1. SI SOUVENT

Avancer dans ton sens... je ne peux plus l'accepter
Et subir ton influence... je ne veux plus en faire les frais
Je suis pris en otage, par tes élans de rage
Je n'en peux plus, dégage !

Si souvent je me perds
Je me tourne du mauvais côté
Si souvent quand je saigne
Je me tourne du mauais côté
Je pourrais foutre en l'air toute mes raisons de vivre
Si souvent, je me tourne du mauvais côté

Chercher la moindre chance de pouvoir t'oublier
Et subir ton influence... je ne veux plus en faire les frais
Dans tous mes souvenirs, planqué là sans rien dire
Même si les années passent, tu t'aggripes à ta place
Coincé dans mon mental, tu es ma peine, mon diable
Je n'en peux plus, dégage !

Si souvent je me perds
Je me tourne du mauvais côté
Si souvent quand je saigne
Je me tourne du mauais côté
Je pourrais foutre en l'air toute mes raisons de vivre
Si souvent, je me tourne du mauvais côté

Je pourrais foutre en l'air toute mes raisons de vivre
Si souvent, je me tourne du mauvais côté

Si souvent je me perds
Je me tourne du mauvais côté
Si souvent quand je saigne
Je me tourne du mauvais côté


2. COMA

Comment y croire encore quand les jours passent ?

Comment espérer encore quand tout espoir est mort ?
Comment rêver encore quand tous mes rêves sont morts ?

Pour toi les jours passent mais tu restes de glace !
Plus d'odeurs, plus de traces !
Plongé dans ce coma.
Ces drogues te tiennent encore en vie.
Ces drogues font de toi un zombie.
Pour toi les jours passent mais tu restes de glace !

Pourquoi espérer encore quand tout espoir est mort ?
Pourquoi rêver encore quand tous mes rêves sont morts ?

Pour toi les jours passent mais tu restes de glace !
Plus d'odeurs, plus de traces !
Plongé dans ce coma.
Ces drogues te tiennent encore en vie.
Ces drogues font de toi un zombie.
Pour toi les jours passent mais tu restes de glace !

Comment y croire encore ? Quand les jours passent !
Quand tout espoir est mort ! Quand les jours passent !
Comment y croire encore ? Quand les jours passent !
Quand tous mes rêves sont morts ! Quand les jours passent !


3. DEFIER L'ENNUI

C'est comme une force qui transcende les rêves, les envies
Eveille en nous la volonté de vivre debout, d'avancer
Pour ne pas tendre les bras à tout ce temps qui passe
Et faire de chaque instant, une bonne raison pour...

Défier l'ennui !
Sentir l'adrénaline !

C'est comme une drogue qui sublime les sens et l'esprit
Eclaire nos pensées sombres et fait couler un espoir dans nos veines
Une flamme face au chaos quand tout dérive à nouveau
Pour faire de chaque instant, une bonne raison pour...

Défier l'ennui !
Sentir l'adrénaline !

Toujours garder le même esprit, l'essence de cette vie
La même sève, la même écorce, l'union fait la force
Vivre ensemble le meilleur, mêler nos joies, nos frayeurs
La même traque, la même quête, les même rêves en tête

Toujours garder le même esprit, l'essence de cette vie
La même sève, la même écorce, l'union fait la force
Vivre ensemble le meilleur, mêler nos joies, nos frayeurs
La même traque, la même quête, tous ces rêves pour...

Défier l'ennui !
Sentir l'adrénaline !


4. PARANOIAQUE

Quel est mon sort ?

Tant de cris en tête, tant de bruit, tant de stress !
Tout me frappe, tout me blesse, je suis sur la brèche !
Tout me paraît faux, me paraît trop honnête !

Paranoïaque, je meurs d'envie de faire encore le vide,
De me sentir moins fragile.

Seul, sur le fil du rasoir
Je crains le pire chaque fois que quelqu'un parle tout bas.
Paranoïaque !
Seul, sur le fil du rasoir
Je crains le pire chaque fois que quelqu'un me dévisage.
Paranoïaque !

Paranoïaque, je meurs d'envie de faire encore le vide,
De me sentir moins fragile.

Le jour je crève ! La nuit je tombe !
Jamais de trêve, je vis dans l'ombre !
Le jour je crève ! La nuit je tombe !
Jamais de trêve, je vis dans l'ombre !

Quel est mon sort ?

Paranoïaque, je meurs d'envie de faire encore le vide,
De me sentir moins fragile

Seul, sur le fil du rasoir
Je crains le pire chaque fois que tout est plongé dans le noir
Paranoïaque !
Seul, sur le fil du rasoir
Je crains le pire chaque fois que je ne contrôle plus mes actes
Paranoïaque !

Le jour je crève ! La nuit je tombe !
Jamais de trêve, je vis dans l'ombre !
Le jour je crève ! La nuit je tombe !
Jamais de trêve, je vis dans l'ombre !
Le jour je crève ! La nuit je tombe !
Jamais de trêve, je vis dans l'ombre !
Le jour je crève ! La nuit je tombe !
Jamais de trêve, je vis dans l'ombre !


5. AILLEURS

Trop mal, trop speed
Je m'exile
Trop mal, trop speed
Je m'exile
Trop mal, trop speed
Je m'exile
Trop mal, trop speed
J'ai besoin d'air
Tout me dépasse
Tout me dépasse

Ailleurs, perdu en soi, en son coeur...
Quelle est cette place à l'intérieur ?
Où se dévoilent fantasmes et folies
Où tout est permis

Ailleurs dans mon esprit
Ailleurs en moi enfoui
Ailleurs là où je m'évade
Là où je m'évade

Trop mal, trop speed
Je m'exile
Trop mal, trop speed
Je m'exile
Trop mal, trop speed
J'ai besoin d'air
Tout me dépasse
Tout me dépasse

Ailleurs, perdu en soi, en son coeur...
Quelle est cette place à l'intérieur ?
Où se dévoilent cette frénésie qui manque à ma vie

Ailleurs dans mon esprit
Ailleurs en moi enfoui
Ailleurs là où je m'évade
Là où je m'évade

Trop mal, trop speed
Je m'exile
Trop mal, trop speed
Je m'exile
Trop mal, trop speed
Je m'exile
Trop mal, trop speed
J'ai besoin d'air
Tout me dépasse

En rêve je m'abandonne
Pour un peu d'air


6. LAISSES EN VRAC

J'ai passé trop de temps à chercher
Quel est ce mal être dans mes veines
J'ai perdu le temps de trouver
En moins la clef de mes problèmes

J'ai trop remué de pleurs enfouis
Sorti mes souvenirs de l'oubli
Dans ma tête, mes démons s'affairent
J'ai plongés mes pensées en enfer

Ne pas fouiller ma mémoire
Des images y sont de trop
Des années ont effacés
Trop de peines, trop de maux
Laissés en vrac, laissés en vrac
Perdus dans mon cerveau
Ne pas fouiller ma mémoire
Des images y sont de trop

J'ai passé trop de temps à déterrer
Mes frustrations, mes peurs, ma haine
J'ai perdu le temps d'oublier
On ne récolte que ce qu'on sème

J'ai emballé mes émotions
Perdu le contrôle de mes actions
Donné à mon esprit trop d'air
Plongé mes pensées en enfer

Ne pas fouiller ma mémoire
Des images y sont de trop
Des années ont effacés
Trop de peines, trop de maux
Laissés en vrac, laissés en vrac
Perdus dans mon cerveau
Ne pas fouiller ma mémoire
Des images y sont de trop

J'ai perdu trop de temps

Ne pas fouiller ma mémoire
Des images y sont de trop
Des années ont effacés
Trop de peines, trop de maux
Laissés en vrac, laissés en vrac
Perdus dans mon cerveau
Ne pas fouiller ma mémoire
Des images y sont de trop

Laissés en vrac, laissés en vrac


7. SHRED UP

Rien à perdre
Sans craintes et sans complexes
Unswabbed débarque avec le shred

Shred up

Profiter de chaque instant à fond
Et ne penser qu'aux plaisirs instantanés
Pas de temps à perdre, la vie est trop courte

Abuser sans fixer de limite
On a tant de chose à faire ! Tant de chose à vivre !
Pas de temps à perdre, la vie est trop courte

Shred up

Assumer nos faiblesses, nos défauts
Sans chercher à se cacher, ni même jouer un rôle
Pas de temps à perdre, la vie est trop courte

Partager nos émotions avec
Tout ceux qui nous entourent, sans jamais se retourner
Pas de temps à perdre, la vie est trop courte

On n'a pas de temps à perdre, la vie est trop courte

Rien à perdre
Sans craintes et sans complexes
Unswabbed débarque avec le shred


8. EN SILENCE

Je souffre en silence
Chaque seconde me plonge dans le doute.
Je souffre en silence
Je suis seul, personne à l'écoute !

Toujours tort, tant d'efforts
Mais je dois vivre avec
Tant d'efforts, de remords,
Vous ne me voyez pas !

Rire encore, faire le mort,
Mentir comme la veille !
Parler fort, vous ne m'écoutez pas.
Mais quand chacun de mes mots vous indiffère
C'est chacun de mes mots que je dois taire !

Je souffre en silence
Chaque seconde me plonge dans le doute.
Je souffre en silence
Je suis seul, personne à l'écoute !

Toujours mal, tant de pages
Tournées malgré la peine.
Tant de rage que l'on cache,
Mais que l'on oublie pas.

Face à face tout s'efface,
Mais comment rester zen ?
Quand je crie et vous n'entendez pas !
Mais quand chacun de mes rêves vous indiffère
C'est toute vie en moi que je dois taire !

Je souffre en silence
Chaque seconde me plonge dans le doute.
Je souffre en silence
Je suis seul, personne à l'écoute !

Plus rien ne sert de vouloir encore
Faire de moi l'enfant que je ne suis pas !
Plus rien n'y sert d'y croire encore
Je ne suis pas celui-la !

Je souffre en silence
Chaque seconde me plonge dans le doute.
Je souffre en silence
Je suis seul, personne à l'écoute !


9. LE LIEN

Trouver le lien entre moi et ce monde malsain
Où rien ne va ! Où je ne crois plus en rien !
Quel lien m'agrippe à ce monde si loin ?
Où tout me paraît triste et sans lendemain !

Je n'aime pas cette vie, je n'y ai pas ma place.
Plus rien ne m'attire, rien ne m'y rattache.
Je n'aime pas cette vie, je n'y ai pas ma place.
Pourquoi subir ce qui me lasse ?

Trouver le lien

Quel est le lien entre moi et ce monde malsain ?
Où rien ne va ! Où je ne crois plus en rien !

Je n'aime pas cette vie, je n'y ai pas ma place.
Plus rien ne m'attire, rien ne m'y rattache.
Je n'aime pas cette vie, je n'y ai pas ma place.
Pourquoi subir ce qui me lasse ?

Cette nuit étrange, j'ai compris que
Je n'ai pas ma place en ces lieux sombres…
Je n'envie pas ceux qui n'ont que
Cette naïveté, ce spleen…
Ceux qui méprisent le pire,
Pour être plus tranquilles…
Ceux qui dans le faux s'obstinent.
Ceux qui courbent le dos…

Décalé, j'ai flanché !
Comment mener cette vie sans aucun lien avec ce monde,
Où rien ne va ! ! Où je ne crois plus en rien !
Quel lien m'agrippe à ce monde si loin ?
Où tout me paraît triste et sans lendemain !

Je n'aime pas cette vie, je n'y ai pas ma place.
Plus rien ne m'attire, rien ne m'y rattache.
Je n'aime pas cette vie, je n'y ai pas ma place.
Pourquoi subir ce qui me lasse ?

Quel est le lien ? Trouver le !


10. INTIMES SOUFFRANCES

Dépourvu de faux espoirs,
Seul, décidé à ne pas croire ces impossibles pensées.
Sans interdits, tu défies la douleur,
En restant droit face à ce mal, sans peur.
Ma vie, selon de toi, meilleure que la tienne
N'est pleine que d'absurdités, de peines.
Rien d'essentiel, pas même cette solitude,
Aucune de ces torts que tu endures...

Il n'y a pas d'échelle, dans la douleur,
La tienne n'est pas la mienne.

Dépourvu de faux espoirs
Seul, décidé, à ne pas t'offrir à la fatalité.
Sans interdits, tu défies la douleur,
En restant droit face à ce mal, sans peur.
Mes rêves selon toi, meilleurs que les tiens,
Sont vides de sens, n'évoquent rien !
Aucune de mes envies ne vaut cette force.
Sentir l'essentiel, refuse ton sort.

Il n'y a pas d'échelle, dans la douleur,
La tienne n'est pas la mienne.

Tant de bad trips, trop de secousses,
Qui t'envahissent quand ton corps s'étouffe.
Ne pas pouvoir vivre sans tous ces doutes.
Obscurcit tes espoirs, te renferme dans ces intimes souffrances !
Tu hurles que ta vie n'a plus d'importance !

Il n'y a pas d'échelle, dans la douleur,
La tienne n'est pas la mienne.


11. LE MONDE NE TOURNE PAS ROND

Tout n'est qu'hostilité
Qu'un manque de volonté
Face au couperet qui tombe

Tout est venin qu'on crache
Un mal être qu'on cache
A la masse pour se fondre

Tout n'est que naïveté
Qu'une banalité,
Dans laquelle on se plonge

Le monde ne tourne pas rond
Chacun y creuse sa tombe

Tous bercés par nos illusions
Par nos pensées aliénées
Tous comme des fantômes sans raisons
Tous perdus sans unités

Tout n'est que volonté à vouloir oublier
Nos actes et pensées sombres

Tout n'est que temps qu'on passe à calmer nos angoisses
De perdre une seconde

Cette réalité sans spontanéité
Fait de nous, tous des ombres

Le monde ne tourne pas rond
Chacun y creuse sa tombe

Tous bercés par nos illusions
Par nos pensées aliénées
Tous comme des fantômes sans raisons
Tous perdus sans unités

Le monde ne tourne pas rond
Chacun y creuse sa tombe


12. …NE TIENT QU'A UN FIL

La vie ne tient qu'à un fil...
Si solide pourtant
Le tien trop fragile, se brisa en cet instant
D'insoutenable délires, de silences crispants...
Te rendant martyre...
Dans la fuite, par une morte cinglante...

Tu ne tenais que par un fil...
Au dessus du sol, pendante...
Décision assassine, que celle-ci, en cet instant...
Ton âme en exil, loin de toute souffrance...
Me laissa seul, abîmé, tout mes rêves à feu et à sang...

Ta perte parmi tant d'autres
Comme une goutte d'eau
Parmi le flot de mes larmes...
Mais je ne veux plus de ce passé que je n'affronte plus...
Ton soleil ne brille plus que dans mes songes
Ces soirs où je n'ignore plus ma mémoire
Où s'incendie mon esprit, mes espoirs ne tiennent qu'à un fil
Mon esprit sans espoirs...
D'une vie sans histoires...

... Ne tient qu'à un fil