Redeemer

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16/20
Nom du groupe D'EspairsRay
Nom de l'album Redeemer
Type Album
Date de parution 11 Mars 2009
Style MusicalVisual Kei
Membres possèdant cet album29

Tracklist

1. Lizard
2. Brilliant
3. Redeemer
4. Kouhaku
5. Kamikaze
6. Lost in Re:Birth
7. R.E.M - Fuyu no Genchou
8. Horizon
9. Masquerade
10. Yozora
11. Paradox 5
12. Heaven's Color

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D'EspairsRay


Chronique @ Temnota

29 Mars 2010

Que d'écrire je ne trouve plus de raison et que c'est peut-être là l'heure de la rédemption.

Le grand retour de D’ESPAIRSRAY est signé. Après 2 ans d’attente suite à son second album, MI?ROR , confirmant le fait que c’est une formation au top et qui n’a plus rien à prouver, le groupe rock gothique et électronique Japonais du moment revient début 2009 avec ce troisième full-album délicatement nommé Redeemer, le rédempteur…


Un tel titre éveille donc les interrogations auprès du public. Redeemer ? Que signifie ce rédempteur ? Le groupe cherche-t-il une rédemption par le biais de sa musique ? La notion de rédemption est donc omniprésente sur cet album où D’ESPAIRSRAY semble continuer son évolution vers un son plus rock et hard rock que métal bien lourd et malsain comme le laissait déjà deviner MI?ROR l’opus précédent. Que reste-t-il donc de D’ESPAIRSRAY si l’ingrédient principal de leur musique se voit modifié ? Réponse toute simple, il reste encore et toujours D’ESPAIRSRAY quoi qu’il arrive… le son plus orienté rock que métal permet aux musiciens de plus larges expérimentations avec leurs instruments comme notamment apparition de nombreux courts mais plaisants soli de guitare de la part de Karyu, dont on sent de plus en plus une influence du guitariste John 5 (ex-Marilyn Manson), un son de basse plus effacé pour ZERO mais qui en revanche va nous servir pour la première fois un solo de son instrument, TSUKASA qui martèle ses fûts en différents registres comme à l’accoutumée oscillant entre les styles dansant, martial, pop ou heavy… Et surtout HIZUMI, la voix de l’entité D’ESPAIRSRAY depuis plus de 10 ans et il en a fait du chemin depuis les débuts, à l’image de ses collègues. Ses lignes vocales se font plus mélodiques que par le passé, plus suaves, plus variées (il n’est pas étonnant de l’entendre monter dans les notes aigües). Son timbre de voix se rapproche de plus en plus de celui de HYDE (chanteur de L’arc~en~ciel) avec un soupçon de Ville Valo (chez HIM). En parallèle HIZUMI sait toujours assoir son savoir-faire criard qui donne à la fois une détresse émotionnelle certaine et un grand punch aux compositions.


Cet album de la rédemption s’ouvre donc sur les samples crescendo electro/trance de Lizard avant que les lourds instruments ne viennent percuter le son à la manière d’un RAMMSTEIN. Cette piste n’est pas sans rappeler DAMNED, la piste d’ouverture de l’album précédent de part son ambiance sombre, ses couplets posés et ses refrains dévastateurs. Là où Lizard se démarque de sa sœur ainée est dans son côté rentre-dedans plus prononcé, le solo heavy de guitare et dans l’apparition de lignes mélodiques en guise de post-refrain perçants comme des rayons de luminosité dans un ciel aux nuages menaçants. ~ « Underworld image… »~ C’est donc un titre purement et sombrement familier que l’on trouve pour l’ouverture du Redeemer mais qui amorce déjà l’orientation empruntée par le groupe sur ce disque de rédemption. S’enchaîne directement l’un des singles de l’album : BRILLANT. Titre purement rock au sample électronique sonnant comme de milliers de scintillements, l’image qui en ressort principalement est celle d’un miroir (certainement celui posé lors de l’album ainé) volant en milles et milles éclats ~ « Kagami wo kowashite ... » ~ où un parolier chante sa volonté de liberté avide de retrouver et de montrer un monde lumineux comme il l’a aperçu une fois. Quand finissent de s’estomper au loin les sons des scintillements du miroir brisé, une base rythmique martiale résonne fortement, se pose la guitare et une voix familière proclamant haut et fort un réveil des consciences, une explosion des émotions individuelles et une volonté de ne plus être asservi. Voici donc le titre éponyme et l’une des pièces maîtresses de ce disque : Redeemer. C’est sous un tonnerre de sons furieux et terriblement endiablés que ce titre à la fois entraînant et colérique démontre la rédemption et la maturité acquise par D’ESPAIRSRAY au cours de 10 ans. ~ «Screaming out your emotions !»~ Là où, au cours de nombreuses années, le groupe se posait en victimes adolescentes aux prises avec une noirceur intense, un mal être appuyé et de nombreux questionnements sur le côté obscur de l’être humain, il se pose désormais comme des adultes relevés haut le front. Enrichis de leurs expériences passées, les protagonistes musicaux du célèbre Rayon Clair/Obscur décident de prendre le taureau par les cornes, de se relever et de se révolter. C’est haut le poing et la nuque battante que l’on traverse ce titre purement D’ESPAIRSRAY en ayant un pied dans le rock gothique, un autre dans le métal industriel et les pensées dans la colère. La tension retombe lorsque le son du synthétiseur à ambiance nocturne se fait entendre ouvrant la quatrième piste ; ?? (Kohaku). Mélancolique est le maître mot pour caractériser cette chanson où s’entrechoquent les instruments incisifs avec le synthétiseur produisant des sons évoquant une ambiance nocturne à la façon de The Birthday Massacre. Cette piste laisse libre court au parolier HIZUMI et à sa touchante poésie dépeignant une personne perdant tout ce qui lui est chère dans une ville endormie sous un ciel nocturne sans étoiles. « ~ Nemuranai kono machi no hoshi ha kazarenai… »~ Dans cette volonté de se repentir de ses péchés, l’auteur-interprète de cette prose aux couleurs ambrées tend sa main pour faire entendre, aux perdus, la mélodie des échos de l’aurore lointaine. Les titres Kamikaze et Lost in Re ;birth reprennent le flambeau rallumant un feu apaisé l’espace de quelques minutes par l’ambre. Kamikaze , second single tiré de ce disque s’illustre comme la parfaite cohésion entre musique électronique aux samples omniprésents et du rock. Cette approche délivre une composition efficace et entraînante à souhait. Guitare électrique et voix au vocoder dominent ce titre illustrant l’héritage et la mentalité de ces grands samouraïs sacrifiant leur vie durant la bataille au profit de leurs choses chéries et éphémères. Devenant ainsi le vent et s’élevant dans les airs. ~«I’m leaving... »~ Suite à la mort, la tragédie se poursuit au-delà lorsque vient la renaissance. Lost in Re;birth, autre pièce maîtresse de ce disque est un titre exclusivement noir où seules la tristesse et la détresse règnent. Musicalement le plus heavy de l’album ce morceau peint une estampe noire signant le retour d’interrogations sur la présence du néant total après la mort. Les capacités criardes d’HIZUMI répondent présentes à l’appel, illustrant sa détresse et sa peur profonde. La rythmique martèle fort et se fait plus lourde de part le son de basse de ZERO, quant à Karyu et sa guitare ils appuient davantage cet effet de lourdeur et d’incision dans le son instrumental aboutissant à un final typiquement heavy metal. Et comme par habitude, la touche industrielle se pose sur cette composition tristement enragée via des samples rapides accentuant le caractère « urgent » d’une détresse sans fin. ~The blight and god...~

La colère s’estompe lorsque sonnent les premières notes acoustiques de R.E.M-????- (R.E.M-Fuyu no genchou-) qui dégage une image d’un ciel obscurci par les nuages sombres. L’ambiance est au froid et à la mélancolie sur cette première ballade de Redeemer. L’instrumentale acoustique crée une ambiance intimiste et sensible autour de ses interprètes laissant HIZUMI faire couler l’encre noire de son texte sur une musique aux couleurs d’un hiver triste, sa voix accompagnée par quelques notes de piano. Cette audition hivernale récite la situation d’un homme vidé et seul ayant perdu son âme la plus chère. Il pense la voir en rêve, se remémorant des souvenirs qui lui sont à la fois chaleureux mais follement déchirants et douloureux à ce jour. C’est ainsi que la chaleur lumineuse du soleil se transforme en froid pâle et glaçant de flocons de neige tombant d’un ciel ténébreux. ~«Yume mita... »~ Une cicatrice de plus à mettre sur le compte de la fatalité venant d’inscrire au corps de l’homme en plein repentir. La neige s’arrête de tomber, le ciel s’éclaircit se tenant debout 4 hommes, le regard fixe et le cœur battant vers l’Horizon. Quelques notes de guitare résonnent et c’est une musicalité oscillant entre pop-rock et rock pur qui nous accompagne vers cet Horizon nouvellement né. La plume du rédempteur signe son retour après une longue et lourde mélancolie dans laquelle celui-ci s’était tourmenté. Ici tout est question de se relever, de regarder au loin, d’y voir ses rêves et de s’y rendre aussi vite que le vent. L’espoir renaît tout comme l’Horizon ressurgit de la terre. Troisième et ultime single tiré de ce full-album, la musique de celui-ci déroute totalement l’auditeur du D’ESPAIRSRAY habituel. Exit le son industriel et gothique, laissons place un titre purement rock aux chœurs entêtants n’étant pas sans rappeler le style musical du célèbre groupe de rock nippon L’arc~en~ciel (du style des albums SMILE, AWAKE et KISS). Les incursions de flow rap en guise de post-refrain et le solo du guitariste possédé apportent un dynamisme prononcé et entraînant à cette chanson plus rayonnante que les pistes déjà parcourues. Horizon reflète bien l’écho de la lumière parmi un amas obscur dans l’ambigüité du nom du groupe ; « Despair » d’un côté et « Ray » de l’autre. Lorsque le son teinté de rock’n’roll d’Horizon s’arrête un écho crescendo de samples électroniques se fait entendre et c’est lorsque la rythmique de TSUKASA et ZERO tombe telle une masse accompagnée avec lourdeur de la guitare de Karyu que l’on comprend arrivée la neuvième piste de l’album, à l’aspect mélancolique, lent et pesant ; MASQUERADE. L’Horizon est son rayon d’espoir se sont estompés laissant de nouveau place aux interrogations sur « la vérité ». Celle-ci semblerait, aussi triste soit-elle, se cacher derrière un tissu de mensonges virevoltant telle une mascarade. ~« The truth is veil under the lie. On the verge of sadness…»~ D’ESPAIRSRAY, de nouveau tourmenté, nous livre une musique puissante, triste et torturée instaurant un équilibre entre rage et mélodie. Ici point de solo du guitariste mais présence d’un passage en pur shred à l’unisson avec la rythmique au blast-beat martelant à grands coups puissants. La sensation de renfort, de colère et de puissance n’en n’est que décuplée. Autre pièce maîtresse de Redeemer à la mélodie sensible et touchante mais terriblement dévastatrice, MASQUERADE s’instaure comme l’un des titres les plus émotionnels du disque mais également de la discographie du groupe. D’ESPAIRSRAY se débat de nouveau dans ses propres tourments, questionnements et abysses intérieures… Telle lors d’une mascarade.

Ne laissant pas de répit le groupe enchaîne directement par la très enjouée au paysage de ciel nocturne scintillant et à la musicalité punk-rock : ?? (Yozora). A la façon de ?? (Kohaku) le titre présente une prédominance de samples et de sons de synthé au son de scintillements à l’image des étoiles du ciel décrites dans le texte. Une volonté de voler et de rencontrer son amour, HIZUMI désire dessiner les constellations du ciel étoilé. Ces constellations donnant lieu à milles et milles histoires et quand celles-ci tombent (référence aux étoiles filantes et comètes) le poète se voit comme dans un rêve interminable sous le scintillement de milliers d’astres. Titre complètement déroutant de la part de D’ESPAIRSRAY, véritable OVNI dans leur discographie de part un son punk-rock façon californienne très enjoué dépeignant un ciel noir/bleu nuit illuminé par la brillance des étoiles. ~«Kimi to yozora... »~ Cachant une certaine mélancolie dans les paroles et la ligne de chant, ?? (Yozora) est un titre romAntique, rêveur et sentimental. Sur la rythmique typiquement punk-rock se posent l’électronique scintillante revenant de manière entêtante, la guitare électrique d’un registre rock et léger et une ligne de chant pop très prenante lorsque celle-ci monte dans les aigües du refrain. Grande première chez D’ESPAIRSRAY ZERO le bassiste nous gratifie d’un solo de basse avant que Karyu et sa guitare ne prennent le relai. Le bassiste plus effacé sur cet album qu’à l’accoutumé tend à reprendre ses droits et son territoire en faisant sonner sa symbiose instrumentale au milieu des autres sons. Ce qui pourra choquer sur ce morceau en plus de son orientation musicale est le fait qu’elle ressemble étrangement à JESSICA du groupe métalleux poétique et intimiste DIR EN GREY, même son, même approche et même contraste entre le paysage du son et les paroles... Le chant des étoiles s’éteint faisant de la place à un son mystique, un chant sacré sonnant au loin. Une rythmique ethnique prend peu à peu la place, des chœurs orientaux féminins s’installent avec le son d’instruments traditionnels, le ciel étoilé laisse place à une pluie pleurante en terre sacrée voilà PARADOX 5. Tout du long de ce titre ambiant et posé le groupe nous invite au sa?s?ra, dépeignant le voyage de l’âme dans le cycle des existences conditionnées. HIZUMI décrit une autre étape du voyage du rédempteur dans sa quête de paix et de renaissance. 4 hommes marchant dans le mouvement circulaire de la conscience divine dans l'espace et le temps, la ronde « ouroboros » des naissances et des morts… Simplement 4 hommes marchant sur les routes de notre monde, enchaînés à leur souffrance, ne pouvant y échapper. Le rédempteur laisse parcourir son âme dans la quête de cette cessation de souffrance promise, le nirv?na. Lorsque sonne la batterie et la guitare claire des musiciens, un sentiment d’élévation nous envahi et nous emporte, c’est ainsi que débute l’ultime titre de l’album Redeemer : HEAVEN’S COLOR. Cette toile poétique à couleur d’eau trouble et à sonorités pop-rock dans la veine d’Horizon clôture la marche du rédempteur sur des notes célestes et aériennes contant l’histoire d’un homme devenu ange gardien voulant protéger l’opprimé et le guider l’égaré dans le désespoir. Vers le ciel… ~ Une conclusion en suspend à l’image de la conclusion de Kaleidoscope sur MI?ROR, D’ESPAIRSRAY laisse deviner qu’il y’aura une suite à ces évènements contés. ~« Leaving for heaven... »~


Redeemer s'impose comme la suite de MI?ROR tout comme ce dernier s'imposait comme la suite logique de [Coll : set]. Le travail de D'ESPAIRSRAY, ici, se base avant tout sur les mélodies de leur musique enflammée, primant une ambiance romAntique et mélancolique gravitant autour du thème : "D'être sauvé". Sur cet album leur musique continue son évolution naturelle vers plus de sensations Hard Rock permettant l'incursion d'éléments mélodiques de musique Pop et d'influences ethniques sans jamais sacrifier son savoir faire : Une attaque propulsive et l'éclat industriel qui est une partie essentielle de leur son. La quête du rédempteur s’achève pour le moment laissant derrière lui un album de rock de très bonne facture, déconcertant et surprenant si l’on s’attend à retrouver la même recette que les anciens opus. Moins malsain, moins horrifique que les albums précédents ce Redeemer témoigne de l’évolution tant bien dans la musique du groupe que dans leurs mentalités. Là où tout n’était que noirceur implacable et étouffante, Redeemer, tout comme l’amorçait MI?ROR veut faire passer un goût plus doux dans l’amertume d’une souffrance, veut garder un rayon d’espoir parmi un mal être prononcé et une maturité réfléchie. Le groupe du « Rayon Clair/Obscur » frappe un grand coup, marquant concrètement une séparation entre des pistes sombres, des pistes claires et des pistes à l’ambigüité de rayonnement ténébreux.

Ce qu’il faut en retenir c’est que D’ESPAIRSRAY sert un album fort mélancolique, poétique et romAntique où les différents contrastes passent par les variations d’un ciel nocturne parfois sans vie, tantôt illuminé par la lumière flambante des étoiles, souvent obscur, pluvieux et froid portant toujours le regard sur l’Horizon voulant déceler les couleurs du paradis lorsque l’aube fait résonner ses échos. Cet album n’est pas dénué de quelques défauts, comme les incursions de musique pop qui en rebuteront quelques uns, l’orientation plus rock que métal passera pour « moins intense » aux côtés de certains, le fait que ?? (Yozora) puisse passer à peu de chose près pour une reprise de JESSICA du groupe DIR EN GREY, ou encore le découpage étrange de la tracklist vers la fin de l’album passant d’un clair à un obscur puis encore d’un clair à un obscur alors que la première partie jusqu’à la 7ème piste (R.E.M-????- ) était mieux menée. On pourra noter également l'écart dans les compositions sombres et les autres plus claires. En effet si les morceaux typés noirs de l'album disposent d'une composition variée, fouillée et soigné il n'en n'est pas de même pour les quelques titres clairs du disques qui sonnent comme des chansons "faciles". D'ESPAIRSRAY pensait peut-être que faire un morceau clair était synonyme d'une composition légère et simpliste. Dommage. Moins métal cinglant et plus rock, moins industriel et plus électronique, moins gothique et plus glam, les expérimentations sont là, la poésie est là, le groupe n’a pas changé, il a mûri, grandit. Seule son approche et sa façon de faire son neuves de façon à se renouveler dans le cercle infini du sa?s?ra…

3 Commentaires

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Yannaelle - 29 Mars 2010: Je trouve que c'est un bon album, pas le meilleur du groupe mais quand même bien abouti!
Comme c'est dit dans la chronique, il suit bien leur précédent album.
Pour ma part, j'aime beaucoup l'univers de la chanson Horizon, même si c'est pas la meilleur de l'album, je le trouve très belle, et très vif!
Dans cette album Hizumi nous démontre encore son talent unique de chanteur. Je le trouve toujours aussi excellent, et j'affirme, en étant allé au concert en Juillet 2009, c'était une tuerie comme concert!
2 heures de show intense, mélangeant les 3 albums, je trouve sa parfait, et la set list était tout simplement parfaite (je me répète ><).
Bref un bon album qui fait ces preuves en concert.
Qu'ils continuent simplement sur leur lancé, je les sens encore présent pour au moins une bonne dizaine d'années (du moins je l'espère)!
Voilà c'est pas constructif, c'est plus du subjectif, mais je m'en fou xD
xolios - 26 Avril 2010: Grand bravo, pour cette (longue, très longue^^) chronique de qualité!
Temnota - 26 Avril 2010: Et bien de rien ^^
C'était un plaisir.
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