Salut ! Pour la première interview de Tesseract dans Spirit of Metal, peux-tu présenter l’histoire de TesseracT s’il te plait ?
Amos Williams (bass) : Salut à tous! Tesseract a commencé sa vie comme un projet solo dans l'esprit et la chambre d’Acle Kahney (notre guitariste et principal compositeur) en tant que catharsis pour laisser évacuer toutes les émotions et les influences musicales qu’il avait digéré avec le temps. Quand à moi, je jouais dans un tout petit groupe du même coin que lui, et j’étais fan de ce qu’il faisait avec ce qui s’appelait alors Fell Silent. C’est naturellement que j’ai fini par rencontré et parler avec Acle. Le contact est passé incroyablement bien entre mes musiciens et lui, et finalement Tesseract était né. Nous avions besoin d'un autre guitariste et d’un chanteur alors nous nous sommes impliqués et avons trouvé un chanteur appelé Abisola Obasanya. Tesseract a tournée avec ce line up pendant deux ans jusqu'à ce qu’Abi décide de nous quitter. Aujourd’hui, nous avons un nouveau chanteur et un premier album.
Vous appartenez à une nouvelle scène que l’on appelle le djent. Qu’est-ce que le djent avec tes propres mots ?
Pour Tesseract, le « Djent » n'est qu'un mot pour décrire un groupe d'individus semblables et très souvent amis qui aiment jouer de la musique heavy, lourde et originale mais qui ne se fixe aucune limite et aucunes barrières de styles ou de genres. C’est la musique que nous voulons créer au fond de nous, sans
Amos Williams (bass) : Salut à tous! Tesseract a commencé sa vie comme un projet solo dans l'esprit et la chambre d’Acle Kahney (notre guitariste et principal compositeur) en tant que catharsis pour laisser évacuer toutes les émotions et les influences musicales qu’il avait digéré avec le temps. Quand à moi, je jouais dans un tout petit groupe du même coin que lui, et j’étais fan de ce qu’il faisait avec ce qui s’appelait alors Fell Silent. C’est naturellement que j’ai fini par rencontré et parler avec Acle. Le contact est passé incroyablement bien entre mes musiciens et lui, et finalement Tesseract était né. Nous avions besoin d'un autre guitariste et d’un chanteur alors nous nous sommes impliqués et avons trouvé un chanteur appelé Abisola Obasanya. Tesseract a tournée avec ce line up pendant deux ans jusqu'à ce qu’Abi décide de nous quitter. Aujourd’hui, nous avons un nouveau chanteur et un premier album.
Vous appartenez à une nouvelle scène que l’on appelle le djent. Qu’est-ce que le djent avec tes propres mots ?
Pour Tesseract, le « Djent » n'est qu'un mot pour décrire un groupe d'individus semblables et très souvent amis qui aiment jouer de la musique heavy, lourde et originale mais qui ne se fixe aucune limite et aucunes barrières de styles ou de genres. C’est la musique que nous voulons créer au fond de nous, sans
autre origine que notre créativité.
On retrouve dans « One », votre premier album, le mini ep « Concealing Fate ». Pourquoi ce choix ?
Le ep ne devait être publié qu’au États-Unis et en édition limitée pour aider à promouvoir le groupe au tout début, quand nous étions en tournée au Canada et aux États-Unis l'année dernière avec le Devin Townsend Project. Mais, il semble qu’il y ait eu un réel engouement autour de ce ep et il a été téléchargé partout de part le monde. Maintenant, comme nous l'avions toujours prévu, «Concealing Fate» fait part entière du disque et surtout, sera disponible pour tous nos fans car l’album sera distribué dans le monde entier.
Le chanteur est réellement hallucinant, il a une voix hallucinante, superbe, très pure mais extrême…Julien est français non… ?
C’est un peu compliqué et je suppose que tu parles de Dan en fait ? Nous avions effectivement trouvé un chanteur français, Julien Perriere, qui était avec nous au début des concerts. Mais il habitait entre la Normandie et la France et il s’est rapidement avéré très difficile de tous nous réunir ensemble donc nous avons dû nous séparer de lui. Quant à Dan, oui c'est un grand chanteur avec une polyvalence et une gamme beaucoup plus grande. Ces éléments sont essentiels à la vision de Tesseract et nous ne pouvions pas travailler avec quelqu’un qui se restreindrait à un unique type de chant.
Je trouve qu’il y a
On retrouve dans « One », votre premier album, le mini ep « Concealing Fate ». Pourquoi ce choix ?
Le ep ne devait être publié qu’au États-Unis et en édition limitée pour aider à promouvoir le groupe au tout début, quand nous étions en tournée au Canada et aux États-Unis l'année dernière avec le Devin Townsend Project. Mais, il semble qu’il y ait eu un réel engouement autour de ce ep et il a été téléchargé partout de part le monde. Maintenant, comme nous l'avions toujours prévu, «Concealing Fate» fait part entière du disque et surtout, sera disponible pour tous nos fans car l’album sera distribué dans le monde entier.
Le chanteur est réellement hallucinant, il a une voix hallucinante, superbe, très pure mais extrême…Julien est français non… ?
C’est un peu compliqué et je suppose que tu parles de Dan en fait ? Nous avions effectivement trouvé un chanteur français, Julien Perriere, qui était avec nous au début des concerts. Mais il habitait entre la Normandie et la France et il s’est rapidement avéré très difficile de tous nous réunir ensemble donc nous avons dû nous séparer de lui. Quant à Dan, oui c'est un grand chanteur avec une polyvalence et une gamme beaucoup plus grande. Ces éléments sont essentiels à la vision de Tesseract et nous ne pouvions pas travailler avec quelqu’un qui se restreindrait à un unique type de chant.
Je trouve qu’il y a
beaucoup d’éléments jazz dans votre musique, entre la basse très groovy et le son très charnel et humain. C’est assez différent des groupes qui sonnent très froids du même style non ?
Pendant longtemps, nous avons eu le sentiment que le métal moderne, la musique dites moderne avait perdu quelque chose. Il n'y avait pas d’âme en elle. C’était devenu plus un sport qu'un art. Nous avons donc fait un effort pour expérimenter avec les éléments sonores différents, personnels. J'ai un son très "funky" et "jazzy", et beaucoup d'admiration pour les bassistes virtuoses comme Victor Wooten et Marcus Miller, de sorte qu’il est inévitable que des influences peuvent se sentir dans ma manière de jouer.
Vous avez joué en première partie de Devin Townsend. Que retiens-tu de cette expérience ?
Fondamentalement, que vous fassiez n’importe quoi, que vous soyez créatif, que vous sentiez bien ou pas, Devin sera toujours un cran au dessus et devant vous. Il est un tourbillon créatif et un artiste tout à fait fascinant. Nous avons vu tous ses shows du début à la fin de cette tournée et j'ai essayé d'apprendre tout ce qu'on pouvait de ses représentations et son attitude scénique.
Si une personne qui n’a jamais écouté Tesseract lit ces lignes…que lui dirais-tu ?
Premièrement, merci d’avoir pris le temps de lire cette interview et deuxièmement, de prendre une heure pour écouter notre album et bien se tenir, parce que ça va être une course folle.
Pendant longtemps, nous avons eu le sentiment que le métal moderne, la musique dites moderne avait perdu quelque chose. Il n'y avait pas d’âme en elle. C’était devenu plus un sport qu'un art. Nous avons donc fait un effort pour expérimenter avec les éléments sonores différents, personnels. J'ai un son très "funky" et "jazzy", et beaucoup d'admiration pour les bassistes virtuoses comme Victor Wooten et Marcus Miller, de sorte qu’il est inévitable que des influences peuvent se sentir dans ma manière de jouer.
Vous avez joué en première partie de Devin Townsend. Que retiens-tu de cette expérience ?
Fondamentalement, que vous fassiez n’importe quoi, que vous soyez créatif, que vous sentiez bien ou pas, Devin sera toujours un cran au dessus et devant vous. Il est un tourbillon créatif et un artiste tout à fait fascinant. Nous avons vu tous ses shows du début à la fin de cette tournée et j'ai essayé d'apprendre tout ce qu'on pouvait de ses représentations et son attitude scénique.
Si une personne qui n’a jamais écouté Tesseract lit ces lignes…que lui dirais-tu ?
Premièrement, merci d’avoir pris le temps de lire cette interview et deuxièmement, de prendre une heure pour écouter notre album et bien se tenir, parce que ça va être une course folle.
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interview réalisée par Eternalis
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