Catuvolcus : Gergovia

Тексты песен

1. ELAVER

(Instrumental)


2. PAR MONTS ET PAR VAUX

Ciel et vent sinistres,
Seuls compagnons,
De cette campagne depuis d’innombrables saisons.
Ils se font entendre par monts et par vaux,
Dans l’horizon lointain l’on distingue leurs sourds échos.

Arrivant tel d’impitoyables conquérants,
Avides et balayant leur chemin lentement,
Jusqu’aux entrailles des territoires isolés,
Ce révoltant fléau ne cesse d’avancer.

La grandissante inimitié inspire la cruauté,
Qui ne cesse de couler sur les deux rives glacées.

Arrivant tel d’impitoyables conquérants,
Avides et balayant leur chemin lentement,
Jusqu’aux entrailles des territoires isolés,
Ce révoltant fléau ne cesse d’avancer.

Brandissant leurs fiers étendards,
Qui s’agitent par de grands vents,
Massacrant les vains vieillards…,
L’Ancien laisse les derniers commandements…

Le mal continue d’envahir et bientôt traverse l’Alèir,
Et tous les ponts l’on fit périr, pour ne pas faillir.

La grandissante inimitié inspire la cruauté,
Qui ne cesse de couler sur les deux rives glacées,
L’angoisse des gens ne fait que s’aggraver,
Vieillards, femmes et enfants pensent à se réfugier,
Sur les hauteurs dans cet oppidum,
Lieu à cette heure où souffle un vent de détresse.


3. LA COLLINE DE CHANTURGES

Par de grosses averses,
L’eau ruisselle aux pieds des soldats,
Les troupeaux sont abreuvés jusqu’aux confins des plaines éloignés

Où réside le peuple qui poussera des cris de triomphes,
Le jour où les légions seront chassées tel de la fumée…
Celles qui s’imposent sur nos terres calcinées,
Qui ont écarté tout espoir de prospérité,
Obstinées à résider sur nos terres habitées,
Les troupes furent aux collines en cinq marches forcées.

Aux bas des collines ils sont restés,
Impressionnés par ces monts bien gardés.

Par nos défenses protégées, comme d’un grand bouclier, Proéminence doté d’une forte puissance,
Où circule la mort comme le courant des eaux,
jusque dans les hauteurs le sang coule à flot.

Le grand campement s’installe au pied de la montagne,
Les murs sont montés,
Les pâturages piétinés,
Le soleil éclaire les plans des hommes mauvais où la détresse et le malheur ne font que germer.

Par une nuit sombre et grandiose,
Les romains prennent la colline de Chanturge…

Par de grosses averses,
L’eau ruisselle aux pieds des soldats,
Les troupeaux sont abreuvés jusqu’aux confins éloignés,
Où réside le peuple qui poussera des cris de triomphes,
Le jour où les légions seront chassées tel de la fumée…


4. LITAVICCOS

Litaviccos,
Commandant de dix mille fantassins,
Eprouve le grand besoin de retourner vers les siens.

Chef des Éduens, terrassé par les actions des Romains,
Il s’arrête,
Se retourne,
Et sombre dans le chagrin.

« Tants de moments passés aux côtés des armées,
Nos parents et nos frères ils ont massacrés…
Frères nous marchons de travers,
N’imitons pas les jours d’hier,
joignons-nous aux Arvernes pour que nos jours futurs
Soient moins ternes»

Désormais à moins de trente mille pas de Gergovie,
Comme d’un arbuste épineux il est sortit réjouit…

Litaviccos

Ces citoyens romains dans nos prés,
Volons leurs convois de vivres et de blé,
Nous soulèverons tous les cantons de la cité,
Par ces cieux nuageux, ils auront périt car le Romain a Détruit notre cavalerie et nous punirons sa perfidie

Litaviccos

César affecté par la perte d’un allié,
S’égorge d’injures contre cet effronté.

«Ô tu as rejeté ce que je voulais te donner,
Contre toi je continuerais d’aller»
César affecté par la perte d’un allié,
s’égorge d’injures contre cet effronté
«Ô tu as rejeté ce que je voulais te donner,
Contre toi je continuerais d’aller»

Jules égaré ne perd pas un instant,
Prend quatre légions et marche ardemment?
Litaviccos a Oublié sa fidélité,
Les légions marchent avec célérité,
Les Soldats romains poussent des cris,
On les exhorte à continuer jusqu’aux veilles de la nuit.

César s’avance à travers les plaines,
Les Gaulois portent des visages de haine,
Certains lâches s’abaissent et demandent vie tandis-que Litaviccos s’enfuit vers Gergovie.

Éloigné des monts, les soldats reprennent le chemin.
Alors que l’obscurité est déchirée par les lueurs du matin.

Des cavaliers de Fabius accourent vers les romains,
Proférant que les attaques se répètent sans fin…


5. IMPETUS

Les Heduens surmenés massacrent les citoyens romains,
Le soulèvement de toutes les cités,
Voilà ce que César craint,
Ce qu’il cherche à éviter,
A ne jamais démontrer,
La loyauté sur laquelle il s’est appuyé,
S’est dissipé.

Dans un néant de pensées d’homme égaré,
César croit avoir trouvé un moyen de l’attaquer,
Cette immense colline dont il avait tant rêvé,
Il s’est juré de voir les Gaulois agenouillés.

Par une journée maussade,
Il visite les travaux de petit camp,
Il aperçoit sur les hauteurs un territoire vacant,
Tertre auparavant occupé par des Gaulois puissants…
Désormais balayé par des vents.

Par une journée maussade,
Il visite les travaux de petit camp,
Il aperçoit sur les hauteurs un territoire vacant.

Au milieu d’une nuit,
De nombreux escadrons répandent leurs cris,
En battant les campagnes,
En se déplaçant bruyamment…

Alertant l’ennemi,
Que tous ceux qui s’opposent seront anéantis,
Une autre ruse pour éloigner les Gaulois de leur camp.

Les troupes Gauloises passent de l’autre côté,
Pendant que les Romains,
Leurs étendards cachés,
Passent du grand camp vers le petit campement,
Avec cet espoir de gloire qu’ils ont constamment.

Allons marchons vers ces collines!
Craignez ces vents impétueux!
Qui vous mèneront vers (eux)
Allons marchons vers ces collines!
Craignez ces vents impétueux!
Qui vous mèneront vers (eux)

Allons marchons vers ces collines!
Craignez ces vents impétueux!
Qui vous mèneront vers (eux)
Allons marchons vers ces collines!
Craignez ces vents impétueux!
Qui vous mèneront vers (eux)

Clair et fort est le son des trompettes,
Mais la Xe légion ne bat pas retraite,
Loin, trop loin derrière ce petit vallon,
Ils n’entendent pas et marchent vers le front.


6. AUX PORTES DE L'OPPIDUM

La brume présente ce tôt matin,
Prêts pour le combat après le festin,
Le soleil se lève sur le reste de la plaine,
Préparons nous avant que les Carnyx ne se plaignent.

La sombre et dernière nuit,
Avant la bataille y aura eu la pluie.

La sombre et dernière nuit,
Avant la bataille y aura eu la pluie.

Aux Portes de l’Oppidum,
Nous les battrons comme des hommes,
Ils en reparleront à Rome,
Aux Portes de l’Oppidum.

Aux Portes de l’Oppidum,
Nous les battrons comme des hommes,
Ils en reparleront à Rome,
Aux Portes de l’Oppidum.

Mais avant d’arriver à la colline…
Dans les bois,
A travers la brume,
Ils saigneront,
Sur les troncs,
Puis la nuit,
Les loups,
Les dévoreront…

Mais avant d’arriver à la colline…
Dans les bois,
A travers la brume,
Ils saigneront,
Sur les troncs,
Puis la nuit,
Les loups,
Les dévoreront…

Sur nos remparts ensanglantés,
De leurs têtes nos poteaux seront ornés.


7. RECUEIL D'OPPROBRES

Sombres mémoires…
Inscrites dans ce recueil pour des temps indéfinis,
Malheur à cette défaite, qu’il faut oublier à tout prix.

En plein désarrois,
César vacille,
Irrité par ces hommes aux visages hagards,
Par ces soldats morts au pied des remparts,
Pour cet amour de gloire qui abreuve le péril.

Un opprobre pour les cohortes exténuées,
Encore poursuivies par cet adversaire acharné,
Enfin, les trompes sonnent le répit,
César dans la plaine fait face à Gergovie.

Puis le soleil ne tarde pas à se noyer au loin…
Les hommes sont couverts du sang de leur siens.

Découragés par l’œuvre de leurs mains,
Ils sommeillent jusqu’au lendemain.

En plein désarrois, César vacille,
Irrité par ces hommes aux visages hagards,
Par ces soldats morts au pied des remparts,
Pour cet amour de gloire qui abreuve le péril.

Une pluie froide réveille les soldats,
Dès les premières lueurs l’armée se rassemble,
L’imprudence et la cupidité sont reprochées,
Par cette indiscipline de nombreux sont tombés.

Sombres mémoires…
Inscrites dans ce recueil pour des temps indéfinis,
Malheur à cette défaite,
Qu’il faut oublier à tout prix.


8. A LA POURSUITE DES VENTS

Fiers et victorieux,
Nous sommes du pays des gaules,
Autrefois où nos pluies de flèches,
Firent trembler toute volonté.

Hélas, les temps passèrent,
Et les romains traversèrent terres et mers,
Bravant le grave bruit du tonnerre,
Repoussant leurs énormes frontières.

Celles de César en constante quête de gloire,
Dans la crainte et la détresse,
Réduisant à poussière nos forces de guerre.

Ces jours sont comme une ombre,
Dans la mémoire du Gaulois,
Le temps venu,
sur nos murs leur foi s’écrasera.

Telle,
La poursuite des vents,
Fut le combat de l’assaillant,
Les ordres déchirés dans la clameur des affligés.

Telle,
La poursuite des vents,
Fut le combat de l’assaillant,
Les ordres déchirés dans la clameur des affligés.


9. ELAVER II

(Instrumental)

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