Cristalys : Suréminence

Pagan Black / France
(2009 - Pagan Pride)
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Тексты песен

1. HYMNE

Le sol, le sang, le sol, le sang
Notre sol, notre sang, nos terres, notre lignée
Le sol, le sang, notre patrie, notre honneur
Le sol, le sang, de nos pères, de nos mères,
Frères et femmes
Nos enfants, nos ancêtres, purs et fiers, au-dessus de tous
L'amour des nôtres, la haine des autres, l'amour des nôtres !
Unité, fraternité, au-dessus de tous !
La Suréminence !


2. GARDIENS ET CONQUÉRANTS

Souillé est le terroir cultivé par l'essence ancestrale
J'implore les dieux oubliés d'éveiller l'héritage vital
Car ennemis dans le passé, nos valeureux pères d'antan
Enseignent le quintessence celtique à leurs descendants

"La Gaule unie formant une seule nation animée d'un même esprit peut défier l'univers"!

S'allier pour reconquérir
Fils du laurier, Fils du menhir
L'ennemi n'est plus l'empire
S'allier dans nos forces naturelles
Fils de la lignée des immortelles
Chassons les de nos citadelles

Germanus ! Gardiens, conquérants !
Germanus ! Protecteurs, "reconquérants" !
Suivant les traces dont on a plus conscience
De la coalition des vivants et des morts
Suivant les traces d'une juste inconscience
Où la croyance nous guide sans remord
Suivant les traces de la Providence,
de l'alliance
Parfaite des enfants de l'âge d'or

Peuples des grands guerriers splendides
Forts par la volonté, guidés par la raison
Le sang, le feu, la mort, la régénération.
Enterrent la hache de guerres fratricides !
Élèvent l'ordre d'un nouvel horizon !
Suivant les voix du sang et de l'union

L'Europe ancienne est une même personne ancestrale !!!

S'allier pour la gloire future
Descendants d'une même progéniture
L'ennemi détruit nos cultures

S'allier dans l'orgueil blessé
Descendants du grand passé
Chassons les, de nos terres oppressées


3. GALLUS MALLEUS

Notre propre nid souffre d'un drame poignant
Incursion aveuglé par le leurre de cette égalité
Alors vont éclore les œufs de corniauds répugnants
Prélude à l'anéantissement de notre propriété

Gallus Malleus ! Gallus Malleus !
Gallus Malleus ! Souviens-toi !

La victoire de notre père, maire patriarcal
La gloire de notre patrie, mère ancestrale
La puissance des nôtres, nécropole des Francs
La jouissance de nos droits, le sol du sang !

Croisons les fers de nos âmes, ô mon frère
Ensemble nous verrons sous un ciel de sang
Nos mères, pères et frères en rang
Croisons les fers de nos âmes, ô mon frère
Ensemble nous errons sur nos terroirs Francs
Avec nos mères, pères et frères de sang

Dans l'honneur et la fierté immortelle !
Pour le Palais, pour Poitiers
Herstal ! Ta francisque marque nos lendemains
Herstal ! Frappant tel un marteau surhumain
Herstal ! Pulvérisant la razzia d'une lune malsaine
Herstal ! Battons nous ce grand domaine

Divine légende d'une contrée oubliée
Tout semble trop noir ! En l'édifice adoré
Du Poitou Charente au Languedoc
L'ensemble des souverainetés suffoque

Guerrier du pardon !
Les batailles pour les futures moissons
En le gouffre de l'oubli tombent
Puisses-tu un jour sortir de ta tombe

Des ruines de nos fiefs et monument, la colère
Grandit à l'image d'une noirâtre roue solaire
Les lueurs ancestrales illumineront nos terres
Nos Rois et Souverains d'un nouveau millénaire


4. PAR LE LYS, LES ARMES, LA BANNIÈRE ET LE SANG

Ô virginité chevaleresque
Cette contrée qui te fut chère
Subit les violations libertaires
D'usurpation animalesque

Par le Lys, les Armes, par ta Bannière par ton Sang
Par le Lys, les Armes, par ta Bannière pour les Francs

Par le lys glorieux aux scintillements dorés
Sur les temples d'honneur d'un territoire purifié
S'illumineront les anges soutenant l'Écu de France
Alors notre contrée sera libérée de sa souffrance

Par les armes de la grande pastoure
Détruisons le leurre intolérable de la coexistence
Qui telle la peste noire annonce l'inexistence
En laquelle notre peuple accoure

Par ta bannière aux anges sauveurs
S'élèveront sur les villes, l'élan de fureur
Les symboles de puissances dynastiques
Les fleurs de lys, les croix celtiques

Par ton sang, j'imprègne le drapeau indolent
Et les prochaines médailles de sang
D'espoirs pour un peuple renaissant
De brandir la Pureté de l'étendard blanc

Ni élue ni bergère mais princesse d'Orléans
Tu n’es point morte sur le bûcher de Rouen
Continuant le combat pour la descendance
La liberté et l'indépendance

Sur ton cheval de cristal tu verses ces pleurs d'or
Levant le glaive vers les cieux d'une nouvelle aurore

Jeanne ! Jeanne ! Jeanne ! Jeanne !!!

Par le Lys, les Armes, par ta Bannière par ton Sang
Par le Lys, les Armes, par ta Bannière pour la France !!!


5. FORCE ET HONNEUR

Seule la trahison défait nos héros
Mais leur sang à jamais incrusté dans nos cœurs
Comme en les Roches des Thermopyles

Depuis les sombres infinis sanctuaires d'Athènes
Où les dieux reposent accablés de haine
La déesse protectrice de l'ancienne nation
Somme la chevalerie de la régénération
De défendre nos contrées de l'envahisseur
De rallumer la flamme de nos prédécesseurs

Lavés dans le vin, baignés dans l'eau gelée et pure
Nous sommes les fils de la parfaite progéniture

Ô terre originelle de la ravissante Pandore
Des misères humaines peuvent naître
L'espérance de l'essence supérieure de ces êtres
Descendants guerriers de l'espèce divine de l'or

Éduqués pour la guerre, la résistance et la liberté
Nous sommes les "Prométhée" du genre humain, fils de bravoure et loyauté

Ô ma déesse aux voiles nocturnes,
Tristesse Guerrière
Tandis que la bataille fait rage je pense
Aux beautés : Toi, nos cultures,
Notre patrie et descendance
Ces épis de blé, nos demeures et fierté chevalière

Force et Honneur ! Tel un pacte de métal
Spartiate ! Ici nous gisons fidèles à ces lois
Force et Honneur ! La lance et le bouclier

Anéantissant ces immortels !
N'étant que de vulgaires bêtes mortelles
Jetant depuis les falaises de
Taygète cette répugnance corporelle
Un mur de cadavres grisâtres et putrides
Pour rempart et pour gloire
Tuant sans remord, sous les ailes de la nuit,
Luttant pour le territoire !!!

Spartiate ! Ici nous gisons fidèles à ces lois
Forza ! Onore ! La lance et le bouclier
Léonidas...
Enfants de Sparte, jeunesse hyperboréenne
Léonidas !!!


6. PARCIUM TRANSSALPINARUM WAYVODA

Invoquant l'âge sombre, la faim transylvaine
Cherchant le secret des terres affranchies
Je rejoins les limbes, aux portes de Wallachie

A travers les brumes des Carpates souveraines
Le voïvode à l'ombre de ses pals et festivités
Apparaît dans la fierté d'une patrie "non déshéritée"

Que les voix ancestrales valaques de tes pères
Nous guident dans les nocturnes guerres éclairs
Que les voix victorieuses de nos aïeux éclairent
Nos cœurs et âmes dans l'unité prospère
Pour défendre nos terres !
Nos terres ! Nos terres !!!

Des siècles passés...tel le feu craché d'un oracle
Les craintes du Dragon se réalisent sans miracle
Victimes des tragiques boniments de l'universalisme
Frère guerrier, vois le lamentable leurre du pacifisme

Vlad ! Vlad ! Vlad ! Tepes !
Parcium Transsalpinarum Wayvoda
Vlad ! Vlad ! Vlad ! Tepes !
Par l'épée, le sabre et la lance

Alors résonnent les requiems du pur holocauste
Dans ces bois de mâles empalés où s'accostent
Avec gourmandise les corbeaux du grand Odin
Leur sang abreuvant nos sols et béants jardins

Dans le calice de glace de nos grands maîtres
Buvons le sang pur de nos ancêtres
Telle la traversée du Danube gelé
Où valsent les feux follets
Marche la Race de l'Aurore, éternellement renouvelée
Suivant le verseur de sang d'un pas reconquérant
Jusqu'aux confins du vieux continent mourant
Pour libérer nos terres !

De fichu des catins éventrées, l'exhalaison putride
Se libère, asphyxiant les larves enfantines, apatrides
Sur vos crânes, les couronnes de clous fixant vos turbans
Laissent transparaître les scintillements du soleil flambant !!!


7. BAISE MA HACHE

Ma tête pendue sur le pont d'une ville brumeuse
Voit ma chair piétinée par un fléau illégitime
Tout comme l'ensemble du territoire ancien.
Sous mon regard mes entrailles brûlaient
Comme les traditions sous l'œil des enfants celtes.
Mon corps éparpillé comme tous mes frères.
Des collines malades, l'appel de ma reine nocturne
Retentit sonnant la détresse d'une identité perdue
Ses pleurs versent les larmes écarlates braves
Ses hurlements aux notes tourmentées
Chantent la mort du royaume de nos aïeux
Victimes des étreintes virales des "sans-terres"
Le peuple aveuglé d'un hypocrite bandeau
L'ouïe bouchée du pus de l'universalisme
Les glaives ligotés par la haute traîtrise
J'entends les païens glorifier leur histoire
Dans un chaudron de sang et de victoire
Mes plaies mon corps se cicatrisent
Buvant l'hémoglobine pure du royalisme
Des princesses de Dalriada des princes féodaux
Je la sens affûtant mes sens mes artères
Cette force boréale de nos trisaieux
Depuis la pierre du destin, en ce siècle désorienté
Je réapparais soigner d'une maladie grave
Cette liberté gaélique qui nous ait due
Ces prophéties du feu païen devenu taciturne
Goûtez au spasme de furie, au sang vulnéraire
L'hémorragie du courage coule en l'âme celte
Suivant le battement de mon cœur dissimulé
Sous les sols de la grande Écosse et des siens
Morts pour défendre leur terroir légitime
La tête sur mes épaules, je vois votre fin fumeuse

Baise ma Hache ! Baise ma Hache
Wallace ! Wallace ! Wallace !
Liberté !!!

Tue moi ! Ta sentence pour ma résurrection
Traîne moi ! Ton plaisir pour mon sacrifice
Tue moi ! Ta sentence pour ma glorification
Écartèle moi ! Ton plaisir pour mon édifice


8. KAISER BARBAROSSA

N'entendez-vous pas, la chère vierge aux cheveux d'or
Versant depuis trop longtemps ses larmes de mort

Refusant de perdre son sentiment d'honneur
Sa force de caractère face à ses terres qui se meurent

Le poing de la déesse du droit éternel païen
Rétablira le bien vital de l'unité des princes anciens

N'entendez-vous pas, la merveilleuse contrée Germaine
Ses pleurs accablées par le fardeau de la sensibilité humaine

L'impureté fluide envahie le corps de tes enfants
La saleté menaçant le sain peuple de ton rang
Les visiteurs de l'aube hurlent dans le néant
A quand ton réveil !
Puissance terrestre !
Empereur dormant !

La colère des tyrans,
de nos grands conquérants,
La colère des tyrans,
du grand Kaiser Barbarossa

Mon fiel incantatoire célèbre ta gloire
L'immortelle marche des Germains attend la victoire
D'honorer les vertus ancestrales de notre histoire
A quand ton éveil ! Puissance Spirituelle !
Empereur de l'espoir !

Kaiser ! ist niemals gestorben
Er lebt darin noch jetzt
Kaiser ! hat im Schloss verborgen
Zum Schlaf sich ingesetzt

Sous l'œuvre wagnérienne d'une nuit cristallisée
Les corbeaux de kyffhaüser cesseront de battre
L'empereur réveillé descendra des monts blanchâtres
Alors le fleuve de feu à nouveau embrasé

Ô porteur de la toute puissance terrestre
Conquérant du triomphe de la volonté
Sur le premier front de tes confins déshérités
Rétablissons l'unité Germaine terrestre

N'entendez-vous pas les trompettes, le cliquetis des aciers
La Déesse Victoire, brandissant la croix de fer et le laurier

Wenn alle untreu werden
So bleiben wir doch treu


9. SUPREMACIE CAROLINGIENNE

Le Roi est empereur en son royaume

"Vengeur des crimes, consolateur des francs affligés"
Défenseur hégémonique de notre espace royal
Le sang carolingien apporte prestige et
Noblesse, rigueur, fierté loyale !

Sur ta prestance s'appuie l'éveil dynastique
Ainsi ressurgit notre nature aristocratique
Sur ta lignée se fonde un peuple authentique
Voyez la primauté de nos aïeux mythiques

Roi issu de la lignée des princes
Empereur issu de la lignée des rois
L'héritage maintenant s'évince
Alors sombre ce qui fut autrefois

Que dans un prochain appel rayonne notre dédain
Défendant le mérite ainsi que le chimère européen

Rex Pater Europae
Rex Pater Europae

De l'héritage "supra-identitaire" et des enfants du destin
La couronne impériale sur le rêve carolingien

Et dans une nuit de sang résonnent les cris de Roland
Depuis les Pyrénées éternelles d'antan
Dans l'espoir résonnent les leçons de ton trisaïeul le Marteau
Depuis les sombres temps médiévaux

Suprématie Carolingienne
Suprématie Européenne


10. CENT JOURS POUR MILLE ANS

La garde déshéritée pleure l'extinction de l'idéal
L'infanterie désarmée voit la trahison ancestrale
Les grognards râlant ce monde se frottent d'un élan fraternel
Les hussards des cents jours pour milles années éternelles !

Vivat Imperator In Aeternum !!!

Le sein maternel du magnifique vieil empire
N'abreuve plus que les braves de son fier élixir
Des pores du temple glorieux où l'honneur gouverne
Transpirent les sueurs spirituelles d'une dignité interne

L'homme puissant aux serres acérées
Depuis la porte noire détient le talisman vénéré
Des mystères de l'empire ignorant l'abdication
Des chimères de l'empereur projetant sa civilisation

Honneur ! Gloire ! Richesse et Patrie
Cent jours pour Mille ans

Soldats ! L'aigle déploie à nouveau ses ailes
Renaissant des Invalides immortelles
Soldats ! Tel le phœnix oublié en ses flammes
Le feu du destin, de force et de dignité vous acclame

Sous un soleil enfumé des d'Austerlitz
Volant tel l'éclair frappant comme la foudre de jadis
Le fier rapace s'élève vers le dernier peuple fidèle
Au-delà des hypocrites Lumières infidèles
Et dans une vision glorieuse d'un Waterloo gagnant
L'œil vif noirâtre projette les territoires d'antan
En un "Vieux Grand Continent"

Les frontières de sang tracent le rêve légitime
De la foi des fiers embrassant l'ultime
Le dernier vol sonne la flétrissure des conquêtes
J'entends les voix des reconquêtes
La pourriture n'embaume plus le paysage impérial
Sur les ruines des temps modernes
Renaît l'honneur territorial !!!

Soldats ! L'aigle déploie à nouveau ses ailes
Renaissant de ses cendres sacramentelles
Soldats ! Tel le fauve oublié en sa tanière
Le feu du destin, de force et de dignité hisse sa bannière

Sous le froid macabre des champs de Leipzig
Puissant tel le volcan, captivant tel la lave de jadis
Le fier loup blanc se dresse vers le peuple fidèle
Au-delà des hypocrites Lumières infidèles
L'œil vif bleuâtre projette la bataille des nations
En une "Seule Grande Union"

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