
Amorphis - Eclipse - 2006
Premier album avec Tomi Joutsen et première pépite (comme toute la suite de la disco avec ce fabuleux chanteur). Un album incroyablement riche et puissant avec deux sommets avec les chansons : "House of Sleep" et "The Smoke".

Between the Buried and Me - Automata I (2018)
BTBAM est encore au dessus du game. Un album qui dure environ 35 minutes (seulement) et qui sera suivi d'une deuxième partie à paraître je crois à la fin de l'été 2018. Mais dès cette première partie, les américains font très fort avec les ingrédients qui ont fait leur renommée. S'il est encore bien trop tôt pour savoir si on peut le placer au dessus de son prédécesseur (surtout qu'un avis définitif ne pourra être donné qu'après l'écoute de la deuxième partie), on peut déjà affirmer que Automata sera l'un des albums forts de cette année 2018 en prog extrême. Le riff destructuré de l'énorme Blot, les tessitures de guitares de Millions, la batterie toujours alambiquée et bourrée de détails du monstrueux Blake Richardson, le tout avec une production au poil qui fait la part belle à tous les instruments. Rien n'est à jeter dans cet album, avec la patte du groupe reconnaissable entre mille. Quel bonheur de retrouver ce groupe toujours aussi en forme !!
vincysteria dit :
In Vain - Currents - 2018
En train de l'écouter encore. Les musiciens sont des brutasses. C'est complètement ma came.
T'as écouté son prédécesseur ?
Une fois il me semble... Mais j'ai tellement de trucs à écouter, j'ai pas eu le temps de revenir dessus.
Écouté hier et aujourd'hui :

C'est un tribute album consacré aux géants Rush édité en 96 par Magna Carta. Y a plein d'artistes dedans (Sebastian Bach, Mike Portnoy, James LaBrie, Steve Morse, Eric Martin, James Murphy, Devin Townsend, les membres de Fates Warning, ...).
C'est bourré de bonnes reprises mais je mets un bon cran au-dessus la sublime perf' de Devin Townsend sur Natural Science, un vrai killer ce gars (comme d'hab' quoi) !
Ca m'a pris comme une envie de pisser et depuis, c'est parti pour l'achat des 3 boxsets couvrant les 15 ou 20 premières années du groupe + la bio parue par l'un d'entre nous chez Camion Blanc !
Je boucle la boucle comme on dit car c'est grâce à une K7 qu'on m'a filé en 1984 et qui était bourrée de morceaux de Hard Rock que j'ai plongé dedans. Grâce surtout à deux titres, de purs monuments : La Villa Strangiato et The Trees de qui vous savez ! 

Persefone - Aathma - 2017
C'est massif. Pas forcément simple de bien rentrer dedans. Y'a des plans franchements bons. A réécouter.
Rétrospective de mes albums écoutés cette semaine :



Au programme, les 5 premiers albums studio de Rush couvrant la période 1974-1977. Tant d'évoluition musicale/technique/instrumentale en 3 ans seulement !
Puis l'album Barbares des français de Nemo sorti en 2009 et qui reste leur meilleur album (le morceau L'Armée des Ombres prend toujours autant aux trippes).
Et enfin, le Beware of Darkness de la bande au Spock barbu
. Album datant de 1996 et que je considère là aussi comme leur meilleur, à un poil de barbe tout de même du non moins fabuleux V.
Écoutes récentes :

J'ai adulé ce groupe jusqu'à l'album Snow inclus mais, si le départ de Neal Morse m'avait déjà foutu un bon coup au moral, la sortie de ce Feel Euphoria a enfoncé le clou dans la même direction : le désintérêt pour le groupe.
Je comprend bien que pour Spock's Beard, le départ de leur frontman devait être compensé par quelque chose de neuf, un truc qui booste, qui les rendent différents mais bon... Les grattes sont un peu trop mordantes/présentes sur cet album. J'ai beau être accroc au Metal, Spock's Beard n'en est pas. Pis Nick D'Virgilio au chant, dès le titre d'ouverture Onomatopoeia, j'accroche pas.
Là, j'ai voulu redonner une chance à cet album. Rien à faire, au suivant !

Là encore, un album que j'ai boudé à sa sortie mais pour des raisons différentes. Clairement, c'est sur cet album que je me suis vraiment dit que Spock's Beard sans Neal Morse, ce n'était plus Spock's Beard (et pareil pour Neal Morse et sa carrière solo). L'album a beau marquer un retour stylistique pre-Feel Euphoria, la mayonnaise ne prend pas.
Et là aussi, malgré une écoute en mode "repêchage" ce week end, bof.

Si c'est à partir de cet album que les canadiens commencent à s'orienter vers le Hard FM, ils n'en demeurent pas moins ancré dans leur ancien monde baigné de progressif. Rien que pour Natural Science, cet album est un must.