Fear Factory - La Loco 2006

the Niedziela 30 Kwiecień 2006, Paris



Zuul FX

Que voilà une petite affiche fort sympathique pour un dimanche soir, veille de 1 mai. En effet rien de moins que le retour dans notre belle capitale de Fear Factory. Bien que le dernier album ne soit pas forcement à la hauteur du talent du gang de Burton C. Bell, cela réchauffe toujours le cœur des fans de les retrouver sur scène. Mais avant cela nous avons le droit a Misery Index, groupe né de Dying Fetus et à Zuul Fx, qui s’est rajouté à la dernière minute.

C’est toujours un grand plaisir de retrouver Steeve et ses compères. Surtout que cette date est l’occasion pour le groupe de nous présenter le remplaçant de Blast parti sous d’autres cieux, Karim. Disposant de light impeccable et d’un son correcte le groupe déboule sur la scène de la Loco pour « foutre un putain de bordel », Steeve tenant parole en arborant une coupe digne du chanteur d’Indochine.
Revenons à nos moutons et même si je commence à avoir vu Zuul Fx un bon nombre de fois, je ne me lasserai jamais du show. Notre nouvel ami Karim a la classe (dread et headbanging a gogo) et même si ce n’est pas parfait, on n’en est pas loin ; mais vraiment pas. Steeve est très en forme et visiblement décidé a faire oublier le show tronqué du mois de fevrier avec Ill Nino. Le public se montre réceptif surtout quand vient le moment de « I 8 U », hymne mainte fois scandé par les fans en présence (dont moi). Tous les classiques du groupe passeront sur scène et l’excellent « Cabal » reste une véritable tuerie en live.
Non content de nous présenter Karim, le groupe nous proposa une nouvelle compos de l’album à venir, et croyez moi ça va déboîter dans les règle de l’art.
Pari réussi pour le groupe qui nous a offert une prestation de grande qualité, Karim étant un véritable plus pour le groupe.

Misery Index

Nous retrouvons donc après Zuul Fx, Misery Index qui va avoir fort à faire. Des bruits de couloirs disaient qu’il avait presque réussi à voler la vedette à Fear Factory la veille à Montpellier, je demande à voir. Le groupe n’ayant pas eu de balance dans la journée, il faut vite vite accorder tout ça. Je suis étonné de voir que le groupe n’a pas de roadies mais bon…. Mais le plus surprenant c’est que le groupe enchaîne directement sans « entré dans le noir » ou autre. Brute de décoffrage quoi.
Le son est plutôt passable et c’est dommage car le groupe fait preuve d’une attitude exemplaire sur scène et ce en dépit des co….. de Slammeurs qui n’ont pas rendu la vie facile au groupe. En effet quand on tient une basse c’est dur de remonter son micro, et pourquoi rester sur scène avec un combi+masque à gaz pendant tout un titre.
Son bof bof, slammeurs, une soirée à oublié pour le groupe. Les néophytes n’ont pas pu profité des excellente compos des deux derniers albums. Seuls les initiés ont pu profiter pleinement de cette prestation. Dommage.
Après une quarantaine de minutes le groupe cède sa place au mettre de la soirée Fear Factory

Fear Factory

Quoi de mieux pour se chauffer la voix qu’un petit Iron Maiden, je vous le demande. C’est donc sur un mythe du groupe et un light show des plus appréciable que commence le concert. Avant le concert beaucoup d’interrogations portaient sur le frontman du groupe dont la dernière prestation parisienne avait plus que laissé a désiré. Les deux premiers titres n’ont pas rassuré grand monde. On va dire que c’est mieux de massacrer deux titres de Transgression que d’un autre album….. (Oh la mauvaise langue)
Le reste du show sera une autre paire de manches, Burton retrouvant toutes ses facultés au chant. Etant le seul à la ramasse ne ce début de concert, sa mise en route permis au groupe de prendre toute son ampleur. Chapeau bas car ils n’ont fait au moins un titre de chaque album. Mention spéciale aux titres d’ Obsolete qui sont énormes. On a même le droit à un « Pisschrist » ressorti de derrière les fagots. Le public étant plus que réceptif à cette attention. Je vais refaire mon rabat joie mais ce n’est pas grave. Pourquoi les gens s’entêtent ils à vouloir monter sur scène après leur slams. C’est l’occasion pour Burton et Christian de montrer leur qualité de videurs de boîte. Pas déconcentré pour un sous les deux compères tiennent la barque Fear Factory de main de maître. Et que dire de Raymond qui envoie comme un monstre derrière ses fûts. Son jeu est vraiment d’une grande qualité. Le quatuor est vraiment à la fête ce soir.
LA soirée passe a 200 à l’heure et juste le temps d’un super « Nothing To Say Matters To Us!!!! ».
Tiens tiens mais qu’est que c’est que ce petit riff qui sent le Jack Daniels ? Ne serait-ce pas « WALK » et si petit dédicace du groupe au très regretté Dimebag… Une pure folie..

Malheureusement pour moi c’est l’heure de partir, j’ai manqué le mythique Replica et surtout la performance de Burton qui chanta a cappella « Timelessness », dommage pour moi. Normalement ce titre est en sample mais là ça devait être divin.

Une excellente soirée qui réconcilia Paris et Fear Factory, Paris et Zuul Fx et qui même si le son était moyen permis de prendre la mesure du groupe de Jason Netherton.

En un mot la classe !!!!!!!!

0 Komentarz

0 Like

Udostępnij
    Musisz być użytkownikiem tej strony aby dodać komentarz

Zuul FX

Industrial Death - France
Zobacz więcej

Misery Index

Death Grind - USA
Zobacz więcej

Fear Factory

Industrial Metal - USA
Zobacz więcej