/The%20Last%20in%20Line/The%20Last%20in%20Line.jpg)
Dio - The Last in Line - 1984
Chef d'oeuvre, tout simplement, rien n'est à jeter. Avec la doublette qu'il forme avec Holy Diver, les débuts en soliste de Dio auront marqués l'univers du métal à tout jamais. Chapeau bas.
Chevalier - a call to arms

Un groupe qui intéressera les amateurs de Helloween époque mini LP ("helloween"), des Danois de Steel Inferno, mais aussi de la scène Speed Metal des 80's, un must, vivement la sortie d'un album .
Chevalier - chapitre II (2018)

On reste dans la lignée du mini, avec même un son encore plus cru, mais j'écoute sur bandcamps (branché sur ma sono).
Celtic Frost - vanity / nemesis (1990)

Un album qui n'a rien à voir avec leur début black ou l'experimental "into the pandemonium", ni même avec le Hard Rock métallisé de "cold lake", ici il s'agit d'un Heavy Metal puissant parfois thrashisant (que je n'ai découvert que ces dernières années, mais cette pochette avec ces couleurs me fait triper depuis la sortie du disque en 1990) que je trouve assez sous estimé.
Oui t'as pas tort mais a l'époque le mal était fait et le groupe ne s'est relevé qu'avec son retour du malaise Cold Lake. Certains ont egalement craché sur l'inoubliable Into The Pandémonium.
Visigoth - conqueror's oath (2018)

LeMoustre dit : Certains ont egalement craché sur l'inoubliable Into The Pandémonium.
Perso, je ne crache pas dessus mais c'est juste que j'ai beau tenter d'écouter cet album, je ne le comprends juste pas.
Elvenstorm - the conjuring (2018)
:format(jpeg):mode_rgb():quality(90)/discogs-images/R-12383658-1534165653-9763.jpeg.jpg)
Aucune baisse au niveau intensité et au niveau qualité pour ce troisième album.
Arioch91 dit :LeMoustre dit : Certains ont egalement craché sur l'inoubliable Into The Pandémonium.Perso, je ne crache pas dessus mais c'est juste que j'ai beau tenter d'écouter cet album, je ne le comprends juste pas.
De mon côté, c'est justement parce que c'est incompréhensible et que ça part vraiment dans tous les sens que j'apprécie cet album. Il y a vraiment une sorte de folie constante dans la démarche du groupe, qui a totalement abandonné toute convention et se permet tout et n'importe quoi.
Après, c'est pas le genre de délire auquel tout le monde va accrocher, d'autant plus que je n'irais pas jusqu'à dire que l'album est toujours de bon goût ! 

Roooh ! Il est unique ce disque ! Que du bonheur, et à la croisée de plusieurs naissances de genres. Qui en 1987 avait osé faire ça ? Qui a mélangé deathrock puisé chez Christian Death ("Mesmerized"), pur thrash ("Inner Sanctum", "Babylon Fell"), moments gothiques (le magnifique "Rex Irae", "Sorrows of the Moon"), thrash/doom ("Caress into Oblivion"), le poème déclamé de Baudelaire ? je peux comprendre que ça ait choqué (Noise en premier d'ailleurs), mais avec le recul de 31 ans, c'est pas possible de ne pas pour ses détracteurs d'époque, le reconsidérer.
J'accorde juste le hors sujet pour le morcif (court 2'50") One In Their Pride, mais sinon, je défendrai bec et ongles ce disque ô combien fondateur pour nombre de groupes devenus énormes (Therion en tête).
Tout pareil, sauf que même ce délire Indus sur One in their Pride me choque pas.
Into The Pandemonium, c'est le Celtic sur lequel je reviens le plus souvent. Tellement vaste, tellement bon.