Eths : III

Deathcore / France
(2012 - Season Of Mist)
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Lyrics

1. VORAGINE

Crâne, corps gorgent la mort.
Assise là, je rêve à quoi ?
Toi tu n'es plus là pour moi,
J'ai arraché mon coeur de beurre
M'écoeure.

Je ne vis pas.
Je ne vivrais pas une autre fois.
Je ne vivrais pas si tu n'es plus là,
Tu n'es plus là
Je ne vis pas.
Je ne veux pas.

Eprise, moi je vendrai tout
J'ai tant perdu quand on t'a pris
J'ai arraché mon bras,
Parfois j'ai mal.

Cadavre au sol.
L'instant me frôle.

Les pieds en sang je t'attends.
Je découpe ma peau en cadeau
Je suis plus sage aux ciseaux
Tu verrais comme je t'attends.

Je ne vis pas, je ne vis pas.
Je ne vivrais pas si tu n'es plus là
Je ne vis pas, je ne veux pas.
je ne vivrais pas une autre fois.

Crâne et corps gorgent la mort.

Absorbe ma survie au centre
De tout ton être de cendre.
Mais où es-tu ? existais-tu ?
Immortel je t'aime.
Dans ma tête je crève de voir
Ton visage intact,
Inerte, absolu, parfaire
D'inachever l'inconnu.

Je ne vis pas, je ne vis pas.
Je ne vivrais pas si tu n'es plus là
Je ne vis pas, je ne veux pas.
Je ne vivrais pas une autre fois.

Crâne et corps gorgent la mort.


2. HARMAGUEDON

Gronde la mort de néron
Les voix du mont sion

Les sept sceaux, les sept lettres se décèlent
les sept sceaux, les sept lettres se révèlent
les supplices crissent, se torturent.

Coeur, l'idéal meurt,
L'evangéliste s'éclaire, st jean pleure
Ecrit les peurs, comprend après sa mort et
Scande la terreur.
Nigla, vois ce qui doit arriver demain, bientôt,
La fin des temps s'occupe de nous.
Quand tombera rome sombrera babylone
Les peuples périront , s'éteint le millenium
Se lève le voile, le père ne prie plus.

Animal tu n'as pas le choix tu auras mal. animal.

L'hadès en moi, hadès dis-moi
Combien de temps vais-je attendre le jugement des hommes
En plain d'harmaguédon
Quand vais-je trembler,
Face et ventre au sol la mort sera lente.
Lente, l'entélégyne court en toi
Elle marchera sous tes bras

Elle marche comme cette bête à sept têtes.
Et dix cornes, sur ses cornes dix diadèmes
Sur ses têtes dix titres de blasphème
Elle est belle, elle est celle qu'on écoutera
On l'adorera
Mis à mort ceux qui ne l'aimeront pas.
Animal tu étais un roi, tu deviens dale de vies brisées.

L'hadès en moi, hadès dis-moi
Combien de temps vais-je attendre le jugement des hommes
En plain d'harmaguédon
Quand vais-je trembler,
Face et ventre au sol la mort sera lente.

Mille ans accomplis,
Jours et nuits aux quatre coins des terres,
Gog et magog infligeront la guerre,
Plus nombreux que le sable des mers.
Les oiseaux rassasiés de nos chairs
Marqués du nom, marqués au front
Ivres du sang des saints, ses seins seront pleins
Prêts à nourrir le sien.

Ecris donc ce que tu as vu,
Ce qui est et ce qui doit arriver.


3. ADONAÏ

Barnasa, lieutas, bucella, agla, tetragrammaton, adonaï,
Seigneur, grand dieu admirable, secourez nous,
Votre serviteur.
Tout indigne que je sois, délivrez moi de tout danger,
De la mort de l'âme et de celle du corps, des embuches de Mes ennemis tant visibles qu'invisibles.
Dieu ely eloy ela agla adonaï sabbaoth

Mon idole ne me répond pas.
Mon seigneur ne me sauve pas.
Je suis en ville de juda
Venue adorer le roi
Adorer le roi

Barnasa, lieutas, bucella, agla, tetragrammaton, adonaï

J'occupe mes pensées de lui magnificat.
Le saint des humains semblable à l'agneau,
Prophète inéluctable.
Le devoir autour de ma bouche. L'ouverte sévère, sèche en attente d'épées.
De flèches que je ne crains
Ni diable, ni magicien je n'adore, je ne veux que toi

Mon idole ne me répond pas
Mon seigneur ne me sauve pas.
Je suis en ville de juda
Venue adorer le roi
Adorer le roi

Barnasa, lieutas, bucella, agla, tetragrammaton, adonaï

Mon idole ne me répond pas
Mon seigneur ne me sauve pas.
Je suis en ville de juda
Venue adorer le roi
Adorer le roi
Adorer le roi

Mon idole ne me répond pas
Mon seigneur ne me sauve pas.
Je suis en ville de juda
Venue adorer le roi
Adorer le roi

Barnasa, lieutas, bucella, agla, tetragrammaton, adonaï

Levez-vous jérusalem,
Soyez toute brillante de clarté car votre lumière est venue
La gloire du seigneur s'est levée pour vous.
Voilà que les ténèbres couvriront la terre et qu'une nuit
Sombre enveloppera les peuples mais le seigneur se lèvera
Sur vous et sa gloire éclatera en vous.
Les nations marcheront à la lueur de votre lumière
Et les rois à la splendeur qui se lèvera de vous.
Levez les yeux et regardez autour de vous,
Depuis la nuit des temps ne voyez-vous pas
Que les troupeaux meurent,
Au plus ils meurent au plus ils croient.
Moi j'ai tellement mal que je n'y crois plus,
Moi j'ai tellement de peine que je ne pleure plus.


4. GRAVIS VENTER

Tare, lève-moi
Rare reste, «qui» es-tu là ?
J'aimais déjà, jamais assez
Je sais mon corps ne se relève pas.
Rendre demain, jamais aussi bien.
Je sais je dors je fais semblant ne regardez pas
Lente, passe mon tour.
Le ventre lourd.

Donne, colle, ma vie pour d'autres que vous.
Fous, les murs ne parleront plus aux sourds,
Cours plus loin, plus loin.

Traîne-moi
Masse, est-ce que...
Tu es bien là,
Rentrée en moi, raclant le fond
Je sens monter l'aphte emmiellé d'âme.
Rendre estomac en un océan,
Je saigne des dents, je mords trop fort mère pardonnez-moi.
Crampe, cogne les coups de jours en jours.

Donne, colle, ma vie pour d'autres que vous.
Fous, les murs ne parleront plus aux sourds,
Cours plus loin, plus loin.
Ma vie pour d'autres que vous, cours plus loin.


5. INANIS VENTER

Je recherche maman...
Chaque jour brise ma vie à jamais à trop y penser,
Le vide écrase la raison, maman est labile sale.
Corps inoccupé je me hais je le sais.
Je vomis la douleur d'absorber l'horreur d'accoucher la peur

L'enfer en moi immobile.

Enfant tu es dans mon lit, sombre ma peur
Entends-moi je n'y arrive pas
Celle qui crée ne te reconnaît pas encore
Celle qui est, pourquoi n'a pas pu pleurer.

Enfant tu es...
Né, âme qui saigne,
De ton sommeil troublé.
Entends-moi...
A chaque instant
Je meurs, chaque instant j'ai peur.
Celle qui crée...
Ma bouche forcée,
Se ferme, acidité amère, bois !
Celle qui est...
Je suis toi, tu es moi,
Je suis là à jamais.

Dormez la porte est fermée, elle voudrait
Penser sans rien écouter.
Amer le lait se perd, le sein avarié
Dans sa bouche écoeurée.

Elle plonge et vient mourir au fond
Elle habille une poupée sans jamais
Regarder, sans jamais abîmer, torturée.

Unilatérale
L'affliction est un parfait
Stigmate qui s'enivre d'humiliation.
La honte abuse peu à peu de nos corps.
Le secret inavouable et la pensé interdite.
La puissance est défectueuse quand
Les cris et les plaintes indiffèrent.

L'ange, l'ange reçu étranger..
Dépourvue de geste, la mère machine
S'exécute parfois en caresses déchirées.
L'ange s'est détourné de la matrice.
Son coeur de fièvre émietté de ne savoir
Comment le toucher, comment le nourrir
Comment le saisir.

J'ai perdu la tête je l'ai cassée sous mes pieds aujourd'hui
J'ai perdu mes mains je les ai coupées pour ne plus souffrir
De trop te toucher pour trop t'aimer si je te perds après.


6. SIDUS

Lithium lunaire tombe,
L'astre thérianthrope nous est fatalement moins clément.
Rivière absolue, mer ou fille de judée pleure l'enfant
Impudent
Adieu père, ta ligné mérite son châtiment
Hélium espace comble
Toute gravité rompue
Dunes et vagues nous incluent
Vents solaires nous giflent,
Sanglent l'homme sous terre
Cette lente atmosphère
Que l'agonie de ce triste règne nous attire !

N'essaie pas de fuir,
La lumière est hydre
N'essaie plus de vivre,
La lumière est hydre
Notre chance est passée.
Nos vies finissent ici.

Quel cri entends-tu au fond du monde ?
Une autre vie nous incombe à tous
Laquelle ? qui seras-tu quand tout s'effondre ?
Et quand la fin souffle sur les tombes ! je sais
Qu'elle nous envolera.

Mécanique céleste dérivée sans cesse
L'anomalie cherche la fracture
D'un ordre endommagé,
Mélodie du chaos.
Le début se clôt.
L'orbite est sans loi
L'omega s'étend quand la fin nous broie,
L'hydrogène nettoie
L'aube ne se lèvera pas.
N'essaie pas de fuir, la lumière est hydre
N'essaie plus de vivre, la lumière est hydre
Notre chance est passée
Nos vies finissent ici.

Quel cri entends-tu au fond du monde ?
Une autre vie nous incombe à tous
Laquelle ? qui seras-tu quand tout s'effondre ?
Et quand la fin souffle sur les tombes !
Je sais
Qu'elle nous envolera au-delà

Maintenant sans nos corps demi-anges demi-morts

Maintenant prends garde, ton corps n'est plus,
Ne marche plus, tu ne peux plus, ne parle plus.
Et ressens-moi je suis là près de toi
Comme avant pour longtemps
Infiniment.

Comme avant (x4)

Quel cri entends-tu au fond du monde ?
Une autre vie nous incombe à tous
Là ! quel cri entends-tu au fond du monde ?
Une autre vie nous incombe à tous.


7. PROSERPINA

Six nuits six jours,
Parle à ces voix !
Elle ment, m'a levée mon enfant,
Depuis si longtemps.

Sème, saigne tout se réveille à l'infini, cendres, haine,
Ma peau craquelle ! j'ai tout détruit.
Diurne, j'épie la nuit, dieu mon père m'a asservie ici.
Seule je suis encore là. folle.

Et je saigne quand je suis seule.
Mon père doit me chercher.
Depuis je meurs sans jamais partir, depuis je m'étrangle Sans jamais mourir. je voudrais m'endormir pour toujours.

Sème, saigne tout se réveille à l'infini, cendres, haine,
Ma peau craquelle ! j'ai tout détruit.
Diurne, j'épie la nuit, dieu mon père m'a asservie ici.
Seule je suis encore là. folle.
Je cherche encore mais quoi ?

Fille diurne, je fuis la nuit
Dieu mon père m'a asservie ici.
J'écoute le vent j'éteins la vie, détruis l'espoir, moi L'invariable, dernier produit stable je n'ai pas d'âge,
Je ne me souviens pas.
L'heure est fausse et le temps me dévisage.

Moi l'élue, je crois, vois, ploie,
Pédophage, j'avale, ma chair mon sang.
Mon sang, ma chair, moi je crois.


8. HERCOLUBUS

Astre, absinthe,
Grande est hercòlubus.
L'ère verseau, colossal verse l'eau.

Terre glacée, règne
Nouvel ordre séculaire achève le temps
Au cinquième soleil.
L'être sommeil.

l'oeil veille, surveille l'échec
Levez la tête
Illuminati, culmine illumine
La voûte. soleil en tandem
Mêle le mâle au prêtre, vidée la bête.
Illuminati culmine illumine
La voûte, la dixième planète.

Un nouveau roi nous tendra ses mains, un homme qui prétendra le bien.
Il est l'aigle à deux têtes, l'oiseau à deux becs
Serpent annonciateur de dernier souffle.

À jamais, à jamais
J'aurai mon coeur comblé de peine
Désolée, désolée
Je tiens ta vie jusqu'à la fin
Je savais, je savais
Et j'ai mon coeur comblé de peine
Isolée, désolée
Je tiens ta vie jusqu'à la fin
A jamais à jamais
J'aurai mon coeur comblé de peine
A jamais à jamais
Tiens ta vie jusqu'à la fin
C'est la fin c'est la fin
Tiens-moi bien quand le bruit
Sourd survient
Et que tout s'écroule
N'aie pas peur des cris.


9. PRAEDATOR

(Instrumental)


10. ANATEMNEIN

Anatemnein quand la lumière se lève
Anatemnein cruelle tu prélèves mes jambes
Me susurre «avale, aime» quand l'anal crève d'envie morbide.
Il lui suffira d'un signe.
Il te suffira d'un cri pour lui plaire.

Anatemnein maman t'aime même sous la terre.
Anatemnein, rien n'apparaît de toi.

Mes os pointent l'air est froid.
Débris de moi se noient
Vite car ma tête est libre
AUx quatre endroits je suis
Vous ne la trouverez pas
Je suis tout en bas
Ma bouche a explosé dans ses mains
Vidée de mon sang, il m'a sciée, il m'a sciée.

Anatemnein rien n'apparaît de toi.
Anatemnein viens l'anathème sera.
Anatemnein sens son halène en toi.
Anatemnein...

Il me rhabille, me déshabille la peau sans s'arrêter.

Là sur ma langue,
Un peu de terre se mélange aux vers, au sang
Ne se desserrent violemment les parois de ma gorge
Vaginale sous la force de tes quelques doigts sales.
Tu t'es servi du reste, tu le caches,
Taxidermiste assidu obsédé du calice
Lentement les membres flottent au gré du vent au gré de
L'eau il faut que tu saches
J'ai encore mal, tu vas payer.

Anatemnein rien n'apparaît de toi.
Anatemnein viens l'anathème sera.
Anatemnein sens son halène en toi.


11. MUSIC

(No lyrics available)


12. 7

(No lyrics available)

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