
Psyderia : 8.8.8

Teksty
1. ASYLUM
2. RIP
Je sens dans mes entrailles,
Une sombre douleur imprécise
Haine qui erre,
Se cogne à mon apathie,
Se manifeste,
Et monte jusqu'à ma tête.
Sombre rancur,
Prendra possession de moi.
Mon petit bout de rancur,
L'enfant que je porte en moi,
Se nourrit de mes entrailles.
Il gît au creux de mon ventre,
Sans même cordon ombilical,
Indépendant de moi.
L'inavouable embryon
S'insurge à mon insu.
Il grandit, se nourrit de moi,
Et de toute ma colère
Imagine déjà un chaos patricide,
Notre père à tous les deux.
[refrain:]
Dors, pendant que ma haine dort,
Profites, reposes en paix,
Avant que la haine que je berce ne se réveille
Ne vienne te retrouver,
Troubler, asséner ton lémure,
Dors, mais viendra l'heure
Où j'enfanterai ma rancur.
Celle qui pleure de trop dormir,
Affamée de vengeance mise à jour.
Ton repos ne sera pas éternel
Je léserai ta paix post-mortem.
J'entends l'enfant impatient
Qui chaque jour gronde en moi.
Avide de sombres représailles
La bête hurle à mon trépas,
Invoque la mort prématurée
Pour plus vite te rejoindre
T'empêcher de trop te reposer,
Faire de ta mort, l'enfer,
Le chaos qui me vengera.
Reposes toi.
Je t'offre encore quelques temps,
Un sommeil assuré
Avant l'éternel supplice,
Reposes en paix
[refrain.]
Dors, pendant que ma haine dort,
Profites, reposes en paix,
Avant que la haine que je berce,
Ne te rejoigne,
Dans ton linceul.
3. CESSE L'IMMONDICE
Aucun souffle, tout est vide, mon corps se plaint encore
La douleur, jamais plus, ne quittera mon sort.
Souvenirs insensés, dans ma tête, ils s'affichent.
Tu vois, le passé parle de lui, ne te quitte plus;
Il s'impose, il résonne ne cesse de te hanter.
Tu as cousu ma bouche pour enfermer mes cris.
Mais je monterai mon armée, seule ou avec,
Je viendrais te tuer, viendrais t'assujettir
Je te montrerai du doigt, briser le silence
Qui me hante.
Lever le voile
Pensées aussi absurdes que réelles
Je suis ta victime,
L'éphémère morceau de chair,
Ton vide-ordures.
Je mettrai ma vie en péril
Pour y mettre la tienne,
Je te retrouverai.
[refrain 1:]
Tu m'as trahit, soumise, brûlée vive,
Vengeance s'exécutera
Qu'importe où je dois te poursuivre
Je te retrouverai.
Je te retrouverai.
Je semble te connaître
Mieux que quiconque.
Mes mains barrent mes yeux,
Comme les tiennes bouchent ma bouche.
Anesthésiée, la masse corporelle se fait lourde.
Oculaire, la tête fuit à s'en briser les ongles.
Je récolte les bouts, à t'en bouffer la chair.
L'immondice, reine sous les couches de crasse.
A l'effet acide, ronge les os fragiles.
Bourreau aveuglé, a la tête insonorisée.
Sous-estime, frappe, fuit, j'attends,
Mes peurs prennent peur.
[refrain 2:]
Viens l'ultime soir.
Ton regard me fait peur, silence,
Tu n'es plus toi.
Je sens encore la lame sous ma gorge,
Je n'suis plus moi.
Le temps présente une si belle
Occasion, la dernière heure.
Tes arguments étaient si réels,
Je n'pouvais les nier.
Tes derniers mots résonnent encore:
Je t'aime, réfléchis, regardes
Ce que papa a fait
Plus rien, ici.
Je serais toujours là.
Monotone, tu récites que les regrets te dévorent
Combien tu m'as souillé.
Ton cur dans mes mains
Une seule pression, et tout redeviens mien.
Naïve, j'y crois encore.
[Fin:]
Un couteau dans la plaie,
Un couteau dans ta rose.
Un mouvement plus tard, vient l'agonie.
Le froid t'envahit.
Tu sembles sans vie.
Gisant contre terre,
Tes yeux vitreux ne se fermeront plus.
Aies le courage,
Regarde-moi, une dernière fois.
4. LE TEMPS S'EN MELE
5. AUX REMORDS DE L'INCUBE
Lacérant ton image de mes ongles qui pourrissent sous ton sang
Je ne peux plus voir tes yeux qui longtemps ont dévêtit mon corps
Ces couches de peau inutiles.
Pardonnes moi de gratter ton crane.
L'obscène obsession alourdit ton cur
Assoiffé de sombres représailles
Il a trop trainé de corps dans la boue
Des pas de son ombre.
(refrain: Solo + cris)
L'insecte se meurt, hanté d'avoir trop grignoté l'interdit
La bête veut une ultime fois,
Dévorer, rien qu'une dernière fois.
Son cur saigne et j'aspire sa vie,
Me voilà assiégée, prise
D'un flot d'images brulantes,
C'est dans mes yeux que défile sa vie.
Aux remords de l'incube, je n'y comprends rien!
L'absurdité animée
Alourdit ton cur.
L'incube qui me hante, me torture,
Il s'approche et défait mes sourires.
Mes peurs prennent peur,
Dévalent le fond de ma tête,
Et se refugient dans mes yeux.
Tes remords y prennent part,
Tu supplies, priant le coup de grâce.
Tes mots se cognent à l'encéphale
Et grignotent les restes méninges
Je n'veux plus t'écouter
Je me ferais sourde.
(refrain: Solo+cris)
Invoques et chuchotes
Mais ne cries pas trop fort.
Tes yeux s'illuminent lorsque
Tes eaux se mêlent aux miennes, en moi
Mes entrailles braillent
A la nuit tombée se déchainent les monstres
Ta folie furieuse
Ils ne dormiront jamais,
Les regards avides assoiffés
Affamés, instinctifs.
Tu me creuses et mes os s'écaillent
Je tombe en miettes
Sombres heures à bouffer,
À empêcher mes cris
Me les faire avaler.
[A capella:]
Boire mes larmes futiles
Au gout amer
À la saveur de détresse.
6. DESTRUCTION MUTUELLE
Dans tes ténèbres je me perds.
Mais j'aime cet état où j'erre dans ta tête
Occultée par ton ombre.
J'aime exister, latente dans ton âme
Aux souvenirs imprécis,
Je t'aime je te déteste indifférent.
Je cherche à te savoir me détester
L'oubli fait mal, la haine rassure.
Ne m'oublis jamais, détestes moi.
Cachée dans un coin de ta tête, je survis.
Souviens de qui je suis,
Souviens-toi de ce que je peux faire
Je la hanterai jusqu'à la fin.
Et je boufferai ton cur,
Comme tu as piétiné le mien.
Si tu me délaisses.
Je ne saurais plus où errer,
Mais je retrouverai ta tête,
Je la hanterai jusqu'à la fin
Et je boufferai ton cur,
Comme tu as piétiné le mien.
[refrain1 x2:]
Je te tuerai
Et j'en serai honorée.
D'être la dernière que tu vois,
La dernière que tu serres.
Dans tes ténèbres tu me tiens.
Tu aimes cet état où tu erres dans ma tête
Sans laisser de répit à mon âme torturée
Par ton égocentrisme aux limites imprécises.
Tu sais que tu me tiens,
Dans ton piège, immobile, soumise, esclave,
Tu profites de ma faiblesse à ton image.
Je ne te quitte plus, quitte à tout perdre.
Tout te rappelle, imaginaire, absent de moi.
Je me souviendrai de toi;
Je ne peux te dissoudre.
Mon cerveau est imprégné de toi.
Mon cur a tout bu de ton être
Assoiffé il en redemande,
Il freine et s'affaiblit encore.
Chaque jour de plus est torture
Et chaque insomnie née de toi.
[refrain2 x2: ]
Je veux mourir devant toi,
Pour passer le dernier instant avec toi.
Serres moi fort, étouffes moi,
Ainsi je pourrai partir dans tes bras.
Je ne te lâcherai plus,
Boufferai tes jours heureux,
Rirai aux yeux de tes heures de sommeil.
Et façonnerai tes rêves,
Pour encore m'y trouver.
M'immiscerai dans ta tête,
Pour encore me voir
Lorsque tu fermeras les yeux.
Je veux ton cur au creux de mes mains,
Je serre si fort que je le broie.
Tu m'as détruis sans même savoir.
Tu ris me regardant morte de toi.
Ainsi, on se détruit, lacère nos âmes,
Aux brefs souvenirs d'idylle.
Destruction mutuelle,
Lent meurtre du cur de l'autre.
2. RIP
Je sens dans mes entrailles,
Une sombre douleur imprécise
Haine qui erre,
Se cogne à mon apathie,
Se manifeste,
Et monte jusqu'à ma tête.
Sombre rancur,
Prendra possession de moi.
Mon petit bout de rancur,
L'enfant que je porte en moi,
Se nourrit de mes entrailles.
Il gît au creux de mon ventre,
Sans même cordon ombilical,
Indépendant de moi.
L'inavouable embryon
S'insurge à mon insu.
Il grandit, se nourrit de moi,
Et de toute ma colère
Imagine déjà un chaos patricide,
Notre père à tous les deux.
[refrain:]
Dors, pendant que ma haine dort,
Profites, reposes en paix,
Avant que la haine que je berce ne se réveille
Ne vienne te retrouver,
Troubler, asséner ton lémure,
Dors, mais viendra l'heure
Où j'enfanterai ma rancur.
Celle qui pleure de trop dormir,
Affamée de vengeance mise à jour.
Ton repos ne sera pas éternel
Je léserai ta paix post-mortem.
J'entends l'enfant impatient
Qui chaque jour gronde en moi.
Avide de sombres représailles
La bête hurle à mon trépas,
Invoque la mort prématurée
Pour plus vite te rejoindre
T'empêcher de trop te reposer,
Faire de ta mort, l'enfer,
Le chaos qui me vengera.
Reposes toi.
Je t'offre encore quelques temps,
Un sommeil assuré
Avant l'éternel supplice,
Reposes en paix
[refrain.]
Dors, pendant que ma haine dort,
Profites, reposes en paix,
Avant que la haine que je berce,
Ne te rejoigne,
Dans ton linceul.
3. CESSE L'IMMONDICE
Aucun souffle, tout est vide, mon corps se plaint encore
La douleur, jamais plus, ne quittera mon sort.
Souvenirs insensés, dans ma tête, ils s'affichent.
Tu vois, le passé parle de lui, ne te quitte plus;
Il s'impose, il résonne ne cesse de te hanter.
Tu as cousu ma bouche pour enfermer mes cris.
Mais je monterai mon armée, seule ou avec,
Je viendrais te tuer, viendrais t'assujettir
Je te montrerai du doigt, briser le silence
Qui me hante.
Lever le voile
Pensées aussi absurdes que réelles
Je suis ta victime,
L'éphémère morceau de chair,
Ton vide-ordures.
Je mettrai ma vie en péril
Pour y mettre la tienne,
Je te retrouverai.
[refrain 1:]
Tu m'as trahit, soumise, brûlée vive,
Vengeance s'exécutera
Qu'importe où je dois te poursuivre
Je te retrouverai.
Je te retrouverai.
Je semble te connaître
Mieux que quiconque.
Mes mains barrent mes yeux,
Comme les tiennes bouchent ma bouche.
Anesthésiée, la masse corporelle se fait lourde.
Oculaire, la tête fuit à s'en briser les ongles.
Je récolte les bouts, à t'en bouffer la chair.
L'immondice, reine sous les couches de crasse.
A l'effet acide, ronge les os fragiles.
Bourreau aveuglé, a la tête insonorisée.
Sous-estime, frappe, fuit, j'attends,
Mes peurs prennent peur.
[refrain 2:]
Viens l'ultime soir.
Ton regard me fait peur, silence,
Tu n'es plus toi.
Je sens encore la lame sous ma gorge,
Je n'suis plus moi.
Le temps présente une si belle
Occasion, la dernière heure.
Tes arguments étaient si réels,
Je n'pouvais les nier.
Tes derniers mots résonnent encore:
Je t'aime, réfléchis, regardes
Ce que papa a fait
Plus rien, ici.
Je serais toujours là.
Monotone, tu récites que les regrets te dévorent
Combien tu m'as souillé.
Ton cur dans mes mains
Une seule pression, et tout redeviens mien.
Naïve, j'y crois encore.
[Fin:]
Un couteau dans la plaie,
Un couteau dans ta rose.
Un mouvement plus tard, vient l'agonie.
Le froid t'envahit.
Tu sembles sans vie.
Gisant contre terre,
Tes yeux vitreux ne se fermeront plus.
Aies le courage,
Regarde-moi, une dernière fois.
4. LE TEMPS S'EN MELE
5. AUX REMORDS DE L'INCUBE
Lacérant ton image de mes ongles qui pourrissent sous ton sang
Je ne peux plus voir tes yeux qui longtemps ont dévêtit mon corps
Ces couches de peau inutiles.
Pardonnes moi de gratter ton crane.
L'obscène obsession alourdit ton cur
Assoiffé de sombres représailles
Il a trop trainé de corps dans la boue
Des pas de son ombre.
(refrain: Solo + cris)
L'insecte se meurt, hanté d'avoir trop grignoté l'interdit
La bête veut une ultime fois,
Dévorer, rien qu'une dernière fois.
Son cur saigne et j'aspire sa vie,
Me voilà assiégée, prise
D'un flot d'images brulantes,
C'est dans mes yeux que défile sa vie.
Aux remords de l'incube, je n'y comprends rien!
L'absurdité animée
Alourdit ton cur.
L'incube qui me hante, me torture,
Il s'approche et défait mes sourires.
Mes peurs prennent peur,
Dévalent le fond de ma tête,
Et se refugient dans mes yeux.
Tes remords y prennent part,
Tu supplies, priant le coup de grâce.
Tes mots se cognent à l'encéphale
Et grignotent les restes méninges
Je n'veux plus t'écouter
Je me ferais sourde.
(refrain: Solo+cris)
Invoques et chuchotes
Mais ne cries pas trop fort.
Tes yeux s'illuminent lorsque
Tes eaux se mêlent aux miennes, en moi
Mes entrailles braillent
A la nuit tombée se déchainent les monstres
Ta folie furieuse
Ils ne dormiront jamais,
Les regards avides assoiffés
Affamés, instinctifs.
Tu me creuses et mes os s'écaillent
Je tombe en miettes
Sombres heures à bouffer,
À empêcher mes cris
Me les faire avaler.
[A capella:]
Boire mes larmes futiles
Au gout amer
À la saveur de détresse.
6. DESTRUCTION MUTUELLE
Dans tes ténèbres je me perds.
Mais j'aime cet état où j'erre dans ta tête
Occultée par ton ombre.
J'aime exister, latente dans ton âme
Aux souvenirs imprécis,
Je t'aime je te déteste indifférent.
Je cherche à te savoir me détester
L'oubli fait mal, la haine rassure.
Ne m'oublis jamais, détestes moi.
Cachée dans un coin de ta tête, je survis.
Souviens de qui je suis,
Souviens-toi de ce que je peux faire
Je la hanterai jusqu'à la fin.
Et je boufferai ton cur,
Comme tu as piétiné le mien.
Si tu me délaisses.
Je ne saurais plus où errer,
Mais je retrouverai ta tête,
Je la hanterai jusqu'à la fin
Et je boufferai ton cur,
Comme tu as piétiné le mien.
[refrain1 x2:]
Je te tuerai
Et j'en serai honorée.
D'être la dernière que tu vois,
La dernière que tu serres.
Dans tes ténèbres tu me tiens.
Tu aimes cet état où tu erres dans ma tête
Sans laisser de répit à mon âme torturée
Par ton égocentrisme aux limites imprécises.
Tu sais que tu me tiens,
Dans ton piège, immobile, soumise, esclave,
Tu profites de ma faiblesse à ton image.
Je ne te quitte plus, quitte à tout perdre.
Tout te rappelle, imaginaire, absent de moi.
Je me souviendrai de toi;
Je ne peux te dissoudre.
Mon cerveau est imprégné de toi.
Mon cur a tout bu de ton être
Assoiffé il en redemande,
Il freine et s'affaiblit encore.
Chaque jour de plus est torture
Et chaque insomnie née de toi.
[refrain2 x2: ]
Je veux mourir devant toi,
Pour passer le dernier instant avec toi.
Serres moi fort, étouffes moi,
Ainsi je pourrai partir dans tes bras.
Je ne te lâcherai plus,
Boufferai tes jours heureux,
Rirai aux yeux de tes heures de sommeil.
Et façonnerai tes rêves,
Pour encore m'y trouver.
M'immiscerai dans ta tête,
Pour encore me voir
Lorsque tu fermeras les yeux.
Je veux ton cur au creux de mes mains,
Je serre si fort que je le broie.
Tu m'as détruis sans même savoir.
Tu ris me regardant morte de toi.
Ainsi, on se détruit, lacère nos âmes,
Aux brefs souvenirs d'idylle.
Destruction mutuelle,
Lent meurtre du cur de l'autre.
teksty dodane przez DarkSanctuary - Edytuj teksty
