Les Âmes Jumelles : Le Déchirement
Lyrics
1. LE DÉCHIREMENT
Ce déchirement, dans la chaire se révèle
Et les battements des cœurs s’éveillent
Le vent sur mon visage
Le temps me dévisage, que fais-je là
Je le ressens dans mes entrailles
Mon Je n’est encore qu’épouvantail, suis-je bien là
La brume épaisse embrouille les esprits
Le savoir s’évanouit, chaque naissance blesse
Les âmes écument les corps et les vies
Les entrelacs d’un canevas
Les esprits brûlent de l’envie du savoir
Tant de détails, vertige de l’infini
La flamme consume les vies et devoirs
La flamme Oscille, s’épanouit
Douleur dans ma poitrine, la spiritualité en vitrine
Les heures assassines après une poignée d’hosties
Noirceur dans les villes, entre profits et cyprines
Les heures mesquines, le règne des gens hostiles
Le temps me dévisage, que fais-je là
Si loin dans les cieux, le soupçon d’un souvenir
Un souffle ambitieux, de multiples vies en devenir
Ce monde m’appartient, ce monde me retient
Les pieds ancrés au sol, aujourd’hui et demain
2. TA MAIN DANS LA MIENNE
Le temps est venu
L’océan devant nous, l’aventure nous attend
Rien n’était perdu
De l’absence, restaient nos signatures, un engagement
À l’horizon la Cité
Ses temples, ses teintes, ses odeurs épicées
À portée de voiles
La peinture du maître étend sa toile
Dans les voiles le vent
Le regard loin devant
Les étoiles tracent la voie
Orient
Dans la lumière des palais, la beauté qui m’entoure
Mes pas se perdent sur les dalles, le dédale des cours
Toujours émerveillée, je sais ses atouts
Un jour, ne seront plus que rêves éveillés
Retrouvailles… dans les cœurs jaillis le sursaut d’un souvenir
Retrouvailles… dans nos cœurs jadis, un seul jardin fleuri
Ta main dans la mienne
Je ne vois plus rien, juste l’éternel
Ni demain, ni jamais
Plus jamais au grand jamais, rien ne sera plus pareil
Au diapason, le sage
Ses tempes, ridées de la patience
Se détendent d’un regard
La vérité comme une récompense
Sous le voile, intrigante
Je te reconnais pourtant
Les étoiles font taire les voix
Silence
Dans la lumière du palais, ton aura qui m’entoure
Ma voix se perd, je n’ai plus d’yeux à la cour
Le palais asséché, je savoure ce jour
Ma poitrine se serre, je vis ma destinée
Retrouvailles… dans les cœurs jaillis le sursaut d’un souvenir
Retrouvailles… dans nos cœurs jadis, un seul jardin fleuri
Ta main dans la mienne
Je ne vois plus rien, juste l’éternel
Ni demain ni jamais
Plus jamais au grand jamais, rien ne sera plus pareil
Ta main dans la mienne
Je ressens tout le bien que tu me révèles
En ce mois de mai
Brûlent les encens, se parfume le ciel
3. LES ÂMES JUMELLES
Par-delà le temps, les frontières
Dispersées aux quatre vents, éphémères
Les âmes jumelles, sans repères errent
Air, de la terre ferme au large
Seules à respirer son destin en charge
Par-delà le temps, les frontières
Dispersées aux quatre vents, éphémères
Les âmes jumelles, sans relâche se cherchent
Chairs, maltraités parfois
Le sceau des adversaires, sans foi ni loi
Par-delà le temps, les frontières
Dispersées aux quatre vents, éphémères
Les âmes jumelles s’attirent tels des aimants
Mental en dérive, des rives occidentales
Ivresse orientale, une âme en souvenir
Par-delà le temps, les frontières
Dispersées aux quatre vents, éphémères
Les poussières recouvrent le sang
De nos ancêtres, les nous d’avant
De nos mentors, de nos maîtres
Si loin de l’enfer, si loin dans les hautes sphères
Par-delà le temps, les frontières
Dispersées aux quatre vents, éphémères
Les âmes jumelles se sont aimées tels des amants
Ont vécu leurs temps, leurs prières
Ont vécu leurs terres, leur fierté, leurs cimetières
Par-delà le temps, les frontières
Dispersées aux quatre vents, éphémères
Les âmes jumelles, sans repères errent
Ères, traversées en long en large
Seules à porter chacune sa charge
Par-delà le temps, les frontières
Dispersées aux quatre vents, éphémères
Les âmes jumelles, sans relâche se cherchent
Chairs, réconfortées parfois
Mais souvent malmenées, percées cent fois
Par-delà le temps, les frontières
Dispersées aux quatre vents, éphémères
Les âmes jumelles s’attirent tels des aimants
Mental en dérive, des rives occidentales
Ivresse orientale, des âmes en devenir
Par-delà le temps, les frontières
Dispersées aux quatre vents, éphémères
Les poussières recouvrent le sang
De nos ancêtres, les nous d’avant
De nos mentors, de nos maîtres
Si loin de l’enfer, si loin dans les hautes sphères
Par-delà le temps, les frontières
Dispersées aux quatre vents, éphémères
Les âmes jumelles se sont aimées tels des amants
Ont vécu leurs temps, leurs prières
Ont vécu leurs terres, leur liberté, leurs cimetières
Mental en dérive, dérives occidentales
Les âmes jumelles se sont retrouvées
Se sont aimées, se sont déchirées, se sont éloignées
Mentales en dérives, un nouveau chapitre s’écrit
De larmes de sang
Ce déchirement, dans la chaire se révèle
Et les battements des cœurs s’éveillent
Le vent sur mon visage
Le temps me dévisage, que fais-je là
Je le ressens dans mes entrailles
Mon Je n’est encore qu’épouvantail, suis-je bien là
La brume épaisse embrouille les esprits
Le savoir s’évanouit, chaque naissance blesse
Les âmes écument les corps et les vies
Les entrelacs d’un canevas
Les esprits brûlent de l’envie du savoir
Tant de détails, vertige de l’infini
La flamme consume les vies et devoirs
La flamme Oscille, s’épanouit
Douleur dans ma poitrine, la spiritualité en vitrine
Les heures assassines après une poignée d’hosties
Noirceur dans les villes, entre profits et cyprines
Les heures mesquines, le règne des gens hostiles
Le temps me dévisage, que fais-je là
Si loin dans les cieux, le soupçon d’un souvenir
Un souffle ambitieux, de multiples vies en devenir
Ce monde m’appartient, ce monde me retient
Les pieds ancrés au sol, aujourd’hui et demain
2. TA MAIN DANS LA MIENNE
Le temps est venu
L’océan devant nous, l’aventure nous attend
Rien n’était perdu
De l’absence, restaient nos signatures, un engagement
À l’horizon la Cité
Ses temples, ses teintes, ses odeurs épicées
À portée de voiles
La peinture du maître étend sa toile
Dans les voiles le vent
Le regard loin devant
Les étoiles tracent la voie
Orient
Dans la lumière des palais, la beauté qui m’entoure
Mes pas se perdent sur les dalles, le dédale des cours
Toujours émerveillée, je sais ses atouts
Un jour, ne seront plus que rêves éveillés
Retrouvailles… dans les cœurs jaillis le sursaut d’un souvenir
Retrouvailles… dans nos cœurs jadis, un seul jardin fleuri
Ta main dans la mienne
Je ne vois plus rien, juste l’éternel
Ni demain, ni jamais
Plus jamais au grand jamais, rien ne sera plus pareil
Au diapason, le sage
Ses tempes, ridées de la patience
Se détendent d’un regard
La vérité comme une récompense
Sous le voile, intrigante
Je te reconnais pourtant
Les étoiles font taire les voix
Silence
Dans la lumière du palais, ton aura qui m’entoure
Ma voix se perd, je n’ai plus d’yeux à la cour
Le palais asséché, je savoure ce jour
Ma poitrine se serre, je vis ma destinée
Retrouvailles… dans les cœurs jaillis le sursaut d’un souvenir
Retrouvailles… dans nos cœurs jadis, un seul jardin fleuri
Ta main dans la mienne
Je ne vois plus rien, juste l’éternel
Ni demain ni jamais
Plus jamais au grand jamais, rien ne sera plus pareil
Ta main dans la mienne
Je ressens tout le bien que tu me révèles
En ce mois de mai
Brûlent les encens, se parfume le ciel
3. LES ÂMES JUMELLES
Par-delà le temps, les frontières
Dispersées aux quatre vents, éphémères
Les âmes jumelles, sans repères errent
Air, de la terre ferme au large
Seules à respirer son destin en charge
Par-delà le temps, les frontières
Dispersées aux quatre vents, éphémères
Les âmes jumelles, sans relâche se cherchent
Chairs, maltraités parfois
Le sceau des adversaires, sans foi ni loi
Par-delà le temps, les frontières
Dispersées aux quatre vents, éphémères
Les âmes jumelles s’attirent tels des aimants
Mental en dérive, des rives occidentales
Ivresse orientale, une âme en souvenir
Par-delà le temps, les frontières
Dispersées aux quatre vents, éphémères
Les poussières recouvrent le sang
De nos ancêtres, les nous d’avant
De nos mentors, de nos maîtres
Si loin de l’enfer, si loin dans les hautes sphères
Par-delà le temps, les frontières
Dispersées aux quatre vents, éphémères
Les âmes jumelles se sont aimées tels des amants
Ont vécu leurs temps, leurs prières
Ont vécu leurs terres, leur fierté, leurs cimetières
Par-delà le temps, les frontières
Dispersées aux quatre vents, éphémères
Les âmes jumelles, sans repères errent
Ères, traversées en long en large
Seules à porter chacune sa charge
Par-delà le temps, les frontières
Dispersées aux quatre vents, éphémères
Les âmes jumelles, sans relâche se cherchent
Chairs, réconfortées parfois
Mais souvent malmenées, percées cent fois
Par-delà le temps, les frontières
Dispersées aux quatre vents, éphémères
Les âmes jumelles s’attirent tels des aimants
Mental en dérive, des rives occidentales
Ivresse orientale, des âmes en devenir
Par-delà le temps, les frontières
Dispersées aux quatre vents, éphémères
Les poussières recouvrent le sang
De nos ancêtres, les nous d’avant
De nos mentors, de nos maîtres
Si loin de l’enfer, si loin dans les hautes sphères
Par-delà le temps, les frontières
Dispersées aux quatre vents, éphémères
Les âmes jumelles se sont aimées tels des amants
Ont vécu leurs temps, leurs prières
Ont vécu leurs terres, leur liberté, leurs cimetières
Mental en dérive, dérives occidentales
Les âmes jumelles se sont retrouvées
Se sont aimées, se sont déchirées, se sont éloignées
Mentales en dérives, un nouveau chapitre s’écrit
De larmes de sang
Lyrics geaddet von JeromeG - Bearbeite die Lyrics