
Molosse : Berserk

Letras
1. BERSERK
Berserk, pourquoi ? L'infanterie barbare qui ne s'avoue Jamais vaincue. L'escadron du mal, qui force, annihile et Tue. J'ai mal ! Ma raison ne me parle plus. Mes enfants Sont tous morts? Ma chaire, mon corps. La vengeance dans le Sang, je suis berserk. Je ne crains plus la douleur, je Sème la terreur. Jusqu'au bout de ma rancœur, je suis Berserk. Je suis le pourfendeur de corps, qui tranche tête Après tête. Avatar de la peur, je suis plus crains que la Peste. Ma lame ! C'est ma vertu. Si j'arrête mon combat, je Trahis ma promesse. Les cadavres s'amoncellent, je ne Compte plus, les jours passent, mais la douleur reste la Même. Je ne me reconnais plus.
2. LA ROUTE DE LA SOLITUDE
La passion déchaîne les âmes, qui se rejoignent sur la même Route. L'A4 des drogués à l'acclamation. Les notes sont Comme une manne, l'Alexandrie de l'enfer. Les kilomètres se Creusent, la route est décimée, beaucoup d'appelés, très Peu d'élus. A l'ombre des paillettes, chacun creuse son Trou, en traînant son sillage de sacrifice. Seul paye le Don de soi. La route de la solitude, à tester nos vertus, Elle nous laisse dans la turpitude, la route de la Solitude, y laisser des plumes est devenu une habitude. Chacun traîne son sillage de sacrifices, la route est Décimée. Plus qu'un sentier donnant sur le vide. Il faut Payer le prix, trop tard pour reculer. Les lumières Paraissent moins brillantes, la route est un chemin rude. Une profession de foi, une bataille ardue. Tout bascule. La Plèbe donne le change, les nerfs flanchent, la brume se Dissipe le réalisme s'installe. Si la victoire était Attente, si ce que nous voulions nous l'avions déjà, mais Fut-ce masqué par l'arrogance et le grosbillisme. L'heure Du bilan a sonné, les sourires font place à l'amertume. Plus tu montes, plus dure sera ta chute. Le temps fera le Reste.
3. BABYLONE
Nous sommes, à la croisée des histoires, au commencement de L'humain, à l'origine des destins. Il existe, entre le Tigre et l'Euphrate, une cité aux mille portes, bâtie par La force des Sumériens, Babylone. Hamourou t'as bâtie, Xerxès t'as mise par terre, mais toujours tu revis, Toujours tu revis, Babylone. 1800 ans, des massacres tu en As vu, assez pour savoir, que l'humain ne se refait plus. L'oublie t'as tué, c'est l'oublie qui t'as tué. Traversant Les époques, fatales comme la peste, la jalousie, le désir De possession, les années ont passées précèdent des Milliers, la douleur de l'éternité, toutes nos vies Menacées. Une époque est finie, une autre s'apprête a Naître,les massacres ressurgissent, Babylone.
4. NE POUR ÊTRE TUE
Né pour être tué. Né sans liberté, condamné dans une cage, J'observe les atrocités, pourquoi tant de rage ? Coupable D'être humain, le sang coule nos veines, autant qu'entre Nos mains. Coupable sans aucun doute, d'asservir coûte que Coûte, notre silence vaut des vies, assieds toi sur leur Morts. Né pour être tué. Je sens la peur, je sens le sang Des miens, mes frères meurent, sur un tapis roulant, honte A vous. Nous sommes des monstres, assoiffés par le fric, Fermer les yeux n'est pas dérangeant, tant qu'on peut Garder notre confort. La fin justifie les moyens. Les Choses changent, c'est nous dorénavant, je vis leur Souffrance, je vois le tapis roulant. Honte à nous.
5. HUMAIN
(No lyrics available)
6. ENDURANCE
L'endurance, tous les jours on y fait face, endurer sa Propre faiblesse face au monde. L'endurance, c'est hurler En silence et porter le fardeau des autres. Surmonter, les Difficultés, avancer. Certains raccrochent en route, D'autres subissent le double du commun mais rien ne protège De la douleur. L'endurance, prouve la vraie valeur d'un Homme, les actes parlent d'eux-mêmes. L'endurance, c'est Accepter la souffrance, car souffrir nous rappelle qu'on Existe. Emmagasiner ses larmes au fond des yeux, tout le Courage de nos âmes se reflète en eux, réussi à enfouir ses Sentiments, surpasser son corps et son esprit, la sagesse Donne la force, jamais inversement. Fais front et fais Face... c'est tout...
7. LES SENTINELLES DE L'ABNÉGATION
Depuis quand, n'as-tu plus été appelé humain ? Depuis que De toi on ne veut que tes mains. Fils du soleil levant, Privé de lumière, atrophié par l'obscurité de ta prison D'amiante et d'acier, les jours passent mais même la mort T'as oublié, vivre sans vivre, telle est ta destinée. La Dureté de ton calvaire, n'as pas d'équivalent, les mains Saignantes, les yeux tournés vers le néant, c'est le seul Sentiment que tu connais, le seul qu'on t'ai enseigné, le Seul que tu ne connaîtras à jamais. Tu ne connais pas D'autre vie, tu ne connais que ta mort, tu n'as que la Souffrance de l'abnégation, esclave de ta destruction. Ouvrons les yeux, nous sacrifions leur vie pour notre Confort, sommes-nous aux pires heures de notre histoire ? Nous sommes la source de leur mort ! Tu rêves ta vie, tu en Oublies ta captivité, nous vivons tes rêves sans nous en Soucier. Tu as l'espoir, nous sommes blasés...La Sentinelle...
8. AVE TENEBRAE
Transcende ta foi, soulève ta crois, agenouilles-toi; Mortels combats. Engendrés par nos pères, gangrenés par nos Pairs, morts en l'air non en pleine ascension. Ave Tenebrae, Chaos Soit ! Rouge pour toujours, rouge tous les Jours. Notre sang n'a de goût que lorsqu'il a fini de Couler. Inscrit dans nos âmes, prouvé par nos armes, nous Les sentinelles de l'abnégation, mort en l'air, non en Pleine ascension.
Berserk, pourquoi ? L'infanterie barbare qui ne s'avoue Jamais vaincue. L'escadron du mal, qui force, annihile et Tue. J'ai mal ! Ma raison ne me parle plus. Mes enfants Sont tous morts? Ma chaire, mon corps. La vengeance dans le Sang, je suis berserk. Je ne crains plus la douleur, je Sème la terreur. Jusqu'au bout de ma rancœur, je suis Berserk. Je suis le pourfendeur de corps, qui tranche tête Après tête. Avatar de la peur, je suis plus crains que la Peste. Ma lame ! C'est ma vertu. Si j'arrête mon combat, je Trahis ma promesse. Les cadavres s'amoncellent, je ne Compte plus, les jours passent, mais la douleur reste la Même. Je ne me reconnais plus.
2. LA ROUTE DE LA SOLITUDE
La passion déchaîne les âmes, qui se rejoignent sur la même Route. L'A4 des drogués à l'acclamation. Les notes sont Comme une manne, l'Alexandrie de l'enfer. Les kilomètres se Creusent, la route est décimée, beaucoup d'appelés, très Peu d'élus. A l'ombre des paillettes, chacun creuse son Trou, en traînant son sillage de sacrifice. Seul paye le Don de soi. La route de la solitude, à tester nos vertus, Elle nous laisse dans la turpitude, la route de la Solitude, y laisser des plumes est devenu une habitude. Chacun traîne son sillage de sacrifices, la route est Décimée. Plus qu'un sentier donnant sur le vide. Il faut Payer le prix, trop tard pour reculer. Les lumières Paraissent moins brillantes, la route est un chemin rude. Une profession de foi, une bataille ardue. Tout bascule. La Plèbe donne le change, les nerfs flanchent, la brume se Dissipe le réalisme s'installe. Si la victoire était Attente, si ce que nous voulions nous l'avions déjà, mais Fut-ce masqué par l'arrogance et le grosbillisme. L'heure Du bilan a sonné, les sourires font place à l'amertume. Plus tu montes, plus dure sera ta chute. Le temps fera le Reste.
3. BABYLONE
Nous sommes, à la croisée des histoires, au commencement de L'humain, à l'origine des destins. Il existe, entre le Tigre et l'Euphrate, une cité aux mille portes, bâtie par La force des Sumériens, Babylone. Hamourou t'as bâtie, Xerxès t'as mise par terre, mais toujours tu revis, Toujours tu revis, Babylone. 1800 ans, des massacres tu en As vu, assez pour savoir, que l'humain ne se refait plus. L'oublie t'as tué, c'est l'oublie qui t'as tué. Traversant Les époques, fatales comme la peste, la jalousie, le désir De possession, les années ont passées précèdent des Milliers, la douleur de l'éternité, toutes nos vies Menacées. Une époque est finie, une autre s'apprête a Naître,les massacres ressurgissent, Babylone.
4. NE POUR ÊTRE TUE
Né pour être tué. Né sans liberté, condamné dans une cage, J'observe les atrocités, pourquoi tant de rage ? Coupable D'être humain, le sang coule nos veines, autant qu'entre Nos mains. Coupable sans aucun doute, d'asservir coûte que Coûte, notre silence vaut des vies, assieds toi sur leur Morts. Né pour être tué. Je sens la peur, je sens le sang Des miens, mes frères meurent, sur un tapis roulant, honte A vous. Nous sommes des monstres, assoiffés par le fric, Fermer les yeux n'est pas dérangeant, tant qu'on peut Garder notre confort. La fin justifie les moyens. Les Choses changent, c'est nous dorénavant, je vis leur Souffrance, je vois le tapis roulant. Honte à nous.
5. HUMAIN
(No lyrics available)
6. ENDURANCE
L'endurance, tous les jours on y fait face, endurer sa Propre faiblesse face au monde. L'endurance, c'est hurler En silence et porter le fardeau des autres. Surmonter, les Difficultés, avancer. Certains raccrochent en route, D'autres subissent le double du commun mais rien ne protège De la douleur. L'endurance, prouve la vraie valeur d'un Homme, les actes parlent d'eux-mêmes. L'endurance, c'est Accepter la souffrance, car souffrir nous rappelle qu'on Existe. Emmagasiner ses larmes au fond des yeux, tout le Courage de nos âmes se reflète en eux, réussi à enfouir ses Sentiments, surpasser son corps et son esprit, la sagesse Donne la force, jamais inversement. Fais front et fais Face... c'est tout...
7. LES SENTINELLES DE L'ABNÉGATION
Depuis quand, n'as-tu plus été appelé humain ? Depuis que De toi on ne veut que tes mains. Fils du soleil levant, Privé de lumière, atrophié par l'obscurité de ta prison D'amiante et d'acier, les jours passent mais même la mort T'as oublié, vivre sans vivre, telle est ta destinée. La Dureté de ton calvaire, n'as pas d'équivalent, les mains Saignantes, les yeux tournés vers le néant, c'est le seul Sentiment que tu connais, le seul qu'on t'ai enseigné, le Seul que tu ne connaîtras à jamais. Tu ne connais pas D'autre vie, tu ne connais que ta mort, tu n'as que la Souffrance de l'abnégation, esclave de ta destruction. Ouvrons les yeux, nous sacrifions leur vie pour notre Confort, sommes-nous aux pires heures de notre histoire ? Nous sommes la source de leur mort ! Tu rêves ta vie, tu en Oublies ta captivité, nous vivons tes rêves sans nous en Soucier. Tu as l'espoir, nous sommes blasés...La Sentinelle...
8. AVE TENEBRAE
Transcende ta foi, soulève ta crois, agenouilles-toi; Mortels combats. Engendrés par nos pères, gangrenés par nos Pairs, morts en l'air non en pleine ascension. Ave Tenebrae, Chaos Soit ! Rouge pour toujours, rouge tous les Jours. Notre sang n'a de goût que lorsqu'il a fini de Couler. Inscrit dans nos âmes, prouvé par nos armes, nous Les sentinelles de l'abnégation, mort en l'air, non en Pleine ascension.
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