J'ai laissé tomber Shyalalala avec ce film. Je comprends pas l'intérêt porté à ce tâcheron.

Split suivi de Glass (avec une grosse préférence pour ce dernier, mais l'un ne va pas sans l'autre) c'est pas pire franchement. Les grosses déceptions pour moi sont Signes (ouai tout ça pour ça, autant regarder un film des années60 façon dernière séance) et ce Village qu'apporte rien au schmiblick.

Le dernier maitre de l'air j'avais bie aimé, rien d'exceptionnelmais l'univers décrit me plaisait bien. Le truc avec Marc Walberg et les gens qui se sucident m'avait lui vraiment plus.

APrès dire que c'est le réalisateur du siècle, loin s'en faut ma pauvre dame, un bon tacheron honnête pour moi

j'aime pas sa façon de faire monter la pression pour la laisser retomber comme un soufflet et se farcir une fin souvent foireuse.....................

pour moi ce mec sait faire du cinoche mais tape grand public par facilité ou pour faire du fric.......................je trouve que c'est du gachis.

Quand je sort de la salle j'ai l'impression de m'être fait fourrer et j'aime pas.

Les Moines lanciers du temple Hozoin 1962

Second film de la saga Miyamoto. Je n'en avais plus aucun souvenir précis. Donc le voilà érudit après 3 ans de lecture dans une pièce obscure et il part à la recherche de lames capable de l'égaler. Bon ça c'est un peu dommage, qu'il soit si fort sans nous avoir jamais montré un quelconque entrainement. En revanche son premier combat seras plus mental que physique, le chemin est encore long pour lui.

Vraiment très beau, c'est très agréable de suivre son périple dans les contrés du Japon, les petits quartiers reconstitué et si la gentillesse était vraiment comme ça avant bah putain c'est bien dommage qu'on soit parti en couille après. De nos jours ça nous viendrais même pas à l'esprit de lever les yeux, regarder la personne qui passe a côté de nous, lui sourire et lui dire bonjour. Ou de s'arrête et d'aider une personne qui a l'aire de chercher quelque chose.

Je t'assure qu'au Japon c'est aujourd'hui encore comme tu le décris. T'as l'impression d'être chez les bisounours, c'est tellement agréable : pas d'antivols dans les boutiques ni sur les vélos, le gus t'amene à l'endroit ou tu souhaites aller même s'il faisait autre chose,,,, J'ai 1000 exemples... une gentillesse parfois limite gênante. On n'est plus habitués. 

LeMoustre dit : Je t'assure qu'au Japon c'est aujourd'hui encore comme tu le décris. T'as l'impression d'être chez les bisounours, c'est tellement agréable : pas d'antivols dans les boutiques ni sur les vélos, le gus t'amene à l'endroit ou tu souhaites aller même s'il faisait autre chose,,,, J'ai 1000 exemples... une gentillesse parfois limite gênante. On n'est plus habitués. 

Faudra vraiment que j'y aille un jour.

The Shawshank Redemption - Frank Darabont - 1994

Synospsis d'Allociné :
En 1947, Andy Dufresne, un jeune banquier, est condamné à la prison à vie pour le meurtre de sa femme et de son amant. Ayant beau clamer son innocence, il est emprisonné à Shawshank, le pénitencier le plus sévère de l'Etat du Maine. Il y fait la rencontre de Red, un Noir désabusé, détenu depuis vingt ans. Commence alors une grande histoire d'amitié entre les deux hommes...

Une belle histoire d'amitié dans cet univers carcéral impitoyable. Morgan Freeman y est encore magistral, la grande classe ce monsieur.

Baby Cart 3 Dans La Terre De l'Ombre 1972

Je reprend, j'avais un soucis avec celui ci au niveau des sous titres.

Dans celui ci on va un peu plus loin encore dans le délire du "berceau" et le combat final fait hyper western de part son décors et j'ai repensé direct au Viva Django 1968.

vincysteria dit :
The Shawshank Redemption 

Une honte le titre français de ce film...
Revu y'a pas très longtemps, toujours aussi excellent.
Le film à la plus haute note sur imdb si je ne m'abuse.

The Cider House Rules ("L'Oeuvre de Dieu, la Part du Diable", 1999)

Le parcours initiatique de Tobey Maguire, orphelin recueilli par Michael Caine, toubib spécialisé dans les mises au monde d'enfants non-désirés, et donc en charge d'un orphelinat où il pratique également les non-mises au monde d'enfants non-désirés, en toute illégalité.
Une fois grand, le Tobey décide prendre le large avec un bidasse maqué à Chalize Theron, lequel bidasse partira au front puisque nous sommes en 1943.
Le Tobey fera donc un bout de sa vie dans le maréchage de pommes et la fabrique de cidre (d'où le titre), jusqu'au jour où...

J'en dis pas plus, mais bordel j'ai adoré. 'faisait longtemps que je n'avais pas vu un "beau film" comme ça.
Les critiques négatives sur ce film sont principalement du fait que c'est une adaptation, et que le roman de John Irving n'est pas respecté (m'enfin, j'ai toujours entendu / lu que American Psycho et Les Lois de l'attraction c'est du pipi de chat au regard des originaux de Bret Easton Ellis, pour autant ça n'en fait pas du tout des mauvais films, loin s'en faut).
Enfin bref, les 3 acteurs principaux sont tip-top, et tous les gamins qui jouent les orphelins sont extra. Le rythme du film est parfait, ni trop lent ni trop rapide, on rentre dedans direct. Les décors du Massachussets, du Maine et du Vermont sont superbes, et concourrent vraiment à l'ambiance du film. Seul bémol pour moi, une scène finale archi-convenue, mais totalement cohérente avec le deroulement du film. Donc c'est tout pardonné. Pas mal de critiques aussi disant que c'est trop guimauve, musiques gniangniantes, ben j'ai pas trouvé ça du tout "fake" sur le plan émotionnel, au contraire. Y'en a, j'sais pas c'qui leur faut... Moi j'ai fini les yeux presque embués, et ça faisait longtemps qu'un film ne m'avait pas fait ça.

Parasite (2019)

Encore un film génial de Bong Joon Ho, on retrouve ce mélange des genres - qu'on ne sait pas faire chez nous - comme dans The Host, on retrouve l'excellentissime Song Kang Ho (meilleur acteur coréen all-time ?), on retrouve encore une réalisation super fluide et inspirée, un p'tit régal.
Bon par contre, va falloir mettre un peu le hola, c'est pas parce que c'est génial que c'est son meilleur.
C'est quand même bien bien tiré par les cheveux, alors j'veux bien qu'ils allaient pas nous pondre un film de 3 heures, mais toute la phase de "parasitage" avance trop vite, c'est un peu Tintin quoi (pour ceux qui l'ont vu, un truc : le copain du fils qui le rencarde au début vers la "bonne famille", mais bordel j'attendais qu'un truc, c'est qu'il revienne ce gars-là ! Ben non, disparu, oubllié...).
Bon, le dernier tiers du film troue sérieusement le cul tout de même, impossible de ne pas kiffer.
M'enfin bon, Palme d'Or, 4 Oscars dont celui du meilleur film, César du meilleur film étranger, heu moi je l'ai trouvé inférieur à Memories of Murder, voire même aux Misérables pour ce qui est de l'Oscar du film étranger. C'est supérieur à Snowpiercer ça oui. Supérieur à The Host pas tant que ça. J'ai l'impression que y'en a qui ont découvert le ciné coréen la semaine dernière, et surtout que la parabole sociale du film a beaucoup beaucoup joué dans les votes...
A voir quand même, il vaut largement le coup.

  ben moi je découvre un peu le ciné coréen  ( pas a ce point mais pas loin )  alors oui il m'a beaucoup plu ce film......même si parfois comme tu dis ça va un peu vite en besogne, c'est bien emmené, il fait rire sur un sujet grave, y-a des coté gore c'est vraiment pas mal joué. Du coup je note  the host.  ;)