DemonTool : Soleil Rouge

Speed Heavy / France
(2008 - Brennus Music)
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Las palabras


1. SOLEIL ROUGE

Immobile, devant ma fenêtre
L'horizon me semble, soudain bien terne
Une vibration éveille, tous mes sens
Serait-ce la fin, de mon existence
Un Silence éphémère
Autour, tout est figé
Mon regard, se perd
Faut-il se résigner…
Le Ciel, s'assombrit
Un oiseau de fer, couvre la lumière
Les grondements, sifflements, et les cris
L'ange de destruction, au rendez-vous, le jour…
Du soleil rouge
Un nuage, aux reflets blanchâtres
S'élève se dresse tel, un automate
Une explosion, d'une grande ampleur
Précède le souffle, dévastateur
Les arbres brûlent
Les forêts se consument
L'air nocif, supprime
Asphyxie la ville
Le Ciel, S'assombrit
Un oiseau de fer, couvre la lumière
Les grondements, sifflements, et les cris
L'ange de destruction, au rendez-vous, pour le jour…
Du soleil rouge

(Solo)

Le Ciel, s'assombrit
Pour le jour… Du soleil rouge
La poussière, se mêle à la cendre
Un tourbillon, de vent, la répand
Puis vient le silence, la désolation
Pour faire place en fin, aux radiations…


2. LA NAISSANCE DU MAL

La naissance du mal
Des rires, viennent me rappeler, des souvenirs, de l'enfance
De ces mômes, en train de jouer, emplis d'innocence
La vie était si belle, on coulait, des jours heureux
De l'amour de ma mère, des ses bras, chaleureux…
La Naissance du Mal, l'holocauste
La Naissance du Mal, l'holocauste
Un commerce ayant pignon sur rue, fier d'une réussite
Une famille, qui travaille dure, attire les convoitises
Sous une pluie battante, ricochant sur les pavés
Une impression étrange, vient m'angoisser
La porte se met à vibrer, mon cœur à trembler
Sous le poids de leurs coups, elle va céder
Nos maisons violées, nos biens confisqués
L'ensemble de nos droits, sont bafoués

(Solo)

La Naissance du Mal, l'holocauste
La Naissance du Mal, l'holocauste
Traités comme des animaux, parqués au fond des wagons
Un numéro, tatoué sur ma peau, sur mon sort en dit long
Le train s'immobilise, dans les yeux on peut lire
Un sentiment de peur, de haine, de rancœur….
On franchit les grilles, de ce lieu maudit
Nos vêtements ôtés, nos cheveux coupés
Au loin, la noirceur d'une fumée…
La Naissance du Mal, l'holocauste


3. REINE DE BEAUTÉ

La couleur, de ta peau si blanche,
Ton cœur, rempli de vie
Tes cheveux, sont si lisses
Un sourire pour apparence
Des traits, des formes superbes
Des jambes, si longues et douces
Une silhouette, élancée de rêve
Une machine faite pour le sexe
Tu vends ton corps au plus offrant
Allongée sur un lit miteux
L'argent est devenu ta seule dépendance
Donnant l'illusion d'être heureuse
Cruelle destinée,
Reine de beauté,
Tu voulais devenir la plus belle des sirènes,
Mais sur le récif tu t'es échouée
Un trottoir, une piaule, une rue
Lugubre, une odeur fétide
De passe, en passe
Une vie de désespoir
La débauche, puis les coups
La drogue, qui te saoule
Un corps et encore
Les visages qui se troublent
Tu vends ton corps au plus offrant
Allongée sur un lit miteux
L'argent est devenu ta seule dépendance
Donnant l'illusion d'être heureuse
Cruelle destinée,
Reine de beauté
Tu voulais devenir la plus belle des sirènes
Mais sur le récif tu t'es échouée

(Solo)


4. UNE VIE ETERNELLE

Une lueur blanche,
La silhouette, d'un Ange,
Le sourire, qu'il me tend, son regard, apaisant,
Il m'invite à le suivre, d'une voix douce, et divine,
Tel un filtre, de magie, je bois ce qu'il me dit,
Je suis dans un rêve, devant tant de merveilles,
Tout ceci n'est pas réel, il faut que je m'éveille,
Devant les portes qui s'entrouvrent,
Une peur m'envahit, une appréhension,
Bien vite elle est effacée, par la chaleur, de ce monde,
Une vie Eternelle,
Un Passeport, pour l'Eden
Une vie Eternelle,
Un Passeport, pour l'Eden
Tout n'est que beauté,
Mes vœux exhaussés,
Tout n'est que Plaisir,
Pulsions et désir,
Autour de moi l'amour se fait sentir…
Un cercueil de chêne,
Son cortège funèbre,
Toutes ces ombres, qui m'accompagnent pour mon dernier voyage,
Aujourd'hui, je vais quitter ce corps, cette enveloppe, cette demeure charnelle,
Une existence, une vie de principes, faite de joie et de tristesse
Une vie Eternelle,
Un Passeport, pour l'Eden
Une vie Eternelle,
Un Passeport, pour l'Eden
Ne pleurez pas ma mort, ici je revis,
Vos larmes sur mon corps,
M'invitent au Paradis.
(Solo)
Une vie Eternelle,
Un Passeport, pour l'Eden
Une vie Eternelle,
Un Passeport, pour l'Eden
Ne pleurez pas ma mort, ici je revis,
Vos larmes sur mon corps,
M'invitent au Paradis.


5. VAMPIRES

Chemins, escarpés, des arbres entremêlés
Des routes, isolées, un lieu, abandonné
Toute forme de vie semble endormie
Une corne de brume, qui s'évanouit
Tout autour de mon carrosse
Des ombres qui se rapprochent
Elles me précèdent tel un guide
Dans la pénombre elles m'attirent
Au loin une demeure hostile
Jonchée au bord d'un précipice
Une énorme porte de chêne, devant moi se dresse
Prince ! De la nuit
Du sang il faut pour te nourrir
Chasseur de Vampires
Une croix, un pieu, pour le détruire
Pour le détruire
D'un pas, hésitant, je franchis son antre
En appui, sur mes gardes, je ne laisse, rien au hasard
Des gargouilles ont évincé les anges
L'érosion des murs est due au temps
Parcourant tous ces couloirs
Au fond de moi j'ai l'espoir
De retrouver ce tombeau
Lieu saint de ce vieux château
Muni d'ail et d'eau bénite
Représentant de l'église
De ma voix, je purifie, au nom du Christ
Prince ! De la nuit
Du sang il faut pour te nourrir
Chasseur de Vampires
Une croix, un pieu, pour le détruire
(Solo)
Blessé, acculé, je vais succomber
Ton souffle, dans mon cou, tes dents, acérées
Ton règne sanguinaire doit s'achever
Viens donc boire mon sang empoisonné…
Prince ! De la nuit
Du sang il faut pour te nourrir
Chasseur de Vampires
Une croix, un pieu, pour le détruire


6. RÉCIDIVISTE

Étendue à mes pieds, son corps inanimé
La vie s'écoule de ses veines, pour un plaisir charnel
Ma main glisse dans ses cheveux, d'un geste lui referme les yeux
J'observe sa lente agonie, elle me semble si paisible
Elle est d'une telle beauté, incarnant toute la pureté, je n'ai pas pu résister…
Récidiviste !
Les lois m'ont libéré, pour bonne conduite
A nouveau, je vais tuer !
Déjà condamné, pour l'horreur de mes crimes
Durant toutes ces années, mon œuvre incomprise
Je quitte les murs de cette enceinte, pour retrouver le monde, ou l'on me craint
Tournant le dos à mes pauvres geôliers, j'arbore un sourire, à peine masqué
Ce soir, je ne dormirai pas, derrière ces barreaux au métal si froid
Je vais de nouveau goûter à la liberté !
Arpentant les rues, les chemins, les impasses
Me mêlant à la foule, sans laisser de traces
Profitant de mes sens aiguisés, me mettant à l'affût, d'une proie esseulée
Au fond de mon crâne de bien sombres pensées, font de moi, un meurtrier
Je vie, la mort comme un art, mes vices, tels un exutoire
Je justifie mes actes dans l'homicide !
Récidiviste !
Les lois m'ont libéré, pour bonne conduite
A nouveau, je vais tuer !
Nombre de ces femmes, à la robe si seyante
Provoquent en mes gènes, une forte dépendance
Les traits et les silhouettes se dessinent, sous leurs atours, je les devine…
Les heures qui s'égrènent et la nuit qui s'installe
Éveillent en moi mon autre visage
Ma lame ! Lui ôte la vie ! Son désespoir ! Provoque mes envies
A mes pulsions je ne peux résister !
Récidiviste !
Les lois m'ont libéré, pour bonne conduite
A nouveau, je vais tuer !
Récidiviste (suite)
Je l'enlève, l'a séquestre, la cache, plongée dans le noir, au fond, d'une cave
La démence contrôle mon esprit
Je suis atteint d'une maladie, la Schizophrénie
Des lanières de cuir la fixent à une chaise
M'approchant d'elle, je murmure, à son oreille
Mes motivations, ma déraison
Je renie ses demandes, ses plaintes car
Je vais la tuer, la mépriser, de mes mains, je vais lui ôter
Toute sa vanité, toute sa dignité, à mes étreintes, elle va succomber !

(Solo)

Elle gît, reposant dans mes bras, le fruit d'un amour bestial !
Récidiviste !
Les lois m'ont libéré, pour bonne conduite
A nouveau, je vais tuer !
Récidiviste !
Les lois m'ont libéré, pour bonne conduite
A nouveau, je vais tuer !
Je vais tuer !


7. GLADIATEURS

Nombreux sont ces hommes déchus de toute identité,
La tête baissée,
Dans ce couloir sombre ils ont pieds et poings liés,
Jetés dans les cachots, sordides où règne l'humidité,
Ils attendent la mort,
Poussés bousculés ils s'apprêtent à fouler, le sable, du Colysée…
Empereur de la cruauté, bien assis sur tes lauriers,
De ton trône majestueux, son bras s'abaisse pour le début des jeux,
Entre l'être humain et l'animal… l'animal,
Livrés en pâtures à toutes sortes de fauves,
Femmes, enfants, les esclaves, sont mis au poteau….
Avé César
Ceux qui vont mourir te saluent
Par le glaive ou bien l'épée
Ils sont Gladiateurs
Gladiateurs
Vivre ou bien mourir
Ils sont Gladiateurs,
Gladiateur
Ils tombent pour ta gloire
Avé Cesare !

(Solo)

La clameur d'une foule, trépignante, impatience de voir en découdre
Toute cette violence
Dans un combat, le hasard n'a pas……de place
Ne pas perdre la face pour éviter les coups fatals
Ils vont supplier
Héros d'un jour le temps d'une joute… dans l'arène
Du Colysée…
Empereur de la cruauté, bien assis sur tes lauriers
Jetés au cœur de la plèbre sur ce sable qui devient brûlant
Qui as déjà vu verser trop de sang, instinct sadique, au destin tragique
De ces hommes valeureux dans l'arène...
Leurs épées ôtent les valeurs
On les nomme
Gladiateurs, Gladiateurs
Avé César
Ceux qui vont mourir te saluent
Par le glaive ou bien l'épée
Ils sont Gladiateurs
Gladiateurs
Vivre ou bien mourir
Ils sont Gladiateurs
Gladiateur
Ils tombent pour ta gloire
Avé Cesare !

(Solo basse) (Solo guitar)

Avé César
Ceux qui vont mourir te saluent
Par le glaive ou bien l'épée
Ils sont Gladiateurs
Gladiateurs
Vivre ou bien mourir
Ils sont Gladiateurs
Gladiateur
Ils tombent pour ta gloire
Avé Cesare !


8. SACRIFIÉ

Au fond d'une pièce, mon ombre, se dessine
Agenouillé, vêtu de guenilles
Une faible lueur, laisse transparaître
Les traits d'un visage, aux couleurs, de l'hiver
Ils m'ont enfermé oublié, jeté dans cette oubliette
Me laissant pour reste, des os, telle une bête
Attendant mon heure, je ne peux, que me résigner
Les bruits de leur pas, m'annoncent, ma cruelle destinée!
Sacrifié !
Choisi pour un destin tracé, pour une vie de servitude
Sacrifié !
Choisi pour une fin sordide, à la gloire d'un prince, d'un prince viking!
On me conduit au rocher, afin de montrer
A moitié drogué, mes membres, je ne peux les bouger
En contrebas à mes pieds, des cris, une foule amassée
Espère me voir tomber, dans cette eau sombre et glacée !
Sacrifié !
Choisi pour un destin tracé, pour une vie de servitude
Sacrifié !
Choisi pour une fin sordide, à la gloire d'un prince, d'un prince viking!

(Solo)

Amassés dans leur Drakkar, ces guerriers me veulent en offrande
Pour apaiser leurs dieux… pour nourrir, leur soif de puissance
Leur adoration du culte me laisse, perplexe, terrifié
Ils se réjouissent à l'idée de voir, ma vie m'échapper
Transi de froid, je vais succomber, au fond de ces mers gelées
Je sens ma vie s'égrener, enfin pour moi les souffrances oubliées !
Ils m'ont…
Sacrifié, Sacrifié… Sacrifié


9. RÈGNE DU FEU

En cette époque révolue, les hommes sont terrés,
Un faible nombre, à survécu, aux griffes acérées,
A la surface de ce monde, tout est brûlé,
Au dessus de leur tête, un toit de fumée !
Vision lunaire, d'une planète, colonisée,
Une nouvelle aire de terreur, s'est installée,
Occupant le ciel, dictant, leur volonté…
Le règne du feu
Le règne du feu
Le règne du feu
Le clan des sages, des anciens, se réunit,
Prenant place, autour d'une table, faite de granite,
Leurs paroles ont l'éclat d'une lame décisive,
Un projet commun, pour l'avenir ! …
Le conseil annonce, le cœur serré,
Le visage fermé, l'estomac noué,
La décision d'affronter, demain, le dragon sacré
Pour l'avenir du monde, ils s'apprêtent à donner,
Leur bien le plus cher, leur vie, pour l'humanité… pour l'humanité.

(Solo)

Le règne du feu
Le règne du feu
Le règne du feu
Sous le poids, des armures, une anxiété,
Cédant place à l'honneur, une grande fierté,
Les nones, les curés à genoux pour prier,
Au pied de l'autel, à genoux, pour prier...
Chevauchant les plaines, et les comtés,
Découvrant la bête, à peine effrayée,
Tapis sur le sol, d'une vallée… d'une vallée !
Oubliant la peur, repoussant les dangers,
Ces fidèles guerriers, affrontent, le dragon sacré…


10. SORCIER

Maudit, rejeté, de touts ces pauvres êtres incultes
En ces temps, pourchassé, pour bon nombre de pratiques obscures
Tu invoques le hasard, manipulant les grimoires
Défiant les textes de raison
Défiant les ordres, de la religion
Sorcier !
L'inquisition t'a condamné
Sorcier !
Montré du doigt comme hérétique
Sorcier !
Pour usage de la magie,
Sorcier
Ils t'emmèneront tous, au bûcher !
Sorcier !
… Au bûcher
Sorcier !
A la vie à la mort
Sorcier !
Pleure les larmes de ton corps…
Sorcier !
Debout, figé, à la menace de tous ces regards
Tu es fou d'espérer, la clémence de ce tribunal
Accusé d'un pacte avec le diable, adepte du mal
Sombrant dans la folie, les chemins qui mènent, à l'hérésie.
Sorcier !
A l'évangile vont te plier
Sorcier !
Les voix d'église t'ont accablée
…Sorcier !
Tu profanes les saintes écritures
Sorcier !
Tu avoueras sous la torture…
Sorcier
Sous la torture…
Sorcier
A la vie à la mort
Sorcier
Pleure les larmes de ton corps

(Solo)


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