Eths : Ankaa

Deathcore / France
(2016 - Season Of Mist)
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Lyrics

1. NEFAS

Ardentes femmes phalliques agglutinées,
Nefas attise les corps sans peine, les têtes, pénètre.
Asphyxiées à en pâlir,
Nature Obscure,
Luxure perdure,
L'écume des sourds effuse, onguent collant,
Offrande aux catins séminales.
Blessure impure,
Luxure suture,
Fuis!

L'orifice débordant de vices,
L'oratrice moite de Nefas embrasse
Ses esclaves, profonde, de sa gorge cilice,
Laticlave lisse... les froides cuisses s'enlisent.

Cassent
Les os putréfiés sous l'aiguille trouble, décharnés.
Désir psychique,
Douleur physique,
Nefas se fait désirer,
Vortex noir, l'aube immorale, dépourvoit,
Electrise les lèvres rougies de fièvre.

Refrain

Mes cuisses supplient...

Sois sans crainte, je renais aux sombres heures du soir.
Sois sans crainte, je connais le son de ton âme.
Tes hurlements arrachés de désir, du fond de ces mines obscures.
Des lagunes diluviennes s'épanchent violemment autour des corps.

Roi, ce miroir brisé,
Renvoit l'image sale, ton reflet.
La vertu, le pêché mêlés dans nos chairs,
Du bois courbe, l'homme de bien, le pervers.
Brille, vibre, le fébrile équilibre,
Le bourreau docile s'automutile.


2. NIHIL SINE CAUSA

Bones are too thin...
You're the cross.
Face failed, this silent day, an angel says :

Your pain is sharped by your own muddled mind,
Try to trap the Devil inside.
Then thousand dead black kidneys leave my hands,
it's raining flesh.

(en arabe:) Why are you hiding the moon ?
Why are you hiding the brigthness of the light of peace ?

Silence...
Fighrs, on Canaan's plain ;
Iced Coffins,
Psychotic Plague,
Drowned virgins.
Gods died here yesterday.

Origins of signs,
Falling gravity purloins the time,
Last tries.
My angel, I promise, You will fly someway.

Resurrection, God particle,
Masse's missing, awake !
Billions of years, lost matter.
Dawn of Celerity,
Chaos theory,
Light's aggression,
Our catharsis in dust.

(Why are you hiding the moon ?
Why is the darkness of the night hiding the brightness of peace?)

Violence...
Night, on Canaan's plain ;
Eyes on skins,
Hypnotic place,
Ruled by sin.
Gods died here yesterday.
Gods died...

Origin of signs,
Falling gravity cracks holy Phi,
Late cries.
My angel, I promise, you will fly but sadly miss the sky.
Don't swallow, the last shadow,
I promise, we'll supply for last days.

Iced virgins now are fallin',
Eyes on skin made them too thin,
Night's virgins, throat filled by sin,
Eyes on skin made them too thin,
Iced virgins, flee my skin.

Fights on Canaan's plain ;
Iced coffins,
Psychotic plague,
Drowned virgins.
Gods died here yesterday.
Gods died..
Origin of signs,
Falling Gravity purloins the time,
Last try.


3. AMATERASU

Elles resteront là,
Au temple d'Ise, les prêtresses impériales
Implorant et pleurantes, que je revienne,
Que je redevienne celle par qui brûle le soleil.

Lassée.
Ils vivront au gré des désirs de l'homme
Qui fait la marée.
Moi, qui viens de l'oeil du père,
Ne me fais plus rien voir.
La déesse s'expose...
A en vomir, des flots de supplices et mon propre cœur,
Je te donne le ciel, mon grand précipice...

Me va si bien.

Toi, par qui tout va finir,
Ne sens-tu pas le sang de la sœur se tiédir ?
En silence, je danse enfin dans le noir.
Cette guerre déicide,
Je suis fatiguée, mon frère.
Laisse-moi m'en aller.

Fardeau. Gouffre.
Mangeurs. Racines.
Les jeux d'enfants dieux n'amusent plus.
Reine. Souffre.
Persiennes humides.
Jamais le silence n'a tant plu.

Toi, par qui tout va finir,
N'as-tu pas vu le cou de la sœur se raidir ?
En silence, je danse enfin dans le noir.
Cette guerre déicide,
Je suis fatiguée, mon frère.
Laisse-moi m'en aller.
Mon frère...

Pardonne.
Laisse-moi m'en aller, mon fère.
Laisse-moi m'en aller.
Toi, par qui tout va périr,
Ne crois-tu pas le cœur de la sœur te punir ?
Pardonne.
Cette guerre déicide,
Je suis fatiguée, mon frère.
Laisse-moi m'en aller.


4. SEDITIO

Pleure, le crâne fissuré,
L'encéphale dévoilé,
Nos sacrifices perdus.
Et prie !
Les cris étouffés,
D'un mutisme entendu.

L'aile brisée, dépecée ;
L'ange se cache pour subir,
Enivré, les sens décomposés.
Tombe, les yeux asséchés,
Le temple antique assiégé.
Nos ombres choient,
L'horizon ploie.
Les portent souffrent,
Des hordes ennemies au pas.

En abyme, enseveli,
Les flammes m'ont appris,
L'âme meurt parfois elle aussi.
Embaumée dans l'oubli,
Sans heurts ni envies,
L'âme meurt...

La note atone, dissone, déraisonne ;
Prône, emprisonne, empoisonne,
Et résonne, monotone, ne pardonne....

Saigne, la face démembrée,
Sur le marbre asphyxiée,
Nos cicatrices déçues.
Oublie !
Les dents corrodées
Par le fruit défendu...

L'horizon s'éloigne,
Nos tombes témoignent,
L'aile brisée, l'ange du soir,
victime propitiatoire.
Les portes souffrent,
Des hordes ennemies au pas.

En abyme, enseveli,
Les flammes m'ont appris,
L'âme meurt parfois elle aussi.
Embaumée dans l'oubli,
Sans heurts ni envies,
L'âme meurt...

Trimurti...création troublée, désaxée.
Trimurti...saigne l'oeil endeuillé, ubiquité.
Trimurti.... les vices et viscères apaisés.

La plaie s'ouvre sur le noir,
Le viol pour espoir ;
L'âme saigne parfois elle aussi.
L'amertume en miroir,
Glacial exutoire ;
L'âme saigne, parfois sèche.

L'aile brisée, l'ange du soir,
Rejoint l'abattoir ;
L'âme sèche puis meurt elle aussi.
Prophète incantatoire,
Promesse illusoire,
L'âme meurt.

En abyme, enseveli,
Les flammes m'ont appris,
L'âme meurt parfois elle aussi.
Embaumée dans l'oubli,
Sans heurts ni envies,
L'âme meurt.


5. NIXI DII

Le labre las, large, lâche.
Compte les tombes, compte les tombes de Junon.

Voix chargées de crécelles.
Bras fermés sur le monde qui en ont vu tellement.
Lucine éponge, lave le sang.
Rien ne sert de savoir si mâle ou femelle,
De compter les coups de pelle
Qui peinent un cœur brûlant.
Ils ne seront jamais loin.
Entrailles arides qui attendent leur pauvre tour.
Lucine éponge, lave le sang.
Tient leurs mains, tenailles qui serrent encore et toujours.
Mais ne rendent jamais.

Labre las.
Le ventre vide, Lucine regarde vers les cieux.
La lune suppliant le Géant.
Si vide, Lucine, envieuse, attend.

Enterre-les donc encore,
Enterre, Lucine, c'est bien.
Personne n'en saura rien.
Resserre Lucine, les liens.
Tu les envies si fort,
Nul autre ne le tient.

Même le plus maudit,
Dis le désir si obsédant.
Ilithyie ne fait pas de détour.
Lucine se ment, passe son tour.
Ceux qui furent bannis, puniront sans merci
Les si mauvaises chairs, les marâtres,
Un seul cri sorti d'une bouche bée,
Sur les 800 âmes du marais sourd.
Infante et fils, l'un fend l'autre.
Lucine se ment, rêve trop lourd.

Las, le ventre vide, Lucine regarde vers les cieux.
La lune suppliant le Géant.
Si vide, Lucine, envieuse, attend.
Exhausse le vœu. Comble le creux.
Crève le cœur de Lucine, crève-le...

Dis-leur qu'ils m'ont oubliée.
Notre heure est belle à pleurer.
Tu m'effleures, je suis là, petit corps.
Je suis là, reste encore.
Ton odeur me plaît bien.
Tu sommeilles. Ça me rend si pleine.
Reste encore.

Compte les tombes, compte les tombes de Junon.
Plante le pieu. Comble le creux.
Crève le cœur de Lucine, Crève-le
Exhausse le vœu. Comble le creux.
Crève le cœur de Lucine, crève-le !


6. VAE VICTIS

La gorge acide, l'idée sombre, j'émerge.
Des gemmes sublimées, je cherche
Une voilure qui n'existe pas.

Survie placide, malencombre en soi.
Des prêches épuisés, la proie.
Vélléités au bout des doigts.

Larve, lève-toi, arpente l'histoire, la larme froide.
Percent, les drames, les peurs s'empressent, redoutables.
La foi vient en priant,l'espoir plie en fuyant.
Cours, le temps file inexorablement.

La pénombre observe,
Des peurs enfermées m'enserrent.
Le masque n'y résiste pas.

Délice aride, seules les ombres pourvoient ;
Ces brèches étranglées n'octroient,
Que vide, et ce, malgré l'endroit.

Larve, lève-toi, arpente l'histoire, la larme froide.
Percent, les drames, les peurs s'empressent, redoutables.
La foi vient en priant,l'espoir plie en fuyant.
Cours, le temps file inexorablement.
Le soir en y songeant, la fin comme un aimant.
Sourd, le temps court irrémédiablement.

Crie, pleure, prie, funambule.
Soeur fade, l'heure froide, meurt, l'apesanteur
Croît. Fuis, proie ! L'invocateur
Marche, rêve, crache, siège. Lâche, crève, Objurgateur.
Pleure, prie, meurt à contre cœur.

Larve, lève-toi, arpente l'histoire, la larme froide.
Percent, les drames, les peurs s'empressent, redoutables.
La foi vient en priant,l'espoir plie en fuyant.
Cours, le temps file inexorablement.
Le soir en y songeant, la fin comme un aimant.
Sourd, le temps court irrémédiablement.
Inexorablement, irrémédiablement.


7. HAR1

By the seventh day,
Ruler, killer, eraser, master, fire, punisher, undertaker.
Will, starter, believer, raper.
Infected water, sealer, seeker, slaver.
My last son grew up and then, killed his father.

Beyond this place of wrath and tears looms but the horror of the shade,
And yet the menace of years find and shall find me unafraid.
It matters not how strait the gate, How charged with punishments the scroll,
I am the master of my fate ; I am the captain of my soul.

Survivor, conqueror, creator, orator, predator, dictator, dictator with terror.
Cursed mirror sounds minor.
Taste the fruits of Sodom of Gomorrah.
Mutant, weakest as an ant.

Beyond this place of wrath and tears looms but the horror of the shade,
And yet the menace of years find and shall find me unafraid.
It matters not how strait the gate, How charged with punishments the scroll,
I am the master of my fate ; I am the captain of my soul.
Har1

Is it the blood on my hands or my guts in the sand
Is it the blood on my hands or your guts in the sand
Is it the blood on my hands or my guts in the sand
The shadow of the vultures weakens the eye.
Is it the blood on my hands or your guts in the sand
The shadow of the vultures weakens the eye.

Widens by eye.

Beyond this place of wrath and tears looms but the horror of the shade,
And yet the menace of years find and shall find me unafraid.
It matters not how strait the gate, How charged with punishments the scroll,
I am the master of my fate ; I am the captain of my soul.
Har1

In the fell clutch of circumstance
I have not winced nor cried aloud.
Under the bludgeonings of chance
My head is bloody, but unbowed.
Out of the night that covers me,
Black as the pit from pole to pole,
I thank whatever gods may be
For my unconquerable soul.


8. Sekhet Aaru

(No Lyrics Available)


9. KUMARI KANDAM

Ecrase. Corps d'or.
Mon âge est centaure.
Crâne.
Explore le cinquième genre.
Et je te plains, car pour toi, les étoiles sont toutes les mêmes.
Son règne latent le dévore.
Là, je veille, je baigne dans les 49 plaines.

Il aurait dû attendre

Fou, l'éphèbe arrogant fuit
Sans fin mais de fait s'enfonce
Sous les nombres, plus profond,
A l'ombre humide des pyramides.

Des ères que j'attends qu'il doute,
Qu'il se damne et rejoigne mes cités pâles et perdues.
Les dix siècles d'histoire ne rattraperont rien.
Une fois marié à l'écume,
Les heures glorieuses ne le sauveront pas,
Car ma bouche se dessine et s'emplit.
Il se sentira si petit quand je ressurgirai
Des nuits flottantes et poisseuses.

Mes nuits sont flottantes...

Fou, l'éphèbe arrogant fuit
Sans fin mais de fait s'enfonce
Sous les nombres, plus profond,
A l'ombre humide des pyramides.

Berce l'impur,
« Le Mort-né » regarde l'azur et se sent si raisonné.
C'est Jour de Purge,
Et je suis si content que tu l'enlises,
Dans l'éternité figée, le déluge.
La glace qui efface tout,
J'en connais si bien le goût...

Mes nuits sont flottantes...
Mes nuits sont flottantes et poisseuses...

Fou, l'éphèbe arrogant fuit
Sans fin mais de fait s'enfonce
Sous les nombres, plus profond,
A l'ombre humide des pyramides.


10. ALNITAK ALNILAM MINTAKA

Sorti des sables oubliés, il s'étiole au loin.
Trop lourde sa carapace l'angoisse, l'étreint.
Soudain l'impasse révélant le chemin.
Derrière lui l'hadéen enfin s'éteint.
La fin du cycle pour dessein, ce matin.

Le temps, l'espace ne font qu'un.
Demain, hier ne sont rien.

Une brise nouvelle me soufflant :
Le changement inhérent
détruit, battit sans permanence.

Le temps, l'espace ne font qu'un.
Demain, hier ne sont rien.
Je suis ici et maintenant.

Sorti des sables oubliés, je m'étiole au loin.
Trop lourde ma carapace m'angoisse,
m'étreint.
Soudain l'impasse me révèle le chemin.
Derrière moi l'hadéen enfin s'éteint.
La fin du cycle pour dessin.

Une brise nouvelle me soufflant :
le changement inhérent
détruit, battit sans permanence.

Le temps, l'espace ne font qu'un.
Demain, hier ne sont rien.
Je suis ici et maintenant.

Alnitak Alnilam Mintaka
Orion, Orion m'appelle
Alnitak Alnilam Mintaka
Orion, Orien révèle
Alnitak Alnilam Mintaka
Orion, Orien m'élève
Alnitak Alnilam Mintaka
Orion, Orion m'appelle
Alnitak Alnilam Mintaka
Orion, Orion révèle
Orion Orion m'appelle.
L'horizon éclairant la stèle.
Rémission, l'âme en plein éveil.
Orion, guide moi, montre moi la direction.

Orion, vision intemporelle.
L'impression d'un monde iréel.
L'horizon vibrant par le ciel.
Orion, en moi croît ta lumière la création.

Orion, Orion m'apelle.
L'horizon éclairant la stèle.
Connexion, l'âme en plein éveil.
Orion, guide moi.

Orion, Orion, révèle.
L'impression d'un monde iréel.
L'horizon vibrant par le ciel.
Orion, dans tes pas.

Orion, Orion m'élève.
L'horizon libérant mes ailes.

Orion, Orion m'appelle.
L'horizon éclairant la stèle.
Connexion, l'âme en plein éveil.
Orion, guide moi, montre moi la direction.

Orion, vision intemporelle.
L'impression d'un monde iréel.
L'horizon vibrant par le ciel,
Orion croît en moi ta lumière, la création.

Orion, Orion m'élève.
L'horizon énergise ma plèvre.
Intuitions, révélations des rêves.
Orion, dans tes pas la lumière, la sériation.

Orion, Orion révèle.
Rémission, renouveau spirituel.
L'horizon libérant mes ailes.
Orion, ta lumière, la voie de l'élévation.

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