Watcha : Phénix

Nu Metal / France
(2005 - Columbia Records / Sony Music)
Saber más

Las palabras


Lâche

Je ne pensais pas descendre plus bas que ça,
j'ai perdu la face.Comment dormir quand ton silence me déchire.
T'as forcément envie d'hurler ta rage
puis tourner la page.
Et tu restes là et pardonnes mes faux-pas.
Mais sache que mes remords me hantent sans cesse.
Mais sache que je me terre et cache de tout,
je suis un lâche.
J'esquive d'un geste mes maladresses et trace,
Dieu qu' je me déteste.
Je porte ma croix, mon fardeau pèse et m'écrase d'un KO sur place.
Et tu restes là et pardonnes mes faux-pas.
Mais sache que mes remords me hantent sans cesse.
Mais sache que je me terre et cache de tout,
je suis un lâche. Mais sache que je me terre et je suis un lâche.
Je n' pensais pas descendre plus bas que çà

Je t'emmène

Regarde là où je t'emmène, loin de ta prison d'orée,
Où tout a été fait pour maquiller tes chaînes.
L'illusion de posséder, fait tourner tous les cerveaux
Et l'idée de tout perdre, nous rend tous paranos.
Mais pourtant, ne vois-tu pas que l'important
N'est pas ce qu'on a.
Si l'argent dirige nos pas, on part tout droit
Vers un monde étroit, qui n'a pas de place pour moi.
Cette vie nous enferme, nous aveugle à court terme,
Cette nuit, je t'emmène en dehors du système.
Toute une vie en esclavage, sans jamais s'en apercevoir,
Sans jamais concevoir, que c'est un engrenage
Et la liberté se mesure à la superficie des murs.
Au-delà de ça, rien ne nous rassure, c'est sûr.
Mais pourtant, ne vois-tu pas que l'important
N'est pas ce qu'on a.
Si l'argent dirige nos pas, ça ne pardonne pas
Je t'emmène avec moi.

La guerre des nerfs

Ma bonne humeur est restée encore couchée.
Aujourd'hui c‘n'est pas le jour pour me chercher.
Va falloir prendre des pincettes pour me parler.
Décoder tous mes presets pour me calmer.
C'est la guerre des nerfs alors qui opère sur mes nerfs.
Y a toujours des jours comme ça où tout va de travers.
Réflexe, d'autodéfense face au monde qui m'entoure
Réflexe, et c'est la guerre des nerfs.
Réflexe, d'autodéfense face au monde qui m'entoure
Réflexe, et ça me fout en l'air.
C'est la guerre des nerfs alors qui opère sur mes nerfs.
Y a toujours des jours comme ça où tout va de travers.
La rage remplace le langage alors je crie.
Les nerfs me lâchent et je perds ma sympathie.
Évitons les choses qui fâchent, je te le dis.
La guerre des nerfs, le clash dans mon ésprit.
C'est la guerre des nerfs alors qui opère sur mes nerfs.
Y a toujours des jours comme ça où tout va de travers.
Réflexe, d'autodéfense face au monde qui m'entoure
Réflexe, et c'est la guerre des nerfs.
Réflexe, d'autodéfense face au monde qui m'entoure
Réflexe, et ça me fout en l'air.
J'évite de partager tous mes états d'âme.
Je prends sur moi pour ne pas créer un drame.
Encore une journée passée proche de l'enfer.
Je sens l'électricité peser dans l'air.
La guerre des nerfs l'enfer.

Un jour

Un jour, on se lève, sali par le temps,
et un jour on' se réveille en se demandant,
si les choix qu'on a faits, si les chemins empruntés
étaient les plus sensés, étaient les mieux tracés.
Les pourquoi les comment, tant de questions en suspend,
qui enfin démêlées m'aident à me retrouver.
Seul avec mes armes et avec mes mots, je redémarre.
Il est temps de tout reprendre a zéro
Seul avec mon âme et avec ses mots mieux dans ma peau
Un jour, on se lève en réalisant,
qu'on ne vit pas dans un rêve éternel et brillant.
Même dans les pires moments, on apprend au fil du temps,
que chaque chose a un sens même dans notre souffrance.
Et un jour, je me lève
Seul avec mes armes et avec mes mots, je redémarre.
Il est temps de tout reprendre a zéro.
Seul avec mon âme et avec ses mots mieux dans ma peau
Il est temps de tout reprendre a zéro.
Dans chacune de mes phases je comble mes failles.
C'est ma seule délivrance, ma renaissance.
Un jour, on se lève, sali par le temps,
et un jour on s'éveille en étant conscient.
Seul avec mes armes et avec mes mots, je redémarre.
Il est temps de tout reprendre a zéro
Seul avec mes armes avec mes mots, je repart a zéro
Seul sans état d'âme et sans fardeaux, je repart a zéro
Un jour, on se lève…

Plus de messages

Je te parle mais tu n' m'entends pas,
tu me parles mais je n'entends rien
et pourtant les mots sont là,
tu vois ou pas ?
Quand l'incompréhension reste
tout devient si indigeste.
Quand les portes se referment
à double tour.
Chaque parole est interprétée
de façon à se détester.
Ça nous joue de mauvais tours,
de mauvais tours.
Un dialogue de sourd s'installe,
se développe et s'étale.
J'ai beau combler les écarts,
mais la distance est trop grande
pour t'apercevoir.
J'ai tout essayé, tous les langages,
sans abandonner y'a plus d' messages.
J'ai tout essayé, tous les langages,
sans abandonner y'a plus d' messages
J'ai toujours tant de mal à comprendre,
peux-tu traduire toutes tes demandes.
J'aimerais lire dans ton cœur
pour chasser tes peurs.
Dis moi comment tout partager
quand l'amour reste figé,
devant ce mur de silence
lourd et intense.
J'ai tout essayé, tous les langages,
sans abandonner y'a plus d' messages.
J'ai tout essayé, tous les langages,
au bout du compte, y'a plus d' messages.

Planète

Il faut moins d'une vie pour voir ce que l'on sème
Partout on pervertit notre existence voilà le problème
On se croit fort, on se voit au-dessus de tout
Même au-dessus des lois.
Notre vision de l'univers s'arrête hélas à nos portes.
Le reste peu importe, si la planète est moins forte,
car seul notre petit monde nous suffit nous conforte.
Personne ne frissonne et ne s'étonne
encore de voir la planète qui déconne.
Personne ne frissonne et ne s'étonne
de voir la terre en colère qui sanctionne.
On voit de l'avenir rien que nos intérêts.
Égoïste devenir pour notre terre qui meurt d'un cancer,
effet de serre, pollution.
Nous avançons droit vers notre destruction. ?
Le pire est de savoir de voir autour et de laisser faire,
laisser les autres agir pour ralentir la chute en enfer
des hommes. Y' a t'il un sérum qui soigne un minimum ?
Regarder à court terme, poursuivre son chemin
Regarder à court terme, c'est déjà notre fin
La planète sature, fucker !
Y a-t-il un futur ? fucker ! fucker !
Personne, ne frissonne et ne s'étonne,
encore, de voir la planète qui déconne.
Qui déconne, qui s'étonne ? qui s'étonne ?
Qui frissonne ? qui frissonne ?
Il n'y a plus personne, plus personne.
Les hommes déforment, transforment,
se prennent souvent pour des surhommes,
pour des surhommes.
Personne, ne voit la planète qui déconne.

Même l'amour n'évite pas la mort

J'n' ai plus le courage d'affronter ces leurres.
J' m'enferme dans ma cage évitant le bonheur.
Je préfère les orages à ces beaux mirages.
À force d'échecs et de douleurs, j'adhère au malheur,
a force de traîner ma rancoeur, je meurs
Je sais que rien ne dure éternellement.
Pourquoi me battre alors que tout fout le camp.
Rien de ce qui m'entoure n' résiste au temps
J'aimerais pourtant y croire mais je vois noir dans ma tête.
Même l'amour n'évite pas la mort.
Quand l'espérance devient souffrance je m'enfuis
Même l'amour n'évite pas la mort
J'entends que l'on tend vers une vie meilleure.
Ma quête du bonheur n'est que larmes et peurs.
À force d'échecs et de douleurs, j'adhère au malheur,
a force de traîner ma rancoeur, je meurs
Je sais que rien ne dure éternellement.
Pourquoi me battre alors que tout fout le camp.
Rien de ce qui m'entoure n' résiste au temps.
J'aimerais pourtant y croire mais je vois noir dans ma tête.
Même l'amour n'évite pas la mort
Quand l'espérance devient souffrance je m'enfuis
Même l'amour n'évite pas la mort
J'ai plus la force d'essayer encore
J'ai plus la force, j'aimerais y croire
mis je vois noir dans ma tête.
Même l'amour n'évite pas la mort.
Quand l'espérance devient souffrance je m'enfuis
Même l'amour n'évite pas la mort.

Plus fort

Encore plus fort encore WATCHA !
Plus fort je crie plus fort pour que ces putains de portes
s'ouvrent au Hardcore. Encore plus fort bien plus fort.
Barge, on nous traite de barge comment rester sage ?
Quand l'ignorance nous met en marge.
Nous enferme dans des cages pour pas ternir leur image.
La tendance se cale se colle sur ces écoles qui rêvent d'idoles.
Pas d' rock n roll ni de bémol, restez donc dans le protocole.
Plus fort je crie plus fort pour que ces putains de portes
s'ouvrent au Hardcore. Encore plus fort bien plus fort.
L'art ne recherche pas la gloire comment peut on croire
que les médias fabriquent des stars, fortunées à l'instar
de ces chanteurs à dollars.
La tendance se cale se colle sur ces écoles qui rêvent d'idoles.
Pas d' rock n roll ni de bémol, restez donc dans le protocole.
Plus fort encore plus fort pour que ces putains de portes
s'ouvrent au Hardcore. Plus fort encore bien plus fort.
Go ! fuck that shit.
Ma différence, vous dérange forcément trop étrange.
Ma différence, vous offense vous inspire la méfiance.
Ok on sait s' qu' ils veulent de nos sales
gueules des singles qui sentent la guimauve
et la ouate quoi. Qu'est qui y'a ? J'suis
Hard-Core comme les Watcha.
J'ai pas d'idoles moi,
j' mets des middle dans un ciel hideux
c'est ça l'idée, le monde est sale ici notre
musique aussi.Chaque morceau est une porte
cassée, une scène cramée.Le C-SEN et les
Watcha, vient pas nous dire comment
on doit écrire jouer de la musique.
A chaque fois le public crie, gueule, hurle
et les critiques prie, pleure, brûle.
Le C-SEN 75018 beat street.
Les Watcha 2005. Et on s'en fout
de s'qu'ils veulent, le public Hard-Core
gueule bien plus fort…

Une nuit

Sensuelle, la nuit qui m'appelle,
comme le serpent,
Je me glisse vers tous ces vices
de la chair, des plans éphémères,
juste pour la nuit, je me sers.
Dans un brouillard si intense de fumée,
de sueur je danse, dans une transe,
qui réveille tous mes sens.
Je me sens d'humeur tactile,
quand ma tequila m' taquine
et me pousse vers des mœurs libertines.
C'est là où je suis à la merci
des vices de la nuit qui me défient.
Sensuelle c'est la nuit qui m'appelle,
elle me dévore quand le jour s'endort.
Je laisse la morale et lèche
du regard tous ces corps
qui se compressent.
La chaleur suffocante génère
des envies de nu qui dégénèrent.`
Tous ces regards qui s'échangent,
qui circulent et se mélangent
finissent souvent vers des portes closes.
Pardonnez-moi j'ai péché,
dans la luxure j'ai donné.
En enfer je vais sûrement brûler.
C'est là où je suis à la merci
des vices de la nuit qui me défient.
Sensuelle c'est la nuit qui m'appelle,
elle me dévore quand le jour s'endort.
Quand le jour perce la nuit,
réalisant qu'elle nous maquille
de ses fards et ses lumières noires.
Que du faux, que des strasses,
tous avec nos masques et nos frasques.
Je l'assume même si ça m' consume.
C'est là où je suis à la merci
des vices de la nuit qui me défient.
J'ai le vice qui me coule dans les veines,
dans mon corps,
tous mes sens se déchaînent.
J'ai le vice qui me coule dans les veines,
dans mon corps,
tous mes sens se déchaînent.
J'ai le vice qui me coule dans les veines,
dans mon corps.
Sensuelle c'est la nuit qui m'appelle,
elle me dévore quand le jour s'endort.
La nuit…

Tous mes états

J'n' ai pas l'âme du poète qui dépeint l'amour
de sa palette, de milliers d' couleurs.
J'n' ai pas l'impression d'être le sauveur
de la planète, j'en ai bien peur.
C'est comme ça mais rien ne sort de moi !
Comme je n'ai pas de cran, je garde se que je ressens,
j'en suis conscient.
Je n' sais pas, je n'ose pas je m'enferme dans tous mes états.
Mais comment me sortir de là ?
J n'ai pas l'art d'exceller dans des discours
qui parlent d'amour, je manque de bravoure
Aborder le sujet devient pour moi un tabou et je bloque tout.
C'est comme ça mais rien ne sort de moi !
Inconstant peu causant je parais tellement distant,
qu' c'en est gênant.
Je n' sais pas, je n'ose pas , je m'enferme dans tous mes états.
Mais comment me sortir de là ?

Sauve moi

J'aimerais faire le deuil de ma frustration,
Oh si seulement j'avais des explications.
Je n'aurais plus de doute à trouver ma route,
Et à pleurer sur mon sort en cherchant nos torts.
J'espère, désespère,
je me perds tout doucement.
Sauve moi, de ma perdition, de toi,
c'est sans solution
donne- moi, l'absolution.
J'ai traîné dans la boue voulant tout entendre.
En implorant le ciel pour juste un mot d'elle.
Et quand je te demande si l'amour transcende,
ton silence me blesse et toi tu me laisses.
J'espère, désespère, je me perds tout doucement
Sauve moi, de ma perdition, de toi,
c'est sans solution
donne- moi, l'absolution.

Dimebag

This song is dedicate to the memory
of Dimebag Darrell.
Killed by a mother fucking head case,
Rest in peace.
Falling down we all fall down,
we're broken in two.
By demons be driven,
but tell us the reason,
why all became true?
Now we walk with a message in blood.
We're stepping nowhere in a mud.
New level for devil,
with that bloody spell,
killing cowboys from hell.
Death rattle in the air,
oh like a nightmare.
Oh what a fucking spell,
god bless you Darrell.
All that brings to cemetery gates,
this love is now hate.
Clash with reality,
shotgun fatality, fucking insanity.
Mouth for war with a gun in a hand,
the art of shredding man.
Someone is shooting
and someone is falling
psycho fucking holiday.
Death rattle in the air,
like a nightmare.
Oh what a fucking spell,
god bless you Darrell.
War of nerves making us
fucking hostile
No one deserve a spell so vile.
It's a tribute to the cowboy from hell
It ‘s our tribute;
we ‘re screaming your name
It is a tribute, goodbye Darrell
It is a tribute,
to the cowboy from hell, from hell
cowboy from hell, cowboy from hell
This world is fucking insane punk!
Darrell.

SAM PROLOGUE

-Alexander Romiri : Nooooonnnnnn !!! pourquoiiii !!!!!
-Narratrice :Alexander Romiri fait partie de l'élite scientifique
internationale, expert en génie génétique,
il travail depuis de nombreuses années
sur des projets gouvernementaux américains
classés secret défense.
Mais la fatalité semble s'acharner sur lui…
Veuf depuis quelques années,
il vient a nouveau de perdre sa seule raison d'être…SAM
-Journaliste1 : nous sommes en direct sur les marches du palais
de justice ou en ce moment
même les jurés délibèrent afin de rendre le verdict tant attendu
sur l'affaire qui oppose Alexander Romiri au gouvernement.
Nous attendons d'une seconde à l'autre la déclaration de ce dernier.
On nous signale qu'il arrive …
Restez sur TV Live report W4
-Alexander Romiri : Vous…vous tous…avez
d'une façon ou d'une autre contribué à détruire
l'unique œuvre de ma vie…
Mon seul rattachement à ce monde cupide …
L'humanité participe de façon active ou passive
au chaos de notre planète…
Vous vivez confinés dans votre microcosme
sans regarder plus loin, tout cela est méprisable.
Tout n'est que conflit d'intérêt, profit, consommation,
économie, dégradation, pollution…
Croyez-vous que rien ne se paye ?
un jour, on goûtera tous, tous au revers de la médaille…
narratrice : Delphine Martin
journaliste : Claire Keim
Alexander Romiri : Jacques Frantz

SAM4

SAM, ressuscité par la haine,
la colère d'un père
hurlant sa rage son désespoir
puis c'est l'engrenage.
Car par la génétique
commence cette histoire tragique
l'ère du clonage réveille les morts,
levez-vous encore.
L'armada de SAM est là.
Là pour anéantir le système
qui a fait souffrir tous ceux qu'il aime,
SAM se réveille.
La furie, l'enfer, les flammes,
ALEXANDER venge SAM.
Tous ces SAM n'ont plus d'âme.
La furie, l'enfer, les flammes,
ALEXANDER venge SAM.
Tous ces SAM n'ont plus d'âme
SAM recrée à l'infini,
mais où est donc l'âme ?
Peu lui importe,
ALEXANDER veut retrouver SAM.
Voir qu'on peut jouer aux dieux,
le pouvoir dans des yeux de feu.
Quand la vengeance rejoint la science
c'est la déchéance.
L'armada de SAM est là.
Là pour anéantir le système
qui a fait souffrir tous ceux qu'il aime,
SAM se réveille.
La furie, l'enfer, les flammes,
ALEXANDER venge SAM.
Tous ces SAM n'ont plus d'âme
La furie, l'enfer, les flammes,
ALEXANDER venge SAM.
Tous ces SAM n'ont plus d'âme
Où est l'âme, l'âme de SAM ?
Je vois l'immortalité
qu'on n' me parle plus de moralité
la mort une fatalité
que j'ai réussi à éradiquer.
Miroir beau miroir,
dis moi ce que je fais là,
Miroir beau miroir,
oh dis moi ce que je fais là.
Dans ces yeux, rien ne brille,
plus de feux qui l'anime.
Miroir beau miroir,
dis moi ce que je fais là,
Ce reflet qui se trouve là
ce n'est pas vraiment toi.
Miroir beau miroir,
dis moi ce que je fais là,
Ce reflet qui se trouve là
ce n'est pas vraiment SAM.
La furie, l'enfer, les flammes,
ALEXANDER venge SAM.
La furie, l'enfer, les flammes,
ALEXANDER venge SAM.
Tous ces SAM n'ont plus d'âme,
tous ces SAM n'ont plus d'âme.
La furie, l'enfer, les flammes,
ALEXANDER venge SAM (x2)

Wolf le guerrier

Et là nous guerroyâmes comme des sauvages
Tranchant des tetes avec nos beaux glaives.
Je me souviens de cette tempete en 1410
Ou le voialier s'ecrasa dans une mer tournoyante
Mais wolf wolf le guerrier s'attaqua au gibier
Te souviens tu nous guerroyases quand…hum
Hum..wolf wolf le guerrier, icrem.
Wolf le gibier…dans la destance de la tarsistude
Nous dwer yayames dans la fortitudes
Mais wolf wolf le guerrier
Le guerrier séployé
I am a viking i m going out to war
Et wolf le guerrier s'en alla en paix lrinage

I was made for loving you

Droit réservé…


Palabras añadidas por krnofelsass - Modificar estas palabras