Demence : Total Démembrement

Death Thrash / Canada
(1996 - Neoblast Records)
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1. TOTAL DÉMEMBREMENT

C'est le total démembrement !!!


2. MARIE-PUTE

Marie-Pute
Insatisfaite, est un mot qui décrit bien
Cette femme sans coeur, cette putain
Personne ne peut combler ses dépendances
Le sexe, la mort et la violence

Marie... Pute
Marie... Pute

Après avoir violé, battu et tué
Tous les hommes de son quartier
Marie-Pute pense à ceux qu'elle a ratés
Parce que décédés avant de l'avoir rencontrée

Marie... Pute
Marie... Pute

Folle de rage, elle décide de se venger
En les faisant tous payer en allant les déterrer
Tous sans exception elle détruit leurs sépultures
Pour qu'enfin puisse commencer l'orgie dans la pourriture

Les tenant par le membre, elle leur fait une fellation
Le jus des cafards écrasés comme lubrification
Elle jouit et crie en leur donnant son intérieur
Les vers dans son utérus lui apporte le bonheur

Saloppe
Marie-Pute s't'une criss de chienne


3. CERVILLATION

Choisie au hasard entre toute forme de vie
Tu es celle que mon coeur et mon corps ont choisie
À genoux devant moi, tu seras tenue ligotée
Par une perforation dans ton crâne, je vais procréer

La tempe transpercée par la pointe de ma passion
Jamais tu n’aurais cru subir telle torture
Mais le vas-et-vient de mon amour derrière tes yeux
Ravive en celle qui nous regarde
Des souvenirs merveilleux

Le sang lubrifiant l’excavation
Amplifie mon désir et m’assure satisfaction
Par contre, pour toi il signifie
Qu’à la mort et aux souffrances, je t’initie

La sensation des cellules qui s’écrasent au contact
Du prolongement de mes sentiments
Évoque en moi une passion infinie
Sentir ton hypophyse exploser
Par la brutalité de mes actions
Provoque le but ultime, tant attendu: l’évacuation

Le liquide jaillisant de mes boyaux
Nettoie et désinfecte ton intérieur
Pour qu’à chaque fois, quand bon me semble
J’emplisse ton crâne de cette liqueur

Ce mélange de jouissance et de restes cervicaux
Est un délice aux lèvres de celle qui te maintenait attachée
À tel point qui toi-même, après cervillation
Tu voudrais bien la remplacer...


4. DR. NÉCRO

Avide de mort, de sang, de pourriture
Je jouis à l’idée de casser des fémurs
Mes clients ont tous un coeur tout à fait pur
Qui, une fois découpé, a un petit goût sûr

Nécro...

Ma salle d’opération
Ma morgue personnelle
La décapitation
Plaisir sensationnel

Voici maintenant l’heure de ma prochaine patiente
Une vierge sans crainte ni peur, ici se présente
Scalpel stérilisé, je découpe sa peau
De plaisir subjugué, je répands son cerveau

Nécro...

La voici mutilée
Le repos éternel
Me voici excité
Vive le plaisir charnel

J’arrache et puis j’extirpe
Les organes de son corps mort
De pus, de sang, de tripes,
La chambre, je décore

Son coeur entre mes mains
Me rend très impatient
De manger ses entrailles
Et de crier :“Au suivant”


5. LES AVENTURES D'UN FOETUS

Cette femme s’est elle-même condamnée
Quand, de drogues, elle continua de s’injecter
Moi, j’en avais assez
De voir mon avenir se détériorer

Me porter deviendra son enfer
Oui, je ferai souffrir ma mère
Quand son dernier client eut perdu son organe
D’un cri de satisfaction, j’ingurgitai cette membrane

Des coups violents sont absorbés par son corps
J’aime la faire hurler à la mort
D’un mouvement sec, je brise notre lien
Pour qu’enfin je puisse nourrir ma faim

Je ressens trop les effets des stupéfiants
Mon coeur et mon crâne souffrent continûment
De rage et de peur, je perce mon nid visqueux
Pour me départir de ce poison nébuleux

Il faut à tout prix, je vous le dis
Que je sorte d’ici, que je m’enfuie
Elle va finir par nous tuer
Et ma vie n’est même pas commencée

Je prends le premier conduit à ma gauche
Le sang ruisselle, le couloir s’élargit
Je vois la lumière au bout du tunnel
Morte d’asphyxie, par sa bouche je m’en suis sorti


6. ANTROPOPHAGES

Leur coup est maintenant planifié
Il ne reste qu’à choisir
Le nom de leur victime

À coup de dés, à pile ou face
Peu importe, quel plaisir
En autant qu’ils peuvent tuer

Anthropophages
Cannibales affamés
On détruit nos semblables
On mange leur liberté

Anthropophages
D’une tribu oubliée
Nos vies ne tiennent qu’à un fil
On risque d’être mutilé

Anthropophages... ... Anthropophages...

Mais ces hommes n’ont pas réalisé
Qu’un être humain ils viennent de massacrer
Le sang d’un innocent a coulé
Un pauvre p’tit gars qui n’a jamais rien demandé

Ces fous furieux sont maintenant comblés
Car, un de leurs semblables, ils viennent de tuer
Le problème de notre société
On tue par désir de supériorité


7. INTRAVEINEUSE

Depuis ce premier soir
Je ne peux plus m’en passer
Une fille? une drogue? c’est à voir
De elle je suis drogué
Plus je la vois, plus je la veux
Ben oui, elle me fait tripper
Composé hallucinogène
Elle me fait succomber

La tentation est forte
Je ne peux plus résister
La voir étendue sur la table
Me donne le goût d’crier

Intraveineuse...
Intraveineuse...

Contrairement à ce qu’on pourrait penser
De cette drogue, rien au monde ne peut me détacher
Ma dépendance est grande, c’est la vie en rose
Mon rêve: L’a garder jusqu’à mourir d’overdose


8. LA LYCANTHROPE

Quand la nuit devient sombre
Les âmes se révulsent en ombres
Des âmes déchirées, envoûtées
Destinées à tuer pour engendrer

Sous la lueur trop perçante
D’une pleine lune sanguinolente
La femme-loup crie et jouit
De douleur et d’envie

Sa prochaine victime cette nuit
Devra lui laisser sa vie
D’un coup de griffes acérées
Elle transperça d’abord son déjeuner

Lui arrachant la veine jugulaire
Buvant son sang chaud, désaltérant
En hurlant les délices de la chair
Elle éparpille ses restants

La lune lui arrache l’estomac
Elle a encore et encore faim
D’un vieillard, elle suit les pas
Pour le déchiqueter comme un chien

Ses crocs sont bien plantés
Dans sa nuque, les os viennent de casser
Son coeur a cessé de battre
Ses yeux sont maintenant arrachés

Une femme croisera son regard
Il sera déjà trop tard
Elle se contente de déchirer
La peau de sa cuisse élancée

La lune semble se cacher
La lycanthrope doit rentrer
Le devoir est accompli
Rassasiée, la race survie


9. RE-MORT

Enfermé, isolé
Tu te demandes qui est-ce que t’étais
Déprimé, décidé
La vie tu voulais t’arracher
Tu pensais pas pouvoir survivre
À tous les problèmes que t’avais
Tout ce que tu voulais c’était d’en finir
Pour ne pas avoir à trop souffrir

Tu pensais que la mort serait mieux
Mais au fond tu t’es trompé
T’as eu à subir cette torture
Maintenant à toi de l’assumer
Tu pensais que la mort serait mieux
Mais au fond tu t’es trompé
Ta tête éclatée sur le mur
Te condamne à ne plus marcher

Aujourd’hui, dans ta chaise, t’es handicapé
À cause qu’un jour t’as pensé pouvoir te défiler
Le monde est sans pitié, mais pas juste pour toi
C’est aujourd’hui qu’tu te rends compte qu’on peux pas s’en sauver

Enfermé, isolé
Tu te demandes qui est-ce que t’es
Déprimé, immobilisé
Maintenant ta vie est d’endurer
Tu ne penses pas pouvoir survivre
A cet enfer qui te retient
Tout ce que tu veux c’est en finir
Pour ne pas avoir à trop souffir


10. TU ME RÉPUGNES

Ce qui me répugne en toi
C’est de te voir violer
Toi, mon espèce de rat
D’un enfant t’as abusé

Sans raison t’as tué une femme
Dans une ruelle ou dans la rue
Frustré sexuel, rapace sans âme
Tu me répugne de plus en plus

Tu t’crois plus grand que moi
En laissant les pauvres sans toit
Tu coupe dans leur besoins
Pendant qu’tes poches sont pleines de foin

Tu recrutes des dilletts innocentes
En détresse et dépourvues
Tu mets leur corps en vente
Les laissant pourrir dans la rue

Tu pollues notre atmosphère
Nos lacs, nos arbres et notre terre
Pis quand on s’aperçoit du massacre
Tu te sauve, aux humains, tu christ une claque

A cause de ta matraque, de ton emploi
Tu te crois supérieur comme un roi
Chus pas mal écoeuré
De te laisser rire de moi...

Tu m’écoeures, tu me pues au nez
Tu me répugnes, j’ai envie de te tuer
Faut que ça change, ça va exploser
Chus pu capable de t’endurer


11. GORE SMOG

Partout la pollution ravage
Tout le monde s’en est câlisser
La nature échappe de sa cage
Une puissance bien plus raffinée

Un épais brouillard vert
Sur nous tous, pauvres crétins
Répand l’horreur et l’enfer
Excrète des vomissures sans fin

Haaa...

Quand il s’enfonce dans ta gorge
Comme de l’acide sulfurique
Une puissance se forge
Fait fondre tes tuyaux gastriques

Gastriques...

Ensuite tes entrailles se tortillent
Comme des vers possédés
Ton adrénaline, ils pillent
S’extirpent par ton anus déchiré

Ton coeur explose dans ta poitrine
La peau ne retient plus le flux sanguin
Le cou transpercé par l’échine
Le brouillard se regénère dans tes reins

Ton cerveau toujours conscient
Voit tes membres se déformer
Le processus est long et souffrant
Pourissement infecte et sans pitié

Haaa...

Le Gore Smog est installé
La vie s’est durement bien vengée


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