Thalidomide : Le Paradis du Mal
Lyrics
1. LES MAÎTRES DE L'ILLUSION
Anges sacrés ou assassins cruels, leurs beautés universelles, un masque trompeur.
Sous ces apparences, les vices des démons, leurs yeux inquiétants hypnotisent.
Ils soignent le verbe pour mieux anéantir,
Incarnent l'ignorance des bêtes sanguinaires.
Leur politesse n'a d'égale que la dureté des coups bas,
Leurs sourires trompeurs annoncent la mort
Ils sont les maîtres de l'illusion, de la confusion
Dans le monde réel des apparences.
Ils sont maîtres de l'illusion, de la confusion,
Maîtres dans l'art de la laideur cachée
L'enveloppe charnelle voile les plaies agonisantes de l'esprit.
La beauté universelle hypnotise, elle est un masque trompeur.
Sous de belles apparences se cache la férocité de l'orgueil.
Voué au culte du mal, les sourires annoncent la mort.
Ils sont les maîtres de l'illusion, de la confusion
Dans le monde réel des apparences.
Ils sont maîtres de l'illusion, de la confusion,
Maîtres dans l'art de la laideur cachée
Au bord de l'abîme des ténèbres jaillit d'inextricables confusions.
Les visions objectives se troublent, le doute s'installe.
En proie aux hallucinations diaboliques, aux baisers intensifs de Judas.
Tu dois savoir décrypter les symboles, lire entre les lignes.
Voir à travers le brouillard, où les puissances du mal y sont exaltées.
Elles engendrent les fléaux célestes, l'appétit insatiable de la mort.
Ces forces néfastes trompent l'il, leurs jalousies poussent à la violence.
Cachées par des montagnes de perversité, elles sont les ennemies de la paix.
2. LES CLONES PROGRAMMÉS
Des corps sans âmes, identiques à l'extrême.
La bouche ouverte, pour vomir des banalités,
Plus apte à détruire, qu'à penser
Dès la naissance et jusqu'à la mort
Capturé dans cet engrenage ancestral,
Sans même en avoir conscience,
Vous êtes les clones programmés.
Hommes machines aveuglés, se fondent
Dans la masse.
Foules aux visages ternes, enfanteront leurs
Erreurs, Fécondes et irréversibles.
Dès la naissance et jusqu'à la mort
Capturé dans cet engrenage ancestral,
Sans même en avoir conscience,
Vous êtes les clones programmés.
Ils avancent droit vers la falaise
Prêt à plonger dans le vide
Dans la négociation de leurs identités
Passives ou meurtrières.
Ils sont un peuple d'ombres soumises
Au dictat des maîtres du mensonges
Leurs gènes perpétuent l'ignorance
La lumière voilée des ténèbres.
Et quand bien même, un visage se réveille
Une lueur d'espoir, dans l'il du condamné
Ce n'est qu'un passage éphémère
Aussitôt réprimé
Dès la naissance et jusqu'à la mort
Capturé dans cet engrenage ancestral,
Sans même en avoir conscience,
Vous êtes les clones programmés.
3. LE RÈGNE DE L'INNOMMABLE
Traversant les âges et les siècles
Le mal suit l'homme pas à pas.
Il n'est que son sombre reflet
Dans le triste miroir de la vie.
Le règne de l'innommable
Depuis les temps les plus anciens
Jusqu'à nos jours, s'est perpétué
Dans une atmosphère diabolique
Les pires horreurs, les pires atrocités
Le règne de l'innommable
Des rêves de grandeurs
Aux délires de supériorités,
De sanglants dictateurs et de
Leurs sacro-saintes puretés
Et même aujourd'hui,
De même qu'hier,
L'homme propage sa furie
Comme un trait de caractère
Depuis la nuit des temps, l'humanité
S'entrechoque et se déchire
Comme des marionnettes de guerre
Livrées à d'abominables instincts
Le règne de l'innommable
4. LES FLÉAUX DE L'OBSCURANTISME
Enrobées d'une prison de toile
Qui marque servitude et soumission
Cache les formes de la beauté
Oblige l'uniformité
Les fléaux de l'obscurantisme
Condamnent au silence
A l'utopie du bonheur, aux pandémies
Des versets apocryphes.
Enfermées dans le respect de l'absurde
Dans la peur, dans l'agonie, d'un monde
Falsifié, par les lois des moines soldats
Par la tyrannie de la Charia
Les fléaux de l'obscurantisme
Condamnent au silence
A l'utopie du bonheur, aux pandémies
Des versets apocryphes.
Les plaies n'en finissent pas de saigner
En boucle, elles donneront naissance
A leurs futurs bourreaux.
A l'ignominie de la pourriture misogyne
Jusqu'au paroxysme
De la bêtise religieuse.
Emmurées vivantes, bannies du monde
Dans des dédales immondes et pernicieux
Règne le flambeau de l'injustifiable
Le pouvoir fallacieux de nouveaux inquisiteurs.
5. LAST BREATH
Strange dream as it seems
Attracted by this light
My eyes are burning
I'm sure, I'm sleeping
Strange walk as this walk
Where am I pulled forward ?
I cant't control my legs
I'm sure, i'm sleeping
Dream or reality,
I don't know anymore.
Dream or reality,
I want to wake up.
Strange feeling as this feeling.
Lost in present time
Or lost in the past.
I'm sure, i'm sleeping.
Strange looks as these looks.
Watching my lifeless body
Death come upon me
Now i realise.
Dream or reality,
I don't know anymore.
Dream or reality,
I want to wake up.
6. SURVIVRE PAR LE SANG
J'ingurgite la mort, hachée déguisée
Dans mon corps, puisant mes forces
Malsaines de la souffrance.
Ma seule existence, heurtée tourmentée
Mortifiante, Osant étaler les chairs funèbres
Aux affamés.
Système machiavélique, rituel macabre
De l'espèce vivante.
Sur terre les seigneurs prédateurs
Célèbrent le carnage.
Les hurlements de douleurs, prouvent
Et témoignent de l'horreur, l'air pestilentielle
Répand les miasmes du crime.
Survivre par le sang
Quelle sinistre chaîne, carnivores attablés
A de cruels festins.
D'une banalité terrifiante, assouvissent
Leurs instincts.
Ignorent miséricorde, pitié clémence, envers la vie.
Détiennent en leurs mains le droit salvateur
Des scélérats.
Ils exposent la mort, trophée de victoire
De la puissance.
Décharné aux potences, le joyeux décor
Des cadavres.
Matière vénale, enfer animal, indigeste
Et métamorphose en de goulus plaisirs
Leurs charniers divins
Survivre par le sang
7. LABORATORIES OF DEATH
Continual experimentation
Insane suffering
Production line murders
Long range search
Medical research on human beings
Serials murders undenounced
Vivisections are to be stop
In the laboratories of death
Qualified reacherchers
Killing is their business
Failed experience
New guinee pig to slash
Medical research on human beings
Serials murders undenounced
Vivisections are to be stop
In the laboratories of death
Electric shock
Toxic injection
Brainwashing
Vile transplantations
Ripped alive
Reconstitued dead alive
For those animals of medecine
The word life has no sense
Medical research on human beings
Serials murders undenounced
Vivisections are to be stop
In the laboratories of death
8 .LE PARADIS DU MAL
Dans ce triste décor
Où défilent des symboles de haine
Comme les pas d'une armée
Obéissante mais aveugle.
Le paradis du mal
Et derrière ce décor
La folie des hommes
Se répand comme un gaz
Proche du Zyklon B.
Le paradis du mal
Il naît et grandit
Dans les esprits déficients
Insensible à la souffrance
Aux meurtrissures de la vie
Et ce désir de jouissance
Des biens matériels
Éblouit les regards
Des âmes subversives
Toujours ce décor
Noirci d'une main bien humaine
Sans trêves, ni repos
Dévore notre liberté.
Le paradis du mal
Anges sacrés ou assassins cruels, leurs beautés universelles, un masque trompeur.
Sous ces apparences, les vices des démons, leurs yeux inquiétants hypnotisent.
Ils soignent le verbe pour mieux anéantir,
Incarnent l'ignorance des bêtes sanguinaires.
Leur politesse n'a d'égale que la dureté des coups bas,
Leurs sourires trompeurs annoncent la mort
Ils sont les maîtres de l'illusion, de la confusion
Dans le monde réel des apparences.
Ils sont maîtres de l'illusion, de la confusion,
Maîtres dans l'art de la laideur cachée
L'enveloppe charnelle voile les plaies agonisantes de l'esprit.
La beauté universelle hypnotise, elle est un masque trompeur.
Sous de belles apparences se cache la férocité de l'orgueil.
Voué au culte du mal, les sourires annoncent la mort.
Ils sont les maîtres de l'illusion, de la confusion
Dans le monde réel des apparences.
Ils sont maîtres de l'illusion, de la confusion,
Maîtres dans l'art de la laideur cachée
Au bord de l'abîme des ténèbres jaillit d'inextricables confusions.
Les visions objectives se troublent, le doute s'installe.
En proie aux hallucinations diaboliques, aux baisers intensifs de Judas.
Tu dois savoir décrypter les symboles, lire entre les lignes.
Voir à travers le brouillard, où les puissances du mal y sont exaltées.
Elles engendrent les fléaux célestes, l'appétit insatiable de la mort.
Ces forces néfastes trompent l'il, leurs jalousies poussent à la violence.
Cachées par des montagnes de perversité, elles sont les ennemies de la paix.
2. LES CLONES PROGRAMMÉS
Des corps sans âmes, identiques à l'extrême.
La bouche ouverte, pour vomir des banalités,
Plus apte à détruire, qu'à penser
Dès la naissance et jusqu'à la mort
Capturé dans cet engrenage ancestral,
Sans même en avoir conscience,
Vous êtes les clones programmés.
Hommes machines aveuglés, se fondent
Dans la masse.
Foules aux visages ternes, enfanteront leurs
Erreurs, Fécondes et irréversibles.
Dès la naissance et jusqu'à la mort
Capturé dans cet engrenage ancestral,
Sans même en avoir conscience,
Vous êtes les clones programmés.
Ils avancent droit vers la falaise
Prêt à plonger dans le vide
Dans la négociation de leurs identités
Passives ou meurtrières.
Ils sont un peuple d'ombres soumises
Au dictat des maîtres du mensonges
Leurs gènes perpétuent l'ignorance
La lumière voilée des ténèbres.
Et quand bien même, un visage se réveille
Une lueur d'espoir, dans l'il du condamné
Ce n'est qu'un passage éphémère
Aussitôt réprimé
Dès la naissance et jusqu'à la mort
Capturé dans cet engrenage ancestral,
Sans même en avoir conscience,
Vous êtes les clones programmés.
3. LE RÈGNE DE L'INNOMMABLE
Traversant les âges et les siècles
Le mal suit l'homme pas à pas.
Il n'est que son sombre reflet
Dans le triste miroir de la vie.
Le règne de l'innommable
Depuis les temps les plus anciens
Jusqu'à nos jours, s'est perpétué
Dans une atmosphère diabolique
Les pires horreurs, les pires atrocités
Le règne de l'innommable
Des rêves de grandeurs
Aux délires de supériorités,
De sanglants dictateurs et de
Leurs sacro-saintes puretés
Et même aujourd'hui,
De même qu'hier,
L'homme propage sa furie
Comme un trait de caractère
Depuis la nuit des temps, l'humanité
S'entrechoque et se déchire
Comme des marionnettes de guerre
Livrées à d'abominables instincts
Le règne de l'innommable
4. LES FLÉAUX DE L'OBSCURANTISME
Enrobées d'une prison de toile
Qui marque servitude et soumission
Cache les formes de la beauté
Oblige l'uniformité
Les fléaux de l'obscurantisme
Condamnent au silence
A l'utopie du bonheur, aux pandémies
Des versets apocryphes.
Enfermées dans le respect de l'absurde
Dans la peur, dans l'agonie, d'un monde
Falsifié, par les lois des moines soldats
Par la tyrannie de la Charia
Les fléaux de l'obscurantisme
Condamnent au silence
A l'utopie du bonheur, aux pandémies
Des versets apocryphes.
Les plaies n'en finissent pas de saigner
En boucle, elles donneront naissance
A leurs futurs bourreaux.
A l'ignominie de la pourriture misogyne
Jusqu'au paroxysme
De la bêtise religieuse.
Emmurées vivantes, bannies du monde
Dans des dédales immondes et pernicieux
Règne le flambeau de l'injustifiable
Le pouvoir fallacieux de nouveaux inquisiteurs.
5. LAST BREATH
Strange dream as it seems
Attracted by this light
My eyes are burning
I'm sure, I'm sleeping
Strange walk as this walk
Where am I pulled forward ?
I cant't control my legs
I'm sure, i'm sleeping
Dream or reality,
I don't know anymore.
Dream or reality,
I want to wake up.
Strange feeling as this feeling.
Lost in present time
Or lost in the past.
I'm sure, i'm sleeping.
Strange looks as these looks.
Watching my lifeless body
Death come upon me
Now i realise.
Dream or reality,
I don't know anymore.
Dream or reality,
I want to wake up.
6. SURVIVRE PAR LE SANG
J'ingurgite la mort, hachée déguisée
Dans mon corps, puisant mes forces
Malsaines de la souffrance.
Ma seule existence, heurtée tourmentée
Mortifiante, Osant étaler les chairs funèbres
Aux affamés.
Système machiavélique, rituel macabre
De l'espèce vivante.
Sur terre les seigneurs prédateurs
Célèbrent le carnage.
Les hurlements de douleurs, prouvent
Et témoignent de l'horreur, l'air pestilentielle
Répand les miasmes du crime.
Survivre par le sang
Quelle sinistre chaîne, carnivores attablés
A de cruels festins.
D'une banalité terrifiante, assouvissent
Leurs instincts.
Ignorent miséricorde, pitié clémence, envers la vie.
Détiennent en leurs mains le droit salvateur
Des scélérats.
Ils exposent la mort, trophée de victoire
De la puissance.
Décharné aux potences, le joyeux décor
Des cadavres.
Matière vénale, enfer animal, indigeste
Et métamorphose en de goulus plaisirs
Leurs charniers divins
Survivre par le sang
7. LABORATORIES OF DEATH
Continual experimentation
Insane suffering
Production line murders
Long range search
Medical research on human beings
Serials murders undenounced
Vivisections are to be stop
In the laboratories of death
Qualified reacherchers
Killing is their business
Failed experience
New guinee pig to slash
Medical research on human beings
Serials murders undenounced
Vivisections are to be stop
In the laboratories of death
Electric shock
Toxic injection
Brainwashing
Vile transplantations
Ripped alive
Reconstitued dead alive
For those animals of medecine
The word life has no sense
Medical research on human beings
Serials murders undenounced
Vivisections are to be stop
In the laboratories of death
8 .LE PARADIS DU MAL
Dans ce triste décor
Où défilent des symboles de haine
Comme les pas d'une armée
Obéissante mais aveugle.
Le paradis du mal
Et derrière ce décor
La folie des hommes
Se répand comme un gaz
Proche du Zyklon B.
Le paradis du mal
Il naît et grandit
Dans les esprits déficients
Insensible à la souffrance
Aux meurtrissures de la vie
Et ce désir de jouissance
Des biens matériels
Éblouit les regards
Des âmes subversives
Toujours ce décor
Noirci d'une main bien humaine
Sans trêves, ni repos
Dévore notre liberté.
Le paradis du mal
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