The ARRS : Xpôvoç - Khrónos

Metalcore / France
(2015 - Verycords)
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Lyrics


1. KOMBAT

Que les remords se ramassent à la pelle,
À travers la fumée, à travers la poussière
Je craignais le futur comme un jour sans fin
Chaque nuit, chaque matin je souris et me souviens
Des lendemains emplis d’espoir
Entre mes mains le désir, la force, mon courage
Peu importe quel est ton nom
Là où l'on combat et là où l'on tombe.
J’essuie la sueur sur mon front
Ici-bas, dans mon monde
Peu importe quel est ton nom
Là où l'on combat et là où l'on tombe
Pas de compromis, aucune addiction
Relève-toi dans mon ombre
Quand se pardonner ?
Défier ses pairs
Ou les fils de nos fils essuieront nos échecs
Entourés de peur, trop lâches pour se battre
Nous ne voulons pas nous perdre
Pour eux garder l’espoir
Peu importe quel est ton nom
Là où l'on combat et là où l'on tombe
J’essuie la sueur sur mon front
Ici-bas, dans mon monde
Peu importe quel est ton nom
Là où l'on combat et là où l'on tombe
Pas de compromis, aucune addiction
Relève-toi dans mon ombre
De mon ombre !
L'histoire a eu ses martyrs, aujourd'hui nous sommes ses apôtres.
Un chemin de croix, des cicatrices gravées sous ma peau
Je ne regrette rien.


2. ACTA NON VERBA

Combats, ne recule pas

Bats-toi, embrasse ton destin.
Je crois en des jours meilleurs

À la conquête de la tête et du cœur

Dans la poussière des siècles, nous sommes la braise

La réponse ardente, les mille étincelles

Aujourd'hui renaît de ses cendres, 
Le futur c'est savoir et comprendre

Mais souviens-toi, les nerfs à vifs

Tout se broie, tout se brise

Libéré de toute emprise
Acta non verba
Agis, ne parle pas.
Je n’ai plus rien à prouver
Rien à prouver
Je ne crains ni l’exploit, ni la défaite

Plus les années passent et plus tu cicatrises
Bats-toi, ne pleure pas, ne nie pas
Agis, ne parle pas
Je soulèverai la poussière,
pour la survie de mon espèce
Non, ne retiens rien, ni ton courage, ni tes instincts
Non ne retiens rien

Entre terreur et désir

Tout se broie, tout se brise

Dépossédé, je me sens libre
Acta non verba
Agis, ne parle pas


3. HORS NORME (ft. Alex of Obey The Brave)

Vivre chaque jour comme si c'était le dernier
Le sourire aux lèvres, et si c'était le premier
Rien n'est tout noir, rien n’est tout blanc
Je compte à rebours,
Et je tente ma chance
Personne pour me stopper
Personne ne brisera ma volonté
Peu importe les blessures
Les temps sont durs
Droits sur nos pattes, le courage : notre armure
Les braves se battent malgré leurs blessures
À chaque jour suffit sa peine. 
À chaque époque un mal qui obsède
À chacun son temps, à chacun son règne
Je tente d’élever mon emblème
On fuit le bien qu'on sème,
On fuit le mal qu’on est
Infidèle aux lois, reste fidèle à toi-même
Vivre chaque jour comme si c'était le dernier
Le vent dans les voiles,
Rien ne peut m'arrêter
Rien n’est tout noir, rien n’est tout blanc.
Un pas derrière et deux pas en avant
Personne pour me stopper
Personne ne brisera ma volonté.

Peu importe les blessures,
Peu importe les ruptures
Les temps sont durs
Droits sur nos pattes, le courage : notre armure
Les braves se battent malgré leurs blessures
Puisqu'on est hors limite, puisqu'on est hors normes
Le risque est une énigme, en réponse soit fort
Ici le temps nous est compté,
Vis à cent à l’heure et vise l'odyssée
Celui qui n'a rien dans l'esprit, n'a rien dans le cœur
On fuit le bien qu'on sème,
On fuit le mal qu’on est
Infidèle aux lois, reste fidèle à toi-même
Vis en vitesse et trompe la mort
Fuis la tristesse, il va y avoir du sport
Ce chemin t'appartient, sois concentré,
Rira bien qui rira le dernier
Hors-norme !


4. LA QUÊTE

Maintenant je sais qui tu es
Par le délice du discours de ses yeux et de ses lèvres,
Je suis tombé à ses pieds pour qu'elle me relève
J’ai dompté la fièvre et absorbé sa sève,
Et son départ a révélé la force de mon être

Apprends à vivre avec, apprends de tes échecs
Le temps que rien n'arrête, anime ta quête
Sublime échec / apprends
Aucun regret / du temps
Hors de contrôle
J'ai compris dans les yeux de cet amour mortel,
Dans ses draps, enlacés à l'ombre d’une stèle,
Que ma vérité était immortelle
Que chaque conquête forgerait la lame de mon glaive
Presque mort,
Encore vivant
Ennemi de l'isolement
Apprends à vivre avec, apprends de tes échecs
Le temps que rien n'arrête, anime ta quête
Sublime échec / apprends
Aucun regret / du temps
Hors de contrôle
Apprends à vivre avec
Apprends de tes échecs
Presque mort,
Encore vivant
Apprends à vivre avec, apprends de tes échecs
Le temps que rien n'arrête, anime ta quête
Sublime échec / apprends
Aucun regret / du temps
Hors de contrôle


5. DU CIEL ET DE LA TERRE

Traque l’ennemi,
Matraque ses ordres
Face aux sévices,
Cruel est l’effort
Garde l’essentiel
L’extase nous rend forts
Tout se détache du fond, de la forme
Pourquoi déclarer la guerre ?
Le vrai vient du ciel
Pourquoi déclarer la guerre ?

L'horreur vient de la terre
Rien ne sert de survivre
Ivre mort et sans sourire
Rien ne sert d’obéir
Casse ses genoux,
Froisse ses codes
Face à la vie,
Terrasse ses hordes
Gloire à Filoti,
Sur le mont des utopies
D’une divine vengeance
Non, personne n’est innocent
Pourquoi déclarer la guerre ?
Le vrai vient du ciel
Pourquoi déclarer la guerre ?
L'horreur vient de la terre
Personne n’est innocent
La paix, que l'on trouble et qu'on aime,
Est d'un prix aussi grand que la vérité même
La vérité vient du ciel et de la terre


6. LES RIVES DU TEMPS / Interlude

(Instrumental)

7. KHRÓNOS (ft. Ju of Benighted)

Nous sommes le Graal, jeunesse éternelle
Le savoir est un feu immortel
Le futur nous appartient, aucun doute je suis humain
Je vois la vie en grand
Je défie la faim et le temps
À contre sens, le cadran n’a plus aucune importance
L’avenir, la rue nous appartiennent
À ceux et celles qui incarnent nos espoirs, nos déboires Ô valeurs universelles
À nos erreurs gravées sur la pierre
À ceux, à celles qui n'arrêtent jamais de rêver
Pour ceux, pour celles qui vivent leurs rêves les poings fermés
Montre au monde que tu l'aimes
Les uns, nous autres, unis dans la même veine
Arrache leur haine, déterre leur cœur
Vis sans attendre et persévère
Le futur nous appartient
C’est écrit, c’est inscrit dans les paumes de nos mains
Le futur nous appartient
L’envie, la faim nous guettent, aucun doute je suis humain
Ton cœur se serre, tout n'est que méprise
Un oubli de soi comme un cœur tragique
Nous sommes le Graal, jeunesse éternelle
À ceux et celles qui peuplent ma mémoire,
Le savoir est un feu immortel
À nos valeurs lascives et charnelles
À ceux, à celles qui n'arrêtent jamais de rêver
Pour ceux, pour celles qui vivent leurs rêves les poings fermés
Montre au monde que tu l'aimes
Les uns, nous autres, unis dans la même veine
Arrache leur haine, déterre leur cœur
Vis sans attendre et persévère
Le futur nous appartient
C’est écrit, c’est inscrit dans les paumes de nos mains
Le futur nous appartient
L’envie, la faim nous guettent, aucun doute je suis humain
Je suis humain
Ton cœur se serre, tout n'est que méprise
Un oubli de soi, un cœur tragique
L’envie, l’amour, la faim me guettent
Plus aucun doute je suis humain


8. IV HORIZONS

À chaque mal son remède
Regarde nos héros tomber,
Se tordre de douleur et se relever
Un combat sur la vie, un combat sur soi-même,
Le regard des autres n'importe qu'aux faibles

À la chair de ma chair
Aux os de mes os
Relève la tête,
Par-delà le désordre et le chaos
Par les quatre horizons,
Qui crucifient le monde
Écrire ma propre histoire, maîtriser mon univers
Par les trois degrés de gloire, passer de l'ombre à la lumière

J'ai laissé la passion guider mes pas,
Le feu dans mes entrailles sceller ma foi
Je n’ai pas besoin d’être sauvé
L’amour a expié tous mes péchés
Je n’ai pas besoin d’être sauvé de tous mes péchés

À la chair de ma chair
Aux os de mes os
Relève la tête,
Par-delà le désordre et le chaos
Par les quatre horizons,
Qui crucifient le monde
Écrire ma propre histoire, maîtriser mon univers
Par les trois degrés de gloire, passer de l'ombre à la lumière

Je jure devant tous les dieux de me donner corps et larmes
De protéger leur nom
De leur vendre mon âme
Je n’ai pas besoin d’être sauvé
Par les quatre horizons,
Qui crucifient le monde
L’amour a expié tous mes péchés


9. LA 25ÈME HEURE / Interlude

(Instrumental)

10. TITANS

Titans......Titans
Même si mon corps est ici, mon esprit est ailleurs
Rien qu'une douleur, un cri du cœur
Comme ces titans aux pieds d’argile,
Une seule averse et leur empire vacille
Laisse-les prendre tout ce qu'ils peuvent
S’abreuver de chair, de rires et d'épreuves
Ils ne me feront pas entendre leur voix
Je resterai sourd à leurs chiens qui aboient
Je ne leur laisserai pas voir sur mon visage,
La face cachée de l'espoir
Ni sourire, ni pleurs, pas l’ombre d’une larme
La 25ème heure gronde sous un ciel d’orage
La 25ème heure gronde sous un ciel d’orage
Pas l’ombre d’une larme
Invincible
Un roi sans couronne et sans laurier
Détesté
Plus rien à perdre, tout à y gagner
La traque n'aura de cesse que quand
Leur nuque se brisera sous mes chaînes
Mon cœur se noircit, et l'horizon disparaît,
Brouillant ainsi tous mes repères
La 25ème heure gronde sous un ciel d’orage
Pas l’ombre d’une larme
Invincible
Un roi sans couronne et sans laurier
Détesté
Plus rien à perdre, tout à y gagner
Je ne leur laisserai pas voir sur mon visage
La face cachée de l'espoir
Ni sourire, ni pleurs, pas même une larme,
La 25ème heure gronde sous un ciel d’orage
Le temps se fige, 
L’heure est venue
Même si mon corps est ici, mon esprit est ailleurs
Rien qu'une douleur, un cri du cœur
Comme ces titans aux pieds d’argile,
Une seule averse et leur empire vacille


11. NOS ERREURS

Arrête de vouloir,
Commence par agir
Il y a un temps pour aimer,
Et un temps pour mourir
Capable du meilleur comme du pire
Loyal, à forces égales, reconstruis
Détruire leurs cauchemars,
Aux racines de leur peur
Ils les rongent de l'intérieur,
Seule la démence fuit la terreur
Quand les nuits sont peuplées de cauchemars,
Chaque réveil est une nouvelle victoire
Nos erreurs n'appartiennent qu'à nous-mêmes,
Tant le commun est mortel,
Tant la bête est humaine
Nos erreurs n'appartiennent qu'à nous-mêmes
De l'apparence la plus honnête,
Au cœur broyé sous la pierre
Des jeux aux règles violentes,
Entre dérive et inconscience
Capable du meilleur comme du pire
Loyal, à forces égales, reconstruis
Capable du meilleur comme du pire,
En phase de tout reconstruire
Derrière leurs fenêtres closes ils observent
Derrière leur sourire se cache leur détresse
Nos erreurs n'appartiennent qu'à nous-mêmes
Tant le commun est mortel
Tant la bête est humaine
Nos erreurs n'appartiennent qu'à nous-même


12.PROPHÉTIE (ft. Poun of Black Bomb A)

Je me serais attendu à tout éprouver sauf le sentiment que j'ai ressenti il y a un instant et que je vous livre avec toute ma force d'homme. Vous m'avez fait honte ! Vous m'avez fait honte en pensant à ce qui s'est passé là, vous m'avez fait honte ! Il y a des moments où il est dit dans la parole, les morts vous écoutent. Croyez-vous qu'ils écoutent... ça ! Je ne demande rien, aucun applaudissement, je ne demande que le silence, que les morts appellent : « Taisez-vous ! » ou quittez à l'instant ce lieu de recueillement, vous déshonorez la cause que vous croyez servir

Je vous livre ma voix avec toute ma force d’homme.
Quand il est dit dans la parole les morts vous écoutent
Croyez–vous qu’ils écoutent vos plaintes ?
Je ne demande que le silence que les morts appellent
Taisez-vous !
On a tous en nous un diable qui sommeille

On a tous en nous la rage qui nous guette
Voici le jour, les morts vous écoutent
Je ne demande rien, aucun soutien
Quittez à l’instant ce lieu de recueillement
Vous déshonorez la cause que vous croyez servir !
Mais il n’y a pas de jour sans fin, l’équilibre passe par le mien
On a tous en nous un diable qui sommeille

On a tous en nous la rage qui nous guette
Voici la nuit, la mort vous parle
"C'est la marche funèbre des cendres que voici
La grande lutte des ténèbres a commencé"
Aucune larme, aucun remords

On a tous en nous un diable qui sommeille
La rage qui sommeille


13. LE JOURNAL DE MA HAINE (ft. Kubi OF Hangman's Chair)

Regarde en arrière
Le passé me fascine, le passé me rend fort

Aucun remords

J’ai tracé ma route, je suis sûr de mon sort

Mes rêves sont tes angoisses,
Ils se projettent sur un mur aux confins de ton âme.

Tu n’es qu’une ombre sous mon aile, 
Sous un ciel lourd, le brouillard se lève

Par quel titre ? Par quelle victoire ?
Je dois la vie à mon seul et unique combat

Voir l’amour, où il se cache, dans la détresse de l’homme,
Dans son orgueil à combattre la vie, les rêves et l’espoir
L’envie, les trêves et l’histoire
Quand privé de lumière tu ressens dans le noir
Le temps est au deuil
Une croix sur ma peine
Ci-gît le journal de ma haine

Sur ton chemin une étoile se lève

N'abandonne jamais, les vivants persévèrent

La rage se meurt de tristesse, 
Et se brise comme des lames de détresse

Distille les sens et ravive l’alliance, 
Seuls les morts se taisent, un peu de patience
La vie est une pluie de conséquences
Elle t’accorde sa confiance
Le temps est au deuil
Une croix sur ma peine
Ci-gît le journal de ma haine
Vivre ivre et prisonnier, 
ou mourir libre pieds et mains sciées

J’en fais le serment
La paix de mon âme passe par des choix, 
au feu les châtiments

Le temps est au deuil
Une croix sur ma peine

Ci-gît le journal de ma haine


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