
TESS : La Dame de Coeur

Teksty
1. NAISSANCE
Des entrailles du neant jaillit la Belle,
Déjà contempléecomme une divinité.
2. FRÉNÉSIE
Ne me touche pas,
Seul moi en ai le droit
Je te déchire et te murmure
"Ne hurle pas".
La pâleur de nos âmes obscènes,
De ta chair m'obsède
La pâleur de nos âmes obscènes,
De ta chair m'obsède
Tes lèvres bleutées
Sont cousues par l'effroi
Tes lèvres bleutées
Sont cousues par l'effroi
Emmurée dans ton monde,
Pas un seul mot ne sortira
Tes ongles déchirent le sol
Je te saigne et tu crèves comme dans mes rêves
La pâleur de nos âmes obscènes,
De ta chair m'obsède
La pâleur de nos âmes obscènes,
De ta chair m'obsède
Si je te serre contre moi
C'est pour sentir tes sanglots
Les horreurs de nos désastres
Se sont enfin chevauchés
Mes mains agresse ton corsage,
Sous ton sein blanc je m'y repose
Je déchire ton costume
Et tu supplies la vie de te garder
Ta peau se déchire sous mes doigts.
Ta peau se déchire sous mes doigts.
Ta peau se déchire sous mes doigts.
La pâleur de nos âmes obscènes,
De ta chair m'obsède
La pâleur de nos âmes obscènes,
De ta chair m'obsède
La pâleur de nos âmes obscènes,
De ta chair m'obsède
D'un regard dépassé
Je te contemple avant de m'effacer
Nouvelle divinité
Par la vengeance et par l'envie,
Tu termineras ce que j'ai commencé
D'un regard dépassé
Je te contemple avant de m'effacer
Nouvelle divinité
Par la vengeance et par l'envie,
Tu termineras ce que j'ai commencé
Ce que j'ai commencé
Ce que j'ai commencé
Ce que j'ai commencé
Ce que j'ai commencé
3. DÉLICATE
Les yeux fixés dur ton image
Tu dévisages ce reflet
Qui fait tant rêver les poètes
Une muse destinée, magnifiée est née parmi les rêveurs
Parmi les rêveurs
Alors tu vis quand la nuit
Accompagnée par l'opium
Tu te plaîs à découvrir ton corps
Et à jouer avec la mort
Délicate princesse
Sous tes histoires, sous tes grands air tu cache
L'imposture
Délicate princesse
Sous tes histoires, sous tes grands air tu cache
L'imposture
Tu découvre comme une enfant
Les joies des saisons
Et le bonheur des amours
Tu joue à la femme rusée
En parcourant les soirées
En riant de tes amants
Délicate princesse
Sous tes histoires, sous tes grands air tu cache
L'imposture
Délicate princesse
Sous tes histoires, sous tes grands air tu cache
L'imposture
Princesse. Pute.
Princesse. Pute.
Princesse. Pute.
Princesse. Pute.
Délicate princesse où exquise pute ?
Au regard perverti, au sourire angélique
Sois ma reine, deviens ma haine
Te voilà à l'apogée de ta chute
Irréversible descente vers la débauche
Tu ris de jouer des êtres
Mais tu ne vois jamais
Plus loin que ton reflet
Ton corset étouffe ta raison
4. LA FÉE DE L'ÉTRANGE
On l'appel le tombeau des incompris
Et tu seras la fée de nos songes
On l'appel le tombeau des incompris
Et tu seras la fée de nos songes
Ta jeunesse est invincible
Car la folie fait ta beauté
Ta jeunesse est invincible
Car la folie fait ta beauté
Ta jeunesse est invincible
On l'appelle le berceau des âmes perdues
Quelle étrange attraction en ces lieux
Où l'on se mélange aux pauvres diables
Qui vivent le sourire aux lèvres emmurées par le vice
Serait-ce la chaleur ou l'ivresse qui arrache nos vêtements
Les cris et la violence nous obsèdent
On l'appel le tombeau des incompris
Et tu seras la fée de nos songes
On l'appel le tombeau des incompris
Et tu seras la fée de nos songes
Je prie pour un regard
Tu ris de nous voir
Insignifiant prétendant au rêve éphémère
Au rêve éphémère
C'est en ces lieux que la frontière
Entre le rêve et le cauchemar s'est éteinte
L'excès nous rappelle à la vie
C'est l'excès qui te fait envie
Les couleurs, les sons, les êtres se mélangent
Pour le plaisir des sens
Te voilà reine des femmes
Et maintenant...
Et maintenant...
Et maintenant...
Chacun vit dans son enfer
Son enfer
On l'appel le tombeau des incompris
Et tu seras la fée de nos songes
On l'appel le tombeau des incompris
Et tu seras la fée de nos songes
5. LE COLORANT ET L'ANGOISSE
Oh mon colorant fais moi tourner la tête
Plus fort que c'est manèges
Que l'ont voit dans les fêtes
Mon colorant fais moi tourner la tête
Plus fort que c'est manèges
Que l'ont voit dans les fêtes
Sens-tu la panique ?
Sens tu la chaleur ?
C'est du bonheur qui coule dans tes veines
L'esprit a l'envers
Tu t'évade sans cesse
Et tu m'emmènes avec toi
Et tu t'évade avec moi
Mon colorant fais moi tourner la tête
Plus fort que c'est manèges
Que l'ont voit dans les fêtes
Mon colorant fais moi tourner la tête
Plus fort que c'est manèges
Que l'ont voit dans les fêtes
Prend voir mon âme, brûle
Prend voir mes sens, brûle
Prend voir mon âme, brûle
Prend voir mes sens, brûle
Prend voir mon âme, brûle
Prend voir mes sens, brûle
Tu défis tes sens
Tu détruit ta sagesse m
Posé sur ton mensonge tu dessines ta vérité
Les limites s'efface
Le bien et le mal se vexent
Défonce mes complexes
Et je m'étale dans l'espace
Brûle dans mes veine, brûle
Explose mes angoisses
Brûle de mille feux, tes souvenirs s'enflamment.
Oh mon colorant fais moi tourner la tête
Plus fort que c'est manèges
Que l'ont voit dans les fêtes
Mon colorant fais moi tourner la tête
Plus fort que c'est manèges
Que l'ont voit dans les fêtes
Mon colorant fais moi tourner la tête
Plus fort que c'est manèges
Que l'ont voit dans les fêtes
Mon colorant fais moi tourner la tête
Plus fort que c'est manèges
Que l'ont voit dans les fêtes
6. ANNÉES CLOSES
Où sont passés tes histoires
Qui faisaient de toi une reine
Où sont passés tes fantasmes
Où est passé ton regard
Ton reflet
Ton reflet
N'est plus
N'est plus
Tu t'effaces
Tu t'effaces
Et tes larmes
Décore ton visage
Et tes larmes
Décore ton image
Les fantôme de tes amours t'étourdissent
T'étourdissent
Et dans t'es veines, c'est la haine
Qui te tient couché
Sur la route vers ailleurs
Le regard noyé par tes sentiments
Tu compte les villes et les gens
Tu as perdu l'envie et la peur
A la lumière partielle de la ville
Tu te rappelle... Tu te rappelle....
J'entends tes pleurs
Qui ont perdu leur lueur
Et tu fuis, tu froisse
Ton enveloppe charnelle
J'entends tes pleurs
Qui ont perdu leur lueur
Et tu fuis, tu froisse
Ton enveloppe charnelle
Les carte ont menti,
Le cœurs s'est endormi
Et la peine se réveille
Et la peine se réveille
Ta robe en lambeau va a merveille avec ta chair
Sous tes darps salis par le passé
Ta vie se consume à la vitesse de l'opium
J'entends tes pleurs
Qui ont perdu leur lueur
Et tu fuis, tu froisse
Ton enveloppe charnelle
Ton enveloppe charnelle
Ton enveloppe charnelle
J'entends tes pleurs
Qui ont perdu leur lueur
Et tu fuis, tu froisse
Ton enveloppe charnelle
La nuit était blanche dans tes draps... autrefois...autrefois
La nuit était blanche dans tes draps... autrefois...autrefois
7. ADIEU
Je voudrais vous offrir mes plus belles peines
Mes plus plus doux moments fait d'un rien et de vous
A l'instant où vous pleurez mon histoire
Mon voyages vers l'éternité est déjà commencé.
Je me balance entre ciels et terre
A danser avec les étoiles, a rire parmi les démon
Les démon
Les démon
Alors que le néant se perd à l'infini
Je voudrais vous offrir mes plus belles peines
Mes plus doux moments fait d'un rien et de vous
J'aimerais sentir vos larmes,
Comprendre vos pleure
Et toute c'est image que vous serez si fort
Deviennent à présent de l'or
Qui peu à peu deviendra poussière
Dissipées dans vos mémoire
Car le temps, c'est le temps.
Alors que le néant se perd à l'infini
Je voudrais vous offrir mes plus belles peines
Mes plus doux moments fait d'un rien et de vous
Irez-vous encore sur nos chemins ?
Ramenez-moi quelque fleurs
Au parfums d'été
Irez-vous encore fêter la vie ?
Ramenez-moi quelque souvenirs
au parfum d'éternité
Irez-vous encore erreur la nuit ?
Ramenez-moi quelque pensées
Parfumé de pleurs
8. SOUS LES RACINES
Je suis le sentier qui mène vers l'arbre "désespoir"
Avec moi une rose comme chaque soir
A déposé à ses racines pour les etre que j'ai aimé
Durant cette pièce trop longue que l'on appelle la vie
Que l'on appelle la vie
Que l'on appelle la vie...
Et je creuse ma tombe,
Au pied de l'arbre,
Sous les racines d'un monde trop fou
La pluie scintille,
La lune se cache
Il fait noir je dérape enfin
Les yeux enfuis dans les feuillages
Je perds mes sens pour mieux te retrouver
C'est en ces instants des plus funeste que
La solitude n'entoure, le cri du vent m'étourdit
Je scrute l'horizon sansbte trouver, dévoile toi
Dévoile toi
Dévoile toi
Et je creuse ma tombe,
Au pied de l'arbre,
Sous les racines d'un monde trop fou
La pluie scintille,
La lune se cache
Il fait noir je dérape enfin
Les yeux enfuis dans les feuillages
Je perds mes sens pour mieux te retrouver
Assis dans l'ombre, sous la face cachée des étoiles
Ton visage s'éclaire enfin de mille lumières,
Spectre éternel de la nuit de mes rêves
Guide moi...
Je prie pour toi,
Je pris pour moi,
Je pris encore pour nous
Et je creuse ma tombe,
Au pied de l'arbre,
Sous les racines d'un monde trop fou
La pluie scintille,
La lune se cache
Il fait noir je dérape enfin
Les yeux enfuis dans les feuillages
Je perds mes sens pour mieux te retrouver
9. POUR ÉDOUARD
Les ombre fuient mes pas
Les étoiles s'éteigne
Le ciel en saigne
La nuit éternel
Le jour ne s'allumera pas,
L'inconnu sera moi
Sur mon croisant de lune
Je rêve en vain
De prie Lintre
Et de par-dessus les mers,
Entre chanque étoiles,
Au milieu des deserts un mensonge se voile
Dis, la vérité, tu la connais ?
Alors dis moi quand ça finit ?
Alors dis moi quand ça finit ?
Alors dis moi quand ça finit ?
Aimanté vers l'inconnu
Comme si les astres me guidaient
Je me confonds avec l'air
Par-delà la transparence de mon âme
Alors alors alors dis moi quand ça finit ?
Alors alors alors dis moi quand ça finit ?
Des entrailles du neant jaillit la Belle,
Déjà contempléecomme une divinité.
2. FRÉNÉSIE
Ne me touche pas,
Seul moi en ai le droit
Je te déchire et te murmure
"Ne hurle pas".
La pâleur de nos âmes obscènes,
De ta chair m'obsède
La pâleur de nos âmes obscènes,
De ta chair m'obsède
Tes lèvres bleutées
Sont cousues par l'effroi
Tes lèvres bleutées
Sont cousues par l'effroi
Emmurée dans ton monde,
Pas un seul mot ne sortira
Tes ongles déchirent le sol
Je te saigne et tu crèves comme dans mes rêves
La pâleur de nos âmes obscènes,
De ta chair m'obsède
La pâleur de nos âmes obscènes,
De ta chair m'obsède
Si je te serre contre moi
C'est pour sentir tes sanglots
Les horreurs de nos désastres
Se sont enfin chevauchés
Mes mains agresse ton corsage,
Sous ton sein blanc je m'y repose
Je déchire ton costume
Et tu supplies la vie de te garder
Ta peau se déchire sous mes doigts.
Ta peau se déchire sous mes doigts.
Ta peau se déchire sous mes doigts.
La pâleur de nos âmes obscènes,
De ta chair m'obsède
La pâleur de nos âmes obscènes,
De ta chair m'obsède
La pâleur de nos âmes obscènes,
De ta chair m'obsède
D'un regard dépassé
Je te contemple avant de m'effacer
Nouvelle divinité
Par la vengeance et par l'envie,
Tu termineras ce que j'ai commencé
D'un regard dépassé
Je te contemple avant de m'effacer
Nouvelle divinité
Par la vengeance et par l'envie,
Tu termineras ce que j'ai commencé
Ce que j'ai commencé
Ce que j'ai commencé
Ce que j'ai commencé
Ce que j'ai commencé
3. DÉLICATE
Les yeux fixés dur ton image
Tu dévisages ce reflet
Qui fait tant rêver les poètes
Une muse destinée, magnifiée est née parmi les rêveurs
Parmi les rêveurs
Alors tu vis quand la nuit
Accompagnée par l'opium
Tu te plaîs à découvrir ton corps
Et à jouer avec la mort
Délicate princesse
Sous tes histoires, sous tes grands air tu cache
L'imposture
Délicate princesse
Sous tes histoires, sous tes grands air tu cache
L'imposture
Tu découvre comme une enfant
Les joies des saisons
Et le bonheur des amours
Tu joue à la femme rusée
En parcourant les soirées
En riant de tes amants
Délicate princesse
Sous tes histoires, sous tes grands air tu cache
L'imposture
Délicate princesse
Sous tes histoires, sous tes grands air tu cache
L'imposture
Princesse. Pute.
Princesse. Pute.
Princesse. Pute.
Princesse. Pute.
Délicate princesse où exquise pute ?
Au regard perverti, au sourire angélique
Sois ma reine, deviens ma haine
Te voilà à l'apogée de ta chute
Irréversible descente vers la débauche
Tu ris de jouer des êtres
Mais tu ne vois jamais
Plus loin que ton reflet
Ton corset étouffe ta raison
4. LA FÉE DE L'ÉTRANGE
On l'appel le tombeau des incompris
Et tu seras la fée de nos songes
On l'appel le tombeau des incompris
Et tu seras la fée de nos songes
Ta jeunesse est invincible
Car la folie fait ta beauté
Ta jeunesse est invincible
Car la folie fait ta beauté
Ta jeunesse est invincible
On l'appelle le berceau des âmes perdues
Quelle étrange attraction en ces lieux
Où l'on se mélange aux pauvres diables
Qui vivent le sourire aux lèvres emmurées par le vice
Serait-ce la chaleur ou l'ivresse qui arrache nos vêtements
Les cris et la violence nous obsèdent
On l'appel le tombeau des incompris
Et tu seras la fée de nos songes
On l'appel le tombeau des incompris
Et tu seras la fée de nos songes
Je prie pour un regard
Tu ris de nous voir
Insignifiant prétendant au rêve éphémère
Au rêve éphémère
C'est en ces lieux que la frontière
Entre le rêve et le cauchemar s'est éteinte
L'excès nous rappelle à la vie
C'est l'excès qui te fait envie
Les couleurs, les sons, les êtres se mélangent
Pour le plaisir des sens
Te voilà reine des femmes
Et maintenant...
Et maintenant...
Et maintenant...
Chacun vit dans son enfer
Son enfer
On l'appel le tombeau des incompris
Et tu seras la fée de nos songes
On l'appel le tombeau des incompris
Et tu seras la fée de nos songes
5. LE COLORANT ET L'ANGOISSE
Oh mon colorant fais moi tourner la tête
Plus fort que c'est manèges
Que l'ont voit dans les fêtes
Mon colorant fais moi tourner la tête
Plus fort que c'est manèges
Que l'ont voit dans les fêtes
Sens-tu la panique ?
Sens tu la chaleur ?
C'est du bonheur qui coule dans tes veines
L'esprit a l'envers
Tu t'évade sans cesse
Et tu m'emmènes avec toi
Et tu t'évade avec moi
Mon colorant fais moi tourner la tête
Plus fort que c'est manèges
Que l'ont voit dans les fêtes
Mon colorant fais moi tourner la tête
Plus fort que c'est manèges
Que l'ont voit dans les fêtes
Prend voir mon âme, brûle
Prend voir mes sens, brûle
Prend voir mon âme, brûle
Prend voir mes sens, brûle
Prend voir mon âme, brûle
Prend voir mes sens, brûle
Tu défis tes sens
Tu détruit ta sagesse m
Posé sur ton mensonge tu dessines ta vérité
Les limites s'efface
Le bien et le mal se vexent
Défonce mes complexes
Et je m'étale dans l'espace
Brûle dans mes veine, brûle
Explose mes angoisses
Brûle de mille feux, tes souvenirs s'enflamment.
Oh mon colorant fais moi tourner la tête
Plus fort que c'est manèges
Que l'ont voit dans les fêtes
Mon colorant fais moi tourner la tête
Plus fort que c'est manèges
Que l'ont voit dans les fêtes
Mon colorant fais moi tourner la tête
Plus fort que c'est manèges
Que l'ont voit dans les fêtes
Mon colorant fais moi tourner la tête
Plus fort que c'est manèges
Que l'ont voit dans les fêtes
6. ANNÉES CLOSES
Où sont passés tes histoires
Qui faisaient de toi une reine
Où sont passés tes fantasmes
Où est passé ton regard
Ton reflet
Ton reflet
N'est plus
N'est plus
Tu t'effaces
Tu t'effaces
Et tes larmes
Décore ton visage
Et tes larmes
Décore ton image
Les fantôme de tes amours t'étourdissent
T'étourdissent
Et dans t'es veines, c'est la haine
Qui te tient couché
Sur la route vers ailleurs
Le regard noyé par tes sentiments
Tu compte les villes et les gens
Tu as perdu l'envie et la peur
A la lumière partielle de la ville
Tu te rappelle... Tu te rappelle....
J'entends tes pleurs
Qui ont perdu leur lueur
Et tu fuis, tu froisse
Ton enveloppe charnelle
J'entends tes pleurs
Qui ont perdu leur lueur
Et tu fuis, tu froisse
Ton enveloppe charnelle
Les carte ont menti,
Le cœurs s'est endormi
Et la peine se réveille
Et la peine se réveille
Ta robe en lambeau va a merveille avec ta chair
Sous tes darps salis par le passé
Ta vie se consume à la vitesse de l'opium
J'entends tes pleurs
Qui ont perdu leur lueur
Et tu fuis, tu froisse
Ton enveloppe charnelle
Ton enveloppe charnelle
Ton enveloppe charnelle
J'entends tes pleurs
Qui ont perdu leur lueur
Et tu fuis, tu froisse
Ton enveloppe charnelle
La nuit était blanche dans tes draps... autrefois...autrefois
La nuit était blanche dans tes draps... autrefois...autrefois
7. ADIEU
Je voudrais vous offrir mes plus belles peines
Mes plus plus doux moments fait d'un rien et de vous
A l'instant où vous pleurez mon histoire
Mon voyages vers l'éternité est déjà commencé.
Je me balance entre ciels et terre
A danser avec les étoiles, a rire parmi les démon
Les démon
Les démon
Alors que le néant se perd à l'infini
Je voudrais vous offrir mes plus belles peines
Mes plus doux moments fait d'un rien et de vous
J'aimerais sentir vos larmes,
Comprendre vos pleure
Et toute c'est image que vous serez si fort
Deviennent à présent de l'or
Qui peu à peu deviendra poussière
Dissipées dans vos mémoire
Car le temps, c'est le temps.
Alors que le néant se perd à l'infini
Je voudrais vous offrir mes plus belles peines
Mes plus doux moments fait d'un rien et de vous
Irez-vous encore sur nos chemins ?
Ramenez-moi quelque fleurs
Au parfums d'été
Irez-vous encore fêter la vie ?
Ramenez-moi quelque souvenirs
au parfum d'éternité
Irez-vous encore erreur la nuit ?
Ramenez-moi quelque pensées
Parfumé de pleurs
8. SOUS LES RACINES
Je suis le sentier qui mène vers l'arbre "désespoir"
Avec moi une rose comme chaque soir
A déposé à ses racines pour les etre que j'ai aimé
Durant cette pièce trop longue que l'on appelle la vie
Que l'on appelle la vie
Que l'on appelle la vie...
Et je creuse ma tombe,
Au pied de l'arbre,
Sous les racines d'un monde trop fou
La pluie scintille,
La lune se cache
Il fait noir je dérape enfin
Les yeux enfuis dans les feuillages
Je perds mes sens pour mieux te retrouver
C'est en ces instants des plus funeste que
La solitude n'entoure, le cri du vent m'étourdit
Je scrute l'horizon sansbte trouver, dévoile toi
Dévoile toi
Dévoile toi
Et je creuse ma tombe,
Au pied de l'arbre,
Sous les racines d'un monde trop fou
La pluie scintille,
La lune se cache
Il fait noir je dérape enfin
Les yeux enfuis dans les feuillages
Je perds mes sens pour mieux te retrouver
Assis dans l'ombre, sous la face cachée des étoiles
Ton visage s'éclaire enfin de mille lumières,
Spectre éternel de la nuit de mes rêves
Guide moi...
Je prie pour toi,
Je pris pour moi,
Je pris encore pour nous
Et je creuse ma tombe,
Au pied de l'arbre,
Sous les racines d'un monde trop fou
La pluie scintille,
La lune se cache
Il fait noir je dérape enfin
Les yeux enfuis dans les feuillages
Je perds mes sens pour mieux te retrouver
9. POUR ÉDOUARD
Les ombre fuient mes pas
Les étoiles s'éteigne
Le ciel en saigne
La nuit éternel
Le jour ne s'allumera pas,
L'inconnu sera moi
Sur mon croisant de lune
Je rêve en vain
De prie Lintre
Et de par-dessus les mers,
Entre chanque étoiles,
Au milieu des deserts un mensonge se voile
Dis, la vérité, tu la connais ?
Alors dis moi quand ça finit ?
Alors dis moi quand ça finit ?
Alors dis moi quand ça finit ?
Aimanté vers l'inconnu
Comme si les astres me guidaient
Je me confonds avec l'air
Par-delà la transparence de mon âme
Alors alors alors dis moi quand ça finit ?
Alors alors alors dis moi quand ça finit ?
teksty dodane przez Bonjour - Edytuj teksty
