Eths : Autopsie - Samantha

Deathcore / France
(2004 - Sriracha Records / Coriace Management)
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Las palabras

1. POURQUOI

Pourquoi ?
Regarde c'que tu m'as fais!
Je n'arrive plus à me souvenir.
Mes yeux aveugle, ma bouche vomit.
Tu bouffes ma haine, mon corps qui pourrit.
Je n'trouve plus ma place dans son plaisir.
Il m'a pompée les restes d'innocence.
La mauvaise herbe semée dans son ventre...
J'n'ai ni remords ni regret. J'n'éprouve plus rien pour personne.
Pourquoi ?
Regarde c'que tu m'as fais!
Le regard vide et le c?ur blanc.
Je me voue, tu vois, mais fait semblant.
J'ai appris à rester sèche et seule.
La main absente a volé l'émotion.
Je n'arrive plus à avoir de dévotion, ni la putain de célèbre affection.
Et quand j'obtiens tout c'que je veux, j'n'en veux plus, me lasse, et le détruis.
Pourquoi ?
Regarde c'que tu m'as fais!
Tu vois, c'est plus fort que moi, mais toi, tu n'y échapperas pas.
La vie, comme tu la vois, est, chaque jour, différente pour moi.
Tu aimes autrui et tu partages...
Je crois que moi je n'connais pas.
Viens et approche-toi de moi! Sens l'enfer grandir en moi.
La salope prend tout, elle aime, elle utilise.
Chienne, pourquoi...?
Tout ce qu'elle commence, elle ne le finira jamais.


2. LA CHAIR ET LE SANG

Berce-la!
Dans son ventre, petite fille, petite pute. Il est entré, visage obscur, mâle impur. Plus près de toi, laisse pénétrer ses doigts. Elle est sale. Elle a mal.
Fenêtres et portes sont fermées, il est entré.
Aime-le! Famille sacrée, fermée. Comme une messe, rituel régulier, chaque soir la porte s'ouvre.
Maman! elle avait pourtant fait son lit. Maman! Ses draps, son lit sont souillés.
Maman... !
Donne-toi à lui ses remords sont des frasques, il te déflore. Donne-toi, mais cri pas trop fort! Ses sales doigts ont taché ton corps.
Encore, il te touche, tellement, ta peau est douce


3. A LA DROITE DE DIEU

Salope sourit, trahit, détruit, sale pute. Juste un morceau de ton cul, salope, j'en veux juste un pour pouvoir le brandir, l'asseoir, le voir pourrir à la droite de dieu et le savoir mourir... Une partie de ta luxure. Copule, c'est sûr ta pute simule, s'assume. Place-toi dans la cabine, la boite à confessions. Dis-lui que tu signes et dévoile ta passion. Montre-lui tes ruines et baisse ta culotte.
Salope !
Idéaliste, opportuniste, anorexique et boulimique, je me nourris de ta peur pour pouvoir la vomir. Mon c?ur se vide rongé de mauvais bonheur. Je vis à l'intérieur de la vermine sous la poudre et l'artifice que tu ne peux dissoudre . Salope!
Je mens, je mens tellement. Comprends, comprends-moi.
Je mens tellement. Comprends-moi.
Je suis ma création. Je suis mon ambition. Je suis ma création. Juste ta fiction!
Comment, comment pourrais-tu savoir? Comment, comment pourrais-tu m'avoir? Comment, comment es-tu sure de moi ? Comment, comment pourrais-tu me croire? Comment, comment... ?
Croire !


4. LE MALE

Naître et paraître sont donc les mots clefs de l'homme.
Calculer, chérir l'image que l'on lui donne.
Faire naître et mourir. Paraître et souffrir. N'émettre un soupir.
Aux lois obéir. Son sexe chérir.
La femme assouvir au moindre plaisir du mâle empire.
Non! L'homme ne sera pas plus homme!
Faire paître et vomir. Né maître et sourire. Par être souffrir.
Aux lois d'obéir. Ton sexe chérir. La femme applaudir, ne plus l'amoindrir. Du mâle transpire.
Non! L'homme ne sera plus inhumain!
L'homme ne sera pas plus homme.
L'humain restera sombre et malsain.
Demain.


5. DES HOMMES BONS

Rage!
C'est une rancoeur exacerbée, une intime colère, qui me pousse à cracher ses mots à terre. Naïve, j'ai longtemps cru que la violence ne servait que la violence. Mais force est de constater, encore, que la loi du plus fort est toujours d'actualité. Tout est prétexte à frapper, écraser, humilier, celui qui n'a rien demandé.
Sang pour sang pur-sang blessant, l'oeil pris par le sang...
L'oeil injecté de sang!
Mon esprit pour toujours marqué, de mon visage masqué du sang qu'un gars maqué a libéré, tiqué d'un soit disant manque de respect! Ainsi faut-il penser face à cet homme dont la vie est célébrée !
L'oeil injecté de sang!
Sang pour sang pur-sang blessant, l'oeil pris par le sang...
L'oeil injecté de sang!
Homme mystifié, acte non justifié.
Quoi que l'on fasse la haine emporte toujours l'homme!
Quoi que l'on dise la haine emporte toujours l'âme!
L'homme... L'âme...


6. AUTOPSIE

Assez.
Masquée la conscience est. Par autrui toujours trompé. Toi qui m' as menti, trahi. Écoute ces mots et subis.
Encore une nouvelle autopsie de notre société que tout le monde s' accorde à haïr, à critiquer. Il est bien beau de parler mais avant il faudrait agir, essayer au moins de construire plutôt que démolir.
De nos jour le rebelle est dans la norme, avoir l' air d' un fou, être violent est à la mode, fils du métal ou enfant des cités, ce qui compte ce n' est pas c' que l' on paraît mais ce que l' on est.
Assez.
La vie n' est qu' un immense théâtre, ou tout le monde joue un rôle, et bien souvent en coulisses, une déception amère l' emporte. Tellement de parure pour si peu de grandeur d' âme à en croire certains une étincelle est une flamme.
Se cacher dans une attitude qui tombera un jour ou l' autre. Se mentir à soi même c' est avant tout mentir aux autres. Avoir le courage de regarder dans le miroir son vrai visage et accepter de le voir.
Assez.


7. DEVORE

Dors, je veille sur toi. Déclenche ce sommeil réparateur et ouvre ton coeur. Laisse moi entrer dans tes rêves et songe , au bonheur d'être l'acteur de tes fantasmes. Aucun marasme, mais un spasme des muscles érecteurs, je suis le moteur. Encore, un effort, je veux que tu sois au plus profond de moi. En moi, c'est ça. Laisse toi aller et venir. Respire, construis un empire, pour ton vampire, et ne pense pas à notre devenir. Demain c'est loin.
Mord...
Oui, mord, et dévore pléthore de vices et glisse ta faim en prémices de tes mains. Moribond ! Sale con ! Vas-tu renaître, cicatriser ? pénètre. Ma fleur du mal se sent mâle.
Mort.
Et vide de vie, de toute envie.
Je revis car je suis au creux de tes bras. Putrides sont tes pensées, tétaniques sont tes actes. Frissons factices. Je m'enlise dans le malsain.
Dévore... Mort, mord,...


8. ENCORE

Encore, encore un autre génocide. Encore un blackos shooté dans le bide. Encore un mec qui n'a pas suivi le guide. Encore et encore.
Un autre lendemain glisse vers chaque fin de soleil. Les coeurs palissent, un oeil se plisse comme pour ne plus jamais s'ouvrir. Soupir d'indifférence, cette fille, par chance, prend donc naissance. A tout heure fait sa loi, l'humain se noit, se croit, encore une fois, l'être unique, langue plastique, l'immortel qui n'aura jamais plus mal au corps.
Encore un autre lendemain...
Les images frappent, claquent ma caboche. D'une croix je coche quand je croise la mort et sa foche. Sur la toile succombe ma planète. Bon de jambes tombent. Résonnent les trompettes, mort se fête. Maisons de passes pullule, cassent des vierges prises pour des garces sans pillule. Des races s'effacent. Le délit de sale ganache marche encore : laisse des traces sur des gosses morts.
Encore un autre lendemain...
Un bastos dans le bide, une femme qu'on assassine,
un peuple qu'on extermine, un gosse couvert d'acide.
Encore, encore, non! Encore!


1. INTRO

(Instrumental)


2. SAMANTHA

Choyée, Samantha pleure. Choyée, Samantha meurt.
Sonne & assomme encore Samantha.
Elle n'y croit plus.
Ecoute ton c?ur s'encrasser comme leurs machines.
Ton corps ne servira plus.
Samantha couche-toi, même s'ils sont aux pieds de ton lit, même s'ils te prennent. Samantha pleure.
Cette douce chaleur te tient en laisse.
Par la corde saigne.
Toute petite, petite bouche aime l'ingestion : ça mousse au fond.
Ta chair est nue.
Bois, tu l'emplis.
Enfant caresse le.
Un, deux genoux rentrent dedans, le sol est mou.
Tout devient lent.
Martyr attire les mouches, suit les cris sous la terre, l'âme saoule.
Martyr attire les mouches, fuit les cris sous la terre, l'âme seule.
A nos pères qui êtes absents...
Délivrez-nous du mal...
Je vous salue Marie, pleine de grâce.
A ceux qui nous ont offensés : nous vous soumettons à la tentation.
A ceux qui nous ont dévastés, dites leur la vérité : la bête et l'agneau ne font qu'un.
Craque sa tête.
Un bébé dort sous la terre, la bouche pleine.
Coule !
Sperme et poussière.
Il Crache ses plaies.
Poupée chiffon...
La nuit est sourde.
Samantha s'en va.
J'attends mon tour.
Dorment les cris.
J'ai emprunté ton corps, je te le rendrais un peu cassé.


3. DES CENDRES

Ton coeur pend au-dessus de ma tête.
Toi l'amant, il ne reste qu'une miette de ta peau douce presque adolescente. La mouche tournoie, elle n'est plus patiente.
Poussière chaude veut me faire tousser. Mes mains ne cessent plus de penser. Mes yeux ne veulent plus baver. Juste que c'est pas moi qui l'ait tué.
Tête fait mal, gouffre avale, c'est un sol sale. La sens-tu brûler? Corps bancal, toi qui tombe. Te noyer gorge violée. Essaie parle!
Poussière chaude veut me faire tousser. Mes mains ne cessent plus de penser. Mes yeux ne veulent plus baver. Juste que c'est pas moi qui l'ait tué.
Viens te perdre dans le creux de mes reins. J'aime ton sang sur mon corps. Mange ton coeur dans mes mains. Je n'ai rien pu cacher dedans. Je ne fait que te regarder. De mes mains... Te noyer!
Poussière chaude veut me faire tousser. Mes mains ne cessent plus de penser. Mes yeux ne veulent plus baver. Juste que c'est pas moi qui l'ait tué.
Laisse-toi boire par les grands secrets des anges! Laisse-toi croire que tu m'as rendue sale. Laisse-moi te voir faible dans un corps qui penche. Laisse-moi avoir le choix que tu n' aies plus jamais mal.
Laisse-moi croire que tu n'as plus mal...
Un pantin ivre, pour un maître avide. Toujours sourire pour moins dormir. Et te tuer juste pour rire.
Laisse-moi croire que tu n'as plus mal.


4. ENCORE

Encore, encore un autre génocide. Encore un blackos shooté dans le bide. Encore un mec qui n'a pas suivi le guide. Encore et encore.
Un autre lendemain glisse vers chaque fin de soleil. Les coeurs palissent, un oeil se plisse comme pour ne plus jamais s'ouvrir. Soupir d'indifférence, cette fille, par chance, prend donc naissance. A tout heure fait sa loi, l'humain se noit, se croit, encore une fois, l'être unique, langue plastique, l'immortel qui n'aura jamais plus mal au corps.
Encore un autre lendemain...
Les images frappent, claquent ma caboche. D'une croix je coche quand je croise la mort et sa foche. Sur la toile succombe ma planète. Bon de jambes tombent. Résonnent les trompettes, mort se fête. Maisons de passes pullule, cassent des vierges prises pour des garces sans pillule. Des races s'effacent. Le délit de sale ganache marche encore : laisse des traces sur des gosses morts.
Encore un autre lendemain...
Un bastos dans le bide, une femme qu'on assassine,
un peuple qu'on extermine, un gosse couvert d'acide.
Encore, encore, non! Encore!


5. VOLEE

Quelle puissance ! Corps sur moi, je m'éloigne.
Indécence, sales ses mots m'ont déchirées ; ma langue saigne.
Quelle défense ? J'oublie mes sens, mes conforte dans mes maux.
Et mes yeux se souviennent. Il a ouvert les portes. Le roi déshonore sa reine. Les cris de nos deux corps...
Les jambes sont étendues. Une absence...
Ma vie s'était suspendue. Sa violence
lentement m'efface, me saccage et me pose.
L'animal se déchaîne. Mes souvenirs s'en moquent. Je subis l'hôte et sa haine. Les plis de nos deux corps, morts.
J'essaie d'en sortir, de m'aimer, de sourir.
Sa joyeuse tendance acide m'offre des minutes placides. Je me tourne une fois, deux fois : je prend le rythme qu'il m'octroie. Il enfonce de ses mains ; il permet la chaleur à l'abîme encore abimée. Il invoque. Je chuchote sa mort autant que la mienne à l'instant. Oui... Il me vole. L'amant s'adonne à ses rêves et plus aucune trève jusqu'au bonheur ultime de son odeur humide sur ma peau. Puis l'écume de son effort est bue par ma bouche qu'il entrouvre et qu'il force. Mais l'éphémère te possède. Tu me rend froide, neutre... morte.


6. LE PROJET HUMAIN

L'arbre s'affaisse au murmure de l'oeil qui chuchote à la bouche,
offense, faute, simple secret. Ça avance comme un flot de méthane. Empourprant ma gangrène des pieds jusqu'à la tête, je suinte, je saigne, pour vous ma race humaine ,
qui s'est endormie au coin du monde. Immonde est le reflet du péché trop lourd à porter, donc je le porte. Je suis l'enfant choisi, conquit, né sur sa terre promise soumise à mon fouet qui lacère les chairs perdues s'étant détournées du droit chemin qui est le mien. Veux-tu encore m'entendre geindre & me plaindre... Non.
Toi, mélasse, prélasse-toi, traîne-toi encore dans l'air putréfié et chaud.
Car bientôt je viendrais vous sauver. Ma couronne d'épines insérée dans la tête, moi, assidue, j'obéis au grand maître et je lèche à en perdre mon haleine presque morte, je suffoque, je m'étouffe en étant à sa droite, mais soit. Je visionne comme un film chaque vie qui défile, trie et parfois imagine.
Toi, mélasse, prélasse-toi, traîne-toi encore, attend-ta mort. Ton corps s'endort dans ma venue indolore.
Et je me saigne aux quatre veines, aux quatre sangs, pour que mon auréole devienne diadème et qu'un jour, scintillant, il devienne bien brillant. Dormez tranquilles, impassibles, car du haut de mon trône, moi, je vous conditionne. Moi, je vous conditionne!
Toi, mélasse, prélasse-toi, traîne-toi encore, attend ta mort, implore. Ceux que tu adores, te tendent la main et te laisse à ton sort. L'ironie du sort? Le sort!
Enfant, assieds-toi contre moi, en moi.
Je suis partout, j'ai soif. Viens dans mon viol.
Ton âme prend feu. Je suis celui qui pompera ta vie.


7. ANIMADVERSION

Tu aurais du ressentir en toi, une nouvelle perception, un nouveau regard, avide de savoir, grandissant & cherchant en toi c'que jamais il ne trouvera. Tu refusas d'y croire, retenant physiquement, c'qui n'avait pas sa place en toi, c'que tu n'voulais pas voir, qui n'aurait jamais dû être ... là...
Être là.
Nous ne verrons plus jamais à deux, débarrassés d'une incision à la lame. L'extraction aura quand même lieu, des hurlements stridents emplissant ton âme, laissant tes yeux secs, pas une larme. Lui, sorti de cet antre imprégnée d'alcool, de fumée, déjà maculé de ton sang impur, sa première sensation se pesant comme une vision, une impression, la folie derrière les murs. Tu ne lui donneras jamais le sein, tout ce qui pouvait te raccrocher à lui n'était rien, laissant cette graine jetée à terre inconsciemment, se développer comme la gangrène ne pensant pas que par l'enfance, la vie d'un être est déterminée.
Tu devais pourtant incarner le lien viscéral entre ce ventre céleste & son contenu maudit. Sais-tu c'que peut être une vie à subir, nourrit aux racines d'un amour létal, croire que tu vas venir? Cris, violence & non-respect de l'être ne peuvent amener qu'au mal de vivre, à une rancoeur amère, toujours aussi présente. Le pardon ne pouvant s'envisager, seule une vengeance violente, une décharge de tout ce qu'il y a de mauvais, malsain, au plus profond du subconscient, pourrait permettre de ne plus penser aux noirs souvenirs qui gangrènent ma chair me rendant chaque jours un peu plus malade. Mes pieds s'enlisent, mon esprit les suit. Je me perds...
Plonge tes mains dans mes larmes blanches, nage au sein d'une volute d'abominations, de laideur, de carnage. Goûte dans ma bouche, l'arôme amer de l'ennui. Toutes ces tortures qui hantent mes nuits. Entends de mon ouïe, ces notes mélancoliques, mes grincements de dents, cette musique symbolique.
Regarde dans mes yeux, une vision troublée du vrai visage de l'homme angoissant, torturé, touche, de mes mains, tes joues humides. Une douce peau parfumée qui finira putride.
Ressent ce liquide qui frappe tes tempes, rougit mes yeux, mais pourtant, alimente le coeur du nourrisson comme celui du vieux t'épousant dans la chair, les bosses, les creux. Tu peux le percevoir, le sentir ruisseler, c'n'est plus la peine de croire.
Non, je ne peux pas oublier! Non, je ne veux plus oublier!
Un déséquilibre profond flotte en moi, écarquillé, vitreux. Je dois être déchiré, je ne sais plus vraiment c'que j'fais. Ta gueule est tuméfiée. Que dire, pas grand chose, tout ça devait arriver. L'important, au fond, c'est de crever l'abcès, hurler, extérioriser, en morceaux t'enterrer.
Le sang épais & chaud galvanise mes mains. Mon coeur, par terre, emprunte le chemin , qui mène à l'horreur d'une excitation morbide, les yeux brillants, le regard matricide. Ce soir, tu m'as mentit encore une fois... Tu avais dit que tu rentrerais tôt. Mais la terre dans ta gorge me laisse croire que, maintenant, tu ne rentreras plus.
Je construits des abysses, c'est si beau, quand c'est au fond de la peau.
Que je l'aime ton doux regard qui plisse...
C'est si beau quand je défonce ton cerveau.


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