1. RAGNAROK

(Instrumental)


2. RÊVEUR D'EMPIRE

Formidable muraille de crêtes, au pied de l'Himalaya
Où seule s'aventure la race d'hommes qui voulurent être rois
Car chacun est libre de rêver son Kafiristan,
Tel que Kipling le décrivit, par Dany Dravot et Peach Carnahan
C'est dans cet esprit, que toi mon ami,
De tes ancêtres catalans tu héritas de cette volonté
Qui sur les pas d'Alexandre le grand devait t'emmener
Au district de Chitral, dans ces vertes vallées

Le Dieu Guesh doit être à nouveau imploré
Que le sang ruisselle sur les autels de pierre
Pour que la victoire revienne à ces fidèles guerriers
Que les Kalashs libèrent leur terre
De cet Islam qui n'est qu'une régression
De la pensée libre, de la raison
Sur les cercles solaires de la vallée du Rombour
Qu'enfin battent encore les tambours
Devant les chênes sacrés et les poteaux sculptés
Par des danses et des chants, les Dieux Sajigor et Mahandéo
Seront à nouveau honorés

Là-bas les hommes sont libres, poètes et guerriers,
Forgés dans le même sang depuis des milliers d'années
Leur âme collective s'est le mieux incarnée
Sur une forme aryenne de chamanisme à tri-fonctionnalité
Mais les musulmans avides et patients se souviennent
De l'émir de Kaboul, Abdur Rhaman Khan,
Qui massacra les païens de ces régions reculées
Grâce au traité Duran et à la passivité des Anglais

Le Dieu Guesh doit être à nouveau imploré
Que le sang ruisselle sur les autels de pierre
Pour que la victoire revienne à ces fidèles guerriers
Que les Kalashs libèrent leur terre
De cet Islam qui n'est qu'une régression
De la pensée libre, de la raison
Sur les cercles solaires de la vallée du Rombour
Qu'enfin battent encore les tambours
Devant les chênes sacrés et les poteaux sculptés
Par des danses et des chants, les Dieux Sajigor et Mahandéo
Seront à nouveau honorés

Dans le courage et la force, tu as lutté avec ténacité
Contre ces musulmans fondamentalistes
Qui t'avaient mis en tête de liste
De ceux qu'ils auraient à éliminer !
Lâchement dans ta maison, ils sont venus t'égorger
Et si parfois, les soirs d'orages, au cœur de la nuit,
Je vois passer la chasse sauvage, alors je saurai Jordi
Que Wotan et Ungern, tu as rejoins la compagnie

Le Dieu Guesh doit être à nouveau imploré
Que le sang ruisselle sur les autels de pierre
Pour que la victoire revienne à ces fidèles guerriers
Que les Kalashs libèrent leur terre
De cet Islam qui n'est qu'une régression
De la pensée libre, de la raison
Sur les cercles solaires de la vallée du Rombour
Qu'enfin battent encore les tambours
Devant les chênes sacrés et les poteaux sculptés
Par des danses et des chants, les Dieux Sajigor et Mahandéo
Seront à nouveau honorés


3. SOUS LES FEUX

Perdu dans un âge où prédomine la douleur
La souffrance de tout ton peuple atteint son paroxysme
Toujours vaillant tu te dresses face aux conspirateurs
Tout s'effondre autour de toi : qui échappera au séisme ?

Bienvenue soldat !
Bienvenue en enfer
A qui profite ce cauchemar ?
Es-tu prêt à mourir pour ta terre ?
Bienvenue soldat !
Bienvenue en enfer
A qui profite ce cauchemar ?
Es-tu prêt à mourir pour ta terre ?

Seul véritable opposant à leur système corrompu
Tu n'es pas comme tous ces gens utiles à ceux qui tuent
Jaillissant des ténèbres, tu embrasses la vie
Brave guerrier dans tes veines, la force et l'envie

Bienvenue soldat !
Bienvenue en enfer
A qui profite ce cauchemar ?
Es-tu prêt à mourir pour ta terre ?
Bienvenue soldat !
Bienvenue en enfer
A qui profite ce cauchemar ?
Es-tu prêt à mourir pour ta terre ?

Sous les feux ! Sous les feux !
Sous les feux ! Sous les feux !
(La vie appartient à ceux qui la prenne)
Sous les feux ! Sous les feux !
Sous les feux ! Sous les feux !

Tu appartiens à une grande civilisation
Celle qui donne l'élan nécessaire à la survie du monde
Alors si tu perds la vie sous les feux assaillis
Tu préfères le sacrifice plutôt que d'être complice

Bienvenue soldat !
Bienvenue en enfer
A qui profite ce cauchemar ?
Es-tu prêt à mourir pour ta terre ?
Bienvenue soldat !
Bienvenue en enfer
A qui profite ce cauchemar ?
Es-tu prêt à mourir pour ta terre ?


4. BOUCLIERS CONTRE BOUCLIERS...

En 480 avant notre ère
Sur la terre hellénique se dessine l'invasion perse,
Massée aux portes des Thermopyles
Armes au poing font face les fils de sparte,
Tous alignés tel un rempart,
Véritable machine de guerre.

Spartiate !
Un mur d'acier
Spartiate !
Forgé dès l'enfance
Spartiate !
Bouclier contre boucliers
Spartiate !
Lance contre lances

Casques étincelants, lances hérissées,
Impavides et fiers de leur lignée,
Inspirés par les dieux
Le salpigx sonne l'assaut : « La mort, la vie »
Une masse compacte de bronze écrase l'ennemi,
Achevé au xiphos

Spartiate !
Un mur d'acier
Spartiate !
Forgé dès l'enfance
Spartiate !
Bouclier contre boucliers
Spartiate !
Lance contre lances

Après six jours de combat acharné
Aux murailles de feu : résister
Les armes brisées, cassées
À cent contre des milliers, les Spartiates
Se battent à mains nues, le corps écarlate
Résister et mourir

Spartiate !
Un mur d'acier
Spartiate !
Forgé dès l'enfance
Spartiate !
Bouclier contre boucliers
Spartiate !
Lance contre lances

La mort de plein fouet, le fracas, la boucherie
Mais ils sortent vainqueurs par l'esprit
Leur courage embrasa tous les hommes du pays,
L'Hellade s'unifia et bouta l'ennemi


5. PÂQUES SANGLANTES

Après trois siècles de batailles,
Six fois noyées dans le sang
Des Irlandais reprennent les armes, durant ce lundi sanglant
Un groupe d'hommes s'est rassemblé dans la grande poste de Dublin
Un jeune homme s'est révolté, il parle en levant le poing

Patrick Pearse ! Nationaliste identitaire irlandais
Martyr, poète et guerrier
Patrick Pearse ! Toute une vie tu as lutté
Sans cesse tu grandissais le peuple irlandais

Des barricades improvisées dans le Q.G. sont érigées
Deux drapeaux se sont hissés, la guérilla va commencer
Les volontaires de l'I.R.A. aujourd'hui sonneront le glas
Le face-à-face sera terrible, beaucoup connaîtront le trépas

Patrick Pearse ! Nationaliste identitaire irlandais
Martyr, poète et guerrier
Patrick Pearse ! Toute une vie tu as lutté
Sans cesse tu grandissais le peuple irlandais

Premier assaut des Anglais, effectué par des lanciers
Les chevaliers se sont couchés, sous la salve des insurgés
Des brasiers sont allumés, et les ruelles désertées
Les bataillons sont dispersés, parés pour la lutte armée

Patrick Pearse ! Nationaliste identitaire irlandais
Martyr, poète et guerrier
Patrick Pearse ! Toute une vie tu as lutté
Sans cesse tu grandissais le peuple irlandais

Durant cette semaine meurtrière, en avril 1916
Des rebelles irlandais combattaient les troupes anglaises
Beaucoup de sang fût versé, le sol irlandais purifié
Pour toute liberté ce sera le prix à payer

Patrick Pearse ! Nationaliste identitaire irlandais
Martyr, poète et guerrier
Patrick Pearse ! Toute une vie tu as lutté
Sans cesse tu grandissais le peuple irlandais

Patrick Pearse ! I.R.A
Patrick Pearse ! I.R.A
Patrick Pearse ! I.R.A
Patrick Pearse ! I.R.A


6. AVANT GUERRE

Des millénaires nous séparent de l'esprit des anciens
Alors que nous bravons sans relâche le labyrinthe
Derrière nous s'efface la magie runique
Remontons le temps par une tempête clanique

Colonisation... Hybride en gestation !
Colonisation... Hybride en gestation !

Cette terre tant chérie, cultivée par nos pères
Et souillée aujourd'hui par des esprits vicieux
Déclarons la guerre, unis comme des frères
Sauvegardons notre sol, respectons nos aïeux

Colonisation... Hybride en gestation !
Colonisation... Hybride en gestation !

À la terre... La pollution !
À la race... L'hybridation !
À la terre... La pollution !
Pour la race... Réagissons !

À l'hybridation s'ajoute l'arme chimique
Personne ne fait rien, nous acculant à la mort
Nous sommes les parias frappés d'ostracisme
Avec nous s'abattra la foudre du marteau de Thor

Colonisation... Hybride en gestation !
Colonisation... Hybride en gestation !


7. LE SILENCE DES AGNEAUX

Je suis un juge sans loi
Je suis le loup, tu es ma proie
Je te pourchasse, maître de ton sort
Je te condamne, le verdict est la mort

Nuisible à la terre
Tu fais de moi ton tortionnaire
Ton existence prend mon air
J’écrase tes mœurs dans mes serres
Je sens ton odeur, je la vomis
Te supprimer est une question de survie
Savoure la nuit, elle est mon amie
Dans ses bras de cristal finira ta vie

Existe-t-il un lien
Entre mes actes et le déclin des miens ?
Combien ont accepté de ramper, de sourire ?
Tuer en série me soigne, lave et purifie

Psychopathe ou réel
Toute la puissance de l'esprit
Divine énergie coulant dans mes veines
Je détiens le secret de la vie

Devant mon esprit ne peut se dissimuler
La noirceur de vos âmes contaminées
Je suis maître en ces lieux et peux sentir
Le spectre proliférer

Tout ce que tu émanes réveille mes instincts
Tu infectes la meute dont je suis le gardien
On me dit coupable, mais je suis le sauveur
Comme seuls survivants s'imposent les chasseurs

Nous sommes les loups et vous êtes nos proies
Assouvissez notre soif de combat
Rebut inutile, entends-tu nos pas
Les griffes se resserrent, mon sang bout, mon cœur bat
Je réveille mes sens, en prenant vos vies
De ce monde inerte ressens l'agonie
Au crépuscule tu seras face à ma loi
Celle du plus fort, celle qu'on ne domine pas


8. VICTIME

Ils ont arraché ton cœur
Effacé ta mémoire
Tu suis une route à sens unique,
Dont l'issue est ta mort
Fabriqué par le système,
Tu ne crois plus en rien
Toutes tes journées sont les mêmes,
Ils sont maîtres de ton destin

Tu es une victime ! Tu es leur victime !
Tu es une victime ! Victime !

Cette sacro-sainte liberté,
C'est avec elle qu'ils t'enchaînent
Entouré, terrorisé
Le dogme coule dans tes veines
Soumis à la pensée unique
Imposée par les droits de l'homme
Appliqués à coup de trique,
Alors ta vie, tu leur donnes !

Tu es une victime ! Tu es leur victime !
Tu es une victime ! Victime !

De cette société écœurante
Est née une minorité d'opposants
Refusant en bloc ce déclin,
Ils engagent un combat de titans
Ils t'ont tendu la main
Mais tu as refusé de les entendre
Tu te complais dans ce monde aliéné
Car tu n'as plus la force de lutter

Tu es une victime ! Tu es leur victime !
Tu es une victime ! Victime !


9. LA BLANCHE HERMINE

J'ai rencontré ce matin
Devant la haie de mon champ
Une troupe de marins
D'ouvriers, de paysans
Où allez vous, camarades
Avec vos fusils chargés
Nous tendrons des embuscades
Viens rejoindre notre armée

La voilà, la blanche hermine !
Vivent la mouette et l'ajonc !
La voilà, la blanche hermine !
Vivent Fougères et Clisson !


10. MG-42

Alors qu'ils violent notre sol
Et le vident de ses entrailles
Tu les protèges, tu les couvres
Tu justifies leurs actes
Tu dénonces ceux qui veulent se préserver
Avec une haine farouche pour ton identité
Xénophile ! Ethnomasochiste !
Il n'y a qu'un remède contre ça,
Ça se soigne crois-moi !

MG-42 !
MG-42 !

Tu manipules les âmes derrière un écran
Maniaque ! Homosexuel ! Violeur d'enfants !
Le peuple approuve et hoche la tête
À chaque fois que tu déverses tes excréments
Tu es à l'affût d'une proie
La seule chose qui t'importes c'est toi
Le capital ça a du bon
Surtout quand on sort pas un rond !

MG-42 !
MG-42 !

Faux historien, véritable ordure
Tu contribues au génocide
De notre terre, de notre race
En falsifiant l'Histoire
Dans un bain d'acide
Tu nous mènes à l'abattoir
Germanophobe ! Exterminationniste !
On suit tes pas, tu es sur notre liste

MG-42 !
MG-42 !

Tu t'infiltres dans nos rangs
Tu t'autoproclames le messie
Tu détournes les idées de notre combat
Pour que la jeunesse potentielle s'engage dans une impasse
Et tu calomnies ceux qui portent la flamme
Petite vermine ! Sale collabo !
Toi qu'on appelle caméléon
Toi aussi t'y auras droit

MG-42 !
MG-42 !


11. ULTIME DÉLIVRANCE

Derrière ce système se cachent les pires horreurs
Celles qui te possèdent et qui mènent au carnage
Seul dans ta taule les secondes te paraissent des heures
Les nerfs à vif, tu es comme un loup en cage
Tu avais tant espéré de tes frères aryens
Sur leur terre occupée, relégués au rang de larbins
Tu arpentes les rues grises, à l'affût l'arme à la main
Tu charges ton fusil pour massacrer ces chiens

Tue ! Car ils t'ont tout pris, tes espoirs déchirés
Tue ! Comme ils crucifient ton peuple, sali, enterré
Tue ! C'est le sang de ton ennemi pour le tien souillé
Tue ! Même si tu sais que tu ne peux en réchapper

Depuis trop longtemps pris au piège, étouffé
Tu actionnes la détente pour te libérer de leurs chaînes
La décharge, à l'impact, les crève sur le pavé
Dans ce bain de sang tu soulages ta haine
Ce jour tu avances vers un avenir infernal
Une folie incontrôlée qui te sera fatale
En proie des sirènes, des gyrophares bleutés
Ils t'ont encerclé, tu sens la fin approcher

Tue ! Car ils t'ont tout pris, tes espoirs déchirés
Tue ! Comme ils crucifient ton peuple, sali, enterré
Tue ! C'est le sang de ton ennemi pour le tien souillé
Tue ! Même si tu sais que tu ne peux en réchapper