Prometheus - Symphonia Ignis Divinus

Liste des groupes Power Symphonique Luca Turilli's Rhapsody Prometheus - Symphonia Ignis Divinus
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16/20
Nom du groupe Luca Turilli's Rhapsody
Nom de l'album Prometheus - Symphonia Ignis Divinus
Type Album
Date de parution 19 Juin 2015
Labels Nuclear Blast
Produit par
Enregistré à Backyard Studios
Style MusicalPower Symphonique
Membres possèdant cet album92

Tracklist

1. Nova Genesis (Ad Splendorem Angeli Triumphantis) 03:08
2. Il Cigno Nero 04:08
3. Rosenkreuz (the Rose and the Cross) 04:34
4. Anahata 05:03
5. Il Tempo Degli Dei 05:03
6. One Ring to Rule Them All 07:05
7. Notturno 04:34
8. Prometheus 05:06
9. King Solomon and the 72 Names of God 06:51
10. Yggdrasil 06:00
11. Of Michael the Archangel and Lucifer’s Fall Part II : Codex Nemesis 18:04
a/ Codex Nemesis Alpha Omega
b/ Symphonia Ignis Divinus (the Quantum Gate Revealed)
c/ The Astral Convergence
d/ The Divine Fire of the Archangel
e/ Of Psyche and Archetypes (System Overloaded)
Bonustrack (Digipack Edition)
12. Thundersteel (Cinematic Version)
Total playing time 1:09:36

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Luca Turilli's Rhapsody


Chronique @ edenswordrummer

23 Juin 2015

Prometheus n'est autre qu'un détour sur un parcours semé d'embûches...

Lorsque l'envie d'amener son art à son apogée se manifeste, il en résulte un intense désir d'indépendance. Luca Turilli, principal fondateur et compositeur du groupe Rhapsody (of fire), éminent inventeur du Hollywood Metal, possède cet intense désir de toujours repousser les limites de sa création. Après la scission du groupe des géniaux Italiens en deux entités : Rhapsody of fire et Luca Turilli's Rhapsody, les fans ne furent pas divisés pour autant. D'un côté, Rhapsody of fire, avec son Dark Wings Of Steel, orienta tous les regards vers la formation du guitariste qui, muni de son Ascending to Infinity présenta une musique plus ambitieuse et colossale que jamais. Le roi Turilli régnait sur le Power Symphonique, et toutes ses ouailles guettaient avidement l'horizon lors de l'annonce de Prometheus. Il faut aussi préciser que l'événement se fit attendre. Annoncée en 2014, la sortie de l'album fut décalée d'une année entière, tandis que le guitariste promettait une musique ambitieuse, cinématographique, dramatique, épique et profonde. L'excitation était à son comble, jusqu'au jour fatidique où deux titres furent dévoilés...

"Rosenkreuz" et "Prometheus" eurent l'incroyable pouvoir de faire disparaître toute curiosité et toute attente. En effet, les deux titres, bien qu'académiquement parfaits et sans anicroches, font preuve d'une platitude extrême et rarement entendue chez le génial Italien. Alessandro s'enferme dans des aigus lassants et redondants pour porter des refrains certes, très bien composés, mais bourrés de gimmicks façon Turilli. La rythmique est soporifique, la batterie enchaîne des breaks aussi passifs et convenus que dans Dark Wings Of Steel, tandis que la guitare est quasiment absente, se contentant de battre avec mollesse la mesure.
Bien sûr, le travail accompli au niveau orchestral est déroutant de professionnalisme et la puissance et l'efficacité déferlent parfois dans nos oreilles, comme sur la fin du refrain de "Prometheus", par exemple, où les arrangements prennent une ampleur rarement entendue. Mais, la plupart du temps, les symphonies se contentent d'amplifier les lignes de chants, comme pour cacher l'inspiration défectueuse sous des tonnes de cuivres, de choeurs et d'arrangements électroniques.

Ainsi, à la sortie de Prometheus, en ce mois de juin, les fans se pincent les lèvres d'appréhension. Que nous reste-t-il à espérer du nouveau méfait du guitariste ? En principe, beaucoup de choses : Une coopération avec l'orchestre symphonique Cappelen Orchestra and Choir, comme au temps de Symphony Of Enchanted Lands 2. Des invités comme Ralf Scheepers (Primal Fear), Dan Lucas (Karo) et David Readman (Pink Cream 69), 7 mois de composition, 3 mois de production, 50 jours de mixage... Bref, des tonnes de promesses, mais dans les faits...

Dans l'ensemble, on a affaire à un Power Symphonique façon Turilli extrêmement ambitieux, à l'espace sonore encore plus chargé que dans le précédent album. Mais il semblerait que l'ambition se soit faite au détriment de l'inspiration. Prenons comme exemple "King Solomon And The 72 Names Of God". Le titre du morceau nous promet un intense voyage dans les contrées du Hollywood Metal ambitieux, épique, percutant, intense et agressif, comme lors de l'âge d'or de Rhapsody of Fire. Pourtant, c'est un titre aux atmosphères orientales mille et une fois convenues : chant féminin suraigu, riff chirurgical, guitare sèche lointaine, chant mystérieux...

Bien sûr, dans les faits, nous sommes encore face à un Symphonique de haute volée, mais affreusement académique. Chaque chose est à sa place, ne se permettant aucun débordement, tant et si bien que l'on se demande si le mot "metal" a encore sa place. Comme au temps de "Triumph Or Agony".
Il en est de même pour le morceau d'ouverture "Il Cogno Nero". Le talent du guitariste pour composer des riffs d'une précision extrême semble avoir été définitivement rangé au placard, au profit de parties orchestrales d'un grand niveau d'exigence, mais portées par une guitare déprimante de neutralité. Même si, encore une fois, la magie peut saisir une partie des auditeurs, tant les lignes vocales peuvent être poignantes.

Pire encore, parfois, la musique peut se montrer plate, molle, mais aussi affreusement niaise. "Il Tempo Degli Dei", qui s'axe autour d'un travail orchestral et vocal en béton s'imposera comme le titre le plus dispensable jamais composé par la formation. La guitare se contente de vulgaires offensives, et le refrain est sucré à s'en détruire les dents. Les stratagèmes du guitariste pour sauver la misère à coups de tours de violons et d'imposantes chorales ne prennent plus sur un air aussi indigne de son talent (désespérant lorsque l'on se rappelle que le bonhomme est l'auteur d'un certain "Reign Of Terror"...).

Que nous reste t-il à se mettre sous la dent ? Que le lecteur se rassure partiellement, Prometheus se propose de nous livrer deux titres d'un niveau d'originalité astronomique : "One Ring To Rule Them All" comptant les épopées de l'Univers de Tolkkien, et "Yggdrasil", le célèbre arbre où s'est pendu le Dieu scandinave Odin par curiosité sur la vie et la mort des mortels.
Le premier cerne avec maestria le côté sombre, enchanteur et poétique du monde du célèbre écrivain britannique. Après un "My precious..." murmuré par une étrange voix (oui, ça, on s'y attendait), une introduction magistrale suivie d'un chant enchanteur met nos sens en ébullition. Un pré-refrain purement vocal achève de nous renverser de notre chaise, tant le niveau technique est élevé, et tant on devine le travail en studio qui a dû être cauchemardesque. Le reste sera une succession plus que cohérente d'envolées orchestrales immersives à souhait, de ponts vocaux charmeurs et de solos qui rappellent le bon vieux temps...
Le second opte pour une introduction envoûtante aux violons qui se montrent enfin communicatifs et qui accomplissent un travail de symbiose parfait avec les guitares, belles et bien présentes cette fois. Les mélodies transportent la magie des anciennes oeuvres du guitariste, et l'auditeur retrouve enfin les frissons tant désirés, et toujours ces solos, dignes de "The Frozen Tears Of Angels". On notera un refrain final qui nous évoquera "Clash Of The Titans" et qui posera la cerise sur le gâteau d'un titre de haute, très haute, volée.

On touche à la fin, mais nul doute que le lecteur trépigne d'impatience pour un petit aperçu du titre épique final : "Of Michael The Archangel And Lucifer's Fall part 2 : Codex Nemesis" (oui, c'est juste le titre). Continuité logique du titre final de l'album précédent (vous m'épargnerez la peine de l'écrire, c'est le même), le morceau nous propose 18 minutes de pur bonheur. Sans surpasser ou être surpassé par son prédécesseur, il en est la parfaite suite. Reprenant la même recette, sans sombrer une seconde dans la facilité, il nous balade par divers changements de rythmes et d'atmosphères. Inutile de dire que ce serait pure hérésie que de tenter de décrire pareille pièce d'orfèvre. L'auditeur aura au moins le soulagement de constater que le génial guitariste a gardé son talent pour composer des morceaux aussi longs que prenants.

Ma besogne touche à sa fin. Concrètement, que penser de ce Prometheus ? Dans l'ensemble, Luca Turilli est un homme voyant toujours plus loin que ses limites. Il y a dans sa musique une furieuse ambition, une irrépressible envie de transcender son art. Malheureusement, ce ne sera pas pour cette fois. Même si tous les moyens et les efforts consentis ont été mis au service de l'album, l'ambition et la détermination ne peuvent, à elles seules, nous satisfaire. Trop académique, bourré de gimmicks, et faisant parfois abstraction du metal au profit d'une grandiloquence à la grandeur rarement atteinte, l'album peut décevoir comme il peut subjuguer, à l'image de "Triumph Or Agony". Ce n'est pas pour autant que l'avenir de Luca Turilli's Rhapsody est en péril, car Prometheus n'est autre qu'un détour sur un parcours semé d'embûches. Egarement ou raccourcis, ça, l'avenir nous le dira...

27 Commentaires

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edenswordrummer - 27 Juin 2015: Le coup du message mathématique caché dans Prometheus, je n'étais pas au courant, j'irai voir :) Après, message ou pas message, les subtilités de ce genre n'influenceront pas mon barème. Il y a un livre qui s'appel "la disparition" et qui a le mérite d'avoir été écrit sans que la lettre "e" apparaisse. Même si c'est un exploit littéraire, je le trouve chiant à souhait :)
Legba - 28 Juin 2015: Certes, et malheureusement vu que la musique de Turilli quand on y réfléchit passe par nombres d'influences (Classique, Metal, BO, Folk, Electro) Faire un album où toutes ces influences parviendraient à s’exprimer à plein régime en même temps...Déjà le résultat serrait génial, ensuite je crois qu'il n'y à qu'a ce moment là qu'il arrivera à faire un album qui puisse ravir tout ses fans...^^
Ha je n'avais pas la prétention de changer ton barème je pense qu'il a été murement réfléchi, et oui un concept intéressant peut donner un résultat chiant, (Je connais très bien ce livre je l'ai lu dans le cadre de mes études et j'ai découvert qu'il y avait quelque chose entre l'ennui et la mort^^) j’exprimais juste l'idée que si cet album est de certains points de vue inférieur à ce que Turilli à fait par le passé il est aussi d’une grande compléxité a tout points de vue et que c'était ce qui me fascinait dans cet album.^^
edenswordrummer - 28 Juin 2015: Luca fais de la musique qui penche toujours d'un côté ou d'un autre, l'équilibre est souvent assez rare. Et peut être qu'il ne recherche pas l'équilibre, mais le couillu, l'ambitieux. Mais pour moi, il y a ambition et inspiration, les deux doivent se mêler, car l'ambition seule ne donne qu'un gros bide :) On est d'accord pour ce livre, je me doute que tu ne souhaites pas me faire changer mon barème, tu me fais juste comprendre que cette musique est encore plus ambitieuse que l'on pourrait le croire. Mais bon, ça reste de l'ambition démesurément grande par rapport a l'inspiration
xul64 - 04 Août 2015: C'est un peu le même syndrome que Dimmu Borgir , même si la qualité est indiscutable il manque peut-être un supplément d'âme et ici effectivement des guitares plus présentes.Après on est quand même dans quelque chose de très travaillé qui plaira à beaucoup.
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Chronique @ tigrex_noir

28 Septembre 2016

Album remarquable par sa créativité musicale mais pourtant bien trop complexe pour les médias...

En 2012, Luca Turilli (papa de Rhapsody) a frappé le monde du Metal Symphonique avec son tout nouveau projet musical se situant comme la suite directe de la saga Rhapsody (of Fire) qui s'était démarquée les 15 dernières années avec deux sagas magistrales, dont chacun de leurs albums a remué le domaine du Power Metal.

Cette nouvelle entité reprend le même logo du groupe avec des anciens et nouveaux membres. Alex Staropoli (l'autre papa de Rhapsody) garde le tire « Of Fire » tandis que Luca garde le label Nuclear Blast… Je sais, cette histoire est très complexe, même pour les fans. Donc inutile de vous en dire plus au risque de rendre la lecture de cette chronique indigeste. Entrons directement dans le vif du sujet : Luca Turilli's Rhapsody est le chef-d'oeuvre trilogique du maestro italien Luca Turilli, un des piliers du Metal Symphonique. Le groupe propose par le biais d'une trilogie d'albums une redéfinition du Cinematic Metal sur le fond d'un univers lyrique très fort centré en une vision post-apocalyptique de notre monde humain. En août 2015 sort le deuxième album de cette trilogie, « Prometheus -Symphonia Ignis Divinus- ». Album remarquable par sa créativité musicale, mais pourtant bien trop complexe pour les médias et auditeurs, ce qui l'a rapidement plongé dans l'oubli, étouffé par d'autres sorties bien plus attendues et plus accessibles (Nightwish, Iron Maiden, Ghost…).

Luca Turilli a toujours écrit des textes complexes malgré les critiques lui reprochant de faire de la musique trop grandiloquente donnant ainsi une identité « kitchies » à certains de ses morceaux. Et dans ce monde où l'auditeur vomit sur les textes sous prétexte que la musique ne doit rester que musicale et non littéraire, il arrive souvent que la plupart des albums soient trop rapidement jugés à tort et oubliés sans que l'on s'y intéresse -littérairement- pleinement. Car « Prometheus » est autant un chef-d'oeuvre musical que littéraire. Les textes sont truffés de références philosophiques, mythologiques et surtout spirituelles. Chaque morceau est un enseignement illustré par une titanesque production musicale. Le tout concentré en une trilogie d'albums concepts dessinant notre monde dans une ambiance post-apocalyptique.

Le premier album de cette trilogie était une forme de réécriture du mythe de l'Atlantide duquel est tiré cet enseignement classique, comme quoi l'humain ne peut surpasser Dieu au risque de déclencher le pire des chaos. Dans « Prometheus -Symphonia Ignis Divinus- », c'est bien plus complexe. Tout d'abord, nous n'avons que trois morceaux (sur les onze que propose l'album) qui constituent le concept de l'album. C'est peu, surtout quand ces morceaux sont radins niveau texte. En effet, les références sont bien trop nombreuses et situées. Pour comprendre pleinement le concept, il est nécessaire de lire certains ouvrages dont quelques uns ne sont même pas traduits en français tellement ils sont rares… On ne peut pas dire que cela est un problème en soi car la musique est toujours là, si grandiose et magistrale ! Mais, pour ma part, moi qui ai toujours cette envie d'en découvrir bien plus en lisant les textes, j'avais cette désagréable sensation que cette album ne m'était pas destiné. Terrible pour un fan, hein ?

Néanmoins, l'ambiance sonore est là pour nous éclairer sur l'atmosphère post-apocalyptique de notre monde. Ainsi, dans le morceau final « Of Michael the Archangel and Lucifer's Fall – Part II : Codex Nemesis » (pas radin sur les titres), l'intro nous fait entendre une population en pleine panique, des alarmes d'urgence, des directives de militaires dans des hélicoptères… Bref, Luca nous resitue bien dans un monde au bord du chaos. Mais qu'en est-il du projet « Prometheus » ? Et bien, voici ce que le groupe nous révèle à ce sujet : « Les paroles cryptées du single Prometheus, le morceau le plus important de ce mini concept, représentent la « clé quantique » afin d’en découvrir plus sur le Codex Nemesis, le code des codes, un véritable portail quantique permettant l’accès à la « sagesse du feu divin » (le IGNIS DIVINUS volé par Prometheus pour l’humanité). Une partie du grand secret gardé par les anciens et transmis oralement par les moines tibétains, les Rishis indiens et autres esprits de la lumière ». Dit comme ça, ça peut en effet paraître simple ! Mais lisez les paroles de ce morceau, et vous vous rendrez compte à quel point leur complexité rend le concept quasi inaccessible !

En dehors du concept, les morceaux évoquent principalement la spiritualité, dont le yoga, mais aussi la mythologie avec le grandiose « Yggdrasil » et la littérature avec l'étonnant « One Ring to Rule Them All » et le sublime « Il Cigno Nero ». Si vous désirez en savoir plus sur l'album, lire les paroles et connaître leur signification. J'ai effectué leurs traductions et explications sur le site « La Coccinelle du Net » où vous pourrez découvrir tous les secrets de ce sacré bijou musical.

Depuis toujours, Rhapsody s'est revendiqué de faire avant tout de la musique forte en émotion et en composition de paysages sonores, visuels et lyriques, et « Prometheus » semble échapper à la règle. Car si Rhapsody of Fire demeure dans le manque d'originalité -tout en restant correct- il n'en reste pas moins que le groupe continue à nous peindre ses fabuleux paysages sonores illustrés par la composition musicale merveilleuse, les textes voyageurs et émotionnels, le tout signé par les superbes illustrations de Felipe Machado Franco. Mais Luca s'écarte des paysages pour se concentrer dans l'émotionnel inspiré des ouvrages philosophiques qui l'entourent (« Il Cigno Nero », inspiré du roman philosophique de Nassim Nicholas Taleb, en est un parfait exemple) et ses pratiques du yoga : Bref, sa trilogie met surtout en avant le respect de soi et d'autrui, mais surtout les valeurs de paix et d'amour que transmettent les religions.

Rhapsody a toujours été une invitation au Voyage Musical sous toutes ses formes, et si Luca Turilli's Rhapsody prend une direction plus spirituelle que ses confrères de Rhapsody of Fire, les deux groupes avancent parallèlement sur cette même voie depuis plus de 20 années de carrière musicale. Nous écoutons du Rhapsody pour découvrir des histoires par le biais de descriptions de paysages, car, à l'inverse de la plupart des groupes où nous sommes généralement libres d'interpréter les morceaux ainsi que notre propre paysage musical, Rhapsody se base sur des univers déjà écrits (Mythologie, religion, sagas fantastiques…) mais présente ces histoires, ces sujets en peignant leur vision de ces paysages desquels proviennent ces histoires.

C'est ainsi que nous jouons le rôle de voyageur, témoin des couleurs changeantes des mondes, de leurs peines et joies. Mais nous ne voyons aucun personnage, aucune bataille, aucune quête, seulement des vastes terres et mers…

Luca Turilli :

« Cet album, une fois encore, est dédié à toutes ces personnes vivant sur notre planète avec un grand respect envers eux-mêmes. Pour Mère Nature et le don suprême de la vie. Il a été conçu pour être un testament d’amour pur pour les chers anges et toutes les entités illuminant notre existence au nom de la lumière divine. Ils sont et seront ma source d’inspiration infinie pour toujours, les glorieux gardiens des plus grands secrets spirituels. Yeux doux, mais d’une essence spirituelle primordiale filtrée par la sagesse sacrée des anciens. »

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Op467 - 30 Septembre 2016: J ai le même ressenti pour cette oeuvre 17/20
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