Beyond Repair

Paroles
ajouter une chronique/commentaire
Ajouter un fichier audio
14/20
Nom du groupe Throwdown
Nom de l'album Beyond Repair
Type Album
Date de parution Mars 1999
Style MusicalMetalcore
Membres possèdant cet album30

Tracklist

1. No One
2. Falling Forward
3. Don't Lose Sight
4. Slip
5. Power Figure
6. Standing Tall
7. Sellout
8. Never Too Old
9. The Enemy
10. Laid to Rest
11. I Will Stand
12. As We Choke
13. Get Sick

Acheter cet album

 $18.99  36,80 €  18,99 €  £32.67  $25.25  40,56 €  15,95 €
Spirit of Metal est soutenu par ses lecteurs. Quand vous achetez via nos liens commerciaux, le site peut gagner une commission

Throwdown


Commentaire @ Goneo

03 Mai 2021

Un album dans son jus

Créé en 1997 par Keith Barney, guitariste de Eighteen Visions, et après avoir signé un contrat d’enregistrement avec le label indépendant américain de punk hardcore Indecision Records, Throwdown sort deux ans plus tard son premier album studio "Beyond Repair". Le groupe se compose alors de Marc Jackson à la batterie, Tommy Love à la guitare, Dom Macaluso à la basse, Brandan Schieppati à la guitare (futur principal chanteur de Bleeding Through, qui sera présent uniquement sur cet album) et Keith Barney au chant.

On se retrouve face à un opus clairement dans cette vague hardcore metal, en cette fin des années 90. Ici, comme pour beaucoup de groupes de chez Indecision Records, pas de chant clair ou de chichi, ça envoie droit dans les babines du début à la fin.

"No One" ouvre le bal avec ce riff,... arf!... , j'ai mis un petit moment à remettre le doigt dessus, mais c'est bien sûr à la fin "de Suicide Note Pt. II" de Pantera que cette intro me fait penser. Et ces rythmiques typiquement Hardcore mosh part nous plongent vite dans une envie de remuer les bras. A ce titre, "Slip" propose une très belle moshpart à 50s.

Un opus plutôt classique dans l'ensemble mais efficace, à l'image du refrain de "Power Figure". Cependant, quelques riffs viennent donner un peu de sang neuf tout de même, comme sur "The Enemy" à 1.20min, rappelant alors le style Snapcase, ou encore sur "Laid to Rest" ou "Sellout", tous deux à 30s. Enfin, arrivé à la 10ème compo, cela s’essouffle fortement.

Bref, un album dans son jus, malgré un sujet maîtrisé ; c'est dire que vous ne trouverez rien de bien original si vous le découvrez si tard. De plus, la production s'avère un peu juste, même si cette caisse claire qui claque est loin de m'avoir laissé indifférent.

0 Commentaire

1 J'aime

Partager
    Vous devez être membre pour pouvoir ajouter un commentaire