Bonustracks (Music Videos)
1. Runnin' Wild
2. Too Much, Too Young, Too Fast
3. Diamond in the Rough
SPECIAL EDITION (RE-ISSUE 2008)
1. Stand Up for Rock 'n' Roll
2. Runnin' Wild
3. Too Much, Too Young, Too Fast
4. Diamond in the Rough
5. Fat City
6. Blackjack
7. What's Eatin' You
8. Girls in Black
9. Cheap Wine and Cheaper Women
10. Heartbreaker
11. Hellfire
12. Heads Are Gonna Roll
13. Dirty Angel
14. Hotter Than Hell
15. Red Dress Woman
16. Stand and Deliver

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Airbourne


Chronique @ fabkiss

12 Juillet 2009
A l’heure où fleurissent les Tribute Band et les Tribute Albums, il était normal qu’un groupe comme Airbourne finisse par voir le jour, et presque aussi normal qu’il connaisse le succès.
Autant les Tribute Bands, perso, je trouve ça limite pathétique (genre Podium) souvent cantonner au note à note, autant les tribute Album sont souvent des mines à petites pépite d’interprétations et d’appropriations de grands classiques du Metal et du Hard. Airbourne lui, ouvre (à ce niveau) une nouvelle voie pour les nostalgiques d’un temps hélas révolu.  Airbourne, fait des morceaux « A la façon de » de la musique « Canada Dry », ça à le gout, la couleur, mais, ça en est pas.
Mais, c’est rafraichissant, et ça fait du bien par où ça passe.
 
Alors, voila un groupe, qui non seulement est Australien, de Melbourne en plus, qui contient 2 frères en son sein,  qui pratique un Hard Rock carré à l’équerre, mais qui ne s’appelle pas AC-DC. Mais pour qui, si on donnait le choix du « quitte ou double » à un Hardoss occidental enfermé depuis 30 ans dans les geôles Turc, pour donner le nom du groupe, le gars donnerais sans hésiter la moindre seconde….. « AC-DC »,  avec un sourire plein de dents orange et verte, sans comprendre qu’il venait d’en reprendre pour 30 ans.
 Oui, maintenant, je peu bien le dire, Airbourne fait du AC-DC, et en plus, il le fait bien, tout y est, on croirait un Tribute Band Hyper Pro reprenant les grands classique des Kangourous du Rock, sauf qu’ici, il s’agit de titres originaux, pas vraiment Original donc….au premier abord.
 
Autant les Tribute Band sosies copiés collés on tendance à me saouler et me faire marrer (autant que de la peine), autant le reprises, peuvent surprendre par une approche complètement différente d’un titre, Autant des groupes originaux peuvent ne pas l’être, Airbourne, lui fait un mixe de tout ça.
Un Hard Rock ressemblant comme 2 gouttes d’eau à AC-DC, sans en être. Et c’est ça qui fait toute la différence avec  un Tribute Band ou une reprise, c’est « A la façon de » et je crois que ça n’a jamais été fait…avec cette qualité.
Bon, c’est sur, tout au long de l’album, AC-DC ne quitte pas une seconde votre esprit, à tel point, que Airbourne, en tant que groupe, devient secondaire, seul le son ressort de cette confusion, et franchement, je n’ai pas peur de le dire :
Airbourne, nous sort le meilleur album d’AC-DC depuis « Back In Black », enlevé, vif, puissant, rapide, créatif. Une sorte de AC-DC, période Bon Scott, mais avec une voix très proche de Brian Johnson (et de  Nashville Pussy) et un son « Hightway To Hell ». Une guitare Rythmique net et tranchante, une basse qui groove l’enfer, une batterie métronimique, des chœurs scandé et impeccables une Lead Guitar Bluesy bien dans l’esprit (mais quand même nettement moins…bavarde), l’ensemble étant quand même assez bluffant, en « Blind Test » et instrumental, l’hésitation doit s’installer.
Alors, non seulement, c’est bien fait, mais en plus, c’est vraiment du très bon AC-DC, des titres, entrainant, qui donnent envies d’un furieux « Classical HeadBang Old School »…de haut en bas quoi !! Le groove de la basse, comme pour Assdess, y est pour beaucoup, comme on dit…ça balance.
Il y à même, et c’est là que c’est fort, plusieurs titres, qui auraient pu être, si sorti par AC-DC, de véritables standard, qui n’aurait pas offensé la discographie, bien au contraire. Dans chaque titre, on retrouve non pas la reference d’un titre « Model » mais des tas de petits trucs qui nous rappelle un tas de titre d’AC-DC, comme si l’Âme d’AC-DC avait fait un transfère dans de la chaire fraiche.
Une musique festive et que l’on aurait aimé entendre chez l’original, comme une continuité avec les AC-DC première époque, plutôt que la resucée d’après « Back In Black ».
A commencer par le titre titre « Runnin’ Wild » et son Break typique…je vois Cliff et son hochement de tête bien à lui. « Too Much, Too Young, Too Fast », qui aurait pu remplacer un des titres qui à empéché «For Those About to Rock » d’être un grand Album, « Blackjack » Rapide et virulant, on en regrette Angus car il manque quand même un solo, bon « What's Eatin' You » est un peu plus actuel et est dans la veine des bon titre de Black Ice.
 
 
Un album, dans l’ensemble bon, avec des titres bien que très typé, assez originaux, les grandes différences avec AC-DC, en 1 la guitare Solo, quand même beaucoup moins foudroyante, et la voix (bien que très proche de Brian).
Alors, celas suffit’ il pour construire une carrière, je ne pense pas. Sous peine de lasser.
Mais, ça suffit empellement pour sortir un très bon album de Hard Rock, chose qui malgré tout, manque.
 
fabkiss

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metaleu35 - 23 Octobre 2010: fallait bien que je trouve une justification ^^
TheHeadbangers - 24 Octobre 2010: Bah t quand même pas obligé de sortir des conneries...
Elvangar - 15 Mars 2011: Quelques influences !? qui doit changer d'oreilles ? et même si le groupe sort cet album à une période bien différente de la période AC/DC, il n'en reste pas moins un copier-coller flagrant. Je leur souhaite de mettre leur empreinte dans leurs future compos, s'ils n'y parviennent pas, la comparaison restera récurrente et c'est bien dommage car l'énergie est là. Est-ce que cela suffira ? l'avenir nous le dira ...
fabkiss - 16 Mars 2011: c'est qui AC-DC???
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Chronique @ dark_omens

29 Juillet 2013

Runnin’ Wild est donc un album plaisant à la mesure de ceux qui ne cherchent pas vraiment l’originalité...

De manière évidente peu de nouveaux groupes sont capables de proposer des musiques entièrement nouvelles, d’enfanter de prodigieuse évolution et même parfois d’étonnante révolutions. Toujours influencés et inspirés, la plupart tentent de se démarquer en proposant un mélange plus ou moins éloigné du berceau originel de leur idolâtrie. Pourtant imposer sa propre identité, même façonner dans les ombres charismatiques et au son d’une musique dont les horizons les plus lointains, les terres les plus hostiles, les univers les plus complexes ont été presque tous foulé depuis longtemps, délimitant ainsi, forcement, des espaces de liberté créative beaucoup plus restreints, n’est pas un souci sans effet dont on peut se moquer au nom d’une joyeuse désinvolture estampillé d’un « je suis jeune, je suis libre, je suis Rock’n Roll ». Ignorer les conséquences de ce détachement s’il conduit au niveau de chaque groupe à peu de répercussion (tout au plus une indifférence mérité), a le fâcheux inconvénient d’appauvrir un style dans son ensemble, et ce surtout lorsque cette insouciance devient une tendance générale pour la plupart des combos, qui, incapables de proposer de réelles nouveautés originales se servent de cette excuse pour continuer à recycler les mêmes vieilles recettes éclusées. Se nourrissant alors sans cesse de ces œuvres inspirées par d'autres, le style en question, ici en l’occurrence le Hard-Rock, se contente de produire toujours les même groupes, les mêmes disques, les mêmes émotions, l’ennui, la lassitude et pour finir la lente agonie avant l’oubli.

Airbourne, à l’instar de The Answer et de quelques autres jeunes formations, est porté en triomphe au summum de l’édifice sacré bâtis autrefois, pierre après pierre, riffs après riffs, albums après albums par de valeureux musiciens talentueux et novateurs. Ces nouveaux artistes sont quasiment sanctifiés par d’éminentes cellules grises, médias consacrés, qui voient en eux le salut et le renouveau d’un Hard-Rock qui, toujours selon eux, se porte plutôt bien. On pourrait débattre ici de l’étrangeté de l’argument de cette vision fantasque en songeant aux faiblesses de dernières productions anémiques de groupes légendaires dont le mythe s’alourdit à chaque manifeste de couches de poussière supplémentaires, les rapprochant tout juste, petit à petit, d’un minimum de respect de circonstance, eu égard à ce qu’il firent dans le passé. On pourrait aussi s’en étonner en songeant à ces hypothétiques et ridicules reformations totalement "altruistes" dont le résultat difforme donne naissance à des disques à l’intérêt tout juste discutable. On pourrait encore s’en ahurir en songeant enfin à l’essor d’autre mouvance explorant des terres toujours plus arides et extrêmes pour certaines. Pour donner de la consistance à l’argument et étayer le propos qui menace de s’écrouler, il ne reste donc plus que ces nouveaux dont les talents doivent à eux seul justifier toutes les vertus qu’on leurs prêtent. Or à y regarder de plus prêt, si certains proposent un vrai travail au mieux enthousiasmant et alors que d’autres s’égarent dans une indicible retranscription à l’arrière gout amer et unique de variation sur un même thème, les derniers se contentent de ressasser des batailles éculés revêtant les armures moins clinquantes, chevauchant les destriers moins fougueux, usant des mots et des ritournelles simplement volés a d’autres plus glorieux. Et dans ces derniers brigand tentant d’usurper des faits d’armes qui ne sont pas leurs, il y a Airbourne.

En effet, loin de se contenter d’offrir quelques relents d’un parfum subtil de ces ainés australiens, il décide de nous offrir l’ivresse de la fragrance la plus proche. Ainsi avec abnégation, force et, il faut le reconnaitre, une détermination talentueuse, Airbourne s’applique à être l’ombre la plus fidèle qui soit d’Ac-Dc. De telle sorte qu’au détour des onze morceaux qui composent ce Runnin’ Wild, on retrouve invariablement la musique des frères Young. Poussant encore le mimétisme plus loin Joel O'Keeffe et ses camarades composent des titres entiers aux riffs directement empruntés à son vieux frère Sydneyen. Ainsi, par exemple, Blacjack est un titre dont certaines mélodies de guitare nous rappellent furieusement Give a Dog a Bone. Et dans cet ensemble ou chaque pièce raconte une histoire déjà racontés, il n’est pas un seul titre dont le mérite reviennent entièrement à Airbourne. Cet agacement obnubilant qui nous oblige à nous employer à rechercher ne serait-ce qu’une once de caractère propre, finis toujours par nous ramener à la folie de l’unique question qui nous obsède: dans quel morceau d’Ac-Dc ai-je déjà entendu ce solo, cet air, ce riff ?

S’il existe bien d’infimes différences, je dirais qu’elles se trouvent dans le chant qui, loin d’être une copie conforme de celui de Brian Johnson, n’est tout de même pas exempt d’une certaine ressemblance, pour ne pas dire d’une ressemblance certaine.

Au-delà de ces défauts rédhibitoires, il y a aussi cette énergie intense incroyablement communicative qui parviendrait presque à nous emporter l’espace de quelques titres. Un écran de fumée fait d’adrénaline qui lorsqu’il retombe, et que la raison objective reprends le pas sur l’émotion première dans une analyse plus sereine, ne nous laisse entrevoir que le vide relatif de cet album. Un disque, qui sans aucun doute, ne marquera pas l’histoire pour un groupe dont la carrière s’annonce délicate. Peut-on réellement proposer une démarche artistique qui consiste à faire sérieusement ce que d’autre ont déjà fait dans une exacte réplique ?

Runnin’ Wild est donc un album plaisant à la mesure de ceux aux exigences limités, qui ne cherchent pas vraiment l’originalité. Pour ceux qui au contraire sont avides de sensations nouvelles, il vaudra mieux passer son chemin. Il faudra tout de même que le groupe travaille pour se forger une identité moins caricaturalement similaire, et réellement la sienne afin de proposer une musique différente qu’un simple copier/coller de celle d’Ac-Dc. C’est de cet affranchissement que naitra, peut-être, des albums suffisamment intéressants pour redonner un destin plus enviable à ce Hard-Rock malade. Peut-être, mais pour le moment rien n’est moins sûr…

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boule - 09 Août 2013: En fait l'album vieilli mal.
C'est un album basé sur l'energie.
DevilDevil - 07 Octobre 2013: je suis d'accord avec boule et avec toi dark_omens, cette album a un manque flagrant d'originalité, mai est très efficace. Je ne vais pas nier que j'adore "Too Much, Too Young, Too Fast"
angus107 - 08 Novembre 2022:

Dire que Airbourne fait du AC/DC est indiscutable, mais je trouve qu'ils amènent un vent de fraicheur dans le monde du hard rock, qui en manque cruellement dans les années 2000. AC/DC, pour moi c'est mes Dieux. J'ai grandi avec eux depuis le milieu des années 70 et pour Airbourne, le chemin est encore très long pour pouvoir un jour les rivaliser. N'empeche, Airbourne me fait revenir 50 ans en arrière, et ça fait du bien. 16/20

 

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Chronique @ Psychosic

23 Avril 2011

Alors que tout le monde attendait AC/DC au tournant, Airbourne s'impose comme la relève.

2007. Le monde du Hard-Rock est en attente, celle de l’album d’AC/DC, prévu pour l’année suivante. 7 ans après Stiff Uper Lip, le mythique groupe australien, repart en studio pour un nouvel opus. Seulement, voilà, la même année, un sacré album de Hard Rock sort dans les contrées australiennes, du nom de Runnin’ Wild. Enregistrée par un groupe du nom d’Airbourne, la musique sent le bon Hard-Rock bien macho, dégoulinant de sueur et suintant l’alcool bon marché. Et, surtout, surtout, Airbourne joue du AC/DC. Du moins, c’est ce que les médias les moins enthousiastes s’évertuent à divulguer. Mais en réalité, même si la musique du groupe ressemble très fortement à celle de leur aîné, quelques différences distillent un plaisir non feint.

Airbourne, donc. Formé en 2003 par les frères O’Keeffe ( Joel et Ryan ), le groupe se trouve rapidement un bassiste et un second guitariste, chaque frère ramenant un membre de plus dans le groupe. Joel, par l’intermédiaire de son travail, et Ryan, par une bousculade dans la rue, alors qu’il se trouvait dans un état de décomposition interne avancée. Ainsi, David Roads pris la place de second gratteux, et Justin Street se mit à la basse. La bande était formée, il ne lui restait plus qu’à déménager à Melbourne pour enregistrer ses premiers méfaits. Ainsi, Ready to Rock les fait remarquer, et les quatre Wallabies s’envolent direction les USA, pour l’enregistrement de Runnin’ Wild.

Après cet intermède historique, revenons-en à l’album en question. Outre la similarité avec AC/DC, la production apporte un punch monstrueux à l’album, créant un son massif, les guitares formant un véritable mur en béton. Ainsi, les titres les plus rapides de l’album sont très percutants, « Dans ta face ! » en somme. Même si le jeu des quatre musiciens reste dans l’ensemble assez simple, l’efficacité est au rendez-vous. Dans Airbourne, on ne badine pas. Du Hard Rock (‘n’Roll), encore et encore. Dans l’esprit, le groupe est Rock’n’Roll, les textes parlent de sexe, de vin, de sexe, de whisky, de sexe … Bref, macho et alcoolo, les quatre kangourous font ce qu’ils savent faire.

Une batterie au jeu simpliste mais très puissant soutient des riffs d’une efficacité redoutable, et même si on peut leur reprocher leur simplicité, ils provoquent l’effet recherché : une bière à la main et un torticolis après chaque concert. Pas original pour deux sous, Airbourne signe néanmoins un premier album pour le moins efficace, et qui plus est chez Roadrunner Records. La relève du Hard-Rock australien est là, qu’on se le dise !

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Commentaire @ Julien

04 Juin 2008
Je pense qu’avec ce disque nous allons faire court mais efficace. En effet il semble que ce soit le lek motif du groupe Airbourn. Tout droit issu de pays des Kangourous, cette quartet de jeunes fous se lance a corps perdu dans les traces de leur illustres prédécesseur, je parle bien entendu de AC/DC et autres Rose Tattoo. Rock’n roll Baby !!!!!!!

Vous ne trouverez pas dans Airbourn quelque de d’innovant ou quelque chose révolutionnaire ou même d’orignal. MAIS ces jeunes sont du fucking rock’n roll sans se poser de questions. Je branche ma gratte dans l’ampli, je cale mon pied sur le retour et c’est part pour le rock’n roll. C’est vrai pourquoi aller cherche midi a quatorze heure. La seul chose a évaluer lors de l’écoute de genre de disque c’est le plaisir que l’on prend en l’écoutant. Tu chantes le refrain, tu gigotes la tête, tu tapes du pied. C’est bon c’est un bon disque.
Et pour faire hymne de stade Airboun n’est pas le dernier. « Blackjack » pour le coté bien rock puissant, « Runnin' wild » pour son coté « je prend mon pote par l’épaule, j’ai une bière dans l’autre main et je chante a me cramer la voix », ou encore les titres plus cool de « Too Much, Too Young, Too Fast » qui malgré la fait d’être très formaté fait bien se lever la foule.
Et ces ptits jeunes ont tout compris. Pourquoi essayer de faire de la poésie. Je te rappelle que j’ai le pied sur le retour que je bois de la bière. Donc on parle de sex, de picole et de rock’n roll. Basique mais toujours bien cool. Et que l’on ne vienne pas me dire que je vais te faire une balade à la con pour te faire plaisir. Que nenni, ici c’est rock’n roll et a fond les ballon. Non mais. Ils ont tous compris je vous le dis.
Même si le groupe se veut un coté roots, la production reste de bonne facture et on se prend au jeu. Le son est clinquant et chaque solo transperce le mur sonore rythmique.

Au final pas besoin de se prendre la tête, Airbourn c’est 100% bonheur et rien d’autre. J’ai bien hâte de les voir en concert histoire de chanter a gorge déployée tous les tubes du groupes.

Fucking Rock’n Roll !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!


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HRPASSION - 01 Septembre 2008: Je suis un grand fan de rock Australien, AC/DC, The Angels...alors vous comprendrez que Airbourne est pour moi excellent. Dans le même genre, mais sur un autre continent, Rhino Bucket est très bon, je vous le conseille, si vous aimez le Hard Rock Boogie/Bluesy.
nonometaltatts - 12 Septembre 2008: J'adore Airbourne.C'est rock'n roll,c'est entrainant...un sacré bon moment pour oublié les petits soucis de la vie.
_clark_ - 27 Octobre 2008: Airbourne faut pas chercher j'ai découvert par hasard et je me suis dit "bordel c'est du putain de bon son" alors ouai ils ne se sont pas trop foulés c'est du AC/DC revisité et alors sa fait plaisir, c'est juste des grattes qui envoie du lourd une recette comme on les aimes tant pis si l'originalité n'est pas au rendez-vous...

Et c'est vrai que quand on y reflechis bien on note beaucoup de point communs avec AC/DC rien que le titre de certaines chansons:
Stand Up --> Stand up for rock n' roll
Back in black--> girls in black
Sin city--> fat city
...
Trashking - 11 Avril 2009: Airbourne c'est rien dans l'originalité mais tout dans l'efficacité.
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