Acrimony - Hymn to the Stone (1994)
Acrimony - Tumuli Shroomarrom (1997)
Groupe du Pays de Galles qui après des débuts doom/death sort ces 2 albums dans une veine stoner/doom pour le 1er (et encore pour le doom, c'est plus le côté mou) et carrément stoner/psyché/space pour le 2nd. Ce dernier est pour moi un classique avec son énergie qui a le feu sacré.
Slo Burn - Amusing the amazing (1997)
On ne présente plus ce groupe éphémère de John Garcia, musicalement à l'intermédiaire de Kyuss (en moins expé) et de Unida (en moins "extrême"). Du tout bon bien trop court.
Clutch - Strange cousins from the west
petit retour en arrière avec ce bon petit cru. Un album plus posé , plus calme, plus bluesy, bien tranquille. Pas de titres qui sortent forcément du lot par rapport à d autres albums mais c est de la bonne came.
Yuri Gagarin - At the Center of All Infinity (2015)
C'est suédois, ça joue du Stoner très orienté Space Rock, très psychédélique dans les ambiances. Y'a aussi des putains de soli qui viennent illuminer le tout (The New Order, At the Center of All Infinity, Oblivion qui clôture magnifiquement l'album), pas de voix pour tout gâcher. Je suis loin d'être un connaisseur du genre, mais c'est une superbe découverte que je viens de faire. Achat obligatoire.
Primitive Man - caustic (2017)
Plus varié au niveau tempo que le précédent (un peu plus de parties rapides) mais le reste est encore plus lent, plus lourd : monstrueux, ecrassant, étouffant, suffocant.
Crobot - Something Supernatural (2014)
Un premier album plus que correcte aux influences bien digérées de Kyuss, Clutch et Queen of the Stone Age, constitué de titres certes évidents, voire redondant, mais heureusement sauvé par les excellents " Legend of the Spaceborne Killer", "Night of the Sacrifice", "Nowhere To Hide" et "Chupacabra" entre autres.
Lowbau - a darker shades of blues
voila un petit album bien comme il faut. Voix grasse, son gras , un bon mélange de Hard Rock / Stoner / blues , des bonnes compos. Dommage que ce groupe n' ait pas donné d' autres albums, car ce début était prometteur.
Philip H. Anselmo and The Illegals - Choosing mental illness as a virtue (2018)
Un album à l'image de sa pochette, totalement effrayant !
Un lit de grosses guitares qui balancent du riff nauséeux, des vocaux hallucinés qui partent dans tous les sens, un chouia de sludge, une pointe de grind, quelques effluves de black ...
Une musique de malades mentaux !